Dans quelques jours, je vais parcourir un point précis de ma zone. Dire si c’est la bonne ! J’en sais fichtre rien sinon d’énormes évidences, une logique suivie des solutions des énigmes, l’emploi de nombreuses astuces, un passage en revue qui semble facile dès lors que l’on a des sentinelles causantes, une zone, finalement aisée à construire et un lieu commun où se rendre dans cette zone, des morceaux récupérés dans les énigmes, un assemblage assez simple, un décryptage tout aussi simple avec un truc à tomber sur le fondement tant il est évident.
Dans quelques jours, ce sera la fin, pour moi. Si j’ai raison, le bronze trônera sur le rebord de ma cheminée juste le temps de récupérer la pièce d’orfèvrerie, juste le temps d’entendre les reproches, les rumeurs qui ne manqueront pas de fuser sur les réseaux sociaux, les félicitations sincères et les remerciements de ceux qui pourront passer à autre chose. Si j’ai tort, je refermerai définitivement le livre, brutalement, gommant ainsi 30 années de ma vie.
Pour ma part, tout a commencé en 1993 par un article dans le journal « La Provence » qui reprenait l’énigme 470 avec son visuel. Je me souviens avoir trouvé la solution de la charade assez rapidement puis me sentir réellement coincé avec la dernière ligne : voir la lumière ?
J’ai acheté le livre le lendemain dans la maison de la presse de mon village, pour ne l’ouvrir que quelques jours plus tard. Nous étions début juin 1993.
J’ai cherché par tronçon au gré du temps que m’offrait une vie assez remplie. Je n’ai finalement été assidu pleinement que depuis 2021 après la sensation d’avoir résolu les 9 premières énigmes. Je ne suis allé sur le terrain qu’à partir de là, pour être confronté à une réalité tangible : l’espace qui fait défaut lorsque l’on s’enferme au m² qu’occupe le fauteuil. Ce n’est qu’après plusieurs sorties que je me suis botté les fesses pour retourner à la partie théorique et apporter une solution aux deux dernières énigmes. Aujourd’hui, je suis bloqué avec un spot situé à une certaine distance et une certaine direction d’un repère tout autant fantastique qu’anodin et en un lieu que l’auteur n’aura pas eu de mal à exploiter, dans une zone qui répond à tout ce qui a été dit sur sa construction sur la 1ere carte, sa position sur la 2e carte, sa forme et sa dimension.
Avec le recul, et seulement si ma piste est la bonne, les solutions ne sont pas un monstre à 1000 têtes mais assez simples, dont la complexité repose sur le vaste étendu des possible que ce jeu a fait naître à grand renfort des questions et des réponses, des sources documentaires des autoroutes de l’information et du génie des membres des réseaux sociaux. Les solutions ne sont pas un monstre, mais la chasse en est devenue un, avec son procès, ses disparus, ses convaincus (dont je fais certainement partie), ses déçus, les détracteurs de Max ou de Michel. Les paradigmes qui ont bercés la chasse pendant plus de 25 ans ont laissé place à d’autres et tout se mélange, tout se critique, tout s’embrouille. Il n’y a, finalement, que la découverte pour remettre de l’ordre dans ce grand fatras comme si l’énigme B devait sortir de sa poubelle pour rediriger les chercheurs vers une cohérence où ils retrouveraient la quiétude de leurs débuts dans l’aventure.
Alors, pour vous, comment tout a commencé ?
COMMENT TOUT A COMMENCE
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SERGIO
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Egide
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Salut Sergio !
c'était au début de l'été 1993, tout près de Montargis. Mon père, bouquiniste au marché aux puces de saint-Ouen, passionné de chasses aux trésors historiques et en particulier du fameux trésor de Rennes-le-château, avait imaginé qu'il pourrait se détendre un peu les neurones en se lançant dans ce simple jeu, en attendant de mettre un point final à la quête qui l'animait, et au bouquin de déjà sept-cent-cinquante pages qu'il s'évertuait à écrire depuis dix ans. En trois jours, il est arrivé à Dabo trois fois. Il a jeté le livre, et s'est replongé dans le cryptogramme du sot pêcheur.
J'avais peut-être eu mon compte de chasses au trésor, moi qui avait suivi mon père partout, et l'avais devancé, même, quand il s'agissait de se glisser dans une faille étroite ou un gouffre profond où lui ne pouvait pas aller. Il me descendait à bout de bras ou avec une cordelette attachée à mes brettelles dans des trous obscurs quand j'avais à peine cinq ans ! On cherchait des silex taillés, des poteries préhistoriques. On vivait "en velay", dans une porcherie réhabilitée, au bout d'une route mangée par la forêt. Je me souviens, on enquêtait sur la bête du Gévaudan en cherchant des squelettes humains dans les fausses communes.
Bref, je n'ai jeté qu'un coup d'oeil rapide au livre de la chouette à cette époque. J'avais seize ans, on était parti loin de mon Velay natal depuis longtemps, et l'été se profilait à l'horizon, avec ses promesses de liberté.
Si je ne me trompe pas, j'ai vraiment commencé à jouer en 2008, ou 2009. Je suis tombé par hasard sur un article qui parlait de la chouette, et je suis parti bille en tête. Papa m'a envoyé son livre, sa carte, et tout un carton de documents divers dont un copain chouetteur à lui voulait se débarrasser, du genre figaro-mag ou carte du tour de France. Il m'a dit : "c'est introuvable. C'est complètement con."
Voilà !
Bonne chance, il faut que quelqu'un la sorte !
c'était au début de l'été 1993, tout près de Montargis. Mon père, bouquiniste au marché aux puces de saint-Ouen, passionné de chasses aux trésors historiques et en particulier du fameux trésor de Rennes-le-château, avait imaginé qu'il pourrait se détendre un peu les neurones en se lançant dans ce simple jeu, en attendant de mettre un point final à la quête qui l'animait, et au bouquin de déjà sept-cent-cinquante pages qu'il s'évertuait à écrire depuis dix ans. En trois jours, il est arrivé à Dabo trois fois. Il a jeté le livre, et s'est replongé dans le cryptogramme du sot pêcheur.
J'avais peut-être eu mon compte de chasses au trésor, moi qui avait suivi mon père partout, et l'avais devancé, même, quand il s'agissait de se glisser dans une faille étroite ou un gouffre profond où lui ne pouvait pas aller. Il me descendait à bout de bras ou avec une cordelette attachée à mes brettelles dans des trous obscurs quand j'avais à peine cinq ans ! On cherchait des silex taillés, des poteries préhistoriques. On vivait "en velay", dans une porcherie réhabilitée, au bout d'une route mangée par la forêt. Je me souviens, on enquêtait sur la bête du Gévaudan en cherchant des squelettes humains dans les fausses communes.
Bref, je n'ai jeté qu'un coup d'oeil rapide au livre de la chouette à cette époque. J'avais seize ans, on était parti loin de mon Velay natal depuis longtemps, et l'été se profilait à l'horizon, avec ses promesses de liberté.
Si je ne me trompe pas, j'ai vraiment commencé à jouer en 2008, ou 2009. Je suis tombé par hasard sur un article qui parlait de la chouette, et je suis parti bille en tête. Papa m'a envoyé son livre, sa carte, et tout un carton de documents divers dont un copain chouetteur à lui voulait se débarrasser, du genre figaro-mag ou carte du tour de France. Il m'a dit : "c'est introuvable. C'est complètement con."
Voilà !
Bonne chance, il faut que quelqu'un la sorte !
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Kiba
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Bonne chasse :)
Perso j'avais découvert via un article du Monde en 2018 pour les 25 ans. Ca m'avait happé de suite, et comme j'étais en période de départ de mon entreprise, ça me donnait du temps pour compulser furieusement les différentes solutions et me faire une idée de l'état d'avancement de la chasse
Perso j'avais découvert via un article du Monde en 2018 pour les 25 ans. Ca m'avait happé de suite, et comme j'étais en période de départ de mon entreprise, ça me donnait du temps pour compulser furieusement les différentes solutions et me faire une idée de l'état d'avancement de la chasse
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SERGIO
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Super. J'aime ces tranches de vie qui nous rendent vivant. Egide, tu parles de Rennes-le-château où j'ai "fait mes classes" du temps de Gérard de Sède, et l'incontournable Plantard qui sirotait souvent un café à la terrasse du bar de Rennes les Bains. Que de souvenirs ! Mon dernier grand moment, c'était avec Ernest, un super chercheur, inventeur, précurseur de l'emploi des radars dans la recherche. C'était à l'occasion de repas des chercheurs de trésors et j'avais ni plus ni moins qu'Henri Lincoln, l'auteur de l'énigme sacré, dans mon dos. Il s'est retourné lorsque pour casser l'ambiance, Ernest avait jeté quatre pièces d'or sur la table. Quel moment fantastique.
Kiba, tu fais référence à un article dans la presse du temps où le matin était consacré à lire les nouvelles de la veille. Que les temps ont changé.
Merci de ce partage
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Kiba
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C'était sur le site du Monde, pas dans la version papier, et en 2018 :)
J'suis un bébé par rapport à d'autres x)
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tanacl
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En janvier 2014, le père d'un camarade de classe de mon fils m'invite à dîner, après que je lui ai trouvé un vieil ordinateur pour qu'il puisse monter son studio son (il est batteur). Après le repas, on repasse à la maison "pour un dernier", et là il m'explique une vieille passion, la Chouette ; qu'il en est devenu un peu fou, qu'il a son spot en périphérie du village où j'ai grandi.
J'adore les jeux ; depuis tout petit j'imagine des jeux, j'ai été rôliste, l'idée de la Chasse me botte. Au bout d'une semaine, je lui expose pourquoi son spot ne peut pas être le bon (terrain privé). Je réunis les documents, assemble les madits en un document word unique, reprends les archives edelweb, imprime les énigmes en couleur et au bon format. Je trouve la solution de 560 en quinze jours (le site, pas la méthode malheureusement). J'ai un copain mathématicien qui s'associe, il m'aide à trouver la solution de l'énigme 420 (je l'ai exposée en partie l'an dernier). Je cours après la montre pour tout finir en cent jours.
Finalement je pars creuser en Périgord, au bout de quatre mois. C'est l'électrochoc : on ne peut pas creuser à peu près, il faut un vrai pile-poil.
Je reprends tout. En 2015, je contacte un Chouetteur de longue date, on échange dans de longs appels téléphoniques. Un soir, il me donne un bout de sa solution de 580. Je comprends illico qu'il a déniché un truc central. Je repars du début avec sa révélation en tête, et reconstitue en deux mois le chemin entre 530 et 600, puis résous l'énigme 600 dans la foulée. A l'automne 2017, j'arrive enfin sur zone. Depuis, je teste sans succès diverses supersolutions. Je ne suis jamais retourné creuser.
J'adore les jeux ; depuis tout petit j'imagine des jeux, j'ai été rôliste, l'idée de la Chasse me botte. Au bout d'une semaine, je lui expose pourquoi son spot ne peut pas être le bon (terrain privé). Je réunis les documents, assemble les madits en un document word unique, reprends les archives edelweb, imprime les énigmes en couleur et au bon format. Je trouve la solution de 560 en quinze jours (le site, pas la méthode malheureusement). J'ai un copain mathématicien qui s'associe, il m'aide à trouver la solution de l'énigme 420 (je l'ai exposée en partie l'an dernier). Je cours après la montre pour tout finir en cent jours.
Finalement je pars creuser en Périgord, au bout de quatre mois. C'est l'électrochoc : on ne peut pas creuser à peu près, il faut un vrai pile-poil.
Je reprends tout. En 2015, je contacte un Chouetteur de longue date, on échange dans de longs appels téléphoniques. Un soir, il me donne un bout de sa solution de 580. Je comprends illico qu'il a déniché un truc central. Je repars du début avec sa révélation en tête, et reconstitue en deux mois le chemin entre 530 et 600, puis résous l'énigme 600 dans la foulée. A l'automne 2017, j'arrive enfin sur zone. Depuis, je teste sans succès diverses supersolutions. Je ne suis jamais retourné creuser.
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Egide
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SERGIO a écrit :Super. J'aime ces tranches de vie qui nous rendent vivant.
Merci de ce partage
Salut, SERGIO !
Et salut Kiba et tanacl !
Moi aussi, j'aime bien. Merci à toi aussi, pour ce sujet qui nous rappelle pourquoi on est tous réunis ici, malgré nos différents et nos différences !
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SERGIO
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Comment tout à commencé est intimement lié à comment tout s'est achevé. Mais on est vraiment pas libre de ses choix ! Hier, j'étais sur site en sachant ce que je devais trouver mais pas où, sachant combien mesurer de cette chose et la direction à prendre. Le "où", j'en sais fichtre rien, et j'avais pris un raccourci pour palier cette carence. Mais voilà, le raccourci n'étant pas acceptable, je suis resté coincé dans cette fichue zone.
Ma décision d'arrêter a été très claire, mais mon partenaire de jeux m'a posé la question de savoir pourquoi je n'avais pas trouvé l'endroit précis de cette chose. "J'ai pas trouvé le ou les reliquats pourtant sur la localisation" a été ma réponse, un aveu d'impuissance, finalement, sur la capacité d'extraire la totalité des reliquats. Il m'a simplement répété deux fois "trouve-les ; trouve-les".
Max disait que si un reliquat manquait, il serait impossible de trouver. Je lui fait confiance !
Les reliquats avec 4 éléments fondamentaux, impliquent d'avoir un repère, sa situation, une distance et une direction. Toutes les phases finales de jeu, imposent ce principe. Alors, je vais devoir me faire violence et garder le cap. Dans un mois, 6 mois, un an, je me lèverai le matin avec une idée et j'aurai peut-être cette ultime élément. Mais je vais prendre un peu de distance. Dans ma zone, il y a une dizaine de joueurs mais ils ne sont pas au bout de leurs surprises. Mes échecs seront leurs échecs à venir. J'ai donc du temps.
Ma décision d'arrêter a été très claire, mais mon partenaire de jeux m'a posé la question de savoir pourquoi je n'avais pas trouvé l'endroit précis de cette chose. "J'ai pas trouvé le ou les reliquats pourtant sur la localisation" a été ma réponse, un aveu d'impuissance, finalement, sur la capacité d'extraire la totalité des reliquats. Il m'a simplement répété deux fois "trouve-les ; trouve-les".
Max disait que si un reliquat manquait, il serait impossible de trouver. Je lui fait confiance !
Les reliquats avec 4 éléments fondamentaux, impliquent d'avoir un repère, sa situation, une distance et une direction. Toutes les phases finales de jeu, imposent ce principe. Alors, je vais devoir me faire violence et garder le cap. Dans un mois, 6 mois, un an, je me lèverai le matin avec une idée et j'aurai peut-être cette ultime élément. Mais je vais prendre un peu de distance. Dans ma zone, il y a une dizaine de joueurs mais ils ne sont pas au bout de leurs surprises. Mes échecs seront leurs échecs à venir. J'ai donc du temps.
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Kiba
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QUESTION No 02 DU 1997-04-27
----------
TITRE: PUZZLE OU CHATEAU DE CARTES ?
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DIRIEZ-VUS QUE LA 12E EST PLUTOT COMME U N CHATEAU DE CARTE QUI S'EFFONDRE QUAND ON ENLEVE UN ELEMENT (RELIQUAT) OU COMME UN PUZZLE QUI RESTE UN PUZZLE,SEULEMENT INCOMPLET, QUAND IL MANQUE UNE PIECE ? GANDALF
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C'EST UNE EXCELLENTE QUESTION, QUE JE NE ME SUIS D'AILEURS JAMAIS POSEE. VUE DE MON COTE, JE DIRAI "UN PUZZLE", MAIS VUE DU COTE DES CHERCHEURS, CE POURRAIT ETRE UN CHATEAU DE CARTES. JE NE BOTTE PAS EN TOUCHE EN DISANT CELA, MAIS IL EST VRAI QU'UN RELIQUAT MANQUANT PEUT TOUT RENDRE ABSCONS (ET ENCORE, CA DE- PEND DE QUEL(S) RELIQUAT(S) IL S'AGIT), MAIS POUR MOI QUI CONNAIT LES REPONSES, IL MANQUERAIT PLUTOT UN ELEMENT (COMME DANS UN PUZZLE) CE QUI PEUT A TOUT MO- MENT ETRE CORRIGE. METTONS QUE JE VOIS CA DE FACON MOINS DRAMATIQUE QUE VOUS. AMITIES -- MAX
Ca dépend du reliquat, et ça peut être complété/corrigé :)
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SERGIO
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Merci Kiba.
Cela ne m'aide pas vraiment car j'ai le cerveau en bouillie. Pour tout dire, j'en suis même à lire ce que MB a dit sur les reliquats où je rejoins le fait que le terme "reliquats" n'était pas le plus inspiré, mais certainement le plus à même de cacher leurs véritables natures.
Je suis un peu dans le brouillard ce matin !
Je suis confronté aux paradoxes Maxien que ses réponses faisaient naître. Par exemple le fait de répondre que la chasse n'est pas linéairement géographique à une question qui ne portait que sur la linéarité des solutions.
Pour les reliquats, je conçois, bien entendu qu'ils sont une forme de déclic, intervenant dans chaque énigme au cours du décryptage. Par exemple, comment s'émanciper de la notion de milieu dans la 530 ? Comment s'exempter d'appliquer une formule usuelle dans la 780 ? J'ai effectué l'extraction en me fondant sur cette seule logique et c'est sans doute mon erreur. Donc, je vais prendre le temps de raisonner proprement.
Cela ne m'aide pas vraiment car j'ai le cerveau en bouillie. Pour tout dire, j'en suis même à lire ce que MB a dit sur les reliquats où je rejoins le fait que le terme "reliquats" n'était pas le plus inspiré, mais certainement le plus à même de cacher leurs véritables natures.
Je suis un peu dans le brouillard ce matin !
Je suis confronté aux paradoxes Maxien que ses réponses faisaient naître. Par exemple le fait de répondre que la chasse n'est pas linéairement géographique à une question qui ne portait que sur la linéarité des solutions.
Pour les reliquats, je conçois, bien entendu qu'ils sont une forme de déclic, intervenant dans chaque énigme au cours du décryptage. Par exemple, comment s'émanciper de la notion de milieu dans la 530 ? Comment s'exempter d'appliquer une formule usuelle dans la 780 ? J'ai effectué l'extraction en me fondant sur cette seule logique et c'est sans doute mon erreur. Donc, je vais prendre le temps de raisonner proprement.
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- Don Luis
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MV a été très clair sur le fait que les reliquats se collectaient, s'assemblaient et se décryptaient comme un tout (un déclic /"petit truc" global, et non un déclic à chaque énigme) :
Et d'autre part, il n'a cessé de recommander de ne se déplacer que quand on était sûr à 1000 pour cent :
Donc, peut-être que Becker (avec l'aide de chercheurs/concepteurs qu'il connaît bien) a substitué une autre SS et une autre zone à celles qu'avait prévues MV. Ou a des solutions bidons.
Mais sinon, se déplacer x fois à la recherche du reliquat manquant, c'est très mauvais signe !
MV a écrit :QUESTION No 42 DU 1996-05-20
TITRE: EXTRACTION
Pour extraire les elements de la super-s olution, une fois compris le petit "truc " dont vous parliez, il faut faire preuv e d'un peu d'astuce pour rejeter ou inte grer tel ou tel element, ou "cela roule tout seul" ? merci. et bravo pour la 650 ! amicalement arthur
NON, CA ROULE TOUT SEUL ! OU, AU PIRE, CA PREND QUELQUES MINUTES... AMITIES -- MAX
Et d'autre part, il n'a cessé de recommander de ne se déplacer que quand on était sûr à 1000 pour cent :
MV a écrit :QUESTION No 18 DU 1998-09-11
TITRE: CRITERE DE DECISION
COMMENT ETRE SUR DE SA SS SANS SE DEPLAC ER? VOUS DISIEZ QU'ON DEVAIT ETRE SUR A 99.9 % MAIS JE L'AI DEJA ETE 2 FOIS ET SUIS R ENTRE BREDOUILLE! UNE SS TRES DUR CAR DE FAUSSES RESOLUTIO NS PEUVENT DONNER DE TRES BONNES FAUSSES SOLUTIONS! TOTEM.
NON, NON, NON ! IL NE FAUT PAS ETRE SUR A 99%, MAIS A 1000 POUR CENT ! QUE VOUS AYEZ ENCORE UN PETIT DOUTE, EN REALITE, C'EST HUMAIN. MAIS SI VOUS AVEZ UN DOU- TE SERIEUX, N'Y ALLEZ PAS ! LA PLUPART DES CHERCHEURS QUI SONT REVENUS BREDOUIL -LE M'ONT AVOUE PAR LA SUITE QU'ILS N'ET AINT PAS VRAIMENT CERTAINS DE LEUR COUP.QUE DE FAUSSES RESOLUTIONS PEUVENT DONNE R DES SOLUTIONS A LA CANADA-DRY (CA RESS EMBLE A UNE BONNE SOLUTION, MAIS C'EST FAUX), JE N'EN DOUTE PAS ! MAIS CE N'EST PAS DE MON FAIT. JE N'AI PAS CONCOCTE DE FAUSSES PISTES AU NIVEAU DE LA SUPERS OLUTION. AMITIES -- MAX
Donc, peut-être que Becker (avec l'aide de chercheurs/concepteurs qu'il connaît bien) a substitué une autre SS et une autre zone à celles qu'avait prévues MV. Ou a des solutions bidons.
Mais sinon, se déplacer x fois à la recherche du reliquat manquant, c'est très mauvais signe !
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
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SERGIO
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Tu as entièrement raison Don Luis. C'est là que j'ai été très mauvais, sans doute un lien avec l'excitation de la fin de jeu.
Il reste que l'assemblage offre la sensation d'être proche d'un décryptage (au sens d'une compréhension). Mes derniers déplacement n'étant pas hasardeux mais bien calculé, tout en sachant que j'avais le sentiment qu'une chose m'échappait. Cette chose !!! Je ne sais pas comment l'expliquer ; lorsque tu as les caractéristiques du repère, une distance non équivoque et une direction précise, et qui te manque une localisation géographique pouvant représenter un point sur la 1/25000, tu utilises tout ce que tu trouves pour combler le vide.
Je vais donc revoir mes reliquats en utilisant les caractéristiques de ceux dont je suis certains (distance et direction). Je les trouve, non pas dans un décryptage primaire (chose qui est évanescente à mon esprit, mais dans le déroulement de l'énigme. Cela peut aussi signifier que certaines solutions bien que justes ont écarté la piste où se trouvent les reliquats. Tout est possible notamment avec les 3 énigmes les plus complexes du jeu (600, 500 et 420). Il n'est pas exclu que j'ai utilisé ce fameux truc d'extraction sans le savoir dans certaines énigmes, et cherché plus compliqué dans d'autres, simplement parce que faire compliqué, c'est aussi notre pire défaut.
La finalisation de la 560 à la 520 me semble parfaitement répondre à l'esprit du jeu. Donc, si mes solutions ont un défaut, c'est avant. Mais pas la nef car elle est sans ambiguïté avec ma 560, pas la spirale ni la solution de la 420 qui sont indirectement confirmées par la construction de la zone. C'est donc dans la méthodologie pour trouver les solutions que j'ai zappé des étapes cruciales. En gros, j'en ai pour des mois à revoir cela pour trouver les bons mécanismes. C'est rassurant de se dire qu'en ayant les solutions, il est plus facile de trouver comment. Mais c'est une autre forme de logique. Je n'ai jamais été bon pour trouver la bonne définition d'un mot, mais plus créatif pour en créer une nouvelle.
Pour ce qui est des solutions de Becker, je suis de ton avis. Fabriquer une fausse SS est plus facile que fabriquer une mauvaise solution globale, suivie et cohérente.
Il reste que l'assemblage offre la sensation d'être proche d'un décryptage (au sens d'une compréhension). Mes derniers déplacement n'étant pas hasardeux mais bien calculé, tout en sachant que j'avais le sentiment qu'une chose m'échappait. Cette chose !!! Je ne sais pas comment l'expliquer ; lorsque tu as les caractéristiques du repère, une distance non équivoque et une direction précise, et qui te manque une localisation géographique pouvant représenter un point sur la 1/25000, tu utilises tout ce que tu trouves pour combler le vide.
Je vais donc revoir mes reliquats en utilisant les caractéristiques de ceux dont je suis certains (distance et direction). Je les trouve, non pas dans un décryptage primaire (chose qui est évanescente à mon esprit, mais dans le déroulement de l'énigme. Cela peut aussi signifier que certaines solutions bien que justes ont écarté la piste où se trouvent les reliquats. Tout est possible notamment avec les 3 énigmes les plus complexes du jeu (600, 500 et 420). Il n'est pas exclu que j'ai utilisé ce fameux truc d'extraction sans le savoir dans certaines énigmes, et cherché plus compliqué dans d'autres, simplement parce que faire compliqué, c'est aussi notre pire défaut.
La finalisation de la 560 à la 520 me semble parfaitement répondre à l'esprit du jeu. Donc, si mes solutions ont un défaut, c'est avant. Mais pas la nef car elle est sans ambiguïté avec ma 560, pas la spirale ni la solution de la 420 qui sont indirectement confirmées par la construction de la zone. C'est donc dans la méthodologie pour trouver les solutions que j'ai zappé des étapes cruciales. En gros, j'en ai pour des mois à revoir cela pour trouver les bons mécanismes. C'est rassurant de se dire qu'en ayant les solutions, il est plus facile de trouver comment. Mais c'est une autre forme de logique. Je n'ai jamais été bon pour trouver la bonne définition d'un mot, mais plus créatif pour en créer une nouvelle.
Pour ce qui est des solutions de Becker, je suis de ton avis. Fabriquer une fausse SS est plus facile que fabriquer une mauvaise solution globale, suivie et cohérente.
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- Don Luis
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Malheureusement, je ne suis pas d’accord avec ta conception des reliquats. Qu’il y ait l’idée de centre dans la 530, c’est une chose mais , AMHA, cela n’a rien à voir avec les reliquats.
Il est clair selon ce qu'en a dit MV que les reliquats sont de simples éléments de construction, sans signification individuelle qui, une fois assemblés, forment un crypto, lequel doit être décrypté comme un tout et par une méthode unique, de la même façon que la phrase de la 600, pour donner des indications précises et indubitables sur le pile-poil. Il n’y a aucune place pour l’interprétation. Il ne sert absolument à rien d’aller explorer une zone supposée. Il faut décrypter la SS, puis consulter une carte pour savoir comment l’appliquer sur le terrain et – alors seulement – se rendre sur les lieux supposés.
Tous les chercheurs qui font des tas de repérages dans leur zone supposée se racontent des histoires. Et, bien entendu, reviennent bredouilles. Mais, si ça leur fait plaisir...
Il est clair selon ce qu'en a dit MV que les reliquats sont de simples éléments de construction, sans signification individuelle qui, une fois assemblés, forment un crypto, lequel doit être décrypté comme un tout et par une méthode unique, de la même façon que la phrase de la 600, pour donner des indications précises et indubitables sur le pile-poil. Il n’y a aucune place pour l’interprétation. Il ne sert absolument à rien d’aller explorer une zone supposée. Il faut décrypter la SS, puis consulter une carte pour savoir comment l’appliquer sur le terrain et – alors seulement – se rendre sur les lieux supposés.
Tous les chercheurs qui font des tas de repérages dans leur zone supposée se racontent des histoires. Et, bien entendu, reviennent bredouilles. Mais, si ça leur fait plaisir...
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
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Egide
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Don Luis a écrit :Malheureusement, je ne suis pas d’accord avec ta conception des reliquats.
Tous les chercheurs qui font des tas de repérages dans leur zone supposée se racontent des histoires. Et, bien entendu, reviennent bredouilles. Mais, si ça leur fait plaisir...
Malheureusement, je ne suis pas d'accord avec ta conception des chercheurs qui reviennent bredouilles.
Tous les chercheurs qui font un tas d'hypothèses sur les énigmes, sans jamais aller creuser se racontent des histoires. Et bien entendu, ils ne trouveront jamais la chouette. Mais si ça leur fait plaisir...
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SERGIO
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Don Luis, il me semble, mais je peux me tromper que si tu as la zone avant la fin du 5e vers de la 520, c'est que tu prends la 2e carte avant d'arriver à la fin de la 520. Trouver la zone avant pose la dernière phrase de la 520 (2 dernières lignes) comme révélateur d'un élément présent sur cette dite carte.
Ce n'est qu'à ce stade là que la recherche des reliquats s'effectue.
Pour ce qui est des repérages dans la zone, j'ai clairement expliqué que c'est l'excitation de la fin qui conduit à cette action. Toutefois, à chaque déplacement, j'avais un repère, une direction et une distance. Je n'exclue pas, aussi, avoir fait plus complexe que prévu en voulant développer la notion d'opportunisme du créateur en fonction d'éléments spécifique à ce secteur de la zone. Perso, avec ce qu'elle contient, j'aurai saisi cette singularité pour que le final soit de toute beauté.
C'est la raison qui fait que j'ai fait une fixette sur cette singularité qui est assez proche de la notion de méga-astuce dans ma chasse.
Mais comme on dit, le hasard est terrible, parfois !
Egide, je suis d'accord avec toi, les échecs ont tendance à justifier que les chercheurs qui les subissent ont de mauvaises solutions. C'est humain et c'est aussi la cause de la longueur de la chasse puisque cette entreprise de démolition ne favorise pas la poursuite.
Les échecs me nourrissent et m'apportent souvent une remise en question sur certaines méthodes de décryptage mais pas sur les solutions car Max a été très claire : si les solutions sont suivies et qu'elles débouchent sur une zone cohérente, alors se sont les bonnes. Je n'exclue pas que la méthode d'extraction ne soit pas complexe que celle que j'utilise et je n'exclu pas que le cheminement pour tendre vers la bonne solution ne puisse avoir cette unicité. Toutes chemins mènent à Rome dit-on !
Il y a aussi que lorsque l'on établi l'égalité pas de chouette=fausses solutions, on favorise le partage intégral de ces solutions. Piège de communication où je ne tomberai pas. J'annonce mon échec comme j'annonce avoir trouvé la zone, c'est ma manière de faire et cela ne remet pas en cause mes solutions, mais seulement les décryptages qui m'ont conduit à cette solution. C'est pour cette raison que je ne casse que rarement les solutions proposées, préférant apporter quelques éléments avérés qui ne sont pas pris en compte. Et même là, avec les dires de Max, on est jamais certain d'avoir compris la finalité d'une réponse à une question.
Ce n'est qu'à ce stade là que la recherche des reliquats s'effectue.
Pour ce qui est des repérages dans la zone, j'ai clairement expliqué que c'est l'excitation de la fin qui conduit à cette action. Toutefois, à chaque déplacement, j'avais un repère, une direction et une distance. Je n'exclue pas, aussi, avoir fait plus complexe que prévu en voulant développer la notion d'opportunisme du créateur en fonction d'éléments spécifique à ce secteur de la zone. Perso, avec ce qu'elle contient, j'aurai saisi cette singularité pour que le final soit de toute beauté.
C'est la raison qui fait que j'ai fait une fixette sur cette singularité qui est assez proche de la notion de méga-astuce dans ma chasse.
Mais comme on dit, le hasard est terrible, parfois !
Egide, je suis d'accord avec toi, les échecs ont tendance à justifier que les chercheurs qui les subissent ont de mauvaises solutions. C'est humain et c'est aussi la cause de la longueur de la chasse puisque cette entreprise de démolition ne favorise pas la poursuite.
Les échecs me nourrissent et m'apportent souvent une remise en question sur certaines méthodes de décryptage mais pas sur les solutions car Max a été très claire : si les solutions sont suivies et qu'elles débouchent sur une zone cohérente, alors se sont les bonnes. Je n'exclue pas que la méthode d'extraction ne soit pas complexe que celle que j'utilise et je n'exclu pas que le cheminement pour tendre vers la bonne solution ne puisse avoir cette unicité. Toutes chemins mènent à Rome dit-on !
Il y a aussi que lorsque l'on établi l'égalité pas de chouette=fausses solutions, on favorise le partage intégral de ces solutions. Piège de communication où je ne tomberai pas. J'annonce mon échec comme j'annonce avoir trouvé la zone, c'est ma manière de faire et cela ne remet pas en cause mes solutions, mais seulement les décryptages qui m'ont conduit à cette solution. C'est pour cette raison que je ne casse que rarement les solutions proposées, préférant apporter quelques éléments avérés qui ne sont pas pris en compte. Et même là, avec les dires de Max, on est jamais certain d'avoir compris la finalité d'une réponse à une question.
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Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
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SERGIO
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Je vais résumer la chose :
LES RELIQUATS RESIDENT DANS LA METHODOLOGIE POUR OBTENIR LES SOLUTIONS.
Si on valide ce fait qui n'est pas incompatible avec les Q/R de Max, et sachant que certaines solutions sont orientées par des récurrences, il est tout à fait acceptable de construire plusieurs méthodologies. De ce fait, pour avoir les bons reliquats, il faut simplement appliquer la méthode de décryptage utilisée par Max.
LES RELIQUATS RESIDENT DANS LA METHODOLOGIE POUR OBTENIR LES SOLUTIONS.
Si on valide ce fait qui n'est pas incompatible avec les Q/R de Max, et sachant que certaines solutions sont orientées par des récurrences, il est tout à fait acceptable de construire plusieurs méthodologies. De ce fait, pour avoir les bons reliquats, il faut simplement appliquer la méthode de décryptage utilisée par Max.
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Salut DL,
Je viens de comprendre comment lire un message "hors sujet".
Comment veux tu que je trouve les reliquats quand je ne sais même pas lire un message "hors sujet" !!!
Je viens de comprendre comment lire un message "hors sujet".
Comment veux tu que je trouve les reliquats quand je ne sais même pas lire un message "hors sujet" !!!
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@DL, je ne suis pas du tout d'accord avec ta vision des reliquats. Pour moi c'est plutôt du style : la 530 suggère la notion de centre. Cette notion on l'utilise forcément quand on localise Bourges sur la carte et qu'on remarque que ça correspond à peu près à l'œil du coq, mais ce n'est pas la solution de la 530 à proprement parler. Plus tard, dans une autre énigme, il faut comprendre par allusion à l'Ouverture qu'il faut trouver le centre d'un cercle. On utilise encore indirectement la notion de centre, qui vient de nos décryptage, et on l'affine en passant de centre en général à centre d'un cercle. Mais là-encore, la notion de centre de cercle n'est pas la solution à proprement parler de l'énigme. Plus tard, il faudra trouver un cercle par son centre et sa tangente, utilisant un nouveau concept caché dans les énigmes sans en être la solution. Et puis ont tracera un carré dans ce cercle, et puis… etc. De fil en énigme, on obtient des concepts géométriques qui se combinent pour définir une construction géométrique. Quand on arrive à la zone et qu'on cherche où creuser, on se rend compte qu'on peut obtenir un pile poil en utilisant cette construction géométrique (c'est le déclic, le changement de braquet ; l'assemblage des reliquats étant en soi la compréhension de la méthode géométrique) et il ne reste plus qu'à trouver un moyen d'appliquer cette construction géométrique dans la zone avec les particularités de celle-ci (c'est le décryptage des reliquats).
Dans cette vision, les reliquats contribuent à l'obtention de la zone, donc il est impossible d'arriver à la zone sans avoir les reliquats, sauf hasard extraordinaire (et dans ce cas il sera impossible de trouver les reliquats). Dans cette vision il est inutile de chercher à identifier les reliquats isolément, même si c'est techniquement possible : il y a plutôt une compréhension globale de la super-solution, naturelle car dans la suite logique de ce qu'on a fait jusque-là. Mais aux questions portant sur l'identification des reliquats, Max est bien obligé de répondre qu'il faut les identifier et qu'il y a un truc pour ça, mais le truc c'est juste la construction géométrique. À partir du moment où Max reconnaît qu'on peut isoler les reliquats individuellement (même si ça n'a aucun sens de le faire en pratique), il est bien obligé de reconnaître qu'il faut ensuite les assembler, même si techniquement on reconnaît plutôt l'ensemble d'un coup (c'est comme l'image d'un chien : on peut dire qu'il a quatre pattes, une queue, des oreilles et un museau et dire qu'il faut assembler tout ça d'une certaine façon pour faire un chien, mais en réalité on reconnaît plutôt Pluto dans son ensemble, globalement). Et l'application de la construction géométrique dans la zone, Max ne peut pas vraiment faire autrement que de dire qu'il s'agit d'un décryptage, parce que c'en est un selon sa propre définition de ce terme, mais ce n'est certainement pas ce à quoi la plupart des chercheurs penseraient en entendant le mot "décryptage".
Dans cette vision, les reliquats contribuent à l'obtention de la zone, donc il est impossible d'arriver à la zone sans avoir les reliquats, sauf hasard extraordinaire (et dans ce cas il sera impossible de trouver les reliquats). Dans cette vision il est inutile de chercher à identifier les reliquats isolément, même si c'est techniquement possible : il y a plutôt une compréhension globale de la super-solution, naturelle car dans la suite logique de ce qu'on a fait jusque-là. Mais aux questions portant sur l'identification des reliquats, Max est bien obligé de répondre qu'il faut les identifier et qu'il y a un truc pour ça, mais le truc c'est juste la construction géométrique. À partir du moment où Max reconnaît qu'on peut isoler les reliquats individuellement (même si ça n'a aucun sens de le faire en pratique), il est bien obligé de reconnaître qu'il faut ensuite les assembler, même si techniquement on reconnaît plutôt l'ensemble d'un coup (c'est comme l'image d'un chien : on peut dire qu'il a quatre pattes, une queue, des oreilles et un museau et dire qu'il faut assembler tout ça d'une certaine façon pour faire un chien, mais en réalité on reconnaît plutôt Pluto dans son ensemble, globalement). Et l'application de la construction géométrique dans la zone, Max ne peut pas vraiment faire autrement que de dire qu'il s'agit d'un décryptage, parce que c'en est un selon sa propre définition de ce terme, mais ce n'est certainement pas ce à quoi la plupart des chercheurs penseraient en entendant le mot "décryptage".
« Une destination n'est jamais un lieu, mais une nouvelle façon de voir les choses » — Henry Miller
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