Neptune et moi.

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scrupulus
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Neptune et moi. Messagepar scrupulus » 20 sept. 2013 à 18:03
Selon ma façon d’appréhender les choses, les huit premières énigmes ne servent qu’à planter le décor, prendre nos marques, nous organiser, et nous fournir une énorme sacoche emplie à ras la gueule d’un bric à brac digne d’un inventaire à la Prévert. Un tas de pierres, que l’on nous a demandé de tailler, certes, mais que nous n’avons pas eu jusque là à mettre en œuvre.

Avec la 560, on bascule dans une autre dimension ludique, on commence à juxtaposer nos moellons pour entamer la construction proprement dite. Tout ce que nous avons préparé parvenu à ce stade, va progressivement trouver sa place et jouer son rôle.

Alors voilà, je suis à Cherbourg, lieu du tout dernier débarquement de l’Aigle (lien apporté par l’énigme précédente), ou, autrement dit, et c’est important, à Carusburc. En effet, cette précision de temps va me permettre de ne pas tenir compte, sur le fameux parcours à venir, de certaines embûches, disons, « modernes ». Mais n’anticipons pas.

Je suis à Cherbourg/Carusburc donc, dos à l’angleterre (pourquoi faire compliqué ?), et je cherche l’Ouverture qui nous révèle la Lumière Céleste, ben voyons. Comme j’ai eu l’inconséquence de lire la totalité de l’énigme, je sais qu’il va falloir que je m’éloigne du Septentrion, que je franchisse des étendues d’eau (2 fois, à priori), et que je me grouille !

En clair, je file au sud ; je m’éloigne du nord et je suis au plus près un méridien, « ne t’attarde pas » étant à comprendre comme « ne perds pas une minute ». Le même sens, en définitive que dans la 420, où nous devions nous « hâter », selon le même principe, mais sur l’axe inverse. Quant au reste, puisqu’il m’est conseillé de ne pas le demander…

Il m’est adjoint pour cette escapade un divin camarade, plutôt aquatique comme engeance, mais très fréquentable tout de même ; Neptune… Où sont mes palmes et mon tuba, nom de Zeus !

Confrontés, pauvres chasseurs abreuvés de madits que nous sommes, à l’unicité de l’Ouverture, il peut sembler vain de regarder au sud pour trouver le passage, Bourges se relevant au quart sud-est et pourtant… Mais n’anticipons pas (j’aime bien l’expression).

Je vise le Pertuis Breton (de pertus : trou, ouverture), qui me révèle, vu d’où je suis, Ré la Blanche, ou Râ, donc lumière solaire et divinité associée. Seulement voilà, je sais, madits dans la musette, que mon périple devra soigneusement éviter l’île en question, puisque Cherbourg, ouverture-qui-révèle, et LC ne sont pas alignés! Bon, je n’en peux plus d’attendre (et vous non plus) ; c’est parti !

Après m’être cogné toute la descente du Cotentin, Neptune me file ma première bouée pour traverser la baie du Mont-Saint-Michel, juste à côté du monument (je ramasse un coquillage), et me dépose en Armorique.
Je fais la bise, en passant, à un enchanteur de ma connaissance, et me revoilà à la flotte, aux environs de la baie de l’Aiguillon.
A noter que je suis passé à quelques dizaines de mètres d’un lieu dénommé « l île de la Dive », qui, contrairement à ce que son patronyme pourrait faire penser, n’est pas « une terre entourée d’eau de manière permanente ». Il s’agit du dernier morceau de notre territoire ayant rejoint le continent…

Tiens, voilà Ré. Je ne crains pas de me heurter à l’un des piliers du pont, puisque celui-ci n’existe pas encore (hé hé :Carusburc !), pas plus que je ne risque de me vautrer sur les installations du complexe portuaire de La Rochelle-La Pallice, pour les mêmes raisons.
Je « poursuis ma route et n’interromps pas mon parcours (La Palice, vous suivez ?), je passe pile entre Fort Boyard et l’île d’Aix (je vois Napo partout), et j’échoue à la pointe sud-est de l’île d’Oléron.
Point final des deux secours du mec au trident, moment précis où il m’aide encore, tout en me laissant tomber pour rejoindre ses sirènes…
Juste à ce point s’élève une citadelle construite par Vauban. Comme il est d’ordinaire, l’édifice est en forme… d’étoile.

Bon, c’est pas tout ça, j’ai une nef sur le feu moi.

Quart de tour à gauche. Du cœur de cette étoile, puisque de toute chose dans cette chasse il convient d’en considérer le cœur, et en visant par le point d’origine à Bourges (tiens « zéro »,le voilà mon reste, c’était « simple »), j’aperçois (j’ai une très bonne vue) la basilique de la Madeleine à Vézelay, que je traînais dans mes cartons depuis de laborieux calculs de barycentre en 580.

Vas y, trace !

Comme j’ai une longue règle, et que je ne regarde pas au prix de l’encre, je poursuis ce trait. Je le forlonge (j’ai du vocabulaire aussi) jusqu’à rejoindre la flèche de mon autre pote de l’Olympe.

Zoom avant sur le croisement ; je découvre un bled, Belmont, qui, outre d’être le patelin le plus élevé du Bas-Rhin, comporte sur son territoire un fameux spot d’observation astronomique, au lieu-dit Le Champ du Feu. C’est vrai qu’il valait mieux « se renseigner sur cette petite région », vu que je suis à près de trois bornes de Belmont. Sur le site, une tour éponyme ; c’est pour moi le « là » de la 650.

Si j’étais poète, je dirais que je suis parti d’un astre isolé, et que, par un point d’origine et un chemin de lumière, j’ai rejoins les étoiles… Parvenu à de grandes choses par des voies étroites, en quelque sorte… Nota : Le parcours Oléron-Belmont fait 697km, mais mesuré sur Google Earth, j’y crois moyen).

Quant au pouce, il est fort probable qu’il s’agisse de celui de la main Guidonienne chère à Zarquos. Si celui-ci considérait les extrémités de ce segment de droite, j’ai pour ma part opté pour son milieu, et ça tombe sur Belmont.

Nota (bis) : cette Main de Guido d’Arezzo, est bien née en 600, associée à la clé «naissance-recommencement », et retrouvée ici pour confirmer le tracé.

Cette solution permet de jouer sur « l’unicité » de l’Ouverture, puisque, que ce soit le pertuis Breton ou Bourges, selon bien entendu l’endroit où l’on se place (début ou fin des deux aides), chacun « révèle la Lumière Céleste ».

A propos de l’indication supplémentaire dite « des trois rendez-vous ».
Mettons que la Pointe du Devin sur l’île de Noirmoutier (déplacement sur le 47ème parallèle en 470 + alignement Forbach-Angers) soit le premier rendez-vous. Considérons Ré, et plus précisément le clocher noir et blanc de l’église d’Ars-en-Ré (rot 13 S/F de NA-VI-RE), comme le second, nous découvrons le troisième dans le prolongement exact : la citadelle de Château d’Oléron (CQFD).

La citadelle, qui, à elle seule, est donc le point de convergence de trois traits, l’un venant de Cherbourg, l’autre partant vers Belmont, et le dernier provenant de Noirmoutier via Ré.
L’expression « 3 RDV » peut donc être comprise comme trois rendez-vous distincts, ou comme un rendez-vous triple, d’où le côté équivoque, là aussi, des QR.

Mais pour le coup, avec une construction en forme d’étoile, sur une île surnommée « la lumineuse », je trouve que ce/ces rendez-vous nous offre(nt) bien la clarté annoncée.

Solution standard ou piste crédible ? Mhmm ?


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Re: Neptune et moi. Messagepar scrupulus » 21 sept. 2013 à 11:11
Ben mon colon, ça n’émeut pas les foules. Je vous ai connus plus réactifs !
Je vous refile une synthèse des neuf premières énigmes, au passage je donne une raison d’être à quelques IS, et c’est tout ce que ça vous fasse ? Bande d’ingrats ! Et ne me répondez pas que c'est le w.e. vu le nombre de lectures!

Alors, bon, oui, je sais, c’est du réchauffé, c’est du Roncevaux à la sauce Dabo, avec plein de gros morceaux de 33 partout, mais vous êtes tout de même bien difficiles…

Gardez à l’esprit les mots du patron concernant l’avancement des chercheurs : «s’ils mettaient leurs connaissances en commun…», «quelques jours», «deux heures», «en un clin d’œil».Il semble indispensable de faire entrer dans le cadre, et ce, en grande partie, les résultats énoncés depuis des lustres dans les salons. Je ne suis pas branché nouvelle cuisine ; je préfère les ragoûts bien roboratifs, bien traditionnels.

Vous savez, j’aurais aimé vous présenter des solutions carrées, avec du bon béton autour…Des trucs qui auraient eu de la gueule, avec une spirale parisienne, l’arc-en-ciel des généraux, une mesure à géométrie variable basée sur les formats papier ; toutes ces choses qui nous ont séduit d’emblée lorsque nous les avons lues (enfin moi en tout cas)…

Mais je n’ai jamais rien obtenu avec ces ingrédients, pourtant de premier choix… Je n’ai pas le talent d’un grand chef de cuisine.
En revanche, je me dis que dans l’art d’accommoder les restes, j’aurai peut-être l’occasion de régaler les plus affamés… Lorsque je vois des chercheurs, et pas des moins talentueux, s’user les dents depuis plus de vingt ans sur le morceau, je me dis qu’il y a aussi de la place pour les marmitons.

Et puis, mine de rien, mon cheminement m’a mené jusqu’à des résultats plausibles (ah ben oui, c’est très subjectif), et comme des milliers de pèlerins avant moi, je suis parti me promener au bout de mes illusions ; c’est pas plus con que de jouer au loto.

Quoique, la première fois que j’ai fait prendre l’air à ma pelle US, j’aurais mieux fait de jouer ma date de naissance, comme tout le monde, vu la pauvreté de ma ss (on peut pas faire plus light ; j’en avais pas…). Mais j’avais passé un bon week-end quand même, en touriste de la Chouette.

Mais j’ai l’insolence d’y croire encore, et je ne cesse de chercher, au fin fond de mes pots, le condiment oublié qui relèvera le plat.

Bon appétit ! :chef:
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Re: Neptune et moi. Messagepar BlackTiger » 23 sept. 2013 à 10:18
Bonjour scrupulus, et merci pour cet exposé détaillé.

Le cheminement est logique et met en cohérence plusieurs éléments susceptibles de se trouver dans la chasse. Une question me taraude cependant: au départ de Cherbourg, qu'est-ce qui dicte l'orientation de ton trait pour partir dans cette direction précise ? L'étymologie de pertuis ne saurait suffire (surtout que le Pertuis Breton n'est pas le seul pertuis français, et que son étendue est bien trop large pour définir une visée), et sinon j'ai l'impression que c'est un peu une recherche de direction au pifomètre dans l'espoir de tomber sur quelque chose d'intéressant (ce qui est d'ailleurs le cas au final).
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Re: Neptune et moi. Messagepar saidparis » 23 sept. 2013 à 10:52
Si ca peux t'aider, Max révèle à un chercheur, que:
-Neptune est encore en train de nous aider lorsque l'on aperçoit la Nef..
La deuxième étendue d'eau n'est alors pas entièrement franchie.. AMHA!

Tu trouvera aisément le Madit.

:alatienne:
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Re: Neptune et moi. Messagepar Bioposis » 23 sept. 2013 à 11:24
Bonjour

Je pense que le problème de la 560 est que nous prenons les 3 paragraphes comme "chronologiques" entre eux....

Il me semble qu'une autre interprétation serait que le 1er paragraphe nous dit ce qu'il faut faire après les 2 et 3ème paragraphes.....

Cela ouvrirait une belle perspective quant à "Ne t'attarde pas, ne demande pas ton reste,
Mais apprête-toi à marcher sur les eaux." qui serait une indication (la clé ?) vis-à-vis de la 650 où c'est là que nous marcherions vraiment sur les eaux !

A plus

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Re: Neptune et moi. Messagepar saidparis » 23 sept. 2013 à 11:30
Un chercheur demande si il faudra demander son "reste" plus tard, question à l'laquelle Max répond que c'est vraiment une excellente question..
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Re: Neptune et moi. Messagepar scrupulus » 23 sept. 2013 à 11:32
Ave Tigre!

Chic! Une réaction!

Disons que j'ai mis ensemble quelques éléments, quelques planches latérales, qui ont progressivement "canalisé" le chemin...

- Dos à l'Angleterre et s'éloignant du nord, à mon sens, élimine déjà la moitié des possibilités.
- Le Pertuis Breton et l'Ile de Ré me fournissent la vue (pas une visée), et la lumière venant du ciel. L'un
existe par la présence de l'autre; on peut dire que l'ouverture fait la même taille que la lumière.
Voilà que je viens d'éliminer un troisième quadrant des routes envisageables.

Parvenu à ce stade de cogitation effrénée, j'avoue que les madits stipulant que la lumiére céleste nétait pas alignée avec les coups de main de Neptune m'ont bien aidé; il fallait passer à côté de Ré! Les possibilités s'amenuisaient encore...

- La phrase "Poursuis ta route, n'interromps pas ton parcours", associée au toponyme de "La Pallice", sur la
côte toute proche, m'a irrésistiblement fait penser à "La Palice" (ou "La Palisse"); il ne restait plus alors que
quelques millimètres de passage...

Comme j'ai toujours pressenti que ces satanés secours de Neptune se devaient de nous déposer sur le sec
(sinon, nous serions toujours en péril), ben, j'ai cherché à rejoindre la terre ferme, l'extrémité d'une terre ferme, vu les madits ("il cesse de vous aider", "son aide allait cesser","juste au moment où...").
Quand j'ai vu la citadelle de Château d'Oléron, j'ai emmerdé ma femme toute la soirée avec ça..!
Quand j'ai vu qu'en partant du coeur de cette étoile, et en passant par mon "point zéro", je traçais pile sur la basilique de Vézelay, j'ai frôlé le divorce...

Tu vois le cheminement? Que des trucs que tout le monde a dans ses dossiers.
Du basique, du pas compliqué, du moi quoi...
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Re: Neptune et moi. Messagepar scrupulus » 23 sept. 2013 à 11:34
Ah, j'avais pas vu; 'y a du monde derrière... Je digère avant de répondre.
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Re: Neptune et moi. Messagepar scrupulus » 23 sept. 2013 à 11:59
@Saïd

Les madits sont tordus à souhait, comme des petits bretzels croustillants... :chef:

J'en avais pour ma part retenu l'idée générale d'une concomitance parfaite entre la fin des aides et la fin de notre parcours. "Il allait de toute façons cesser de vous aider"(en substance; j'ai la flemme).

Il existe, avant (dans le temps) le madit "excellente question" que tu rappelles, un autre verset des QR, dans lequel un autre gus lui pose la même question, ou preque. La réponse est similaire, ou presque, mais beaucoup moins enthousiaste... (celui-là, il faut que je remette la main dessus, parce qu'on va me le demander...).

Si tu as perdu du temps à suivre mes raisonnements, tu auras sans doute compris que je consière le reste comme = reste simple = point zéro (c'est une AOC à bibi).

@ Bio

Whaou, et tu travailles sans filet?

Déjà que j'ai un mal de chien à prendre ce foutoir dans un sens, tu voudrais en plus que je permute les paragraphes? T'as pas de coeur, tiens!
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Re: Neptune et moi. Messagepar Bioposis » 23 sept. 2013 à 13:04
scrupulus a écrit :@ Bio

Whaou, et tu travailles sans filet?

Déjà que j'ai un mal de chien à prendre ce foutoir dans un sens, tu voudrais en plus que je permute les paragraphes? T'as pas de coeur, tiens!



Ouaip.

Mais encore plus fort, c'est que pour moi "A Carusburc" est un parallèle à "A RONCEVAUX" et "A CARIGNAN", les aides de Neptune est un parallèle à "la direction de la 780" et à l'orthogonale), l'ouverture (en 560) est un parallèle à.....ben l'ouverture (mais l'énigme OUVERTURE, qui est bien le lieu où l'on démarre le jeu).

Voili, voilà..... :bravo:

Des preuves ? Aucune pour le moment tant que je n'aurai pas réussi à faire le parallèle avec 530/780/470 dont je n'ai pas les soluces, malheureusement.... :oops:

A plus

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Re: Neptune et moi. Messagepar scrupulus » 23 sept. 2013 à 13:17
@Bio
Je ne saurais te donner tort, moi qui considère que la chasse "tourne sur elle-même".
(ce que certains chercheurs appellent un 2ème niveau, bien que je penche plutôt pour une "rediffusion")

@Saidparis
J'ai retrouvé le madit "reste", beaucoup moins enflammé que celui de Farlen:

QUESTION No 43 DU 1998-03-28
--------------------------------------------------------------------------------
TITRE: MARQUIS
BJR MAX Dans le 1er paragraphe de 560 je ne dois pas demander mon reste . Mais puis je demander celui ci par la suite? AMITIES MARQUIS
--------------------------------------------------------------------------------
J'AI PEUR DE VOUS INDUIRE EN ERREUR, MAIS JE SUIS QUAND MEME OBLIGE DE VOUS REPONDRE "OUI". AMITIES -- MAX


NB, le madit enthousiaste (Farlen) est daté du 21 setembre 99, soit 18 mois plus tard...
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Tequila
Re: Neptune et moi. Messagepar Tequila » 23 sept. 2013 à 14:16
Mon cheminement n'étant pas géographique (bien que géographisable), ces deux madits me conviennent bien.

Au bout du parcours, on trouve une destination dans laquelle est mentionnée la nef. C'est une affaire de mots et de lettres dans les mots.

Une fois la nef trouvée dans la destination, on garde les autres lettres... ce qui reste.
On ajoute un petit coup de pouce, et on se trouve à l'endroit "dos au ponant".

Ces deux madits sont très intéressants.
:alatienne:
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Re: Neptune et moi. Messagepar scrupulus » 23 sept. 2013 à 14:48
Oh moi, depuis que je me suis fait étriller avec mon ortho et ma saqc dans le texte, je file doux...
Je me contente de les lire, et je mate les visuels...

Vous savez quoi mes biquets? Vous devriez tous exposer clairement votre 560, et on ferait le tri...
Comment ça j'ai dit une grossièreté?!
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Re: Neptune et moi. Messagepar Bioposis » 23 sept. 2013 à 14:58
Tequila a écrit :Mon cheminement n'étant pas géographique (bien que géographisable), ces deux madits me conviennent bien.

Au bout du parcours, on trouve une destination dans laquelle est mentionnée la nef. C'est une affaire de mots et de lettres dans les mots.

Une fois la nef trouvée dans la destination, on garde les autres lettres... ce qui reste.
On ajoute un petit coup de pouce, et on se trouve à l'endroit "dos au ponant".

Ces deux madits sont très intéressants.
:alatienne:


Bonjour Tequila

Je crois que la vraie solution est de cette nature....même si in fine, la solution peut être confirmée de manière "géographique"...du style un cheminement dans la lumière et un autre dans son ombre.

Car par exemple pour "destination"....bien-sûr tout le monde pense à "lieu ou va une personne, un objet"....mais la plus grande partie des définitions de "destination" c'est quand même "le rôle d'une chose ou d'une personne"....."tendre vers"....

Un peu identique pour "direction"....."l'orientation" d'un processus (ça rappelle notre "inclinaison" de trait, avec ce terme également à plusieurs sens, mais me rappelle "s'inspire" ou "être enclin à"....).

Quel foutoir !
A plus

Alain
Modifié en dernier par Bioposis le 23 sept. 2013 à 15:32, modifié 1 fois.
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Re: Neptune et moi. Messagepar leclosdomremy » 23 sept. 2013 à 15:29
Au bout du parcours, on trouve une destination dans laquelle est mentionnée la nef. C'est une affaire de mots et de lettres dans les mots.

Une fois la nef trouvée dans la destination, on garde les autres lettres... ce qui reste.
On ajoute un petit coup de pouce, et on se trouve à l'endroit "dos au ponant".


Salut Tequila:
Pourrais-tu expliciter tes dires par un exemple concret?
Merci
Te
Tequila
Re: Neptune et moi. Messagepar Tequila » 23 sept. 2013 à 16:04
Un exemple.

Au bout du parcours, tu arrives à SAMPOLO.
Dans Sampolo, tu voies la nef encalminée dans le nom du lieu, le SLOOP.

Restent A et M.
Le texte te fais comprendre ce qu'il faut ajouter (le coup de pouce).
Admettons que ce soit un S.

La destination finale sera MAS.
Surtout si, sur ton parcours, tu as déjà rencontré ces lettres sous la forme MAS et SAM dans un même autre nom de lieu.

MAS sera le point de départ de la 650.

L'ambiguité réside dans la définition de la nef.
C'est un vrai bateau. Dans une vraie ville.
On peut visiter la ville. On sera d'une certaine façon dans le bateau...
Mais le bateau est virtuel...

Où se situe la malice ?

Mes excuses à scrupulus pour la "dérive"
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Re: Neptune et moi. Messagepar scrupulus » 23 sept. 2013 à 16:12
Mais je t'en prie ma petite liqueur de cactus; fais comme chez toi...
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Et le trésor que l'on espère
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