Le morse et Carignan

[Toulousaing]

Bonjour à tous !
J'espère que vous allez bien.

Pour reprendre le thème du cercle de 33 à poser simplement sur la carte, ou sur un visuel quand c'est indiqué, je vous poste cette image, afin de montrer que Don Luis a tout à fait raison quand il dit que nous avons besoin d'un point précis à partir duquel tracer, ou suivre le long de sa règle, la fameuse orthogonale sur la carte.
Quand on pose un cercle de calque sur au moins deux visuels (ceux affichant le compas), il se passe des choses. Encore faut-il savoir comment poser le cercle au niveau des axes cardinaux, et donc, pour cela, se servir de ce qu'on a appris juste avant.
Dans le cas de la 500, le centre du cercle posé sur l'articulation du compas (les pointes étant perdues dans les "herbes") montre que des points du tableau font partie du périmètre du cercle de 33 (= 10,5 de diamètre). Je crois me souvenir que MV a précisé que le CDC donnait une liste d'éléments et la façon dont ils étaient disposés les uns par rapport aux autres.
"A 24 etc." nous emmène tout droit à Carignan, mais évidemment, c'est un peu trop simple pour être gobé.
Si on apprécie les rapports entre signifiants et signifiés qui régissent (si j'ose dire) notre langage, on peut lire cette introduction sous la forme "à-morse", amorce de l'orthogonale.
Effectivement, les dents du morse viennent toucher un point précis du périmètre du cercle (sur l'image, mon calque est fait à l'arrache, donc pas hyper net).
La lumière sur la pointe de la pseudo-équerre vient nous indiquer comment placer le cercle, vers la lumière, en utilisant les découvertes précédentes (dont une essentielle, en image dans mon message intitulé Max, Val, Lux).
Nous avons tous eu des visions "paréidoliques" en observant les visuels, et c'est très facile pour qui ça arrange de nous faire passer pour des illuminés, au moins à ce sujet. J'ai décidé de me cantonner au CDC du peintre. Je n'ai donc pas le droit de dire que les dents du morse apparaissent déjà dans le visuel 580, entre les deux cercles de la contrebasse.

Carignan a, pour ma part, son utilité dans les cercles de lettres.
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Don Luis, si vous lisez mon message, je voulais vous assurer que j'ai bien compris que les bâtiments construits après 1993 ne pouvaient avoir de lien avec la chasse :-) Dans mon dernier message, je tenais simplement à montrer un plan de Nicolas Ledoux datant de la fin du 18e, pour illustrer la technique des cercles concentriques au cercle de 33.
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Je vais poster un message en 420 et je vous laisse tranquilles. Je ne peux évidemment pas utiliser le courriel de mon hébergeur de Toulouse nommé ci-dessus, mais si jamais quelqu'un souhaite discuter de cercle et de lettres, qu'il ou elle fasse signe.
A tantôt,

Rose

[Don Luis]

Bonjour Rose,

En fait, je n'ai parlé de point précis qu'au sujet de l'Ouverture.

S'agissant du visuel de la 500, je préfère pour ma part le décalquer, lui, et le reporter sur la 989 (de 1993, c'est-à-dire à marges blanches). Il me semble que le bord gauche de la règle correspond à l'inclinaison d'une ligne joignant Carignan et CarignanO.

Et je m'intéresse plus particulièrement aux deux traits formant un angle au niveau de la graduation 8,5 de la règle. Moi non plus, je n'ai pas le droit de dire que l'un de ces traits semble fileté comme une vis, tandis que l'autre ressemble à un levier. J'y vois une allusion à la ville de Laigle (en Suisse) où un Musée du vin présente des pressoirs à vis et à levier. Cette localité est sur l'alignement Carignan-Carignano.

Les deux accessoires (vis et levier) font penser aussi à Archimède, et il n'y a pas loin du pressoir à la presse d'imprimerie au pied de la statue de Gutenberg (tenant une feuille de papier où est écrit "Et la lumière fut") à Strasbourg, qui joue peut-être un rôle dans la 420.

Quant aux dents du morse, elles me semblent renvoyer à l'ivoire, et donc à l'alignement phonétique Yvoir (en Belgique) - Carignan (dont l'ancien nom était Yvois) - Yvoire.

Pour ce qui est du rayon lumineux, le chercheur papyMax, sur le forum lachouette.net, défend l'idée que c'est une allusion à une gravure de Ledoux, où l'angle du rayon serait identique :
http://www.artnet.fr/artistes/claude-ni ... r6GscgVMg2

Il s'en est expliqué, notamment, dans son message 115161 (pour le rechercher, il faut être inscrit sur ce forum et s'y être identifié).

Mais, sachant que MB avait un projet à Arc-et-Senans, il me semble possible qu'il ait glissé ce détail dans le visuel comme un clin d'oeil (c'est le cas de le dire) personnel. Pour ma part, je reste très sceptique sur l'utilité de ce détail.

Quant à l'articulation du compas, elle n'a pas de centre (contrairement à celle du compas de la 420), et m'évoque surtout le A de Charlemagne.

[Don Luis]

Voici un lien direct vers le message de papyMax :
https://lachouette.net/index.php?a=v&b= ... #115161.00
(mais pas sûr qu'il fonctionne si on ne s'est pas identifié).

[Toulousaing]

Bonjour Don Luis,
Merci de votre réponse.
Hé mince, je m'aperçois que j'ai placé ce post dans le mauvais fil. Ou alors, il s'est déplacé tout seul ? :-) faut-il le déplacer ? Est-il possible de le faire ?

J'aime bien cette image de l'œil de Ledoux, qu'on trouve si mes souvenirs sont bons sur un fronton quelque part à Besançon, chez Victor Hugo (le théâtre je crois).
On est bien dans ce contexte de rayons qui filent vers une ouverture.

J'aime bien aussi cette sonorité d'ivoire-Yvoir.
Ce qui est pratique avec ces rayons, c'est qu'ils sont polysémiques (ondes, rayons du cercle, et à la MB, rayons de roue de vélo).
On les retrouve dans les nombres "phares", essentiellement le 650 et le 560 formant un arc (de cercle ;-)), entre lesquels on peut tirer une flèche.

On peut bien sûr les balancer à la corbeille dès la fin de la B, mais comme on les retrouve dès l'énigme 530, au compte-goutte, autant s'en servir.
Que de belles idées partout dans ce forum, quelle dommage de ne pas les réunir ! La lumière blanche n'est pas loin pourtant.

A bientôt,

Rose