Le pire est né et Louis Lacaille!

[menba73]

Il n'y a pas de deuxième, troisième ou sixième niveau...il faut arrêter avec ça, c'est devenu une légende !
Non, mais tu imagines faire un tour ou des tours au bout des 11 premières et se retaper encore tout, je n'y crois pas !

Pour moi il y a une solution primaire visible et l'autre qui ne l'est pas ! Le duo nous donne la vrai solution de l'énigme et crois moi que, c'était la seule façon qu'avait l'auteur pour nous faire démarrer rapidement sans pour autant prendre de risques ( tout heureux que nous étions d'avoir décrypté rapidement tout ceci croyant toucher le bout ! )
Pourtant ça se vois que l'auteur à fait ça et je suis près a parier que plein de chercheur sans est aperçu... c'est vicelard comme méthode mais comme je dis: Cela permet de verrouiller la chasse pendant des années, puisque les solutions primaires n'ont apporté que du surplace !

Tu m'as mal compris. Je parle de niveau de difficulté. Pour trouver le Donjon en 580 tu passes par un certain nombre d'étapes. Plus de deux en tout cas. Te limiter au duo est une erreur. Certaine énigme sont truffées d'indices, telle la 600 avec le rot13 et le chiffrage... La 580 où je décode non seulement le Donjon, mais Autun et Lapalisse... ou encore la 500 où apparaissent Aignan et Yvoire etc.

[Couscous]

La dualité Menba existe et se fait clairement montrer dans le jeu, tu a plein d'exemples et c'est loin d'etre farfelu !
Ce que tu nomme toi indices ( oui il y en a plein je suis d'accord) font partis des probable qui peuvent entrer dans cette dualité ( j'entend bien solution primaire+ ce qui manque) sauf que : tu oublie qu'il existe aussi les fausses pistes faisant partis des mauvais chemin de traverse
Ses chemins de traversse sont des fils inutile, mise sur place, pour complexifié le jeu du tri...
La vrai solution d'une énigme ne vas pas faire intervenir toute une panoplie de villes et d'aillignement...il faut bien comprendre que certaines de ses propostion sont simplement là pour nous barrer la route et rien d'autres...tu peu trouver ça jolie, interessant bien construit mais c'est justement là, tout l'art d'une fausse piste et tu le sais bien mieu que moi...

[menba73]

La dualité Menba existe et se fait clairement montrer dans le jeu, tu a plein d'exemples et c'est loin d'etre farfelu !
Ce que tu nomme toi indices ( oui il y en a plein je suis d'accord) font partis des probable qui peuvent entrer dans cette dualité ( j'entend bien solution primaire+ ce qui manque) sauf que : tu oublie qu'il existe aussi les fausses pistes faisant partis des mauvais chemin de traverse
Ses chemins de traversse sont des fils inutile, mise sur place, pour complexifié le jeu du tri...
La vrai solution d'une énigme ne vas pas faire intervenir toute une panoplie de villes et d'aillignement...il faut bien comprendre que certaines de ses propostion sont simplement là pour nous barrer la route et rien d'autres...tu peu trouver ça jolie, interessant bien construit mais c'est justement là, tout l'art d'une fausse piste et tu le sais bien mieu que moi...

Bonjour Couscous,

J'ai listé ce qui pour moi n'était pas exploitable: Dabo, Niepce, Agen... Malgré tout, au final il y a peu à laisser de côté. Plus on va vers la fin, et plus de décryptages trouvent leur place. Cela donne une cohérence à l'ensemble. Le puzzle définitif fait intervenir de quarante à cinquante pièces différentes. Il est bien évident que si un aussi grand nombre d'éléments entrent en interaction, c'est que la vérité de la chasse ne doit pas être très éloignée.

Il y a une forme de convergence finale. Peut-être que j'ai raté deux ou trois marches, c'est pour cela que je cherche encore. J'ai souvent remis en question mes solutions, pour cause de non conformité avec les diverses demandes. Dans le cas présent ce n'est pas possible, car je crois avoir exploité tout ce qui était exploitable, et il n'y a plus de place pour autre chose. Une fausse piste de cette ampleur n'est pas crédible. Dans ma démarche il n'y pas d'extrapolation et de projection alambiquée. Seuls sont exploités et structurés la majorité des décryptages de la chasse. Il n'y a pas lieu d'inventer... Tout est dans les énigmes. La démarche est complexe avant le coup, car Max à fait son possible pour cacher son jeu.

[Couscous]

Le problème majeur que l'on rencontre, c'est que les bases ne sont pas comprises et j'entends par là les concepts ( oui je sais je me répète)
Quand on a eu le temps comme max de cogiter l'histoire de cette chasse sur 15 années, on devrait au minimum prendre garde sur l'éventuelle cohérence du parcours...
J'ai cité un exemple qui peut être bidon de ce qu'il aurait pu survenir à Mr Lacaille, si celui-ci c'était situé dans les Pyrénées, un motif pour lequel l'auteur aurait choisi d'utilisé un vecteur tel que Bourges pour atteindre une cible par un regard.
Cet exemple peut être faux sauf que l'idée est forcément autour d'un tel concept...il faut donc expliquer le choix de l'auteur sur l'éventuel pointage de l'ouverture en 470 !
Quel est donc selon toi ce qui a pu pousser l'auteur à utiliser tel ou tel élément dans sa construction pour nous faire avancer ?
Où est la fameuse cohérence du tout dans tout ce cheminement ?

Moi, c'est ça que je cherche à comprendre avant tout...il ne suffit pas de dire que je me trouve à Roncevaux pour regarder par l'ouverture et me dire youpi ! Si l'on prétend avancer comme ça sans chercher les véritables raisons de la structure du jeu, on va au casse-pipe ! Des solutions on en trouve beaucoup, mais la plupart ne tiennent pas la route parce qu'elles ne contiennent pas les motifs ou des raisons assez puissantes qui ont pu pousser l'auteur à utiliser tel ou tel concept.

Ensuite c'est une histoire de point de vue...il y en aura qui se diront que c'est qu'un simple jeu (pour moi c'est une grave erreur) mais ses gens généralement ne se casse pas trop la tête ! et il y a aussi ceux qui considère cette chasse comme quelque chose de bien plus grand, telle une œuvre maitresse pour marquer à jamais l'histoire des chasseurs aux trésors ! Dans la deuxième démarche ce n'est pas la même chose, car ici il faut savoir plonger bien profond dans les neurones de l'auteur pour déceler les véritables motifs qui l'on pousser à concevoir se chef-d'œuvre, c'est un livre qui doit être ouvert pour ne plus être refermé.