Au pays de Merlin

Discussions sur le décryptage et l'utilisation des I.S.
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Au pays de Merlin Messagepar indijames » 25 juin 2008 à 18:07
Voici mon sentiment sur quelques indications supplémentaires.
Aujourd'hui j 'aborderai celle-ci :



" Même un enchanteur n'y trouverait point de chouette d'or ! "



Une localisation négative. Tout le monde aura bien sûr fait le
rapprochement avec la forêt de Brocéliande et l'enchanteur Merlin.

Mais est-ce là tout ? Je ne pense pas.

Je pense qu'il y a une allusion cachée, et ceci est valable pour toutes les
I.S. à mon avis, localisations négatives ou pas.

Brocéliande. Un jeu de mot peut-être ? " Broce et liande " ? Oui sauf que
ça ne veut rien dire. Ca n'a rien voulu dire pour moi jusqu'au jour où
j'ai trouvé ma nef encalminée, le château de Boussac et son plus illustre
propriétaire, Jean de Brosse, dont j'ai souvent parlé. Cette histoire de
" brosse " m'a interpellé, et même plus encore lorsque j'ai découvert son
blason :




Image

Armes : d’azur à trois gerbes – ou « brosses » – d’or liées de gueules



Trois " brosses liées ", j'ai la faiblesse de croire qu'il ne s'agit pas là d'une
simple coïncidence.

Qui sait ?


D'autant que le visuel de la 560 a toujours représenté pour moi, et pas
seulement, un épi de blé, par sa couleur dorée et sa forme caractéristique




Une occasion aussi de rendre hommage à cet illustre personnage, qui
fut déjà à l'époque une victime des requins de la finance.





Jean de Brosse
Seigneur de Boussac et Sainte-Sévère
Maréchal de France



" Jean de BROSSE (* 1375, † 1433), seigneur de Boussac, de Sainte-Sévère, d’Huriel et de La Pérouse, conseiller et chambellan du roi, il est promu maréchal de France en 1427. Il est chargé du commandement en chef de l’armée royale au siège d’Orléans en 1429. Au sacre de Reims, il est l'un des otages de la Sainte Ampoule. Il meurt ruiné par les dépenses qu'il a engagées pour soutenir la guerre, et son cadavre est excommunié à la demande de ses créanciers ! Le plus souvent les chroniqueurs et historiens l'appellent le "maréchal de Boussac" ou le "maréchal de Sainte-Sévère".




Amicalement
Indi
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Messagepar Don Luis » 25 juin 2008 à 20:00
Seigneur de Boussac et de La Pérouse ?
C'est fou ces coïncidences !

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 25 juin 2008 à 20:27
Don Luis a écrit :Seigneur de Boussac et de La Pérouse ?
C'est fou ces coïncidences !

DL :alatienne:



... Je te dis !... Tu vois ça, même ? Ahhh ... c'est fou, deh !


:alatienne:
Amicalement
Indi
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 26 juin 2008 à 00:59
Nouvelle indication supplémentaire :



" IL N'Y A PAS 36 OUVERTURES, IL N'Y EN A QU'UNE DANS LE LIVRE ! "




Ce nombre 36 n'est à mon sens pas anodin. Il est notamment la valeur
que fait la pointe d'une étoile à cinq branches, un pentagramme,
également appelée étoile flamboyante ou étoile des sages. En son centre
se trouve la lettre " G ", ce qui a donné lieu à bien des interprétations.

Ce nombre 36 est associé à l'ouverture. Comme l'ouverture que peut
faire un angle de 36°. J'ai à plusieurs reprises expliqué comment je
traçais une étoile à cinq branches sur la carte. Une même étoile que je
traçais deux fois, en suivant deux pistes différentes, toutes deux
ayant un lien direct avec le tableau des Ambassadeurs.






Image







" Il n'y en a qu'une dans le livre ". Une ouverture, la véritable pour moi,
Bourganeuf, révélée dans la 560. A noter que c'est bien l'ouverture
Bourganeuf qui me sert à tracer le trait à ne pas regretter qui joint
Boussac puis bifurque à 36° pour rejoindre Albi et ainsi permet de tracer
l'étoile. L' étoile à cinq branches, un des attributs de Vénus avec le
pouce, que l'on nous glisse discrètement au passage, en nous
recommandant de ne pas dévier.

Quant au livre, s'il est légitime de penser bien sûr et avant tout à celui
que nous possédons tous, à quel autre livre cette I.S. pourrait-elle aussi
faire allusion ?

Il n'y a pas 36 ouvertures. Il n'y aura pas 36 ouvertures. Il n'y en aura qu'une
et lorsque cette ouverture aura lieu, tout sera révélé. Un livre qui ne
s'ouvre qu'une fois. Un livre symbole de Vérité. Ce livre, c'est le Livre des
sept sceaux, celui qui sera ouvert le jour du Jugement dernier, à l'heure
des comptes. Et nous rejoignons là la pesée des âmes par Thot, symbole
de la Sagesse, à l'aide de la Plume de Maat, la Vérité. Thot ou son
équivalent chrétien, St Michel.


Sept sceaux qu'il faut ouvrir, sept symboles comme les sept glyphes
représentant les planètes sur le visuel de la 420, qui contiennent tous
un élément caché à découvrir, à décrypter.


Quand tout est révélé, que l'ouverture a eu lieu, les sentinelles
attendent, telles les lanternes des morts guidant les âmes pour le
jugement, tels les anges gardiens du tympan de l'abbaye de Conques
pour la pesée. Des âmes qui attendent l'appel du jugement dernier,
auquel nul ne pourra se soustraire. Des âmes qui attendent " le signal ".


A moins bien sûr qu'il ne s'agisse là que de notre bon vieux livre de la
chouette.

Allez savoir...



Amicalement
Indi
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Messagepar Don Luis » 26 juin 2008 à 16:31
Pour moi, 36, c'est la différence entre le nombre de cases de l'échiquier à l'ancienne (100 cases) et l'échiquier moderne (64 cases).

Ni plus, ni moins !

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
Ra
Rantanplan
Messagepar Rantanplan » 26 juin 2008 à 16:46
Don Luis a écrit :Pour moi, 36, c'est la différence entre le nombre de cases de l'échiquier à l'ancienne (100 cases) et l'échiquier moderne (64 cases).

Ni plus, ni moins !

DL :alatienne:


Un échiquier à 100 cases, ne serait-ce pas un JEU de DAMES
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 26 juin 2008 à 21:55
Don Luis a écrit :Pour moi, 36, c'est la différence entre le nombre de cases de l'échiquier à l'ancienne (100 cases) et l'échiquier moderne (64 cases).

Ni plus, ni moins !

DL :alatienne:



Pt'êt ben qu'oui ... pt'êt ben qu'non !

Amicalement
Indi
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 27 juin 2008 à 00:03
Continuons notre petit voyage au pays des I.S...


" UNE FOIS N'EST PAS COUTUME... "





Image




Jouons sur les mots. Le ton est donné.

Où il est question d'un abbé. Plusieurs pistes intéressantes ont été
avancées comme celle de l'abbé de l'Epée. Pour ma part, je suis convaincu
qu'il s'agit d'une allusion à l'abbé Olier, parce que membre fondateur de
la "cabale des dévots ", la sulfureuse Compagnie du Saint Sacrement de
l'Autel, et curé de la paroisse de St-Sulpice, souvent évoquée lors de
l'affaire de Rennes-le-Château. N'est-ce pas d'un abbé " dévot " dont il est
question ? Abbé Olier, qui d'autre mieux qu'Ophélie pour nous
mettre sur sa piste ?


L'avocat peut-être.


Le point d'impact de ma flèche d'Apollon se situe au lieu-dit de " la vente
de l'avocat ". Si on devait réellement trouver un tel point, je pense qu'on
serait bien avisé de chercher à découvrir de qui il s'agit, et qu'est-ce
qu'il a bien pu vendre.

De quel avocat parle-t-on ? Il faut se resituer dans l'énigme 420, énigme
qui fait la part belle à Napoléon, par ses références à l'aigle, au
débarquement à Golfe-Juan et à la bataille de Waterloo. Peut-être
devons-nous partir de là pour commencer nos investigations, et pour
conserver une certaine élégance me semble-t-il.

La solution viendra de trois indices puisés dans la 420 et la 500 et mis en
commun: Napoléon comme je le disais à l'instant, Perséphone, décryptage
issu de la 500, et l'énigme 500 elle-même. Il ne faut dès lors pas longtemps
pour découvrir de qui il s'agit : Jean-Jacques Régis de Cambacérès,
instigateur du code civil sous Napoléon, avocat et président du " Conseil
des Cinq-Cents ". Perséphone étant quant à elle la fille de Déméter,
Dame Nature, également appelée Cérès .



Image



Perséphone nous est également astucieusement suggérée, par les mots
" Espérons qu'Ophélie ". Car si " S " perd " Ons ", il reste " espéron ", dont
le " O ", lié à " phe ", nous donne " espérophen ", autrement dit
" Perséphone ". Mais ci ceci vous hérisse le poil, alors oubliez-le, ne vous
focalisez pas là dessus, c'est loin d'être le plus important. J'avais trouvé
ça amusant !

Maintenant que nous avons l'avocat, essayons de chercher s'il n'a pas
procédé à une vente particulière. Il se trouve que si, celle de l'hotel de
Mollé. Tiens, un hotel, alors que nous avons déjà mis la main sur l'abbé
Olier, un des fondateurs de la Cie du St Sacrement de ... l'autel ! Une
coïncidence de plus, certainement.

" Hotel de Mollé ". Et bien suivons ce judicieux conseil , et " ôtons un L ".
Et qu'on ne vienne pas me dire que c'est du Maurice Biraud ! Ce n'est
ni plus ni moins que la technique employée par Max dans cette I.S. Un jeu
de mot. Ôtons un L à Mollé, il nous reste " Mole ". Mole, mola, molaire, la
dent de sagesse, la meule du moulin. Et en parlant de moulin, ne trouve-t-
on pas justement des gerbes de blé dans l'énigme suivante, les fameuses "
brosses liées " sur le blason du maréchal de Boussac ? Attention meunier,
tu dors, ton moulin va trop vite ...

Le jour du Jugement dernier, il est dit que les anges moissoneront les
Justes et vendangeront les méchants. Des justes qui passeront par le
" moulin mystique ", la pierre vivante posée en sillon, dans la main de
dieu. " Venez à moi vous tous qui souffrez et qui êtes accablés
et je vous soulagerai ... "


Vous ais-je déjà parlé de la parabole des épis de blé que Jésus égrène
dans sa main, parabole qui figure sur un des deux parchemins retrouvés
dans le pilier wisigothique de l'autel de l'église de Rennes-le-Château ?
Une parabole issue du " Codex Bezae Cantabrigiensis ", un nom qui tombe
à point nommé puisque nous sommes bien dans l'I.S. des trois habiles
rendez-vous.

L'autel, c'est enfin le lieu où l'on pratique le sacrifice. Là encore, les
coïncidences sont frappantes. Car l'hotel de Mollé peut aussi s'entendre
" Autel de Molay ". Là où fût immolé, c'est le cas de le dire, le dernier
grand maître des templiers, Jacques de Molay, à Paris, au square dit
du " Vert-Galant ". Allons donc vers " G ", autrement dit le centre de l'étoile
à cinq branches, pour voir ce qui s'y trouve. Une surprise de taille !
Car si j'ai déjà parlé d'Aubazine et du Saut de la Bergère, je n'ai pas encore
révélé qu'Aubazine est aussi le lieu où fût dissimulé le St Suaire. Pas celui
de Turin, mais de Cadouin. Il s'avérera plus tard qu'il s'agissait d'un faux,
mais, comme dans le cas de la fibule de Préneste, c'est le symbole qu'il
faut retenir.

Le St-Suaire, ou la relique contenant l'empreinte du Christ crucifié. Une
version soutenue évidemment par l'Eglise, mais qui a toujours été contestée
et une autre version voudrait que le St-Suaire soit non pas le linceul de
Jésus mais le tissu qui servit à envelopper le corps de Jacques de Molay
après son passage entre les mains de l'Inquisition, et avant son execution.
Une thèse très en vogue, et qui a de nombreux adeptes. Voici le lien
d'un site certes orienté, mais très bien documenté sur le sujet.

http://princessedenuit.oldiblog.com/?pa ... id=1399130


Cette thèse a toutefois le mérite de s'insérer parfaitement dans mon
dispositif, et ressemblerait bien à la pièce du puzzle qui semblait me
manquer jusqu'ici pour former un tout cohérent. Car si j'avais jusqu'ici
nombre de chevaliers parmis les fondateurs de l'Ordre, notamment
Godefroy de St-Omer, Payen de Montdésir, André de Montbard et
Archambaud de St-Agnan, il me manquait le dernier d'entre eux, le
dernier Grand-Maître.

Ainsi le centre de l'étoile à cinq branches, Aubazine qui a conservé le
St-Suaire, symbole associé à Jacques de Molay dernier grand Maître de
l'ordre, se trouve également être le point de départ du " terminateur ", la
limite entre l'ombre et la lumière, qui s'achève à Montbard, nom de l'un des
neuf fondateurs. Le terminateur ou gonfanon beaucent, la règle à suivre,
la règle de l'ordre.

Une thèse pour le moins osée, mais qui expliquerait tout.


Mais alors me direz-vous, et ces " trois habiles rendez vous ... ? "



Amicalement
indi
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 27 juin 2008 à 15:57
... suite et fin de l'I.S...




" UNE FOIS N'EST PAS COUTUME ... "





Image




Nous en étions resté sur les trois habiles rendez-vous en mer cantabrique.
Et bien je peux vous dire que nous les avons déjà rencontrés à plusieurs
reprises, et qu'ils sont intimement liés à tout ce que nous avons vu
précédemment.

J'ai une vision assez personelle de la " mer cantabrique ". C'est le terme
" habile " qui m'a mis la puce à l'oreille. Pourquoi trois habiles rendez-vous?
Je me suis dit qu'il devait y avoir une astuce cachée là dessous, et c'est
dans cet état d'esprit que j'ai essayé de comprendre ce que Max voulait
entendre par Mer cantabrique.

C'est le terme " cantabrique " qui me mettra sur la voie, comme étant
l'association du " quanta " et de la brique, le quanta étant à la lumière
ce que l'atome est à la matière, c'est à dire la " brique élémentaire ".
Nous voici donc avec une mer cantabrique pour le moins surprenante : le
tableau périodique des éléments parmi lesquels nous devrons en réunir
trois, les trois éléments fondamentaux de la matière, à l'origine de toute
vie. J'ai nommé l'Hydrogène, l'Oxygène et le Carbone.


Trois éléments, trois symboles : H O C


" L'eau, l'air, la vie... "


Vous vous souvenez peut-être d'une certaine pub pour une certaine
bouteille d'eau minérale, et d'une jeune femme en face d'un lion, elle
même plus terrible encore en lionne rugissante !


Et pour cause...


" Tout " est résumé dans ces trois lettres. Trois lettres que l'on retrouve
parmi les quatre cases centrales de l'échiquier que l'on aura rempli avec
les 64 lettres du texte de la 780. La quatrième étant le lettre U, nous
donnant par la même occasion CHOU, à qui Râ ordonna d'aller chercher
la lointaine, Hathor, réfugiée en Nubie sous la forme de la terrible lionne
Sekhmet.




Image





HOC que l'on retrouve bien sûr dans la devise " IN HOC SIGNO VINCES ", par
ce signe tu vaincras. Une croix posée sur le soleil. Où rencontrons nous
cette devise précisément ? Il s'agit de la devise de Felletin, la première
des cinq lanternes des morts de la Creuse, celle qui nous donne l'angle de
36°, celui de l'étoile à cinq branches, l'angle qui nous donne la direction à
suivre lorsque nous sommes parvenus à Boussac, venant de Bourganeuf et
dos à St-Omer. Une devise surmontant une croix templière. Voir mon post
précédent sur jacques de Molay, le St-Suaire et les fondateurs de l'ordre,
d'après la règle.

Cette devise est également présente dans l'église de RLC, avec une nuance
de taille, " par ce signe tu LE vaincras ", un signe de croix que reproduisent
les anges au dessus du bénitier que supporte Asmodée.
" Les anges sépareront les méchants des justes ". Des Justes qui seront
moissonnés, tels des épis de blé. Et nous retrouvons là la parabole des
épis de blé du Codex Bezae Cantabrigiensis, un " Code Cantabrique " ou
" code quantique " basé sur trois lettres.



Prochain épisode, " Sur la tombe de la chouette j'ai planté un arbuste "


" Oh bravo ! "
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 28 juin 2008 à 01:43
" SUR LA TOMBE DE LA CHOUETTE J'AI PLANTE UN ARBUSTE "



Première chose que l'on remarque, c'est que Max parle de la tombe de la
chouette, et non pas de la cache comme à son habitude. Une tombe
sur laquelle il a planté un arbuste, une allusion même pas voilée à la
tombe d'Hiram, grand architecte du temple de Salomon, et assassiné
en refusant de révéler le mot secret. Enterré à la hâte par ses meurtriers,
son cadavre fût découvert par un de ses disciples partis à sa recherche.
Lorsque voulant retirer le corps de la tombe il tira sur son poignet, la chair
se détacha des os ( révélant l'os scaphoïde, NDLR).



:navet:



Cet épisode est d'une importance capitale, et est à l'origine de toute la
tradition maçonnique spéculative, héritière des maçons batisseurs de
cathédrales. La chair se détache des os, symbole de la transmission du
savoir et imagé par la paume bleue, la main ou la pomme, mordue ou
croquée. Vous voyez le symbole de la firme Apple ? C'est exactement ça.
Symbole que l'on retrouve dans les fameuses " pommes bleues " qui
apparaissent touts les 17 janvier dans l'église de Rennes-le-Château.


Lorsque le cercueil de l'abbé Olier, dont j'ai déjà parlé récemment, fût
exhûmé à la révolution, on retrouva son corps dans une étrange position,
la bouche ouverte mordant dans la paume de sa main. De deux choses
l'une. Soit il n'était pas mort et il a été pris d'une fringale, soit il s'agit
d'un signe éloquant de transmission du savoir, un accomplissement
qu'à voulu révéler son, ou ses disciples.


Sur la tombe d'Hiram fût plantée une branche d'accacia.


Sur la tombe de la chouette, Max a planté un arbuste.


:baille:


Amicalement
Indi
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 28 juin 2008 à 11:55
" IMMOBILES ET FIDÈLES, TANGIBLES ET MASSIVES, SEMBLABLES
ET DISSEMBLABLES, CE SONT LES SENTINELLES.
"


Il me semble qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans cette I.S.

Max aurait normalement du écrire " Immobiles et fidèles, tangibles et
massives, semblables et dissemblables, telles sont les sentinelles ". Car
nous n'avons affaire qu'à des qualificatifs, et nom pas une énumération
des sentinelles qui aurait justifié l'emploi de " ce sont les sentinelles ".

A moins que l'astuce ne porte justement là-dessus, et que la manière
dont sont décrites les sentinelles soit importante pour déterminer
leur nature ou leur nombre.

J'avoue que là je suis embêté, car j'ai personnellement 5 sentinelles, et
cette I.S. me laisserait supposer qu'il y en a 6 en réalité, mais ayant
chacune un vis-à-vis lui répondant, d'où la symétrie de la formulation.
3 sentinelles d'un côté, et trois de l'autre, en parfaite symétrie.

Je pense en particulier aux canaux semi-hémisphériques de l'oreille interne
qui sont les gardiens de l'équilibre, au nombre de 6 donc, 3 dans chaque
oreille.

C'est aussi ce que pourraient suggérer les fermaux, ou fibules sur le
blason de Jean de Graville, grand maître des arbalétriers, et otage de la
Ste Ampoule

Image


Quant à l'oreille interne, qui fût l'objet de mon tout premier message sur
l'autre forum de la chouette, il me semble qu'il y a là beaucoup de choses
sur lesquelles on ferait bien de se pencher de près. La cathédrale de
St-Omer, par le tympan de son astrolabe et son labyrinthe, nous met
déjà sur sa piste. Et je ne parle même pas du " tympan " de l'abbaye de
" Conques " !

On y trouve notamment les plus petits os du corps humain, dont le marteau
l'enclume et l'étrier. Peut être une voie à suivre, alors qu'on nous parle
dans la 470 de mon neuvième qui se traine par " l'étonnement ", autrement
dit un sabot de cheval fendu suite à un choc.

Et puis on y trouve aussi la cochlée, spirale également appelée limaçon,
le siège de l'audition, et qui se termine au niveau de ... l'Apex.

Encore et toujours lui. Impossilbe de lui échapper !

Amicalement
Indi
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 28 juin 2008 à 18:26

1U, 1T, 1E
10, 1T, 1S
1R, 1N, 1T
3E
1T, 2N
1A, 1V, 1O
1L, 1A 1G
1N, 1S, 1E
1E, 1I, 1L
1I, 1S, 1F




" Gonfle et ses avis tiennent la route "


Un indice sur la marque de la carte à utiliser. Mais seulement ?
D'ailleurs, quelle importance la marque de la carte, puisque celle-ci
n'est pas supposée être un outil ? Seule l'échelle est en réalité importante.


Non, comme d'habitude, il doit y avoir autre chose.


Tout d'abord, on peut se dire qu'il s'agit là d'une bien étrange manière de
disposer les lettres dans cette I.S., qui n'est certainement pas due au
hasard. En particulier le " retrait " dû aux trois lettres E et aux deux
lettres N regroupées. Comme si l'auteur avait eu l'intention de nous révéler
une image. Car rien ne l'obligeait à ce regroupement de lettres.



Et la première image qui m'est venue à l'esprit, la voici :




Image



L'image d'une statue de l'ile de Pâques, les célèbres Moaïs qui ont tous le
regard tourné vers les étoiles.



En 1786 débarque le comte de Lapérouse, avec pour mission de
cartographier précisémment l'île, dans le cadre de son expédition
maritime autour du monde à bord de La Boussole et de L'Astrolabe.
Lapérouse laissera son nom à une baie de l'île, la " baie Lapérouse ", qui
a la particularité d'être le lieu où se trouve LA pierre sacrée pour les
habitants de l'île, les pascuans, pierre qu'ils vénèrent comme étant" l'Oeuf
Primordial ". Il s'agit du même symbole que l'Omphalos de Delphes, le
centre du monde.




Image



L'île de Pâques. Vestige d'un continent disparu ? Une théorie qui a ses
adeptes, et pas que des illuminés ! Un vestige de Mû peut-être, celui-là
même qui a " disparu " de l'énigme 500. Des statues que l'on retrouve
justement à la fin de l'aventure de Corto Maltese, le bien nommé " Mû ".
J'aurais même tendance à les voir aussi, alignées, dans la " vague " du
visuel de la 470. Une vague prête à tout " submerger ".



Mais il s'agit sûrement d'une hallucination !


Amicalement
Indi
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Messagepar Don Luis » 28 juin 2008 à 19:52
Rantanplan a écrit :
Don Luis a écrit :Pour moi, 36, c'est la différence entre le nombre de cases de l'échiquier à l'ancienne (100 cases) et l'échiquier moderne (64 cases).

Ni plus, ni moins !

DL :alatienne:


Un échiquier à 100 cases, ne serait-ce pas un JEU de DAMES


Je me suis trompé, bien sûr, je voulais parler des deux types de damier :

- le damier ancien de 64 cases

- le damier adopté à partir de 1723, avec 100 cases.

Il n'y a pas d'échecs dans la chouette. Par contre un jeu de dames...

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Messagepar Don Luis » 28 juin 2008 à 19:55
Euh... Tu crois vraiment que Max est allé chercher si loin ? Comme je l'ai eu dit, Lapérouse est né à Albi, tout comme Pierre Benoît, et c'est déjà pas mal...

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 28 juin 2008 à 20:14
Si j'y crois ??


Mais... à quoi ça servirait que je me Image sinon ? lol !


Dame ! Vous avez dit ... du Cros ?


Amicalement
Indi
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Messagepar Don Luis » 29 juin 2008 à 13:27
indijames a écrit :" IMMOBILES ET FIDÈLES, TANGIBLES ET MASSIVES, SEMBLABLES
ET DISSEMBLABLES, CE SONT LES SENTINELLES.
"


Il me semble qu'il y a quelque chose qui ne va pas dans cette I.S.

Max aurait normalement du écrire " Immobiles et fidèles, tangibles et
massives, semblables et dissemblables, telles sont les sentinelles ". Car
nous n'avons affaire qu'à des qualificatifs, et nom pas une énumération
des sentinelles qui aurait justifié l'emploi de " ce sont les sentinelles ".

i


Ben oui, "CE", c'est 2 et 4, et deux lettres de BEC, bien sûr !

Ce petit mot revient plusieurs fois dans les énigmes :

- "CE n'est le bon chemin"

- "Tu ne regretteras pas CE que tu as fait"

- "CE" serait là un jeu bien trop facile"

Sans parler de "C'Est"

- "Le bon sens, C'Est ..."

- "C'Est là que l'Aigle...".

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 29 juin 2008 à 14:00
Don Luis a écrit :
Ben oui, "CE", c'est 2 et 4, et deux lettres de BEC, bien sûr !

Ce petit mot revient plusieurs fois dans les énigmes :

- "CE n'est le bon chemin"

- "Tu ne regretteras pas CE que tu as fait"

- "CE" serait là un jeu bien trop facile"

Sans parler de "C'Est"

- "Le bon sens, C'Est ..."

- "C'Est là que l'Aigle...".

DL :alatienne:



" CE c'est 2 et 4 " Comment ça ? Je ne vois pas

Sinon qu'est-ce que tu en déduis de la présence de CE un peu partout ?
A chaque fois une référence au BEC ? Mais dans quel but ?

amicalement
Indi
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 30 juin 2008 à 01:42
" NÉE CLEF EN MAIN DANS LA 600, TU LA RETROUVERAS DANS LA 560 "




Image



Il y a fort longtemps que des chercheurs astucieux ont mis à jour deux
anagrammes dans cette I.S.


" Nef encalminée " pour " Née clef en main "

et

" Ouverture Sarlat " pour " Tu la retrouveras ".


Deux anagrammes parfaites et qui nous en apprennent beaucoup.

Tout d'abord, que la Nef encalminée de la 560 nous serait suggérée dès
la 600. Mieux que ça même, révélée puisque née clef en main ! Comment
ne pas y voir aussi une allusion au navire noir perché, Le navire Argo ?
Parce qu'il y a bien une chose que la main révèle, pour en avoir déjà
longuement parlé, c'est la voie lactée. La " via lasciva ", une des lignes
de la main. Une voie lactée sur laquelle navigue la Carène du navire Argo,
et sa nébuleuse dite du trou de serrure. Clef en main, difficile de faire
plus explicite !

Une nef encalminée que l'on retrouve dans la 560. Pour moi, la charpente
en forme de carène renversée du château de Boussac, dixit la brochure
du syndicat d'initiative. Une carène qui fait donc écho à la constellation
du même nom.

Boussac, au centre d'un cercle, et pas n'importe quel cercle puisqu'il
s'agit ni plus ni moins que celui de la boussole de la 780, sur lequel on
trouve les cinq lanternes des morts de la Creuse, mes sentinelles. Boussac,
dernier lieu à trouver dans la 560 donc, en passant par l'ouverture,
Bourganeuf.


Or que nous révèle la deuxième anagramme ? " Ouverture Sarlat ".
Sarlat qui possède entr'autres LA lanterne des morts la plus célèbre de
France, dite " Tour Saint Bernard ", encore aujourd'hui très mystérieuse
et dont on ne sait à peu près rien, si ce n'est qu'elle aura sans doute été
construite pour honorer le " miracle des pains " de St-Bernard. Un bel
indice en tout cas pour nous mettre sur la voie des lanternes des morts,
ou un clin d'oeil aux gerbes de blé, les " brosses liées " du blason du
maréchal de Boussac ou à " la vente de l'avocat ", la meule du moulin
dont j'ai parlé ici même tout récemment.


Une lanterne des morts qui évoque aussi, par sa forme conique, un
obus ou une balle de fusil. Voyez vous même sur la photo que j'ai
insérée ci-dessus. Là encore, de par le lien évoqué entre la 600 et la 560,
l'ouverture associée à Sarlat dans l'anagramme pourrait nous permettre
de mieux comprendre le visuel. Car je l'ai toujours dit, ce visuel représente
pour moi l'intérieur d'un canon, ou d'un appareil photographique. Une
" chambre noire ", en quelque sorte. Les étincelles représentant la
" mise à feu ", l'amorce qui déclenchera le flash ou la détonnation, et des
ténèbres qui resplendissent !



Amicalement
Indi
indijames
Hulotte
Messages : 2435
Enregistré le : 13.11.2007
Messagepar indijames » 30 juin 2008 à 13:09
Ah ben ça alors, si j'avais su qu'il était déjà pris, j'aurai choisi un autre
pseudo ! Merci pour le lien en tout cas. Mais à cette époque, je ne
fréquentais pas les forums. ( Hein ? Qui a dit " oui, c'était le bon
temps ! " ?)



:respect: :chef:



:alatienne:

Amicalement
Indi
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Messagepar Don Luis » 30 juin 2008 à 19:31
indijames a écrit :" CE c'est 2 et 4 " Comment ça ? Je ne vois pas

Sinon qu'est-ce que tu en déduis de la présence de CE un peu partout ?
A chaque fois une référence au BEC ? Mais dans quel but ?


Ben, je croyais qu'il était définitivement admis que
Cherbourg vaudra 2
Epernay vaudra 4

et que l'on s'en sert pour décrypter la 600 selon le code
C = 2
E = 4

Une référence au BEC ? Dans quel but ? Je crois avoir expliqué ça dans un de mes posts sur la SS.

Et puis n'oublions pas quand même que le morse est codé avec des 2 et des 4. Il y a une logique dans tout ça !

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison

Retourner vers « Indications Supplémentaires »

Qui est en ligne

Utilisateurs enregistrés : Aucun utilisateur enregistré