Les deux serpents (dressés) de la SS

Discussions au fil de l'eau sur la S.S. (soyons fous !)
Don Luis
Hulotte
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Avant de fermer mon grand bec, comme semblent le souhaiter certains :prosterne: :vner: :laferme: , je vais essayer de vous expliquer pourquoi je suis convaincu d'être à deux doigts de la solution finale.

J'ai donc collecté deux (tout est double dans la chouette) séries de lettres (reliquats) en me laissant guider par les deux thèmes que je vous ai rabachés :
- le thème du jeu de dames (damier de 64 puis 100 cases)
- le thème du miroir (symétrie).
A chaque étape, la "trame alphanumérique" m'apportait une confirmation.

Mon idée était de disposer chacune des deux séries sur une portée réduite à trois interlignes (LA RE DO), que j'aurais transformée en transcription braille en plaçant des barres de mesure toutes les deux lettres (chaqua caractère braille est un rectangle debout de 2 x 3 positions, percées ou non par le poinçon, selon un système binaire).

Le nombre de reliquats devait donc être un multiple de 6, et je m'attendais à ce que la valeur totale de ces lettres (pour A = 0, hypothèse de départ) corresponde (je n'ai pas dit "soit égale") aux "Mon tout" arithmétique des deux charades, soit 2593 et 3371 (trouvés aussi avec A=0).

Or, j'ai bien collecté deux séries comptant le même nombre de reliquats, lequel était bien un multiple de 6 - mais il y avait un hic, que je n'avais pas du tout prévu (et on ne peut donc pas dire que je me suis livré à du "triturage" pour arriver coûte que coûte à un résultat décidé d'avance):

- L'une des séries donnait un total inférieur de 33 au total escompté
- L'autre série donnait un résultat inférieur de 88.

Et puis, la lumière s'est faite ! Ce qu'il me manquait, c'était la "clé" au début de chaque portée. Cette clé devait donc avoir 6 lettres (soit une "mesure" supplémentaire) et donner respectivement un total de 33 et de 88.

La clé 88 était toute trouvée : c'était YVOIRE (6 lettres = 88). Pour 33, j'ai d'abord pensé à LA CLEF (6 lettres = 33), avant de trouver mieux (je crois). La clé du visuel de la 500 représente deux serpents dressés se faisant face. Le premier correspond à Yvoire (vivarium exposant des serpents, aujourd'hui fermé). Et l'autre serpent correspond à la clé 33...

Les deux thèmes de ma SS correspondaient à deux dates :
- jeu de dames = 1723 (passage du damier de 64 cases au damier de 100 cases)
- miroir = 1665 (création de la manufacture des Gobelins).

Dans la 520, il est question d'un jeu, d'une partie et d'une Dame (premier thème), et la séquence des E s'ordonne symétriquement (deuxième thème).

J'introduis deux intervalles dans la séquence des E :

10 5 5 // 10 9 // 5 5 9
Soit 1055 + 109 + 559 = 1723

(Les trois chiffres correspondent à trois lieux qui me permettent de situer la zone) (de toute beauté).

Et il y a 58 E (différence entre 1723 et 1665).

Or, 1723 + 1665 = 3388
Soit la justaposition de 33 et 88 !

(3388 fonctionne aussi, sans le moindre forçage et de façon jubilatoire, avec les totaux des deux séries de reliquats, mais je ne dirai pas comment).

Et puis, bien sûr, 33, c'est la mesure (mais si !!!), et 88 est un chiffre récurrent, que j'ai notamment mis en évidence dans la trame alphanumérique de la phrase de la 600. Et NEPTUNE = ETERNITE = 88.

Voilà ! Il me reste à comprendre comment combiner les deux portées (je pense à un système où les clés servent de "détrompeurs"). Et je m'attends à une ultime étape, de type Vigenère.

Alors, peut-être, les ténèbres du braille resplendiront, et Proserpine nous livrera sa proie !

DL :respect:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
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kerzer
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Messagepar kerzer » 27 oct. 2008 à 10:47
Tout cela est très ingénieux et la démarche me plaît bien.

Mais plusieurs points me laissent dubitatif
entre autres :


1/ L'historique du passage au damier 100 cases


"V - PERIODE MODERNE ET JEU INTERNATIONAL
Vers la fin du XVIIème siècle, des amateurs - très probablement hollandais - prennent l'initiative d'agrandir le damier jusqu'à cent cases, de porter les effectifs à vingt pions dans chaque camp et d'autoriser ceux-ci à prendre en arrière, les dames retrouvant la faculté de jouer et de prendre à distance (règle d'origine arabe).
C'est une véritable révolution ! Dès lors, les ressources du jeu et la richesse de ses combinaisons deviennent inépuisables. Le jeu de dames "universel'' est né et gagne en influence sur tous les autres, que l'on peut désormais qualifier de "folkloriques".
Soit dit en passant, cette mutation ne date pas de 1723 et ne doit pas être attribué à un Polonais qui fréquentait le Palais royal, comme l'a cru Manoury. Elle est sensiblement antérieure et, jusqu'à plus ample informé, sa paternité revient aux Hollandais. Le nom de "dames à la Polonaise" est donc un terme impropre.
"

Georges Post
1980
Le Damier Lyonnais





"Introduction de la prise arrière et du damier de 100 cases : 16ème siècle
Deux innovations apparurent plus au nord, en Hollande. La première fut l’introduction de la prise arrière pour le pion, la seconde l’utilisation d’un damier de 100 cases. Le nouveau jeu reçut le qualificatif, en Hollande de « Polish », ce qui signifie curieux, étrange. Un siècle plus tard, entre 1670 et 1690, ce jeu arriva en France. Ce nom inspira le joueur parisien Manoury, auteur de 2 livres sur le jeu de dames (1770 et 1787) qui en écrivit une romantique légende sur l’origine du jeu. Ce genre de légende privilégie souvent une invention locale, et Manoury enseigna à ses lecteurs que le jeu avait été inventé à Paris vers 1725, et qu’un officier français en était à l’origine. Un second joueur, d’origine polonaise, contribua également à définir ce jeu si bien que, magnanime, l’officier proposa d’appeler ce jeu « dames à la polonaise ». Pure vérité historique assure Manoury, comme le ferait l’auteur d’une nouvelle historique basant son histoire sur des faits agrémentés d’histoires et de personnages inventés, ou comme un romancier tirant son histoire de mystérieux documents auxquels il aurait eu accès.
"
(traduit d'un texte de Arie Van der Stoep)


"Des dames "à la françoise" aux dames "à la polonoise"
Comment et quand est-on passé du damier à 64 cases au damier à 100 cases - longtemps nommé "dames à la polonaise" - et aux règles actuelles ?
Malgré son jeune âge, la naissance du nouveau jeu est loin d’être claire.
Le premier à s’être penché sur les origines du jeu "international" est Charles-Marie de La CONDAMINE, savant et académicien, dans un article paru en juillet 1770 dans le Mercure de France.
Cette petite enquête avait permis de lever un doute : malgré son nom, le nouveau jeu à 100 cases n’était pas né en Pologne puisque, là-bas, on le nommait... jeu "à la française".
En outre, dans un Essai sur le jeu de dames à la polonoise, paru en 1770, un cafetier nommé MANOURY, affirmait, comme La CONDAMINE, que le jeu était arrivé à Paris vers 1725-1730.
Une date rendue plausible par le traité consacré à l’ancien jeu, L’égide de Pallas, ou Théorie et pratique du jeu de dames, publié en 1727 par un certain "Don DIEGO, cavallero del Quercetano".
MANOURY publia en 1787 une nouvelle édition de son livre, intitulée Le jeu de dames à la polonoise ou Traité historique de ce jeu, sa marche, ses règles, leur explication...
Il y explique que le nouveau jeu avait été inventé sous la Régence, donc entre 1715 et 1723, par un "étranger qu’on appelait dans le palais le Polonais, soit qu’il fût effectivement de Pologne, soit que la façon de se mettre lui eût fait donner ce titre, sous lequel seul il était connu".
Mais deux découvertes viennent perturber ces explications un peu trop faciles. Celle, d’abord, d’un damier à 100 cases daté 1696, conservé dans un musée à Hoorn aux Pays-Bas, puis d’un autre damier semblable, portant la date 1710.
Enfin, le coup de grâce semble asséné par le dictionnaire français-néerlandais de Pierre MARIN, Dictionnaire françois & hollandois (Amsterdam, 1710), qui donne l’expression "damer à la polonoise".
Certains en déduisent que le jeu international serait né aux Pays-Bas, avant la fin du XVIIe siècle. Ses règles viendraient du jeu espagnol - la dame "longue" - et de quelques aménagements supplémentaires.
Mais il est certain que c’est en France que le nouveau jeu a trouvé son terrain d’élection au point d’y évincer rapidement l’ancien jeu.
Celui-ci semble avoir été définitivement abandonné dès les années 1770-1780. Joseph MERY, dans son Arbitre des jeux (1847), le confirme dans les brèves lignes allouées à l’ancien jeu français : "cette manière de jouer aux dames est beaucoup moins agréable que la précédente : aussi ne le joue-t-on plus depuis^plus de soixante ans...", soit vers 1785.
Le XIXe siècle est alors l’âge d’or du jeu de dames "à la polonaise" en France. Les joueurs français sont les plus suivis, de nouveaux traités paraissent.
Les cercles de damistes se multiplient et, en 1909, naît une Fédération des Damistes Français, ancêtre de l’actuelle Fédération Française de Jeu de Dames, fondée en mai 1937.
En 1947, Hollandais et Français jetent les bases d’une Fédération Mondiale du Jeu de Dames (FMJD) qui promeut le jeu à 100 cases.
Ce dernier, aujourd’hui qualifié d’international, est pratiqué en France, en Belgique, aux Pays-Bas, dans les pays africains francophones, en Russie et dans les anciennes républiques de l’ex-URSS, ainsi qu’au Brésil, mais il reste inconnu des pays anglo-saxons et hispanophones.
Quant à l’Asie orientale, elle ignore tout des dames. Internationales
"

Fédération Française de Jeu de Dames


Si on trouve effectivement sur certaines sources la date de 1723, il me semble que, dans l'hypothèse d'une solution telle que tu la proposes, c'est-à-dire extrêmement précise dans sa construction de la part de Max, ce dernier n'aurait pas utilisé une date sujette à controverse et pour le moins incertaine.


2/ Dans l'affirmation ci-dessous:
J'introduis deux intervalles dans la séquence des E :

y a t-il un (des) élément(s) dans le jeu qui t'amène(nt) à cette "introduction" et précisément à ces 2 endroits, en dehors du fait qu'ainsi cela te permet de retrouver une somme chiffrée qui est une confirmation d'une date utilisée précédemment ?
Ou alors c'est que tu as déjà rencontré dans le cours du jeu les nombres ainsi mis en exergue ?
Don Luis
Hulotte
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Messagepar Don Luis » 27 oct. 2008 à 11:02
kerzer a écrit :Tout cela est très ingénieux et la démarche me plaît bien.

Mais plusieurs points me laissent dubitatif
entre autres :


1/ L'historique du passage au damier 100 cases


"V - PERIODE MODERNE ET JEU INTERNATIONAL
Vers la fin du XVIIème siècle, des amateurs - très probablement hollandais - prennent l'initiative d'agrandir le damier jusqu'à cent cases, de porter les effectifs à vingt pions dans chaque camp et d'autoriser ceux-ci à prendre en arrière, les dames retrouvant la faculté de jouer et de prendre à distance (règle d'origine arabe).
C'est une véritable révolution ! Dès lors, les ressources du jeu et la richesse de ses combinaisons deviennent inépuisables. Le jeu de dames "universel'' est né et gagne en influence sur tous les autres, que l'on peut désormais qualifier de "folkloriques".
Soit dit en passant, cette mutation ne date pas de 1723 et ne doit pas être attribué à un Polonais qui fréquentait le Palais royal, comme l'a cru Manoury. Elle est sensiblement antérieure et, jusqu'à plus ample informé, sa paternité revient aux Hollandais. Le nom de "dames à la Polonaise" est donc un terme impropre.
"

Georges Post
1980
Le Damier Lyonnais





"Introduction de la prise arrière et du damier de 100 cases : 16ème siècle
Deux innovations apparurent plus au nord, en Hollande. La première fut l’introduction de la prise arrière pour le pion, la seconde l’utilisation d’un damier de 100 cases. Le nouveau jeu reçut le qualificatif, en Hollande de « Polish », ce qui signifie curieux, étrange. Un siècle plus tard, entre 1670 et 1690, ce jeu arriva en France. Ce nom inspira le joueur parisien Manoury, auteur de 2 livres sur le jeu de dames (1770 et 1787) qui en écrivit une romantique légende sur l’origine du jeu. Ce genre de légende privilégie souvent une invention locale, et Manoury enseigna à ses lecteurs que le jeu avait été inventé à Paris vers 1725, et qu’un officier français en était à l’origine. Un second joueur, d’origine polonaise, contribua également à définir ce jeu si bien que, magnanime, l’officier proposa d’appeler ce jeu « dames à la polonaise ». Pure vérité historique assure Manoury, comme le ferait l’auteur d’une nouvelle historique basant son histoire sur des faits agrémentés d’histoires et de personnages inventés, ou comme un romancier tirant son histoire de mystérieux documents auxquels il aurait eu accès.
"
(traduit d'un texte de Arie Van der Stoep)


"Des dames "à la françoise" aux dames "à la polonoise"
Comment et quand est-on passé du damier à 64 cases au damier à 100 cases - longtemps nommé "dames à la polonaise" - et aux règles actuelles ?
Malgré son jeune âge, la naissance du nouveau jeu est loin d’être claire.
Le premier à s’être penché sur les origines du jeu "international" est Charles-Marie de La CONDAMINE, savant et académicien, dans un article paru en juillet 1770 dans le Mercure de France.
Cette petite enquête avait permis de lever un doute : malgré son nom, le nouveau jeu à 100 cases n’était pas né en Pologne puisque, là-bas, on le nommait... jeu "à la française".
En outre, dans un Essai sur le jeu de dames à la polonoise, paru en 1770, un cafetier nommé MANOURY, affirmait, comme La CONDAMINE, que le jeu était arrivé à Paris vers 1725-1730.
Une date rendue plausible par le traité consacré à l’ancien jeu, L’égide de Pallas, ou Théorie et pratique du jeu de dames, publié en 1727 par un certain "Don DIEGO, cavallero del Quercetano".
MANOURY publia en 1787 une nouvelle édition de son livre, intitulée Le jeu de dames à la polonoise ou Traité historique de ce jeu, sa marche, ses règles, leur explication...
Il y explique que le nouveau jeu avait été inventé sous la Régence, donc entre 1715 et 1723, par un "étranger qu’on appelait dans le palais le Polonais, soit qu’il fût effectivement de Pologne, soit que la façon de se mettre lui eût fait donner ce titre, sous lequel seul il était connu".
Mais deux découvertes viennent perturber ces explications un peu trop faciles. Celle, d’abord, d’un damier à 100 cases daté 1696, conservé dans un musée à Hoorn aux Pays-Bas, puis d’un autre damier semblable, portant la date 1710.
Enfin, le coup de grâce semble asséné par le dictionnaire français-néerlandais de Pierre MARIN, Dictionnaire françois & hollandois (Amsterdam, 1710), qui donne l’expression "damer à la polonoise".
Certains en déduisent que le jeu international serait né aux Pays-Bas, avant la fin du XVIIe siècle. Ses règles viendraient du jeu espagnol - la dame "longue" - et de quelques aménagements supplémentaires.
Mais il est certain que c’est en France que le nouveau jeu a trouvé son terrain d’élection au point d’y évincer rapidement l’ancien jeu.
Celui-ci semble avoir été définitivement abandonné dès les années 1770-1780. Joseph MERY, dans son Arbitre des jeux (1847), le confirme dans les brèves lignes allouées à l’ancien jeu français : "cette manière de jouer aux dames est beaucoup moins agréable que la précédente : aussi ne le joue-t-on plus depuis^plus de soixante ans...", soit vers 1785.
Le XIXe siècle est alors l’âge d’or du jeu de dames "à la polonaise" en France. Les joueurs français sont les plus suivis, de nouveaux traités paraissent.
Les cercles de damistes se multiplient et, en 1909, naît une Fédération des Damistes Français, ancêtre de l’actuelle Fédération Française de Jeu de Dames, fondée en mai 1937.
En 1947, Hollandais et Français jetent les bases d’une Fédération Mondiale du Jeu de Dames (FMJD) qui promeut le jeu à 100 cases.
Ce dernier, aujourd’hui qualifié d’international, est pratiqué en France, en Belgique, aux Pays-Bas, dans les pays africains francophones, en Russie et dans les anciennes républiques de l’ex-URSS, ainsi qu’au Brésil, mais il reste inconnu des pays anglo-saxons et hispanophones.
Quant à l’Asie orientale, elle ignore tout des dames. Internationales
"

Fédération Française de Jeu de Dames


Si on trouve effectivement sur certaines sources la date de 1723, il me semble que, dans l'hypothèse d'une solution telle que tu la proposes, c'est-à-dire extrêmement précise dans sa construction de la part de Max, ce dernier n'aurait pas utilisé une date sujette à controverse et pour le moins incertaine.


2/ Dans l'affirmation ci-dessous:
J'introduis deux intervalles dans la séquence des E :

y a t-il un (des) élément(s) dans le jeu qui t'amène(nt) à cette "introduction" et précisément à ces 2 endroits, en dehors du fait qu'ainsi cela te permet de retrouver une somme chiffrée qui est une confirmation d'une date utilisée précédemment ?
Ou alors c'est que tu as déjà rencontré dans le cours du jeu les nombres ainsi mis en exergue ?


1 - Pour 1723, je me sers de la date donnée dans le Quid. Tes références sont-elles des outils que chacun a chez soi (dos de couverture du livre) ?

2 - Quand on aligne les nombres de E, on voit tout de suite, en bout de ligne, 5 5 9, qui reprend de toute évidence le chiffre trouvé dans la 420. Si on a un peu creusé la 420, on sait ausi que Waterloo se situe 109 jours après GJ. Reste 1055, qui est en effet plus difficile à interpréter (mais le passage en revue de la 650 donne un gros coup de pouce...).

Donc, bien sûr, il ne s'agissait pas pour moi, dans un premier temps, de trouver 1723 coûte que coûte, mais d'identifier 3 lieux, puis de comprendre comment localiser la cache.

J'ai mis des années, notamment parce que j'interprétais 1055 comme désignant Montpellier-le-Vieux (les initiales MLV donnent 1055 en chiffres romains et l'aiguille de la boussole me semblait pointer ce lieu dans la silhouette du cocher, semblable à celle de l'Aveyron). Mais le résultat auquel je suis parvenu est totalement satisfaisant, et colle avec la SS, de sorte que tes objections n'en sont pas pour moi. Tes objections sont faites "dans l'abstrait", mais moi j'ai du concret !

Je te suggère aussi de comparer le chiffre 1723 avec la date de naissance de Vigenère.

On peut aussi contester 1665, puisque la Manufacture a bien été créée à cette date, mais n'a été installée à Saint-Gobain que plus tard.
La question est de savoir si Max avait avant tout un souci d'exactitude, ou le souci de faire une énigme où tout colle...

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madnita
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Don Luis a écrit :Avant de fermer mon grand bec, comme semblent le souhaiter certains :prosterne: :vner: :laferme: , je vais essayer de vous expliquer pourquoi je suis convaincu d'être à deux doigts de la solution finale.


Ne sois pas aussi susceptible DL ! Ce n'est pas non plus parce que certains te cherchent que tu dois répliquer automatiquement de la manière de ces derniers jours.
Comme l'a si bien dit Kelerm : "Prenez ce nouveau forum comme une occasion de ne pas répéter vos erreurs passées, et d'entretenir de vieilles rancœurs (légitimes ou pas). "

Moi non plus je comprend rien à tes soluces, et des fois je me dis : "qu'est-ce que c'est que ces élucubrations ? zut mais qu'est-ce qu'il lui prend notre DL ?" :langue: Néanmoins, elles me font aussi réfléchir sur la chasse des fois, rigoler souvent c'est vrai ! Mais comme on en parlait dans un post avec Timy, on est tous plus ou moins barjots dans cette chasse ! Alors soyons cools entre bande de fous !
Même si les forums sont fait pour discuter, obligatoirement y'a de la bagarre :escrime: , des fois elle est positive et nous fait avancer, des fois elle est toute simplement nulle, comme celle des derniers jours, a moins que chacun y réflechissent bien, en particulier toi et ton tout dernier détracteur, qui quand il ne te cherche pas, dit des choses pas si bête !

Fais pas ton grognon et bois un coup :ivresse:

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Sinon revenons en a nos moutons, pour le reste du post, je suis tout a fait d'accord sur le theme du miroir, qui pour moi est celui du double, et qui je pense est en rapport étroit avec les reliquats. Maintenant, je ne sais pas encore comment assembler tout ça... Janine vient de proposer "une méthode" dans son post : http://les-sans-hulotte.net/forum/viewtopic.php?t=1260

Et puis evidement 88, que nous retrouvons à travers toute la chasse, nombre palindromique et symetrique :reflexion: , et numero atomique du radium....

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kerzer
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Don Luis a écrit :



La clé 88 était toute trouvée : c'était YVOIRE (6 lettres = 88). Pour 33, j'ai d'abord pensé à LA CLEF (6 lettres = 33), avant de trouver mieux (je crois). La clé du visuel de la 500 représente deux serpents dressés se faisant face. Le premier correspond à Yvoire (vivarium exposant des serpents, aujourd'hui fermé). Et l'autre serpent correspond à la clé 33...





Et puis, bien sûr, 33, c'est la mesure (mais si !!!), et 88 est un chiffre récurrent, que j'ai notamment mis en évidence dans la trame alphanumérique de la phrase de la 600. Et NEPTUNE = ETERNITE = 88.


DL :respect:



Ta clé de sol fait fortement penser à un caducée, symbole de Mercure (dessinant un 8) ou d'Asclépios ("dites 33")
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kerzer
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Messagepar kerzer » 27 oct. 2008 à 11:19
Don Luis a écrit :
1 - Pour 1723, je me sers de la date donnée dans le Quid. Tes références sont-elles des outils que chacun a chez soi (dos de couverture du livre) ?
DL


Je dois reconnaître que non.


Don Luis a écrit :

2 -
Donc, bien sûr, il ne s'agissait pas pour moi, dans un premier temps, de trouver 1723 coûte que coûte, mais d'identifier 3 lieux, puis de comprendre comment localiser la cache.

Tes objections sont faites "dans l'abstrait", mais moi j'ai du concret !
DL


effectivement, de ce point de vue, je n'ai pas tous les éléments pour me faire une idée plus précise...



Bonne continuation sur ta piste ! :alatienne:
Don Luis
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kerzer a écrit :
Don Luis a écrit :



La clé 88 était toute trouvée : c'était YVOIRE (6 lettres = 88). Pour 33, j'ai d'abord pensé à LA CLEF (6 lettres = 33), avant de trouver mieux (je crois). La clé du visuel de la 500 représente deux serpents dressés se faisant face. Le premier correspond à Yvoire (vivarium exposant des serpents, aujourd'hui fermé). Et l'autre serpent correspond à la clé 33...





Et puis, bien sûr, 33, c'est la mesure (mais si !!!), et 88 est un chiffre récurrent, que j'ai notamment mis en évidence dans la trame alphanumérique de la phrase de la 600. Et NEPTUNE = ETERNITE = 88.


DL :respect:



Ta clé de sol fait fortement penser à un caducée, symbole de Mercure (dessinant un 8) ou d'Asclépios ("dites 33")


Ce n'est pas "ma" clé de sol, mais celle que Max a demandé à Becker de représenter (ou qu'il a peut-être dessinée lui-même).

Pour en revenir à 1723 et 1665, la question pour le chercheur est d'essayer de comprendre ces chiffres, et non d'esssayer de les trouver lui-même à partir des thèmes du damier et du miroir. Ce sont des données figurant telles quelles dans les énigmes.

Pour mémoire, on trouve 1665 dans la 600, dès lors qu'alerté par le fait que la somme des m.a. n'est pas un chiffre rond, on pense à soustraire celle de l'iode (1791,9 - 126,9 = 1665).

J'ai montré que la m.a. de l'iode (126,9 soit BCG,J) donnait par intersection de B(ourges) - C(herbourg) et son prolongement au sud et de G(érardmer) - J(arnac) le centre de symétrie du BEC d'Allier (d'où la symétrie des lettres de BEC dans le texte crypté de la 600) sur la "ligne de mire" Cherbourg-Bourges-GJ (BCG,J). Tout cela est cohérent.

DL
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Re: par un matin calme Messagepar Don Luis » 27 oct. 2008 à 11:23
Honcause a écrit :par un matin calme

Don Luis a écrit :Or, 1723 + 1665 = 3388
Soit la justaposition de 33 et 88 !


j' ai des doutes sur tes additions arithmétiques, mais je te souhaite de réussir.

****
onze semblerait jouer un rôle.
En tout hasard, si ceci peut-être utile: :alcoolo:

***3388=11*11*2*2*7 :plane:
multiples=22 44 77..
grilles de 11*11, 22*22

*** la somme des "longueurs d'ondes"= 5610 :plane:
5610=11*510
5610=2*3*5*11*17

2 3 5 11 17 sont les cinq premiers nombres des six "nombres chanceux d' Euler" (41 est le sixième)
:alcoolo: :alcoolo:

**************
Bonne continuation dans tes recherches :cafe:

:champagne: :chef: :alatienne:
Honcause
ps j'espère que je ne me suis pas trompé dans la somme des ondes


Je te rassure, 3388 donne lieu à deux autres additions (ou soustractions) parfaitement orthodoxes.

Et j'en profite pour rappeler que 561 (la moyenne des l.o., soit 5610 : 10) est non seulement un multiple de 33, mais la somme des nombres de 1 à 33.

DL
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Don Luis
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madnita a écrit :
Don Luis a écrit :Avant de fermer mon grand bec, comme semblent le souhaiter certains :prosterne: :vner: :laferme: , je vais essayer de vous expliquer pourquoi je suis convaincu d'être à deux doigts de la solution finale.


Ne sois pas aussi susceptible DL ! Ce n'est pas non plus parce que certains te cherchent que tu dois répliquer automatiquement de la manière de ces derniers jours.
Comme l'a si bien dit Kelerm : "Prenez ce nouveau forum comme une occasion de ne pas répéter vos erreurs passées, et d'entretenir de vieilles rancœurs (légitimes ou pas). "

Moi non plus je comprend rien à tes soluces, et des fois je me dis : "qu'est-ce que c'est que ces élucubrations ? zut mais qu'est-ce qu'il lui prend notre DL ?" :langue: Néanmoins, elles me font aussi réfléchir sur la chasse des fois, rigoler souvent c'est vrai ! Mais comme on en parlait dans un post avec Timy, on est tous plus ou moins barjots dans cette chasse ! Alors soyons cools entre bande de fous !
Même si les forums sont fait pour discuter, obligatoirement y'a de la bagarre :escrime: , des fois elle est positive et nous fait avancer, des fois elle est toute simplement nulle, comme celle des derniers jours, a moins que chacun y réflechissent bien, en particulier toi et ton tout dernier détracteur, qui quand il ne te cherche pas, dit des choses pas si bête !

Fais pas ton grognon et bois un coup :ivresse:

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Sinon revenons en a nos moutons, pour le reste du post, je suis tout a fait d'accord sur le theme du miroir, qui pour moi est celui du double, et qui je pense est en rapport étroit avec les reliquats. Maintenant, je ne sais pas encore comment assembler tout ça... Janine vient de proposer "une méthode" dans son post : http://les-sans-hulotte.net/forum/viewtopic.php?t=1260

Et puis evidement 88, que nous retrouvons à travers toute la chasse, nombre palindromique et symetrique :reflexion: , et numero atomique du radium....

madnita


Je ne suis pas susceptible, mais Kelerm m'a fait comprendre en termes très clairs que j'emmerdais tout le monde.

Pour te répondre quand même, je serais tenté de te renvoyer à un madit, qui est d'ailleurs un madit perso (qui ne m'était pas adressé) - celui dans lequel Max a dit qu'un architecte serait peut-être avantagé de par sa profession, en ajoutant : parce qu'il a l'habitude de prendre en compte un grand nombre de paramètres en même temps (citation non textuelle).

Je crois que c'est Delphinus qui a dit que je sortais toutes sortes de truc de mon grand sac. Mais c'est une fausse impression. Je donne des éléments en vrac, mais j'ai un tout extrêmement construit et cohérent. rien à voir avec la besace de Foxy.

DL
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delphinus
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Don Luis a écrit :Je crois que c'est Delphinus qui a dit que je sortais toutes sortes de truc de mon grand sac. Mais c'est une fausse impression. Je donne des éléments en vrac, mais j'ai un tout extrêmement construit et cohérent. rien à voir avec la besace de Foxy.
DL

même pas vrai ! :non: mais OK pour Foxy :roule:

une critique pour Don Luis (tu en mérites une pour la peine) : trop excité c'est le mot ! tu parts à cent à l'heure sur des trucs bizarres, un exemple je ne crois pas un instant que chercher la date de naissance de Vigénère soit dans le domaine du possible dans ce jeu, de même attribuer 1515 comme altitude..sans avoir une ligne qui y passe déjà dessus, ou encore plus fort, savoir que tel sommet est à telle altitude sans que cela figure sur une 989, ... des trucs comme cela quoi ! mais tu serais certainement utile et irremplaçable dans un groupe de chercheurs (groupe de chercheurs avec déjà de bonnes solutions: très très rare) pour travailler à extraire le jus d'une trouvaille.
:alatienne:
DL : la centifugeuse à énigme :orgue:
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Don Luis
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delphinus a écrit :
Don Luis a écrit :Je crois que c'est Delphinus qui a dit que je sortais toutes sortes de truc de mon grand sac. Mais c'est une fausse impression. Je donne des éléments en vrac, mais j'ai un tout extrêmement construit et cohérent. rien à voir avec la besace de Foxy.
DL

même pas vrai ! :non: mais OK pour Foxy :roule:

une critique pour Don Luis (tu en mérites une pour la peine) : trop excité c'est le mot ! tu parts à cent à l'heure sur des trucs bizarres, un exemple je ne crois pas un instant que chercher la date de naissance de Vigénère soit dans le domaine du possible dans ce jeu, de même attribuer 1515 comme altitude..sans avoir une ligne qui y passe déjà dessus, ou encore plus fort, savoir que tel sommet est à telle altitude sans que cela figure sur une 989, ... des trucs comme cela quoi ! mais tu serais certainement utile et irremplaçable dans un groupe de chercheurs (groupe de chercheurs avec déjà de bonnes solutions: très très rare) pour travailler à extraire le jus d'une trouvaille.
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DL : la centifugeuse à énigme :orgue:


Mince, je t'ai encore pris pour quelqu'un d'autre ! Désolé !

Pour le reste, je crois surtout que tu n'as jamais vraiment pris la peine de me lire.

Je ne pars pas à 100 à l'heure : cela fait 16 ans que j'avance patiemment, avec moult retours en arrière. Mais je ne vais bien sûr pas mettre 16 ans pour présenter une partie de mes conclusions. Faut suivre.

Tu saurais par exemple que je trouve le signal du Luguet (1551, et non pas 1515 m - ça c'est le pic de Marignan :o))) en alignant Albi (boussole de Lapérouse) et Etain (Sn, direction donnée par l'aiguille) et que je constate que 1551 est le produit de 33 et 47, les deux chiffres qui retiennent l'attention de beaucoup de chercheurs dans la 780.

Quant à l'altitude d'un sommet qui n'est pas sur la carte, si c'est 3371 que tu as dans l'idée, sache que le Pico Posets est bel et bien sur la 989, avec mention de l'altitude, et aligné avec Roncevaux et Laredo (et il y a quand même des pics sur le visuel de la 470, à gauche de la garde de l'épée. Et, au fait, Laredo est un lieu ni plus ni moins connu que le Pico Posets, mais il n'est pas interdit de chercher sur la carte ou de se documenter, non ?

Quant à la date de naissance de Vigenère, ce n'est pas bien sorcier de la trouver, et justifié de la chercher quand une solution (600) me fait passer par St-Pourçain, sa ville natale.

Alors bon, tant pis, j'ai cherché tout seul, et je peux continuer si ça barbe tout le monde !

Mais sachez que, quand je propose une solution, je l'ai longuement étudiée, mise en doute et validée au préalable.

DL
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Re: en un calme après-midi Messagepar Don Luis » 27 oct. 2008 à 15:24
Honcause a écrit :
Don Luis a écrit : 561 est la somme des nombres de 1 à 33.


je n' y avais pas songé.
Toujours en tout hasard: on peut alors construire :alcoolo: , à l' intérieur d' un même triangle 33,
deux grilles, l'une avec rangs pairs, l'autre avec rangs impairs. :zzz:

bon après-midi
:champagne: :chef: :alatienne:
Honcause


Euh, qu'est-ce que tu entends par un triangle 33. Comme tu le sais, je ne suis pas un matheux !

Mais, oui, je pense, bien sûr, à une alternance pair/impair.

DL
Don Luis
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Messagepar Don Luis » 29 oct. 2008 à 13:02
Pour revenir un peu sur le passage du damier à 64 cases au damier à 100 cases :

Tout d'abord, les textes que cite Kerzer, il a dû les trouver sur Internet, mais étaient-ils facilement accessibles à un chercheur de 1993 ? Je note d'autre part que le premier texte dit "cette mutation ne date pas de 1723", ce qui confirme au moins que cette date est souvent postulée, puisque l'auteur prend la peine de la contester. Les deux autres citations évoquent une datation "vers 1725" ou "vers 1725-1730" qui, là encore, renvoie approximativement à la même référence.

La seule conclusion qu'on peut en tirer, c'est qu'il n'y a aucune date certaine. Par contre, il y a une date traditionnellement admise (même si elle est fausse), qui est 1723 (citée notamment dans le Quid). Donc, à défaut d'une date scientifiquement établie, Max pouvait utiliser celle de 1723.

Surtout, les chercheurs n'ont pas manqué de remarquer que le texte de la 780 comptait 64 lettres, tout comme la phrase cryptée de la 420 en comptait 100 une fois décryptée.

Or, le visuel de la 780 montre une boussole, dont l'aiguille stylisée, faite de deux triangles, l'un blanc et l'autre noir, n'ont pas manqué d'évoquer un échiquier - mais pourraient aussi évoquer un damier. Ce thème du noir et blanc se retrouve dans plusieurs visuels (lame de l'épée de la 470, clé de la 600, symboles de la 420 et chiffres de la 470, à quoi on pourrait ajouter le contrate clair/obscur de la clé de sol de la 500).

Dans "ma" solution, l'Ouverture - trouvée par intersection de droites passant par deux Bourges et deux localité liées à l'idée de Vérité - est au centre d'un axe nord-sud Amiens-Albi, qui pourrait bien correspondre à l'axe vertical de l'aiguille de la boussole (d'autant qu'Albi est la patrie de Lapérouse, dont le navire s'appelait La Boussole, et que les lettres d'AMIENS se lisent sur le pourtour de la boussole).

Cet axe passe par Boussac, où l'on trouve une "dame", la "Dame à la licorne".

On a donc confirmation de 64 = damier, et noir et blanc = damier.

Par contre, si on s'obstine à situer la rencontre du cocher et du piéton à Bourges, on rate tout cela, et l'énigme paraît dénuée de raison d'être : elle est censée désigner une direction sud, dont on ne sait que faire, puisque l'énigme suivante dit "A Roncevaux" et que ledit Roncevaux est carrément au sud-ouest de Bourges (et certainement pas au sud).

A chacun de conclure !

DL
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Archimede
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J'ai découvert ce fil par hasard, en fait non, peut-être pas par hasard, puisque bien souvent des détails de ma piste me font venir vers celle de DL.

J'espère que les avis, sur ses développements cités plus haut, ont depuis changés, ahem.

Malheureusement je ne vais pas pouvoir rebondir sur les chiffres de DL, ça serait parler de la bonne piste.

Les gens préfèrent tellement les fausses.

Si, tout au plus, déterrer ce post.

Archi.
Suis pas loin de panser celui auquel je pense. Oh là, tout doux...
Ma voiture est garée en bas.
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