Au pays de Merlin

Discussions sur le décryptage et l'utilisation des I.S.
indijames
Hulotte
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Messagepar indijames » 25 juil. 2008 à 22:24
" L'UNIVERSELLE ARAGNE - SUITE "




Nous l'avons vu, un lien étrange entre l'araignée et la main, et un
dénominateur commun, la spirale. Toile tissée suivant le tracé d'une
spirale pour l'épeire diadème, spirale " musicale " ou voie lactée dans
la main guidonienne. Et si le lien est si étroit, c'est simplement que la
symbolique de l'une est identique à celle de l'autre, dans leur fonction
de sentinelle, de gardienne !

5 lanternes des morts, 5 sentinelles comme les 5 doigts de la main qui
veillent sur la SAQC, la voie lactée, tout comme l'araignée veille sur sa
toile. Loufoque ? Regardez à nouveau cette peinture que vous pouvez
voir au dessus de l'entrée de la crypte de la cathédrale de Chârtres :




Image




Une main dans un cercle, symbole d'infini, au milieu des étoiles. Une
possible allusion à la voie lactée. Mais alors comment expliquer la toile
sur laquelle semble posée la main ? Il s'agit bien d'une toile d'araignée, et
la main remplace l'araignée ! Bon, admettons... Mais alors, sur quoi veille
la main, autrement dit l'araignée ?

Rappelez-vous mon post sur l'avant-bras qui contient le radius, le bon
rayon, et le scarificateur qui le révèle. Entre le coude, elbow, et le
poignet, l'os scaphoïde c'est à dire " la barque ". Voici sur quoi veille la
main ! Sur le coffre, le bras reliquaire tel qu'on peut le voir parmi les
merveilles du trésor de Conques. Alors lignes de scarification ou fils de la
toile d'araignée, il n'y a au fond pas vraiment de différence. C'est un
symbole qui se perpétue au travers du tatouage de la toile d'araignée sur
le coude. Mais combien savent réèllement la signification d'un tel acte ?
Sûrement bien peu surtout lorsqu'on voit qui se l'est approprié...

Regardez maintenant cette représentation d'Asmodée, le gardien du
trésor du roi Salomon, dans l'église de Rennes-le-Château :




Image


Une main qui a été sculptée de manière à évoquer une araignée,
particulièrement menaçante, et qui dévoile le genou, ou plutôt qui
veille sur lui, car le genou est toujours associé à l'entrée du temple, à
l'entrée du sanctuaire. Tout ceci sans compter que Rennes s'appelait
autrefois Regnes, d'où l'importance de l'araignée dans l'affaire de Rennes
le château. Voilà aussi pourquoi, dans le Seigneur des Anneaux, c'est bien
une araignée, " ELLE ", qui au bout de " la voie étroite " veille sur le passage
qui donne accès au Mordor et à " l'oeil de Sauron " , l'oeil destructeur.
Un oeil destructeur, ne retrouve-t-on pas là l'oeil de Râ, la lointaine, sous
la forme de la terrible lionne Sekhmet ? Celle-là même qu'il nous faut
trouver.

Pour en revenir à la main dans le cercle posé sur la toile d'araignée de la
photo ci-dessus, on notera également la présence du soleil et de la lune,
qui en symbolique, maçonnique notamment, représentent les " petites
lumières " alors que la règle, l'équerre et le compas représentent eux
" les grandes lumières ". Que de coïncidences tout de même entre cette
peinture et notre petite I.S. " les grandes lumières sont faites de petites
lueurs " associée à son visuel !


... à suivre...


Amicalement
Indi
indijames
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Messagepar indijames » 26 juil. 2008 à 17:17
" L'UNIVERSELLE ARAGNE - SUITE "








Image




Vous savez mon attachement à l'oeuvre d'Hergé, et à Tintin en particulier.
C'est parceque toutes les réponses aux questions que l'on peut se poser
sur la chouette se trouvent dans les albums de tintin ! C'est osé comme
affirmation j'en conviens, mais j'en suis intimemment persuadé.

Pour l'affaire qui nous occupe, c'est à l'album " L'étoile mystérieuse " qu'il
faut se référer. Un album où il est question de " fin du monde ", l'araignée
représentant " le châtiment ". Et pas n'importe quelle araignée, une épeire
diadème ! Or que vise Apollon dans la 420 si ce n'est la spirale à quatre
centres ? Flèche d'Apollon qui peut aussi prendre l'aspect du fléau, de la
peste, symbole du châtiment divin. Et au centre de la toile de l'épeire, la
mire, au centre de la cible.

Cette araignée, Tintin la rencontre à trois reprises. Lors de la première,
alors qu'il observe l'étoile mystérieuse au travers du téléscope, l'araignée
pendue au bout de son fil surgit dans l'objecif. Lors de la deuxième, elle
apparaît dans son rêve de fin du monde. Elle surgit enfin, gigantesque,
sur l'île mystérieuse. A chaque fois une araignée géante, vous remarquerez
bien, tout comme l'araignée du Seigneur des Anneaux. Et à chaque fois,
l'araignée semble " protéger " l'île. Elle surgit dans l'objectif alors que
Tintin contemple l'île qui grossit à vue d'oeil, elle le pourchasse enfin
après l'épisode du pommier géant sur l'île. Une araignée sentinelle.

Alors pourquoi cette araignée garde-t-elle l'île ? Une île qui a bien sûr
une signification particulière, une île qui s'enfonce sous les eaux à la
fin, " de manière pemanente " ! Une île qui est à l'origine cette " étoile
mystérieuse " synonyme de canicule, une étoile qui fait fondre même
le goudron ! Cette étoile synonyme de canicule, c'est Sirius, Canicula, de la
constellation du Grand Chien. L'étoile la plus brillante du ciel. Et surtout
une étoile associée à la déesse Hathor. Hathor qui n'est autre que la
déesse Sekhmet, la lionne surnommée " la lointaine ", sous son aspect
apaisé et bénéfique. " L'oeil de Râ ", qu'il nous faut retrouver, et que
garde l'épeire diadème qui cause tant de frayeur à Tintin, tout comme
" ELLE " garde " l'oeil de Sauron ".


... à suivre...



Amicalement
Indi
indijames
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Messagepar indijames » 26 juil. 2008 à 23:37
" L'UNIVERSELLE ARAGNE - SUITE ET FIN "









Image



La voici donc, notre " universelle aragne ", et le moins que l'on puisse
dire, c'est qu'elle n'a pas été gâtée par la nature ! Mais elle va en tout
cas nous permettre de clore ce châpitre.

Il s'agit bien sûr de Louis XI, fils de Charles VII, qui n'est pas non plus un
inconnu puisque c'est pour son sacre que furent réunis les fameux otages
de la Ste-Ampoule dont j'ai souvent parlé. Louis XI, né à Bourges en 1423.

Et comme l'a justement fait remarqué DL, c'est l'épisode de Péronne qui
est intéressant, pour ce qui nous concerne. Péronne. Un nom synonyme
d'humiliation pour Louis XI, un nom qu'on enseigna même aux perroquets !
Tant et si bien que le roi lui-même signa une ordonnance interdisant la
possession de ces oiseaux ... qu'on s'empressa de cacher dans les caves
pour mieux leur enseigner le " mot interdit " !

Mais au delà de l'anecdote, il faut bien voir ce que cette histoire nous
enseigne. Le fait même que nous soyons confrontés au perroquet doit
déjà nous mettre la puce à l'oreille. Le perroquet est le détenteur du
secret. Il est celui qui sait. Tintin nous en offre encore un exemple parfait
avec " coco " dans les bijoux de la castafiore, un nom prédestiné qui n'est
pas sans évoquer la fameuse île Coco, l'île au trésor. Le perroquet est celui
qui connaît le nom de l'assassin dans l'oreille cassée. Il est celui qui connaît
le language de l'ancêtre du capitaine Haddock, language auquel on peut
rajouter maintenant un nom : Péronne !

Nous avons vu jusqu'à présent que la main était symboliquement assimilée à
l'araignée, et sa toile au coude, alors qu'elle même veillait sur le radius, un
des deux os de l'avant-bras avec le cubitus. L'araignée veille aussi sur
l'entrée du sanctuaire que symbolise le genou. Un genou qui lorsqu'il est
dénudé est la marque de celui qui a reçu l'initiation. Tout ceci est
illustré par la statue d'Asmodée, abordée la dernière fois. Or si la main
peut être assimilée au pied et le coude au genou, au couple radius/cubitus
correspond le couple tibia/péroné, deux os qui ne se touchent qu'aux
extrémités, avec tout ce que ça implique.

Et oui, le péroné. Vous allez me dire, un peu facile le rapprochement
avec Péronne. Une différence de taille cependant, la prononciation due à
la présence de l'accent aigü dans le cas de l'os. Mais vous savez aussi
quel est le nom originel de l'accent aigü : l' Apex. Ah... il y avait longtemps !
Oui, l'Apex, qui se cache aux limites de l'éternité, là ou le serpent de
l'ouroboros se mord la queue, symbole du cercle de l'éternité. Je l'ai
souvent dit, là où se produit la jonction du cercle, et qui nous révèle le
centre, la définition même du rayon. Une jonction qui est aussi symbolisée
par la fibule. Il ne faut donc pas s'étonner si la dénomination exacte du
péroné soit la ... " fibula " ! Car il n'y a pas de hasard.

Péronne et " l'universelle aragne ", ou l'araignée veillant sur le péroné,
aux limites duquel on trouve l'Apex, symbole de la fibule. A noter
également que la rotule du genou est un os " sésamoïde ", dont la
fonction est de révéler " l'ouverture " !

Alors trouver mention de la fibule dans une énigme où apparait la main,
rien de surprenant à cela. Quant au célèbre compositeur Palestrina,
originaire de l'antique Préneste, il était lui-même surnommé " une grande
lumière ".

Et même si vous ne voyez pas de rapport avec la chouette, gardez
néanmoins tout ceci dans un coin de votre mémoire ...


Amicalement
Indi
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Messagepar indijames » 28 juil. 2008 à 22:02
" CA C'EST PASSE EN L'AN 778 "







Une I.S. qui évoque la bataille de roncevaux, et plus particulièrememnt
la mort de Roland. Avant de mourir, celui-ci trouve la force de souffler
dans son cor, appelant ainsi à l'aide ses compagnons, un épisode relaté
dans la chanson de Roland, que tout le monde connaît. Le cor de
Roland était en fait un Olifant. Voici à quoi ça ressemble, et on imagine
aisémment celui-ci accroché à la ceinture de Roland.



Image



Et voilà maintenant l'olifant tel que Becker l'a représenté :


Image



Je ne trouve pas que ce soit particulièrement ressemblant.
En revanche, il me semble qu'il y a beaucoup plus de similitudes avec ces
trompes du tibet, ne trouvez-vous pas ?



Image


Oui, oui, celle-là même dans laquelle souffle le capitaine Haddock !
Admettons ... Mais dans quel but alors ?

Le son qui sort de ces trompes évoque le Grand Son Primordial, qui était
symbolisé par deux lettres majuscules entrelacées, un A et un M.
Plus connu sous la forme du monogramme OM. Mais restons sur le A et le M.
L'entrelacement de ces deux lettres est aussi utilisé comme artifice
pour construire une étoile à six branches également appelé Sceau de
Salomon, une figure qui permet de tracer, en reliant les six pointes
de l'étoile, un hexagone. Hexagone que l'on retrouve bien dans le
visuel suivant. Ces quatre mini-visuels sont étroitement liés, j'y reviendrai.
Mais on peut déjà remarquer qu'ils sont tous peints à partir des trois même
couleurs, le rouge, l'or et l'anthracite.

Rouge et or, tiens, comme nos moines tibétains...



Amicalement
Indi
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Isatis
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Messagepar Isatis » 29 juil. 2008 à 06:47
Est-il bien raisonnable d'aller chercher au Tibet ce qu'on a à la maison :edente:

http://www.lesbrianconneurs.com/index2.php :cligne:
indijames
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Messagepar indijames » 29 juil. 2008 à 11:13
Va pour le cor des Alpes ! :edente:

Amicalement
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Messagepar indijames » 29 juil. 2008 à 22:57
ImageImage



Je partirai du fait que nous sommes bien en présence d'une abeille, même
s'il est vrai que c'est largement discutable. Mais ce visuel ne peut
prendre tout son sens et s'insérer parmi les autres que s'il s'agit
effectivement d'une abeille. Il est vrai que le texte décrypté de cette
I.S. fait référence à Napoléon, qui avait l'abeille pour symbole, avec
l'aigle bien sûr.

Quelle rapport avec le deuxième visuel ?

Nous avons un hexagone. Or l'alvéole de l'abeille est toujours de forme
hexagonale. Une alvéole qui porte le nom de loge, un terme beaucoup
plus lourd de symbolique. Pour la loge spécifique de l'abeille royale, on
parle de Praétorium, tout comme l'antique cité gallo-romaine qui domine
St-Goussaud, une des cinq lanternes des morts de la Creuse. Parmi ces
cinq lanternes se trouve également celle de la souterraine, de forme
hexagonale, telle que vous pouvez la voir ci-dessous.


ImageImage


La vue intérieure du sommet est assez ressemblante de notre visuel, il
faut bien l'avouer. Six ouvertures laissant passer trois faisceaux lumineux,
donnant la forme d'un hexagone. Quant à l'aspect extérieur, il évoque
assez bien le crayon du visuel de la 560.

Et puisqu'on parle de crayon, la loge n'est-elle pas aussi la " chambre de
trait " des tailleurs de pierre qui ont construit nos cathédrales ?

Amicalement
Indi
Don Luis
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Messagepar Don Luis » 30 juil. 2008 à 02:28
Ca, c'est assez joli !

Le crayon pourrait aussi être une allusion à la tour du Crédit lyonnais à Lyon, qui est surnommé "le crayon" (je crois même que cela est rapporté dans le Michelin). On peut faire le rapprochement entre le "Crédit lyonnais" et les mots "prête un arc" et "emprunte l'orthogonale".

Quant au cor dessiné par Becker, crois-tu que son morse est réaliste ? Il ressemble à une otarie déguisée en Dracula ! Un morse est un animal très gras à la peau pleines de replis.

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
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trismus
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Messagepar trismus » 30 juil. 2008 à 09:42
Don Luis a écrit :Quant au cor dessiné par Becker, crois-tu que son morse est réaliste ? Il ressemble à une otarie déguisée en Dracula ! Un morse est un animal très gras à la peau pleines de replis.

DL :alatienne:


Ça, c'est une réflexion pleine de bon sens, amha !!! :bravo:
:alatienne:
Une poule est l'artifice qu'utilise un oeuf pour produire un autre oeuf. U. Eco
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Messagepar indijames » 30 juil. 2008 à 10:21
Don Luis a écrit :Ca, c'est assez joli !

Le crayon pourrait aussi être une allusion à la tour du Crédit lyonnais à Lyon, qui est surnommé "le crayon" (je crois même que cela est rapporté dans le Michelin). On peut faire le rapprochement entre le "Crédit lyonnais" et les mots "prête un arc" et "emprunte l'orthogonale".

Quant au cor dessiné par Becker, crois-tu que son morse est réaliste ? Il ressemble à une otarie déguisée en Dracula ! Un morse est un animal très gras à la peau pleines de replis.

DL :alatienne:



Je connais bien la tour du Crédit Lyonnais, qui défigure cette belle ville
de lyon, amha. C'est vrai qu'on dit " le crayon ". Mais sincèrement , j'espère
que Max ne s'en ai pas inspiré ! Je préfère les lanternes des morts.
D'ailleurs au passage, elles ne sont pas toutes hexagonales. Il y en a des
carrées, des octogonales ... Peut-être un rapport avec l'I.S. " semblables
et dissemblables ... "

Et puis ce que je vais dire là va peut-être en faire bondir plus d'un, les
partisans de l'impartialité à tout prix, mais je n'imagine pas Max se servir
de constructions contemporaines, telles que des centrales nucléaires, des
immeubles, et en particulier toutes les horreurs bétonnées à la
Lecorbusier. Oui je sais, il ne faut pas se focaliser que sur ce qu'on aime ou
sur ses thèmes de prédilection, mais quand même ! Et puis regardez un peu
les autres chasses de Max. Regardez quels sont ses centres d'intérêt !
Se servir du crayon de lyon ou de la chapelle de Ronchamps serait pour
moi le comble du mauvais goût en matière de chasse au trésor.
Mais ce n'est bien sûr là qu'un avis personnel.


Quant au morse, il me semble qu'il y a là, comme pour le cygne de la 600,
une illusion optique qui dissimule une gueule de serpent prête à mordre.
Alors oui, j'aime bien ton allusion à Dracula !

Amicalement
Indi
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Peels
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Messagepar Peels » 30 juil. 2008 à 12:19
Don Luis a écrit :Ca, c'est assez joli !

Le crayon pourrait aussi être une allusion à la tour du Crédit lyonnais à Lyon, qui est surnommé "le crayon" (je crois même que cela est rapporté dans le Michelin). On peut faire le rapprochement entre le "Crédit lyonnais" et les mots "prête un arc" et "emprunte l'orthogonale".
DL :alatienne:


C'est la tour de la PART DIEU ...

Amicalement Peels :bougie:
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Messagepar Don Luis » 30 juil. 2008 à 21:54
Peels a écrit :
Don Luis a écrit :Ca, c'est assez joli !

Le crayon pourrait aussi être une allusion à la tour du Crédit lyonnais à Lyon, qui est surnommé "le crayon" (je crois même que cela est rapporté dans le Michelin). On peut faire le rapprochement entre le "Crédit lyonnais" et les mots "prête un arc" et "emprunte l'orthogonale".
DL :alatienne:


C'est la tour de la PART DIEU ...

Amicalement Peels :bougie:


Oui c'est ça :

http://fr.wikipedia.org/wiki/Tour_du_Cr ... t_lyonnais

Je ne connais pas bien Lyon, mais j'ai souvent vu cette tour depuis un TGV ou lors d'une correspondance à Lyon Part-Dieu.

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
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Messagepar indijames » 30 juil. 2008 à 22:34
ImageImage







Regardez bien ces deux visuels. Et si le premier n'était qu'un agrandissement
du second ? Si la partie rouge dans le coin au dessus de l'abeille était une
partie du coeur représenté à droite ? Dans ce cas, il faudrait en déduire
un lien entre l'abeille et l'ouverture, ou le coeur. Ou les trois !

On a vu la dernière fois que l'alvéole de l'abeille portait le nom de loge, et
était de forme hexagonale. Un hexagone qui est la figure que l'on obtient
si on relie les six pointes d'une étoile à six branches, également appelée
sceau de salomon. Or il se trouve que ce sceau est symboliquement
toujours associé au coeur, en tant que centre, centre de gravité, source
d'attraction, un centre unificateur des opposés, des complémentaires,
comme l'évoquent les gravures ci-dessous :



Image


Image



Le coeur est source de gravité, un centre d'attraction envers le Tout,
comme le soleil l'est avec les planètes. " Un, le Tout ", Entopan, est le
surnom de l'Ouroboros, notre serpent qui se mord la queue. Tout est
révélé lorsque la jonction est accomplie, autrement dit le coeur, le sceau
de Salomon.

Le coeur peut aussi être assimilé à l'oeil et à la main en symbolique.
Ne dit-on pas " avoir le coeur sur la main ", ne parle-t-on pas de " l'oeil du
coeur " cher à St-Augustin, et de " l'aveugle aux doigts de lumière " ? Ce
n'est pas un hasard si c'est l'oeil du coq qui désigne le coeur de la France.
Le coeur ou sceau de salomon au centre du cercle peut donc à ce titre
tout à fait être remplacé par la main. Rappelez vous la fresque au dessus
de l'entrée de la crypte de la cathédrale de Chârtres : une main dans un
cercle. On comprend donc mieux maintenant la présence du soleil et de
la lune, les " petites lumières " ,si on se réfère à la gravure ci-dessus !

Le coeur, l'oeil et la main. La révélation viendra de l'ouverture. Ouverture
de la main qui révèle la spirale à quatre centres, la voie lactée. Ouverture
de l'oeil, oeil de Shiva, le dieu aux quatres bras, c'est aussi Hathor, l'oeil
de Râ, dont est issu " l'ordre hathorique ", la pierre cubique aux quatre
faces à l'effigie de la déesse. Ouverture du coeur enfin, synonyme de
" blessure " causée par la flèche décochée par cupidon, la " voie du
coeur " étant bien celle tracée par l'Amour.

La blessure du coeur. Mais qu'en est-il de celle ... de la main ?

Amicalement
Indi
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Messagepar indijames » 31 juil. 2008 à 23:10
" AIE CONFIANCE EN L'AIGUILLE MAINTENANT. MAIS SACHE QUE TU SERAS
TRAHI PLUS TARD "








Image



La première chose à laquelle on pense en lisant cette I.S. est que
l'aiguille dont il est question pourrait être celle de la boussole. A juste
titre, comme on le verra.

Une aiguille aimantée qui indique toujours le nord. Alors en quoi consiste
cette trahison ? On peut se dire que plus tard, lorsqu'il sera question
d'orientation, peut-être faudra-t-il est prudent. Je pense en particulier
au " ponant " de la 650.

Mais il y a une autre manière d'aborder cette I.S. L'aiguille " maintenant ",
ou l'aiguille en main. Et s'il était question d'une piqûre, une " trahison " de
l'aiguille ? Aie confiance ... Aïe ! Oui, piqué par l'aiguille. Mais une aiguille
de quelle sorte ? Et si la trahison était ... nécessaire ? Autrement dit si la
piqûre était intentionnelle ?

Toute l'astuce est là. L'aiguille est ... creuse, comme l'est une aiguille
hypodermique destinée à pratiquer une injection ou un prélèvement.
Et si l'on revient un instant sur l'aiguille de la boussole, celui qui a un
tant soit peu exploré la piste aux étoiles aura noté que ce qui constitue
aujourd'hui l'aiguille de la constellation de la boussole représentait
autrefois le mat du navire Argo. L'aiguille est creuse, autrement dit
le mat est creux ! Oui, creux, comme le sont les mats des trois licornes
dans lesquels sont cachés les trois parchemins qui mènent au trésor, une
fois réunis.

L'aiguille est creuse, le mat est creux, " l'os est creux ". Ce que signifie bien
" Holbein ", du nom du peintre qui a réalisé le tableau " les ambassadeurs ".
Et vous savez toute l'importance de ce tableau à mes yeux, qui me
révèle la zone finale grâce au globe terrestre posé sur l'étagère inférieure.
Un final calqué sur le dénouement du " trésor de Rackham le Rouge ".

Je n'en demande pas plus.



Amicalement
Indi

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