Du peu que je sais, la 560 reste une énigme comme les autres. Ainsi, si je ne disconviens pas que, in fine, la 560 se traduira par deux traits sur la 989, je reste persuadé que le nerf de la guerre de la 560 ne se situe pas là.
D'ailleurs, si Max est aussi bavard sur la question, c'est bien parce que le sujet est secondaire à l'instar de l'alignement de la 470.
Ensuite, qu'il y ait des petits trucs pour fixer un cap relativement précis à nos tracés... Pourquoi pas ?
Pour que cela soit convainquant, il faudra néanmoins que cela s'intègre dans une solution qui, AMHA, fonctionnera différemment.
Toutefois, je te félicite. Tu es le premier, à ma connaissance, à tirer un enseignement du choix de Carusburc pour représenter Cherbourg qui, encore une fois, est un faux amis car ce n'est pas du latin.
Quand on conseille de s'intéresser à ce terme, on te sort une ribambelle de madits à 2 euros 50 qui, pourtant, confirment que si Carusburc est incontestablement Cherbourg, Max maitrisait parfaitement les étymologies des différents noms de cette ville.
@+
560 : PRECISION
- DINIS
- Dryade
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Le problème vient à mon avis de croire que le chemin est facile par rapport à la destination.
Vous pensez sérieusement qu'il suffit de tirer un trait vers le sud et hop, de continuer avec un autre trait vers la nef?
La longueur de l'énigme devrait déjà vous mettre la puce à l'oreille quant à la difficulté du chemin...
Il y a à mon avis, beaucoup de paramètres à prendre en compte.
Ce n'est pas parce qu'on nous demande de tirer un trait, que pour arriver à le faire, il ne faut pas déjà avoir fait plusieurs tracés pour tout mettre en place.
C'est un peu comme la 420, GJ, boum, j'tire une flèche et c'est bon! Par exemple, le fait de prêter un arc à Apollon n'est déjà pas anodin. Qui vous dit qu'Apollon est à GJ? Il faut peut-être aller ailleurs pour que de GJ, il puisse compter. Ce n'est qu'un exemple...
DINIS.
Vous pensez sérieusement qu'il suffit de tirer un trait vers le sud et hop, de continuer avec un autre trait vers la nef?
La longueur de l'énigme devrait déjà vous mettre la puce à l'oreille quant à la difficulté du chemin...
Il y a à mon avis, beaucoup de paramètres à prendre en compte.
Ce n'est pas parce qu'on nous demande de tirer un trait, que pour arriver à le faire, il ne faut pas déjà avoir fait plusieurs tracés pour tout mettre en place.
C'est un peu comme la 420, GJ, boum, j'tire une flèche et c'est bon! Par exemple, le fait de prêter un arc à Apollon n'est déjà pas anodin. Qui vous dit qu'Apollon est à GJ? Il faut peut-être aller ailleurs pour que de GJ, il puisse compter. Ce n'est qu'un exemple...
DINIS.
- Hobby
- Hulotte
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Ghostler a écrit :... pour savoir où son les "neurones"... et actuellement et parmi les actifs , cela ce compte sur une main.
...
... j'en ai chié pour arrivé à ce stade de réflexion....
- vifsorbier
- Lapone
- Messages : 1187
- Enregistré le : 14.01.2012
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Hobby a écrit :
:)
- tanacl
- Hulotte
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Il y a plusieurs traits dans cette énigme, le "alors tire un trait" n'arrivant qu'à la fin. C'est la conclusion de l'énigme, la Nef a été trouvée. Et c'est après le long parcours maritime (et complexe) qu'on trace un trait, entre l'Ouverture et la Nef.
Et ce n'est qu'à ce moment-là, en fonction du résultat obtenu, qu'on peut conclure à l'idée de prolonger ce trait : si par exemple on trouve un autre point déjà connu dans le prolongement. Mais ce n'est qu'une idée.
Le trait tracé par le crayon n'est pas le trait à ne pas regretter. Donc le trait du crayon répond à la méthode permettant de définir le parcours vers la Nef.
Tout cela pour remarquer que le visuel contient trois traits, et non un : le trait du crayon proprement dit, et les deux traits formés par la limite entre la mer et la terre.
AM(H)A tanacl
Et ce n'est qu'à ce moment-là, en fonction du résultat obtenu, qu'on peut conclure à l'idée de prolonger ce trait : si par exemple on trouve un autre point déjà connu dans le prolongement. Mais ce n'est qu'une idée.
Le trait tracé par le crayon n'est pas le trait à ne pas regretter. Donc le trait du crayon répond à la méthode permettant de définir le parcours vers la Nef.
Tout cela pour remarquer que le visuel contient trois traits, et non un : le trait du crayon proprement dit, et les deux traits formés par la limite entre la mer et la terre.
AM(H)A tanacl
- chevechercher
- Hulotte
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Je me suis déjà posé une question, mais sans trop approfondir parce que je n'en suis pas encore à cette énigme : et si le piège de l'énigme était que le titre et ses "voies étroites" s'applique au trait à ne pas regretter plutôt qu'aux aides de Neptune (comme tout le monde semble le penser) ? Dans ce cas, le "sans dévier d'un pouce" se justifierait pleinement, car si on dévie on rate le passage étroit et on ne comprend pas le titre.
« Une destination n'est jamais un lieu, mais une nouvelle façon de voir les choses » — Henry Miller
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