Au pays de Merlin

Discussions sur le décryptage et l'utilisation des I.S.
Don Luis
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Messagepar Don Luis » 02 juil. 2008 à 17:22
indijames a écrit :Sinon, tous ces alignements DL, tu vas me dire qu'ils te servent tous ?

amicalement
Indi


Ils se recoupent et se confortent les uns les autres. Je constate que dans chaque énigme, Max s'est donné un mal fou pour suggérer tout un faisceau d'alignements qui confirment la bonne solution, et même qui nous la servent sur un plateau !

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
indijames
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Re: circonspect encore Messagepar indijames » 02 juil. 2008 à 22:20
Honcause a écrit :
indijames a écrit :Quant à la citation, je crois que pour comprendre, il aurait surtout
fallu ajouter le petit commentaire qui suit ...
...
Cependant n’oubliez pas une chose, Plantard et de Cherisey on
réellement cherché un trésor à Rennes les Bains. D’ailleurs si vous achetez
ce livre «Le testament du Prieuré de Sion » de Jean Luc Chaumeil, vous
aurez la chance de voir les photos de Plantard gratter le sol au Lampos ».



Tu as pleinement raison pour la citation :respect: :prosterne: , il fallait mieux citer aussi le paragraphe suivant .

Ah, ce Plantard !

C'est à cette époque (8 juin 1956) qu'une lettre de la sous-préfecture de Saint-Julien-en-Genevois déclare qu'en décembre 1953, Plantard a été condamné à six mois de prison pour abus de confiance. Libéré de prison, Plantard déclare être le dépositaire d’une organisation cachée : le Prieuré de Sion. Il commence par en déposer les statuts à la sous-préfecture de Saint-Julien-en-Genevois le 7 mai 1956, et fabriquera plus tard une série de faux document, les Dossiers secrets d'Henri Lobineau, déposés entre 1964 et 1967 de façon anonyme à la Bibliothèque nationale de Paris et présentés comme les archives de la société secrète.
http://fr.wikipedia.org/wiki/Pierre_Plantard

***
Je visiterai la page que tu recommandes, merci. :cafe:
Bon après-midi
:champagne: :chef: :alatienne:
Honcause

PS trouves tu le même début de decodage :cassetete: "oh grand poête" avec le carré spiralé de ratheons?
Bienvenue à ratp



Le carré spiralé de ratheons ? Ma... ké ce cè ?


Sinon je crois que j'ai parlé un peu vite. Non pas que je remette en cause
ce que je t'ai dit à propos du commentaire suivant le citation de Cherisey,
mais c'est simplement oublier que nous avons affaire à des personnages
très bien renseignés sur le sujet, et parfaitement au courant de toutes les
ramifications de cette histoire, au demeurant d'une rare complexité.

Tout ça pour dire que la citation de philippe de Cherisey n'est pas une
simple boutade à l'encontre des gogos que lui et son compère auraient
menés en bateau, contrairement à ce qu'une lecture rapide pourrait
laisser penser. C'est même remarquablement bien amené, et il y a derrière
le message premier destiné à décourager les curieux un véritable
faisceau d'indices destiné à ceux qui sauront le déceler. Il fallait y penser !
Je ne prétends pas être incollable sur le sujet, mais j'ai quand même
suffisamment passé de temps sur cette affaire pour saisir certaines
allusions. Il y a des mots qui font tilt, comme " jérémiades " par exemple.
Certains comprendront peut-être de quoi je veux parler.

Amicalement
Indi
indijames
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Messagepar indijames » 03 juil. 2008 à 01:09
" VENU DE L'ILE D'ELBE, IL Y DEBARQUA "






Image





Un décodage obtenu grace à la clef ALMISEFORU. Une clef qui nous
donne toutes les voyelles de l'alphabet, A E I O U, sans oublier le Y dans
la phrase. Cinq voyelles qui font écho à la dernière ligne de la 500 :
MAis, par le MEga, c'est un MIllion de fois MOins. Il ne manque que MU,
et vous savez ce que ça signifie pour moi. J'en ai déjà parlé, au travers
des statues de l'île de Pâques, de la vague du visuel de la 470 qui rappelle
la " grande submersion ", et de la pierre sacrée, centre du monde d'où
part, ou aboutit, la spirale à quatre centres. Quatre centres comme les
quatre faces de l'ordre hathorique, la pierre cubique à l'effigie de la
déesse égyptienne, quatre centres comme les quatre hublots du
scaphandre, du grec skaphe, la " barque " et de andros, " l'homme ".


Il y débarqua. Un Y qui est un point de triple rencontre, symbolisant nos
trois habiles rendez-vous. Un Y symbole de Psyché, l'âme pour les grecs, qui
se décline encore sous la forme du Psy grec Image, marque que ferait bien
la serre d'un aigle dans le sable. Là où précisémment débarqua Napoléon, à
Golfe-Juan. Mais il est question de deux serres, deux marques qui, si on les
superpose en les inversant, Image sur Image, nous donne le symbole de l'anille
du moulin, également appelé " signe du lézard ". Un symbole de la
recherche de la Lumière, mais de manière humble, au contraire de celle
de l'aigle.
Symbole que voici : Image. Car c'est bien d'un lézard, ou plutôt d'une " lézarde "
dont nous aurons bientôt besoin.


Il Y débarqua. Un lien étroit donc entre les trois habiles rendez-vous par
triangulation, la barque, autrement dit le centre de la spirale, centre
du monde par lequel passe l'Axis Mundi, l' ordre hatorique, le scaphandre
et la lézarde, l'os scaphoïde étant révélé lorsque " la chair quitte les os ".
Un os scaphoïde qui, relié au coude, nous donne le bon rayon.

Vous ne voyez toujours pas ?

" Venu de l'île d'Elbe, il y débarqua ". Autrement dit, du coude, elbow en
anglais, au poignet, à l'os scaphoïde, la barque. L' avant-bras, d'où
est issu le radius, le " bon rayon ". Radius est qui aussi l'origine latine du
radium, de symbole Ra.




Mais AEIOU, c'est aussi une devise. Celle de la famille des HABSBOUG, que
rejoignit Charles Quint. " Austriae Est Imperare Orbi Universo ",
et dont la dernière représentante fût Marie-Thérèse d'Autriche. Une
famille descendante des " Rois de Bohème ", et encore une fois liée
à l'affaire de Rennes-le-Château. Car en de nombreuses reprises l'abbé
Saunières reçut la visite d'un certain Mr Guillaume, en réalité Jean-Salvator
de Habsbourg, cousin de l'empereur d'Autriche-Hongrie. Et voici
maintenant un personnage qui ne nous est pas inconnu ... le comte de
chambord, dernier descendant de la famille des Bourbons et prétendant
au trône de France, qui épouse en 1846 l'archiduchesse Marie-Thérèse
de Modène, de la famille des Habsbourg. Une intime de Béranger Saunières
à qui elle remit plusieurs fois d'importantes sommes d'argent. Dans quel
but ? Mystère... Toujours est-il que Becker, si l'on en croit l'introduction
du livre de la chouette, serait un descendant direct du comte de
Chambord. Tout de même... !





Image
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Peels
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Messagepar Peels » 03 juil. 2008 à 12:49
indijames a écrit : ImageAmicalement
Indi


Belle image...
J'aurais bien aimer connaitre la position de la main du "soldat" qui joue aux dés...
Car si l'on fait bouger sonbras et son armure d'or sur le bras droit et le torse droit du personnage central,
cela lui fait une armure sur mesure... Et peut être que la main tendu aurait alors fait symétrie avec la main gauche...
Amusant.

Amusant aussi sur le cadre à gauche, un point est masqué par le casque de ce même soldat.
C'est le 10° point en partant d'en bas à gauche.
Le 10° sur un tableau numéroté X, ça pousse à réflexion...
Traçons alors une mligne horisontale depuis ce 10° point, et une ligne verticale depuis le centre du X...
Ces deux lignes se croisent sur le coeur du personnage central...
Coïncidences certainnement...

Amicalement Peels :bougie:
indijames
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Re: Inspiralé Messagepar indijames » 03 juil. 2008 à 16:03
Honcause a écrit :
indijames a écrit :
Le carré spiralé de ratheons ? Ma... ké ce cè ?

la page que tu as indiquée :clavier: en premiere est de ratheons.
http://generation3d.free.fr/Sauniere.htm

Sur le carré figure la suite des 64 l en spirale. :cafe:
A proximité, l'auteur de la page écrit le début d'un décrypt.
:"oh ,grand poête...", qu' il n'a pu achever. :cassetete:

*****

je suis davantage dans ton dernier article.
de mémoire:
le y "Mehun sur Yèvre".. et autres occurrences. :plane:

Bonne continuation
:champagne: :chef: :alatienne:
Honcause


Pas possible ! C'est ratheons l'auteur de ce site ? En tout cas on dirait
qu'il a de saines occupations pendant son temps libre ! Et de l'avance
aussi, parce que je n'ai toujours pas saisi comment il obtenait son " grand
poète ", une fois les lettres placées en spirale.


:pigepas:

Ô Grand Cryptogramme, soyez miséricordieux, parce que je n'y comprends
rien à toutes ces salades de lettres...


:prosterne:


Amicalement
Indi
indijames
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Messagepar indijames » 03 juil. 2008 à 16:12
Peels a écrit :
J'aurais bien aimer connaitre la position de la main du "soldat" qui joue aux dés...
Car si l'on fait bouger sonbras et son armure d'or sur le bras droit et le torse droit du personnage central,
cela lui fait une armure sur mesure... Et peut être que la main tendu aurait alors fait symétrie avec la main gauche...
Amusant.

Amusant aussi sur le cadre à gauche, un point est masqué par le casque de ce même soldat.
C'est le 10° point en partant d'en bas à gauche.
Le 10° sur un tableau numéroté X, ça pousse à réflexion...
Traçons alors une mligne horisontale depuis ce 10° point, et une ligne verticale depuis le centre du X...
Ces deux lignes se croisent sur le coeur du personnage central...
Coïncidences certainnement...

Amicalement Peels :bougie:



Tout ça est très juste ! Il y a surement une raison pour laquelle la main
qui lance les dés ne soit pas représentée. Mais pour chaque indice, il
faut à chaque fois se replonger dans le contexte géographique, historique
culturel ou religieux, ce qui demande pas mal de reflexion et de
recherches.

Amicalement
Indi
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Peels
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Messagepar Peels » 04 juil. 2008 à 12:21
Au bout de la main il y a la clef.... :champion:
Un peu comme dans la 600... :cassetete:

Amicalement Peels :bougie:
Don Luis
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Messagepar Don Luis » 04 juil. 2008 à 13:04
J'attends la démarche logique qui mène à Rennes-le-Château dans la 600 ! Je ne la vois pas !

Moi, j'ai certes un carré SATOR, mais je le trouve en alignant Roncevaux et Joyeuse.

DL :bougie:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
indijames
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Messagepar indijames » 05 juil. 2008 à 03:26
Don Luis a écrit :J'attends la démarche logique qui mène à Rennes-le-Château dans la 600 ! Je ne la vois pas !

Moi, j'ai certes un carré SATOR, mais je le trouve en alignant Roncevaux et Joyeuse.

DL :bougie:



Dis-moi DL, elle est de quelle couleur, la main du visuel dans la 600 ?

Et au bout de la clef, on trouve quoi ? Mmmm ?


Sinon, pour ce qui est du visuel, regarde de quoi il s'agit en réalité :

Tu as l'ouverture, par laquelle on voit la Lumière. Et je peux te dire que
c'est bien de l'ouverture dont on parle. La deuxième image nous montre
ce qu'il y a de l'autre côté de l'ouverture. La nuée. Et sur la montagne...
mais ...je ne voudrais pas te gâcher le plaisir de la lecture !


Image

Image




Allez, c'est mon jour de bonté. Puisqu'on en est au visuel de la 600,
cherche l'intrus qui s'y est caché...





Image



Amicalement
Indi
Don Luis
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Messagepar Don Luis » 05 juil. 2008 à 16:16
La main de la 600 ? Elle est couleur d'iceberg !

Ce qui ne l'empêche pas de ressembler aussi à un cygne.

Normal puisque Saint-Saëns à écrit le Cygne (Carnaval des animaux) et que la 580 nous donne une de ses oeuvres en morse (le Titanic).

Tout se tient...

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
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Messagepar indijames » 05 juil. 2008 à 16:31
" DE CETTE OUVERTURE EST NE UN COEUR "






Image




"Ne retenez que le symbole ".
En l'occurence, le coeur a une double symbolique. Celle du centre
et celle de l'amour. Le coeur est le siège des sentiments amoureux,
et c'est cet aspect là que je voudrais aborder.

Si la flèche vise le coeur, c'est que Cupidon va encore frapper. Cupidon
ou Eros, l'Amour personnifié, lui-même épris de Psyché, dont j'ai parlé
tout récemment. La rencontre de l'âme et du coeur.

Ainsi donc, de cette ouverture est né un amour. Un amour naissant, que
l'on appelle innamoramento. Très bel album de Mylene Farmer au
passage, album qui suit " Anamorphosée ". Intéressant, non ?
Un amour naissant et révélé par " l'ouverture ". Mais de quoi s'agit-il
donc à la fin ?

N'oublions pas que l'ouverture et le coeur apparaissent dans la 470, énigme
qui évoque la bataille de Roncevaux et la mort de Roland. Un autre
épisode de cette épopée, évoqué dans la Chanson de Roland, est la prise
de Saragosse par Charlemagne, à qui l'on remet les clefs de la ville en guise
de soumission. La reine Bramimonde lui livre sa tour. Charlemagne tombe-
t-il amoureux de la reine ? Toujours est-il qu'elle seule n'est pas baptisée
de force, " car le roi veut qu'elle se convertisse par amour ".

" L'ouverture de Saragosse ", c'est le nom d'une ouverture aux échecs,
autrement dit le fait de jouer en premier. Un avantage certain, qui se
dit " avoir le trait ". Un trait qui est aussi bien sûr le fameux trait à ne pas
regretter. Autrement dit " rester sur le carreau ", expression issue du jeu
de paume je le rappelle, pour " avoir le trait ", avoir l'avantage de
l'ouverture. Le trait, c'est la flèche, c'est le rayon de lumière qui
passe par l'ouverture.

Le " saut du cavalier " nous donne littéralement le " trait ". Si par la suite
on songe à dégager le fou, dont la grande diagonale est appelée Voie
Lactée, on se prépare ainsi pour éventuellement effectuer un roque plus
tard. Je rappelle au passage que le saut du cavalier est une technique
employée pour le décodage d'un des parchemins de Rennes-le-Château
et que le fou est aussi le nom de la carte du Mat au Tarot. " Mat ", un
nom de circonstance ! Enfin que le roque, ou roc, est le nom d'un
éléphant surmonté d'un archer.


Un point essentiel, car l'éléphant a pour symbole l'alpha ET l'oméga, qui ,
comme chacun le sait maintenant, se trouvent être les limites de
l'éternité. A ce moment là, et pas avant, il faudra donc " décocher le
trait " en visant le coeur. Autrement dit une fois la jonction du cercle
établie, il faudra la relier au centre, au coeur. Roc, c'est aussi le nom
donné aux tours du jeu d'échecs. Autrement dit c'est Bramimonde qui
livre " le rocher de la reine " .


Ad Lapidem Curebat Olim Regina " : Vers la pierre autrefois courrait la
reine. ALCOR , une des étoiles de la Grande Ourse, clef d'une aventure
d'Arsène Lupin et pièce maitresse dans l'affaire de ... RLC, au travers de
" Notre-Dame du CORAL " ...


Mais n'oublions pas que le roque ou roc ne peut être réalisé ou révélé
qu'une fois le saut du cavalier achevé, le Mat ayant lui rejoint la grande
diagonale, la voie lactée. Autrement dit, une fois que le signal, une fois
que " l'appel " a retentit. En l'occurence, celui de Roland à l'aide de son
cor.



Image


L'Araignée, il va falloir vous y faire, parcequ'on la retrouvera bientôt !


Amicalement
Indi
indijames
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Messagepar indijames » 05 juil. 2008 à 16:54
Don Luis a écrit :La main de la 600 ? Elle est couleur d'iceberg !

Ce qui ne l'empêche pas de ressembler aussi à un cygne.

Normal puisque Saint-Saëns à écrit le Cygne (Carnaval des animaux) et que la 580 nous donne une de ses oeuvres en morse (le Titanic).

Tout se tient...

DL :alatienne:





Couleur d'iceberg ???





Image






Si c'est pas de la mauvaise foi, ça...
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Messagepar indijames » 08 juil. 2008 à 02:11
Ton histoire de cygne m'a intrigué, DL. Parceque celui-ci est très
présent et tient une grande place dans ma chasse.

Le cygne est la constellation où la voie lactée se sépare en deux. c'est
aussi, en symbolique, " le guide vers la lumière céleste ". Alors lui qui
est si présent dans la 560, ça serait intéressant de le croiser aussi
dans la 600. Mais j'ai beau m'user les yeux, pas de cygne ! Pourtant tu
as raison, il est déjà présent dans la 580. J'ai également suivi la piste
Saint-Saëns, et c'est bien à une tête de cygne, ou un point d'interrogation,
que ressemble la crosse de la contrebasse. Mais dans la 600 ?

Et puis... je l'ai vu ! On ne voit que ça d'ailleurs, mais il faut changer de
" perspective ", mentalement.

Surtout que nos deux animaux, le cygne et l'ours sont complémentaires,
dans la mesure où ce sont les deux animaux préférés du duc de Berry,
celui la même dont le gisant repose en la cathédrale de Bourges, une ourse
à ses pieds enchainée. Il n'y a aucun doute. Cette clé, la clé dont il
est question dans la 600 est celle qui servira à libérer l'oursine de sa chaîne
lorsque le temps sera venu.

D'ailleurs le fait que le cygne et l'ours soient pour ainsi dire confondus en
un seul sur le visuel est révélateur de leur complémentarité. Le premier
nous guide sur la voie qui mènera au second. Le premier " porte " le
second.

Vous ne les voyez toujours pas ? Pourtant il nous font face tous les deux.
Et il est intéressant de noter combien l'esprit est conditionné par ce qu'il
croit voir. Toute la difficulté est de se " libérer l'esprit ". Loin d'être
évident. La preuve, après 14 ans, je viens seulement de les voir !

Toute cette chasse est précise et agencée comme un mouvement
d'horlogerie. Je n'en reviens pas.

Amicalement
Indi
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Messagepar indijames » 09 juil. 2008 à 01:24
" LA CHOUETTE N'EST PAS SUR UNE ÎLE .

Île : terre entourée d'une étendue d'eau de manière permanente. "








Image




Comme il m'est déjà arrivé de le dire, c'est dans la deuxième partie de
cette I.S. que je crois cachée l'astuce. D'autant que cette précision
sur l'île n'était absolument pas nécéssaire.

Terre entourée d'une étendue d'eau. Autrement dit, phonétiquement,
O <---> TERRE <---> O qui se traduit par OTER REO de manière permanente.
Ôter définitivement. Or il se trouve que cette indication me donne une
double confirmation. Celle d' Albiréo, de la constellation du cygne. Un
cygne qui occupe une place prépondérante, celle du guide vers la lumière
céleste, comme nous l'avons vu dans le précédent post. Une très belle
découverte de DL je dois dire, dans le visuel de la 600. L'énigme parfaite
pour découvrir le cygne, car faisant écho à la 560, au travers de la Nef
encalminée à laquelle j'associe précisémment la Lumière Céleste.

Une Lumière Céleste depuis longtemps assimilée à la Ste Ampoule qui fût
apportée par une colombe lors du baptème de Clovis. Car du ciel vient la
lumière. Une lumière descendue du ciel donc, et qui nous offre par la
même occasion les noms des fameux "otages " dans la 560. Otages parmi
lesquels figure Gilles de Rais qui a pour emblême... le cygne.

Mais n'oublions pas le conseil. Il faut ôter REO. A quoi d'autre, sinon
d'albiréo ? Ce qui nous laisse Albi. Autre lieu incontournable de ma chasse.
Albi, mon point de mire au sortir de Carusburc. Albi qui est mon guide
pour arriver à l'endroit d'où, par l'ouverture, je verrais la Nef Encalminée.
Albi qui est aussi bien sûr le pays de Lapérouse que je ne présente plus
et celui de Pierre Benoît, auteur de " l'Atlantide ". Albi qui est enfin, avec
Boussac, une des pointes de mon étoile à cinq branches.

Où comment une simple I.S. confirme deux points essentiels et qui plus
est complémentaires, car tous deux associés à la Nef Encalminée et à la
Lumière Céleste.


Albiréo, Albi, Albion... Trois mots qui viennent du latin Alba désignant la
couleur blanche. Albion, ou lorsque l'astuce la plus simple, " on " suit
" Albi " , ne nous apparait qu'après coup !


Au final, on retrouve encore une fois nos continents disparus, engloutis
après la " Grande Submersion ", au travers de Lapérouse, un des premiers à
cartogrphier l'île de Pâques que beaucoup considèrent comme un vestige
de Mû, et de Pierre Benoît et son roman l'Atlantide. Car après tout, il
est bien question d'une île "entourée d'eau de manière permanente " !


Amicalement
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Messagepar indijames » 19 juil. 2008 à 23:04
" MARIE-THÉRÈSE Y GAGNA UN LOUIS PRÉCIEUX, MAIS N'Y AURAIT JAMAIS
TROUVÉ UN OISEAU D'OR ! "



" LA CLARTE VIENDRA DE TROIS HABILES RENDEZ-VOUS EN MER
CANTABRIQUE "







Image



Si j'ai réuni ces deux I.S., c'est parcequ'elles sont complémentaires. J'ai
déjà parlé de la deuxième, en disant ce que représentaient pour moi la mer
cantabrique ainsi que les trois habiles rendez-vous. Pour mémoire, il
s'agit des trois éléments fondamentaux, à savoir l'hydrogène, l'oxygène et
le carbone. Trois symboles, H O C, à rapprocher de la devise " IN HOC
SIGNO VINCES ", c'est à dire " Par ce signe tu vaincras ". Trois lettres que
l'on retrouve aussi au centre de l'échiquier dans lequel on aura pris soin
de repporter les 64 lettres du texte de la 780, la quatrième case centrale
comportant elle la lettre U.

CHOU, ou les quatres centres de la spirale, HOC ou les trois habiles rendez
vous en mer cantabrique, le tableau périodique des éléments, d'où provient
la fameuse " clarté ", qui n'est autre que la voie lactée, clarté dans le ciel
nocturne. Une voie lactée qui est aussi le nom de la grande diagonale
d'un ... échiquier !

CHOU, le nom du camp de base de Vercingétorix lors de la bataille
d'Avaricum, autrement dit l'ancien nom de Bourges. Mais surtout CHOU
fût choisi par Râ pour accomplir une mission particulière, et que nous
pouvons reprendre pour notre propre compte car il s'agit de la trame
principale de cette chasse. CHOU, le dieu de l'air, frère de TEFNOUT, l'eau,
et fils d'ATOUM, le ponant. L'eau, l'air, le ponant, des éléments familiers.

L'ordre de Râ, aller chercher " la lointaine ", la lionne Sekhmet qui sévit
en Nubie. Retour qui annonce les crues du Nil, symbole de fertilité.
Sekhmet la lionne, également surnommée " l'oeil de Râ ". Voilà ce qu'il nous
faut trouver, la chose ultime, la " lointaine " . Referme la blessure de Dame
Nature, puis " éloigne-toi ". Voilà pourquoi la SAQC se trouve " loin " de
Carignan, spirale qui se trouve être précisément sur la zone finale, et
pourquoi en tant que voie lactée ou diagonale de l'échiquier elle révèle
CHOU, à qui est confiée la mission !

Ce petit rappel étant fait, voyons donc en quoi nos deux I.S. sont
complémentaires. Si l'on s'en tient à une acceptation plus traditionnelle
de la mer cantabrique, il faut alors s'intéresser à la célèbre île de la
conférence, ou île des faisans. C'est dans cette île que fût négocié
le mariage entre Louis XIV et l'infante Marie-Thérèse, mariage qui sera
célébré à St-Jean-de-Luz, scellant ainsi le traité des pyrénées. Un mariage
auquel semble se référer notre première I.S.

Sauf qu'à mon avis l'astuce se trouve en réalité dans la formulation " un louis
précieux ", référence à peine voilée au louis d'or. Où plus exactement
à l'écu d'or alors en circulation à l'époque. Car si Marie-Thérèse y gagne
effectivement un louis " précieux ", c'est en revanche une dot de 500.000
écus d'or que la France promet de verser en échange de son renoncement
à ses droits sur la couronne d'Espagne. Dot qui ne sera jamais versée !
Or ce point particulier du traité des pyrénées, cette clause, fût insérée au
traité sous l'insistance personnelle du principal négociateur français dans
cette affaire, le diplomate et ministre d'état Hugues de Lionne.



Image



Oui, c'est bien lui qui est à mon avis le principal indice à découvrir au
travers de cette I.S. Lionne, un nom qui au regard de ce que j'ai présenté
au début de ce post prend une dimension particulière ! Ce personnage
jouera aussi un rôle prépondérant dans le mariage entre Monsieur, le
Dauphin, et Henriette Anne d'Angleterre, autre personnage incontournable
dans cette chasse, pour d'autres raisons. C'est enfin lui qui contribuera
activement à l'envoi au Canada du Régiment de Carignan Salière, qui tient
son nom du Prince Thomas François de Savoie-Carignan. Ce dernier parvient
notamment en 1638 à lever le siège de ... St-Omer organisé par le maréchal
de " La Force ". Mais ce n'est pas tout ! Par le traité des Pyrénées, le
régiment de Carignan Salière est offert en cadeau à Louis XIV, qui s'engage
entre'autres à évacuer St-Omer.



Image



Nous voyons donc que Carignan et St-Omer sont historiquement liés au
travers de personnages comme Hugues de Lionne, principal négociateur
français dans le traité des Pyrénées, le maréchal de La Force et le Prince
Thomas-François de Carignan. St-Omer et Carignan, deux villes que je relie
aussi grâce à la Flèche d'Apollon, comme je l'ai souvent expliqué. St-Omer
que je relierai plus tard à Albi, grâce à l'Astrolabe.

Quant à la Force, j'ai aussi déjà évoqué l'arcane du Tarot qui porte le
même nom, et qui est l'illustration de ce que j'évoquais plus haut, à savoir
" maitriser la lionne ", la lointaine.

Enfin et pour terminer, comment ne pas évoquer l'épisode de l'échange
de François Ier, prisonnier à la suite de la défaite de Pavie, contre ses
deux fils donnés en otages ? Un échange qui eu lieu également sur l'île
des faisans. Trois habiles rendez vous en mer cantabrique. Avec un détail
supplémentaire qui n'est pas pour me déplaire, à savoir le fait que la
négociation de cette libération fût menée par Jean de Selve, père de
Georges de Selve, un des deux ambassadeurs représentés sur le tableau de
Hans Holbein.

C'est bien Râ qui donne l'ordre d'aller chercher la lointaine, la lionne, tout
comme le " Ra " du tambour du régiment de Carignan Salière donne l'ordre
à ses compagnies de lever le siège de St-Omer par le maréchal de La
Force. Nul doute que la compagnie " St-Ours " prit part à cette campagne !




Amicalement
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indijames
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Messagepar indijames » 20 juil. 2008 à 23:20
" POUR TROUVER LA LIGNE DE MIRE, L'OUVERTURE EST LE BON GUIDON "









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Tout d'abord, on remarquera bien-sûr que la clef qui a servi au décodage
de cette I.S. est la même que celle utilisée pour l'I.S. " Venu de l'île d'Elbe
il y débarqua ", à savoir ALMISEFORU.

Il doit donc forcément exister un lien ente les deux, sinon pourquoi
reprendre la même clé ? On peut se dire que puisque la première nous
donne Golfe-Juan, pourquoi ne pas considérer l'axe Golfe Juan - Bourges -
Cherbourg comme étant l'alignement suggéré par la seconde ? C'est
effectivement une possibilité, en admettant Bourges comme Ouverture.

Pour ma part, je crois que l'astuce est ailleurs. J'ai souvent dit que pour
moi, l'ouverture était synonyme de révélation, en particulier celle de la
main, le poing fermé étant le symbole de la dissimulation du secret.
L'Ouverture révèle. Je pense à une main en particulier, une main gauche
ouverte, la " main guidonienne ". Ainsi dénommée car inventée, encore que
ce soit contesté aujourd'hui, par Guy d'Arezzo (Guido en italien), celui-là
même qui est à l'origine du nom des notes de musique à l'aide de l'hymne
de St Jean-Baptiste. Ut Queant Laxis ... Une main ouverte dans laquelle on
retrouve les notes de musique, disposées en spirale sur toutes les
phalanges.

LA MI RE. Trois notes que l'on retrouve bien dans la main. Le bon guidon,
pour trouver la mire. Quant aux lignes, ce n'est pas ce qui manque dans
la main, et j'avoue que j'aurais bien une préférence pour la Via Lasciva, la
voie lactée, cette spirale à quatre bras que j'ai toujours considérée comme
étant notre spirale à quatre centres. D'ailleurs le chemin que j'emprunte
depuis Carignan pour rejoindre la SAQC, perpendiculaire à St-Omer, passe
par Massiges et sa main ouverte, haut lieu de la première guerre mondiale.
" Mon désir est là sur quoi je tire " nous dit Apollinaire dans son poème
" Desir ", un désir au bout de " la ligne de mire " donc ! Et n'oublions pas
la légende de la 6ième tapisserie de la dame à la licorne, " A mon seul désir "

La 600 nous a donné une main fermée, main qui détient la clé. La 500 nous
suggère ce qu'il y a à l'intérieur,la spirale à quatre centres, la voie lactée,
la mire. Ce qui signifie aussi que l'échiquier est dans la main, la main étant
dans le cercle de la boussole. Je vous laisse conclure... non sans avoir
rappelé que la grande diagonale de l'échiquier est surnommée la voie lactée
autrement dit une ligne qui le partage en deux, une ligne de mire dans le
sens de " miroir ".

Pour en revenir au lien avec la première I.S., celle de l'île d'Elbe, je rappelle
brièvement que si l'île d'Elbe fait référence au coude, elbow en anglais, " il
y débarqua
" fait allusion au poignet, la serrure que symbolise le scaphoïde,
du grec Skaphe, la barque. Entre le coude et le poignet, le coffre,
l'avant-bras, qui contient le radius, le bon rayon. Voilà donc sur quoi
veillent les " sentinelles ", autrement dit les cinq doigts de la main. Radius,
le rayon en latin, mot dont est issu également le radium, de symbole Ra.
Une main - sentinelle qui pourrait bien vous surpendre, comme on le verra
prochainement !



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Indi
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Messagepar indijames » 21 juil. 2008 à 21:14
" LE TOUR DE FRANCE A CROISÉ UNE LIGNE. "

" LE TOUR DE FRANCE EST PASSÉ ENTRE DEUX LIGNES ET EN A CROISÉ DEUX. "






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Voici ce qu'il est coutume d'appeller l'alphabet des templiers, ou système
dit du " case-cochon". Un système où chaque lettre est remplacée par
un pictogramme. Il s'avère que ce système de codage colle parfaitement
à nos deux I.S : Si les deux grilles à 9 lettres peuvent être appliquées
à l'I.S. " le Tour de France est passé entre deux lignes et en a croisé deux ",
celles à 4 lettres correspondent tout à fait à la première : " Le Tour de
France a croisé une ligne ".

Je ne sais pas si ce système pourrait servir pour la supersolution. C'est
une possibilité. En revanche, l'allusion aux templiers est pour moi capitale
car il tiennent une grande place dans ma chasse, notamment les chevaliers
fondateurs dont les noms correspondent à autant d'éléments récoltés
au cours des énigmes, ainsi que le dernier grand maître de l'ordre, Jacques
de Molay.

Quant aux lettres S T U V placées autour de la croix, pourquoi ne pas les
remplacer par les lettres S A G E, un des mots importants de la 530 ? Et
puisqu'on y est , on pourrait tout aussi bien remplacer W X Y Z par les
points cardinaux de la boussole, M E N S. C'est la récente présentation
par Cori de sa résolution de la 530 et les commentaires qui ont suivi qui
m'ont fait faire ce rapprochement, car il est vrai que les interactions
entre ces deux mots sont assez troublantes. Je vous renvoie donc à sa
solution pour mieux comprendre de quoi il s'agit.

Quant au fait qu'il soit question du Tour de France, peut-être est-ce là
un moyen de nous orienter sur l'énigme 530. Un " tour de France " qui
passe bien par la case départ, ou plutôt devrais-je dire par la
" case-cochon " , du nom de notre alphabet ! Et si celui-ci se cache les
yeux, c'est assurément parceque nous avons affaire là à un code qui fût
longtemps utilisé par certaines sociétés secrètes. Un cochon masqué,
manquait plus que ça !

Amicalement
Indi
Don Luis
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Messagepar Don Luis » 21 juil. 2008 à 21:48
Me garderais-tu un cochon de ta truie ?

Plus sérieusement, Max a utilisé ton alphabet dans le Trésor d'Orval...

DL :ange:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
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Messagepar indijames » 21 juil. 2008 à 22:54
Je n'ai jamais tenté de résoudre les autres chasses de Max, je me suis
juste contenté de lire les solutions. Il y a longtemps. Mais certains détails
m'ont frappé par la suite, notamment lorsque je me suis intéréssé à Rennes-
le-Château. Nostradamus et les " prophéties d'Orval ", Stanislas de Guaïta,
cofondateur de l'Ordre Kabbalistique de la Rose-Croix et ami d'Emma Calvé,
la célèbre cantatrice intime de Béranger Saunières...

Alors ... pourquoi pas l'alphabet des templiers ?

Un alphabet dont s'est également servi le pirate la Buse pour son célèbre
cryptogramme. Etonnant...



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Messagepar Don Luis » 22 juil. 2008 à 14:42
Tu cherches le trésor de la Buse ?

Je te signale que Mickey (le plus célèbre des daboïstes) cherche aussi !

Mais j'ai beau chercher dans la chouette, je ne vois rien qui me mène à Rennes-le-Château ou aux Templiers.

Plutôt que cet alphabet, n'est-il pas plus raisonnable de s'intéresser à l'alphabet Braille ?

Et puis, en peincipe, les IS ne sont pas des énigmes, mais de simples confirmations des solutions. Sans vouloir te vexer, j'ai l'impression que tu as tendance à greffer sur les IS -ou les énigmes) des choses qui te plaisent?

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison

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