Bonjour à tous, ou rebonjour.
Non, la chouette n'est pas trouvé et je n'ai pas de pistes complémentaires ; c'est simplement que je viens de terminer ENFIN mon premier roman. Il traite, bien entendu d'une chasse au trésor disons très connues sans être celle onirique de Rennes le Château.
Je pense être le dernier chercheur sérieux sur l'affaire du trésor des chartreux de Villeneuve les Avignon et la chouette d'or m'a bien aidé à ouvrir mon esprit pour solutionner une carte au trésor complexe. C'est à partir de cette carte que mon héros parvient à trouver le trésor dont je suis persuadé de la localisation.
Reste à trouver un éditeur et je comptais beaucoup sur un sujet télévisé mais le Ministère de la culture par la directrice de la chartreuse a refusé le tournage dans le monastère. Du coup, le producteur a abandonné le projet. Je pense poursuivre dans cette voie et j'ai attaqué la suite consacrée, elle aussi à un trésor sur lequel j'ai un peu avancé : la chouette d'or. Donc, de retour épisodiquement.
Bien à vous tous
ENFIN
- Bioposis
- Hulotte
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Bonjour Sergio
Content de te retrouver !
J'espère avoir l'occasion et le plaisir de te lire bientôt !
A plus
Alain
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Alain
530 : I'll be back
780 : les pieds je les mets où je veux ! Et le plus souvent c'est dans la gueule !
470 : tu me fends le coeur !
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- Timy
- Hulotte
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Bon retour parmi nous.
Ca a l'air passionnant ton histoire et a l'air de changer des histoires de Templiers (me trompe-je ?).
Ayant été un lecteur de l'énigme sacrée à sa sortie, j'en ai un peu soupé des Da Vinci crypto et Cie (que du vu et du revue digne de la 650 ;) ).
@+
Ca a l'air passionnant ton histoire et a l'air de changer des histoires de Templiers (me trompe-je ?).
Ayant été un lecteur de l'énigme sacrée à sa sortie, j'en ai un peu soupé des Da Vinci crypto et Cie (que du vu et du revue digne de la 650 ;) ).
@+
- SERGIO
- Hulotte
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Merci de vos mots.
Schlopsy, Ok pour la rencontre au même lieu et au même endroit pour la médiévale.
Mon roman n'est pas encore publié. Le plus difficile n'est pas d'écrire ni même d'élaborer un plan sur un ensemble de chapitre permettant à la fois une lecture linéaire et une balance temporelle. La difficulté, c'est maintenant, trouver un éditeur. Certes, il existe tout un ensemble de propositions qui consistent dans des méthodes entre l'auto-édition et le compte d'auteur. Je préfère tenter ma chance en trouvant une maison qui pratique le compte d'éditeur tout en sachant que la possibilité n'est que de 1 sur 1 million. Je me donne un an et si personne n'en veut, je le publierai gratuitement sur un site public.
Timy, je suis bien d'accord avec toi. J'ai eu la chance de rencontrer à plusieurs reprise Henri de Lincoln, le co-auteur de l'énigme sacrée et il était très désappointer que le Da vinci code soit un plagiat de son livre. Je crois même qu'un procès est toujours en cours sur ce point. Perso, je trouvais l'histoire quelque peu dans la logique du livre de De Sède qui lança l'affaire dans les années soixante. Et déjà, la manipulation par le sulfureux Plantard était sans équivoque. Dans mon roman, mon but était de laver l'histoire d'une énigme de toutes ces manipulations, amalgames et impostures, afin d'éviter que l'histoire du trésor des chartreux deviennent comme à Rennes le château, un délire conventionnel. Je dit bien conventionnel car le mystère se nourrit du mystère, afin d'évoluer, il doit user du seul instrument pour survivre : le mensonge.
C'est là que l'aventure de la chouette y retrouve des similitudes. L'existence de fausses pistes qui ne peuvent se comprendre qu'au terme de l'exploration conduit à trouver nos propres fausses pistes et il devient impossible d'en sortir. Elle est là, cette force de ce jeu ; plus le temps passe, plus les fausses pistes existent, plus il est impossible de trouver la vraie.
C'est pour cette raison que je reviens pour user de la même méthodologie appliquée pour le trésor des chartreux afin d'essayer de donner un sens aux nombreuses années passées sur le sujet. A la différence de mes premiers pas dans le forum, je serais moins volubile car l'erreur consiste aussi à poser la réflexion sur une observation et lui affecter une valeur de certitude. Ma nouvelle approche sera de systématiquement réfuter cette tentation de penser que l'idée est plus forte que le sens. Dans mon roman, je présente un cryptage inédit que j'ai résolu en plusieurs années pour la simple raison que je maintenais l'idée que la solution résidait dans l'espace du problème. Or, tous les systèmes qui semblent insolubles disposent de la même logique : la solution se trouve toujours en dehors de cet espace mais la compréhension se limite à cet espace. Mon roman est construit de même et je pense que le jeu de la chouette fonctionne à l'identique. La notion de culture générale d'un enfant de quinze ans (suivant Max) est compatible avec l'idée d'astuce que seul un joueur plus mûr doit avoir. Je pense que c'est là que j'ai compris que l'espace de la compréhension n'est pas celui de la solution.
Mes amitiés à tous
Schlopsy, Ok pour la rencontre au même lieu et au même endroit pour la médiévale.
Mon roman n'est pas encore publié. Le plus difficile n'est pas d'écrire ni même d'élaborer un plan sur un ensemble de chapitre permettant à la fois une lecture linéaire et une balance temporelle. La difficulté, c'est maintenant, trouver un éditeur. Certes, il existe tout un ensemble de propositions qui consistent dans des méthodes entre l'auto-édition et le compte d'auteur. Je préfère tenter ma chance en trouvant une maison qui pratique le compte d'éditeur tout en sachant que la possibilité n'est que de 1 sur 1 million. Je me donne un an et si personne n'en veut, je le publierai gratuitement sur un site public.
Timy, je suis bien d'accord avec toi. J'ai eu la chance de rencontrer à plusieurs reprise Henri de Lincoln, le co-auteur de l'énigme sacrée et il était très désappointer que le Da vinci code soit un plagiat de son livre. Je crois même qu'un procès est toujours en cours sur ce point. Perso, je trouvais l'histoire quelque peu dans la logique du livre de De Sède qui lança l'affaire dans les années soixante. Et déjà, la manipulation par le sulfureux Plantard était sans équivoque. Dans mon roman, mon but était de laver l'histoire d'une énigme de toutes ces manipulations, amalgames et impostures, afin d'éviter que l'histoire du trésor des chartreux deviennent comme à Rennes le château, un délire conventionnel. Je dit bien conventionnel car le mystère se nourrit du mystère, afin d'évoluer, il doit user du seul instrument pour survivre : le mensonge.
C'est là que l'aventure de la chouette y retrouve des similitudes. L'existence de fausses pistes qui ne peuvent se comprendre qu'au terme de l'exploration conduit à trouver nos propres fausses pistes et il devient impossible d'en sortir. Elle est là, cette force de ce jeu ; plus le temps passe, plus les fausses pistes existent, plus il est impossible de trouver la vraie.
C'est pour cette raison que je reviens pour user de la même méthodologie appliquée pour le trésor des chartreux afin d'essayer de donner un sens aux nombreuses années passées sur le sujet. A la différence de mes premiers pas dans le forum, je serais moins volubile car l'erreur consiste aussi à poser la réflexion sur une observation et lui affecter une valeur de certitude. Ma nouvelle approche sera de systématiquement réfuter cette tentation de penser que l'idée est plus forte que le sens. Dans mon roman, je présente un cryptage inédit que j'ai résolu en plusieurs années pour la simple raison que je maintenais l'idée que la solution résidait dans l'espace du problème. Or, tous les systèmes qui semblent insolubles disposent de la même logique : la solution se trouve toujours en dehors de cet espace mais la compréhension se limite à cet espace. Mon roman est construit de même et je pense que le jeu de la chouette fonctionne à l'identique. La notion de culture générale d'un enfant de quinze ans (suivant Max) est compatible avec l'idée d'astuce que seul un joueur plus mûr doit avoir. Je pense que c'est là que j'ai compris que l'espace de la compréhension n'est pas celui de la solution.
Mes amitiés à tous
"Unité, diversité ; ce bînome fait notre richesse" F.MAYOR
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