Les Mystères de Bérèshit

Discussions au fil de l'eau sur l'énigme B
indijames
Hulotte
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Les Mystères de Bérèshit Messagepar indijames » 06 sept. 2011 à 21:52
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" Bereshit bara Elohim Ete ha-chamayim ve-ete ha-arets

Au commencement, Dieu avait créé le ciel et la terre.


Pour quelle raison la Torah commence-t-elle par la lettre Beth (deuxième lettre de
l’alphabet hébreu), et non Aleph (première lettre) ?

Le Zohar, rapportent comment le Créateur avait écarté chacune des lettres de l’alphabet
pour débuter la Tora, invoquant pour chacune la raison de son refus. Le choix s’étant arrêté
sur la lettre Beth, Aleph, avait marqué son mécontentement. Dieu le console en le gratifiant
du privilège d’être placé en tête du décalogue. Anokhi, commence, en effet, par Alèf. Mais le
choix divin s’était porté sur Beth parce qu’elle débute le mot Bérakha, bénédiction, alors
qu’Aleph est le début de « arour », malédiction. La création du monde se situe donc au
niveau de la bénédiction.

Longtemps le Beth se croyait la première parmi les lettres. Longtemps cette consonne resta
convaincue que ce fut elle qui était la première à exister et que ce fut elle qui avait la charge
d’initier le monde. Le Beth ignorait en effet qu’il était précédé par un autre caractère ; l’Aleph,
car Aleph ne se manifestait point ! Aleph, lettre muette, n’était ni vue et -surtout- ni entendue !
Le verbe créer, « bara », commence également par cette consonne, et cela semble confirmer
que c’est bien Beth qui est la première force créatrice de l’Univers

Enfin, le midrach, raconte : « l’Aleph finit par se présenter devant le trône céleste et déconcerté,
frustré et brisé il interrogea le Ciel ; Comment, ce n’était donc pas lui, l’authentique premier, qui
inaugurait ce monde ? N’était-ce pas par lui que la Torah aurait du commencer ? Il lui semblait que,
figurer partout en tête, lui revenait de droit. Silencieusement Dieu écouta les revendications d’Aleph.
Dieu ne s’expliqua point et ne justifia rien. Par contre, Dieu rassura Aleph. Si, en effet, le monde
n’avait pas commencé par lui, plus tard, au moment glorieux du Don de la Torah, lorsque Dieu irait
Se révéler au Peuple Juif, réuni au pied du Mont Sinaï, Dieu irait prononcer le Décalogue, les Dix
Commandements, qui eux allaient commencer par la lettre Aleph, —Anokhi Hachem—, Je suis
l’Éternel. À cette heure là ce serait le Aleph qui serait bien le tout premier ! »

Ainsi, on peut remarquer que dès le tout premier verset, dans son premier mot et dès sa première
lettre, la Torah nous annonce qu’il existe DEUX débuts, DEUX points de départ, DEUX commence-
ments pour chaque chose ! Le premier commencement est celui qui est le plus terrestre ; c’est le
commencement tangible où la perception de l’univers est limitée et mesurable. C’est ce commence-
ment qui est cristallisé par la lettre Beth, cette lettre qui elle aussi est terrestre, audible et mesurable.
Le second commencement est celui du monde du Ciel. Le monde du Ciel ne connaît pas les distances
physiques, dans son univers tout s’exprime en langage métaphysique ! Cet univers est évidemment
celui de la lettre Aleph, qui elle non plus ne se laisse pas exprimer tangiblement et vocalement. Et au
début, tout au début, Dieu créa ces deux notions, de sorte que c’est à l’homme de savoir dans lequel
des deux mondes il désire évoluer.


Le premier caractère de la Torah est donc de grand format pour rappeler que lui, le Beth, qui représente
le monde matériel de la terre, n’est pas seul dans l’existence mais que, encore bien antérieur à lui se
trouve l’Aleph, la seule lettre à être vraiment autonome et indépendante et qui elle est l’exponant et le
point de départ du monde du Ciel. "



http://www.kabbale.eu/les-mysteres-de-bereshit/



amicalement
indi
Maximinus
Lapone
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar Maximinus » 06 sept. 2011 à 22:19
Fort ! Trop fort....de la Libanaise ?
Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien...
indijames
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar indijames » 06 sept. 2011 à 23:31
Maximinus a écrit :Fort ! Trop fort....de la Libanaise ?



Premier choix ! Si avec ça Shirka ne retrouve pas la mémoire...








amicalement
indi
indijames
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar indijames » 10 sept. 2011 à 00:26
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SHIN





"D'après la Qabalah, le signe Shin est constitué de trois Yod et de trois Waw, c'est-à-dire de
trois points d'où sont issus trois rayons de lumière, points assimilés aux trois séphirot Sagesse-
Discernement-Connaissance. En fait, le signe Shin comprendrait une quatrième branche ou un
quatrième rayon caché, qui se révélerait dans les temps futurs. Il s'agirait du dédoublement de
la Connaissance à un niveau différent, du côté "féminin" de l'Arbre de Vie. Ce deuxième niveau
de la connaissance dépasserait le niveau de compréhension de l'homme, mais lui permettrait de
se dépasser.

Le sens du signe Shin est la dent, la molaire. Son graphisme est effectivement une dent, mais
plus précisément la simplification d'une molaire. Ainsi le dessin originel cherche à nous signaler
le symbole de la dent qui malaxe mais surtout de sa racine. D'ailleurs, en hébreu le mot "racine"
montre un Resh (tête) entouré par deux Shin (une molaire de chaque côté) : shorésh. Ainsi
Shin symbolise la racine de la tête, c'est-à-dire l'esprit, racine de l'existence.

Cette lettre symbolise l’énergie, l’action, la force en mouvement. Sa valeur pleine est 360, valeur
en degré du cercle, donnant à cette énergie en mouvement un caractère de force centrifuge. La
lettre Shin représente le feu, symbolisant les trois flammes de la Divinité réunies, l’Esprit Saint.

Shin est aussi l'arc qu'on tend pour tirer une flèche, une dent ou sa racine. L'arc transmet, la racine
aussi. Shin devient "sin" en perdant le chuintement au profit d'un sifflement, quand le point sur la
branche de droite passe à gauche. Associé au signe Taw, Shin donne le sens de fondement et, Sin,
le sens de ruine ou de désolation. Associé au signe Dalet, la porte, on a le sens général du gardien de
la porte, celui qui tire et introduit, avec Shin, et celui qui arrête et barre la route avec Sin. Associé
à Resh, la tête, Shin donne le sens de chaîne et Sin, celui de secret.

Shin est un signe caractéristique par son ambiguité: à la fois mouvement et non mouvement dans la
stabilité, le feu protecteur de la chaleur, mais aussi celui de l'embrasement destructeur, un chucho-
tement et un sifflement, l'intelligence et la folie: il nous montre la voie du ciel, celle de la terre, la
rigueur et la miséricorde. En fait Shin est une lettre secrète qui tient cachée en elle le chemin du
repentir, du retour "



...
Mephy
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar Mephy » 10 sept. 2011 à 00:46
indijames a écrit :
Maximinus a écrit :Fort ! Trop fort....de la Libanaise ?



Premier choix ! Si avec ça Shirka ne retrouve pas la mémoire...








amicalement
indi


huhu souvenirs souvenirs , ca m en dresse le poil cette musique!
indijames
Hulotte
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar indijames » 10 sept. 2011 à 13:03
Mephy a écrit :huhu souvenirs souvenirs , ca m en dresse le poil cette musique!


C'est bien le but recherché !

amicalement
indi
indijames
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar indijames » 10 sept. 2011 à 13:24
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TAV - THAU - TAU






" Vingt-deuxième et dernière lettre de l'alphabet hébraïque, Taw suggère un dessin, un signe à
déchiffrer. Elle suggère un croisement de lignes et le dessin d'origine est constitué de deux lignes
croisées, signature instinctive de l'homme simple.

D'après la Qabalah, la lettre Taw est composée de deux lettres, Dalet et Noun: elle aurait ainsi comme
sens immédiat, "la porte de la connaissance primordiale oubliée". Elle est aussi une réminiscence, une
impression des mondes antérieurs dans l'univers présent. Dalet-Noun est aussi "dan", le juge: pour
exercer son jugement, le juge a besoin de rectitude, de Taw croisé à angle droit. Taw n'est ni du côté de
la rigueur, ni du côté de la miséricorde. Il est au milieu de l'Arbre de Vie, au niveau de Tifeéret, attibut
qui commence et se termine par Taw.

Taw signifie aussi "plus, encore" ("tou"): une quête de plus de lumière, de plus de valeur ajoutée ("yoter"),
de plus de réparation par une volonté librement consentie et de moins de prédestination.

Associé au Mém, les eaux, Taw donne "tam", la perfection, résultat du trait dans les eaux du Chaos pour
les séparer et créer l'univers. Taw est le trait dans les eaux et la trace de l'univers primordial et des mondes
antérieurs. Dans le mot Torah, Taw est le trait ou le signe à la tête, en haut du signe Hé, l'ouverture vers
l'extérieur, l'étude, l'enseignement, le parfum des cieux.

Taw est la dernière lettre de l'alphabet hébreu et elle contient toutes les nuances du "signe". Taw ou taw-
taw est le signe, la marque, mais signifie aussi "encore, une fois de plus", comme s'il fallait répéter le
signe pour se faire comprendre.

Avec la lettre Yod s'ajoutant au Taw, on obtient "téwy", le tracé, l'alignement, comme si le Yod matérialisait
le signe en le traçant.

Si on remplace le Yod par un Aleph, on obtient "ta" ou taw-aleph, la cellule, le cabinet de réflexion, mais
aussi "viens!", à l'image d'un signe qu'on ferait à un homme perdu, à un profane pour lui indiquer son
chemin ou le chemin d'un lieu calme pour réfléchir et retrouver une certaine unité.

Quand on inverse les deux lettres taw-aleph, on obtient aleph-taw, soit l'équivalent hébraïque de
l'expression "alpha et oméga", une certaine totalité. Mais ce mot a plusieurs sens. D'abord il est "le signe"
par excellence, "ot", le signe de l'être, de l'existence. Il signifie aussi "avec" (ét) et "toi" au féminin (at).
De même il représente un instrument tranchant qui fend comme un soc de charrue. Il signifie enfin "en
direction de...", la main montrant le chemin.

Taw est un signe, une lettre à l'origine de nombreux autres mots liés au Cantique des Cantiques. Le but
de notre propos n'est pas d'être exhaustif mais d'ouvrir la voie à une compréhension symbolique de
l'Ecriture. Ainsi par exemple, l'expression "taw éyom" signifie "signe terrible", sans qu'on puisse
l'interpréter comme une entité cachée, un ordre ou un geste rituel. Cette expression est souvent suivie du
mot "nitsav" qui signifie debout mais aussi perpendiculaire ou "à angle droit", et également "la garde de
l'épée". Toutes ces expressions caractérisent un rite qui véhicule une histoire très ancienne, remontant
aux origines, l'histoire de la séparation des deux aspects du "Yod".




...
indijames
Hulotte
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar indijames » 10 sept. 2011 à 14:38
De quoi raviver la mémoire, et faire se dresser le poil encore...














If you come inside
Things will not be the same
When you return to the night
And if you think you’ve won
You never saw me change
The game that we have been playing

The coldest blood runs through my veins
You know my name...



amicalement
indi
indijames
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar indijames » 10 sept. 2011 à 19:33
De la symbolique du Rouge et du Bleu, ou la rencontre tant attendue entre le Shin et le Tau





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" Le Rouge symbolise de façon universelle le principe vital, sa force, sa puissance et son éclat.
Le Rouge est la couleur du feu, du sang et est aussi ambivalent symboliquement qu'eux, selon sa
nuance claire ou sombre. Dans sa nuance claire, il est éclatant, centrifuge, diurne, mâle, tonique, il
incite à l'action, et projette son éclat et sa puissance sur tout tel un soleil. Dans sa nuance sombre, il
est nocturne, femelle, secret, et presque centripète. Le Rouge sombre symbolise le mystère de la vie
au lieu de son expression.

Le Rouge sombre est la couleur du feu central de l'homme et de la terre, du ventre et de l'athanor
des alchimistes, où s'opère la digestion, le mûrissement, la génération ou la régénération de l'homme
ou de l'oeuvre, lors de l'oeuvre au rouge ( rubedo ). Le Rouge a un sens identique pour les alchimistes
occidentaux, chinois et islamiques, et le Soufre Rouge des Arabes, symbole de l'homme universel, est
issu de l'oeuvre au rouge.

Le Rouge sacré et secret est le mystère vital caché au fond des ténèbres et des océans originels. Le
Rouge est la couleur du coeur, de la libido et de l'âme. C'est aussi la couleur de la Science, et de la
Connaissance ésotérique. Cette connaissance est cachée sous le manteau des Sages, tel qu'on peut
le voir dans les lames du tarot de l'Hermite, de la Papesse, et de l'Impératrice, qui portent tous une
robe rouge sous un manteau ou une cape bleue. Ces trois personnages représentent la science secrète
à différents degrés.

Le Rouge sombre est aussi matriciel et est visible de façon licite pendant la mort initiatique où il devient
sacré. Ainsi les initiées aux mystères de Cybèle recevaient sur leur corps le sang d'un taureau ou d'un
bélier sacrifié au dessus d'eux pendant qu'un serpent buvait à même la plaie. Ce Rouge symbolise donc
le ventre où vie et mort se transmutent l'une en l'autre. Le Rouge sombre a donc une symbolique
initiatique mais aussi funéraire. Car caché, le Rouge sombre permet la vie, mais répandu il symbolise la
mort. Ceci explique le tabou qui pèse sur les femmes pendant leurs règles : le sang en passant de l'utérus
obscur à l'extérieur diurne change de polarité. De symbole de vie, il devient symbole de mort.

Le Rouge vif, lui, incite à l'action, il symbolise l'ardeur et la beauté, il est l'image de la force impulsive et
généreuse, de la jeunesse, de la santé et de la richesse. Le Rouge vif est aussi un symbole de l'Éros libre
et victorieux. C'est aussi la couleur des peintures et des ocres dont les femmes d'Afrique Noire s'enduisent
le corps et le visage après leurs premières règles, à la veille de leur mariage, et après la naissance du
premier enfant. Les Indiens d'Amérique ornent de la même couleur les jeunes gens pour stimuler leurs
forces et éveiller leur désir.

Le Rouge est aussi associé aux festivités et à la beauté ( les Celtes d'Irlande disaient d'un beau jeune
homme ou d'une belle jeune femme qu'il ou elle était "rouge" ). Le Rouge étant un symbole de fougue,
d'ardeur et de jeunesse, il est aussi une couleur guerrière, entre autre dans les traditions irlandaises, mais
aussi romaines ou le Rouge est la couleur associée à Mars, dieu de la Guerre. Les Druides étant à la fois
prêtres et guerriers, le rouge est une de leurs couleurs ( les contes celtes regorgent d'histoires où
apparaissent des druides rouges ), et leur dieu Dagda est appelé "rouge de la Grande Science". Symbole
de la guerre, le Rouge est aussi l'enjeu de cette bataille entre le ciel et l'enfer, entre le feu chtonien et le
feu ouranien. "






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"Étant immatériel, le Bleu, lorsqu'il est appliqué sur quoi que ce soit, dématérialise l'objet sur lequel il
se trouve. Le Bleu est le chemin de l'infini, où la réalité devient rêve, c'est d'ailleurs la couleur de l'oiseau
du bonheur ( l'oiseau bleu). Entrer dans cette couleur revient, telle Alice, à passer de l'autre coté du
miroir, c'est à dire au Pays des Merveilles. Alors que le Bleu clair symbolise la rêverie, le Bleu foncé
symbolise le rêve, on passe alors du jour à la nuit, et de la conscience à l'inconscient.


Le Bleu est une couleur grave et solennelle que l'on retrouve d'ailleurs sur les murs des tombeaux
égyptiens. Le Bleu était aussi chez les Égyptiens la couleur de la vérité. La vérité allant avec la Mort et
les Dieux, le Bleu céleste représente le seuil qui sépare l'homme de ceux qui dirigent, de l'au-delà, son
existence. Le Bleu azur est donc sacré, c'est le champ élyséen, la matrice (femelle) à travers laquelle
perce la lumière d'or (mâle) qui exprime la volonté ouranienne. D'ailleurs Zeus et Yahvé ont les pieds
posés sur l'azur lorsqu'ils ont assis sur leurs trônes. Cet azur qui représente la voûte céleste, dont on
croyait en Mésopotamie qu'elle était faite de Lapis-lazuli. Cet aspect sacré du Bleu se retrouve dans le fait
que le blason de la maison Royale de France était sur fond bleu azur afin d'affirmer l'origine divine du roi.


Associé à l'ocre ou au rouge, le Bleu symbolise les hiérogamies ou les oppositions entre ciel et terre.
Dans la tradition bouddhiste tibétaine, le Bleu est la couleur de la Sagesse transcendante, de la potentialité
et en même temps de la vacuité, dont l'infini du ciel bleu est une image possible. Le Bleu est d'ailleurs la
couleur de la lumière de la Sagesse du Dharma-dhâtu, dont la puissance est éblouissante, mais qui ouvre
la voie de la Libération. Le Bleu est aussi la couleur du yang, donc du bénéfique. Le Bleu n'a pas de terme
spécifique dans les langues celtiques (ni dans la langue chinoise ancienne d'ailleurs), où le même
mot "glas" signifie à la fois Bleu, Vert ou Gris selon les circonstances. Néanmoins le Bleu est une couleur
importante pour les Celtes puisqu'elle symbolise la troisième fonction, productrice et artisanale, et on
retrouve dans les écrits de César des mentions de femmes nues et peintes en Bleu lors de cérémonies
religieuses.

Dans le langage populaire, le bleu symbolise la perte, le manque la castration, l'ablation, la passivité, ou
le renoncement, alors qu'il représente en réalité la mutation, la sublimation des désirs et la possibilité d'un
nouveau départ.




...
St
Stone
Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar Stone » 10 sept. 2011 à 20:32
indijames a écrit :
Maximinus a écrit :Fort ! Trop fort....de la Libanaise ?



Premier choix ! Si avec ça Shirka ne retrouve pas la mémoire...








amicalement
indi


Et toi, retrouves-tu la mémoire?
www.youtube.com/watch?v=uRgyvYXLDx4
indijames
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar indijames » 10 sept. 2011 à 21:18
Stone a écrit :Et toi, retrouves-tu la mémoire?
http://www.youtube.com/watch?v=uRgyvYXLDx4





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Voici Amaterasu, " déesse du Soleil " dans le Shinto japonais. Tu ne trouves pas qu'elle a comme
un petit air de ressemblance avec Zia ? :)


" Les hommes cherchaient à posséder la force magique qu'ils croyaient être à la base de tout
accomplissement exceptionnel. Ils croyaient que les chamans, et plus tard l'Empereur auquel furent
attribués les fonctions de grand prêtre, étaient capables de maîtriser les énergies de la nature. Aujourd'hui
encore, l'empereur japonais, le Tennô, récite des prières tourné en direction des 4 points cardinaux,
durant une cérémonie qui a lieu la nuit du nouvel an afin de rétablir l'ordre de l'univers et d'assurer la
prospérité de l'année qui commence. Traditionnellement, le pouvoir des empereurs de Chine et du Japon
était moins de nature politique qu'éthique puisqu'ils avaient les fonctions de gardiens de l'ordre cosmique.

L'être humain et l'univers étaient tous deux issus de l'union sexuelle des dieux ; hommes, dieux et forces
de la nature ne se différencient pas dans leur nature propre, mais dans leur degré de puissance. Par
conséquent, les rites de magie pratiqués la nuit du nouvel an japonais sont destinés à suspendre le temps
et à reconstruire le cosmos, deux actions que les hommes sont capables d'accomplir. "









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Esteban
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar Esteban » 20 oct. 2011 à 16:23
Particulierment Fan tu t'en doute de la derniere video"Les mystérieuses cités d'or"
Voilà un magnifique Dessin Animé....
Rempli de rêves , d'aventure , et d'émotion....
Un peu à l'image de cette chasse...

A mes yeux bien trop rare de nous jours!!!!!

ESTEBAN
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Piment
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar Piment » 22 oct. 2011 à 09:09
Esteban a écrit :Particulierment Fan tu t'en doute de la derniere video"Les mystérieuses cités d'or"
Voilà un magnifique Dessin Animé....
Rempli de rêves , d'aventure , et d'émotion....
Un peu à l'image de cette chasse...
A mes yeux bien trop rare de nous jours!!!!!

ESTEBAN

:cafe: , Et ce qui suit sera un peu à l'image de ta prochaine expédition, :coucou: ,
petit clin d'oeil de Max en rapport avec le B.... de l'énigme qui donne l'ordre...

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Piment :hehe: ...
Socrate avait dit: "Je ne sais qu'une chose, c'est que je ne sais rien..."
Dans une autre langue évidemment.
St
Stone
Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar Stone » 22 oct. 2011 à 18:51
Excuse-moi Piment, mais il me semble que ce post était particulièrement soigné avant d'y ajouter ton chou qui dénote excessivement dans la richesse de cette culture ;o)
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ananas joe
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Re: Les Mystères de Bérèshit Messagepar ananas joe » 23 déc. 2011 à 19:02
edit : merci aux moderateurs de supprimer

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