EPIPHORE ? .. Epiphore toi-même !

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Rachel
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EPIPHORE ? .. Epiphore toi-même ! Messagepar Rachel » 12 janv. 2013 à 17:55
Ce titre accrocheur peut très bien ne rien évoquer pour beaucoup.
Il s'agit d'un style littéraire consistant à répéter un mot ou en groupe de mots en fin de phrase ( en début c'est une anaphore dont la plus célèbre récente fut celle de notre Président : "Moi, Président,....").

Classiquement on parle d'epiphore à partir de la 3eme répetition.
Avant c'est une simple répétition ou un doublement.
Or qu'avons nous avec les 2 IS suivantes ?
IL N'Y A PAS 36 OUVERTURES, IL N'Y EN A QU'UNE DANS LE LIVRE
POUR FAIRE BONNE MESURE, IL N'Y EN A QU'UNE DANS LE LIVRE

La 2eme IS fait donc un doublement.
S'il n'y a qu'une mesure dans le LIVRE et qu'il y a doublement du terme pour la mesure, serait-ce parce qu'en fait il y en a en réalité 2 dans le LIVRE ....
C'est une éventualité dans laquelle on peut tomber sans rougir.
Or LIVRE en alphanumerique = 12+ 9 +22+ 18+ 5 = 66
Cela revient à donner une mesure de 33...

Cette idée d'Epiphore et/ou de répétition est confirmée aussi avec l'IS A QUI LA FAUTE : PAS A MOI ! JE REPETE: PAS A MOI!
Cette IS est a mon sens un clin d'oeil pour l' Epiphore célèbre de Choderlos de Laclos

« [...] On s’ennuie de tout, mon Ange, c’est une loi de la Nature ; ce n’est pas ma faute.
Si donc je m’ennuie aujourd’hui d’une aventure qui m’a occupé entièrement depuis quatre mortels mois, ce n’est pas ma faute.
Si, par exemple, j’ai eu juste autant d’amour que toi de vertu, et c’est sûrement beaucoup dire, il n’est pas étonnant que l’un ait fini en même temps que l’autre. Ce n’est pas ma faute.
Il suit de là, que depuis quelque temps je t’ai trompée : mais aussi, ton impitoyable tendresse m’y forçait en quelque sorte ! Ce n’est pas ma faute.
Aujourd’hui, une femme que j’aime éperdument exige que je te sacrifie. Ce n’est pas ma faute.
Je sens bien que te voilà une belle occasion de crier au parjure : mais si la nature n’a accordé aux hommes que la constance, tandis qu’elle donnait aux femmes l’obstination, ce n’est pas ma faute.
Crois-moi, choisis un autre amant, comme j’ai fait une autre maîtresse. Ce conseil est bon, très bon ; si tu le trouves mauvais, ce n’est pas ma faute.
Adieu, mon ange, je t’ai prise avec plaisir, je te quitte sans regret : je te reviendrai peut-être. Ainsi va le monde. Ce n’est pas ma faute.[...] »

— Choderlos de Laclos, Les liaisons dangereuses, lettre CXLI

Avouez que c'est assez troublant.

Si on accepte cela , le pas est facile à franchir pour penser que la première IS indique que l'Ouverture , la vraie , la seule est aussi, et unique cette fois, dans le LIVRE mais qu'elle sera doublée avec l'aide de la seconde IS.

En d'autres termes : l'Ouverture que l'on cherche est dans le LIVRE.
Ce qui s'y trouve est confirmé ( donc doublé) grâce à la seconde IS.

Et c'est en fait ce qui se passe réellement...

:bise: :bise:
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karavan
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Rachel a écrit :Cette idée d'Epiphore et/ou de répétition est confirmée aussi avec l'IS A QUI LA FAUTE : PAS A MOI ! JE REPETE: PAS A MOI!
Cette IS est a mon sens un clin d'oeil pour l' Epiphore célèbre de Choderlos de Laclos

QUESTION No 8 DU 1995-08-19 a écrit :TITRE: A QUI LA FAUTE?
EST-IL EXACT QUE C'EST DOMINIQUE BRAUMBERGER QUI A AJOUTE "JE REPETE: PAS A MOI" LORSQU'IL A LU CETTE INDICATION SUPPLEMENTAIRE SUR TF1, OU CES MOTS FONT-ILS BIEN PARTIE DE L'INDICATION ET SONT-ILS A PRENDRE EN COMPTE DANS SON DECRYPTAGE? MERCI
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NON, CE N'ETAIT PAS LUI PUISQUE C'ETAIT UN ENREGISTREMENT DE MA VOIX. CETTE RE- PETITION N'A AUCUNE IMPORTANCE. JE L'AI FAITE A LA DEMANDE DE TF1 QUI VOULAIT 2 SECONDES DE PLUS DE TEXTE POUR UNE RAISON DE CALIBRAGE DE DUREE. VOUS POU- VEZ L'IGNORER. AMITIES -- MAX

Ceci n'enlève rien à la justesse de ta remarque sur la répétition de "IL N'Y EN A QU'UNE DANS LE LIVRE" d'autant que cette répétition émane de 2 IS données à 15 jours d'intervalle dans Le Journal du Dimanche (le 30/01/94 et le 13/02/94)
Celui qui trouve sans chercher est celui qui a longtemps cherché sans trouver.
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Rachel
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Concernant le madit cité , je suis au courant et ce n'est pas cela que je retiens en premier même si mon post le souligne, mais le clin d'oeil du Ce n'est pas ma faute avec A qui la faute : Pas à moi qui dit exactement la même chose tout en soulevant la question de savoir à qui elle incombe.

De plus il y a redondance dans les 3 IS du même terme : IL N'Y
IL N'Y A PAS 36 OUVERTURES, IL N'Y EN A QU'UNE DANS LE LIVRE
POUR FAIRE BONNE MESURE, IL N'Y EN A QU'UNE DANS LE LIVRE
IL N'Y A QU'UNE SEULE VÉRITÉ, ET IL FAUT LA TROUVER.....
On peut même y rajouter le A

J'y vois une invite à les considérer dans un ensemble.

:bise: :bise:
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karavan a écrit :[
QUESTION No 8 DU 1995-08-19 a écrit :TITRE: A QUI LA FAUTE?
EST-IL EXACT QUE C'EST DOMINIQUE BRAUMBERGER QUI A AJOUTE "JE REPETE: PAS A MOI" LORSQU'IL A LU CETTE INDICATION SUPPLEMENTAIRE SUR TF1, OU CES MOTS FONT-ILS BIEN PARTIE DE L'INDICATION ET SONT-ILS A PRENDRE EN COMPTE DANS SON DECRYPTAGE? MERCI
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NON, CE N'ETAIT PAS LUI PUISQUE C'ETAIT UN ENREGISTREMENT DE MA VOIX. CETTE RE- PETITION N'A AUCUNE IMPORTANCE. JE L'AI FAITE A LA DEMANDE DE TF1 QUI VOULAIT 2 SECONDES DE PLUS DE TEXTE POUR UNE RAISON DE CALIBRAGE DE DUREE. VOUS POU- VEZ L'IGNORER. AMITIES -- MAX

Ceci n'enlève rien à la justesse de ta remarque sur la répétition de "IL N'Y EN A QU'UNE DANS LE LIVRE" d'autant que cette répétition émane de 2 IS données à 15 jours d'intervalle dans Le Journal du Dimanche (le 30/01/94 et le 13/02/94)


Sérieusement, comment peut-on croire "2 secondes" à cette histoire de calibrage de durée ? Tu imagines TF1 qui "calibre" à 2 seconde près les interviews ? Et même si on m'avait demandé de faire cela à moi, j'aurais réenregistré l'IS en parlant un tout petit peu plus lentement.

Ca me rappelle un autre madit à dormir debout, et que pourtant les chercheurs récitent comme un article de foi. Celui selon lequel si les techniques d'impression étaient au point, MV se serait passé des longueurs d'onde. C'est du foutage de g... caractérisé ! Vous croyez que, au point ou pas au point, vous auriez été capables de classer dans le bon ordre quatre nuances de vert ? Soyons sérieux !

J'avais pensé à Laclos pour "Toujours nu"...

DL
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C'est du foutage de g... caractérisé ! DL

+1
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Don Luis a écrit :Sérieusement, comment peut-on croire "2 secondes" à cette histoire de calibrage de durée ? Tu imagines TF1 qui "calibre" à 2 seconde près les interviews ? Et même si on m'avait demandé de faire cela à moi, j'aurais réenregistré l'IS en parlant un tout petit peu plus lentement.

Certes je te l'accorde Max joue la mauvaise foi à 200% sur ce coup là !!!
Mais si il le fait c'est bien pour confirmer que la répétition de "pas à moi" n'a aucune importance et n'influe pas sur la signification de l'IS !! Car après tout si ça n'était pas le cas, il n'aurait pas répondu à la question ou se serait fendu d'un laconique "DESOLE, JE NE PEUX PAS REPONDRE A CETTE QUESTION. AMITIES -- MAX". Or, non seulement il répond mais il persiste et signe à de nombreuses reprises (Q23 DU 08-12-1995 - Q22 DU 02-08-1996 - Q14 DU 21-01-2000)
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Mais c'est comme pour la mise en page. S'il n'a dit "je répète : pas à moi" que forcé et contraint par TF1, pourquoi avoir reproduit ces mots dans la version écrite de l'IS ? Il y a contradiction entre ses paroles et ses actes.

DL
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Don Luis a écrit :S'il n'a dit "je répète : pas à moi" que forcé et contraint par TF1, pourquoi avoir reproduit ces mots dans la version écrite de l'IS ? Il y a contradiction entre ses paroles et ses actes.

Au contraire !!!! Imagine qu'il n'ait pas réécrit l'IS tel quel !!!
La réaction de certains chouetteurs aurait surement été terrible car ils lui auraient reproché de modifier les IS !!!
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En tout cas, on a bel et bien une répétition en rapport avec le mot "pas" dans la 560:

"NE t'attarde PAS, NE demande PAS ton reste".

(Comme par hasard, ces 2 NE PAS font pile un total de 100 en A0.)

Cela est repris dans les deux dernières lignes de l'énigme :

"Et tu NE regretteras PAS ce que tu as fait".

DL
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Je suis d'accord, cette histoire de calibrage à la seconde près ressemble fort à de l'enfumage de la part de Max.

Je pense personnellement que, bien qu'il s'en défende après coup (pourquoi ? peur d'en avoir trop fait et d'être trop explicite ?), cette répétition est volontaire de la part de Max, le but étant de mettre en exergue ce qui est important dans l'IS: trouver à qui est-ce la faute.
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Re: EPIPHORE ? .. Epiphore toi-même ! Messagepar Morty » 14 janv. 2013 à 10:01
Don Luis a écrit :"NE t'attarde PAS, NE demande PAS ton reste".
"Et tu NE regretteras PAS ce que tu as fait". DL

PAN(N)ES + PAN(N)ES = Deux fois PAS et NE + une faute.

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