Depuis le temps que je le ressasse ....Ancil a écrit :"RESTE SIMPLE DANS LA 530, CAR CE N'EST QU'UN LIEU POUR DEMARRER LE JEU" soit 51 lettres + 3 chiffres.
Sinon, "CE" = Ce que l'on cherche dans la 530.
D'autant qu'en 470 on a d'emblée : CE n'est le bon chemin....
Nous avons dans cette 530 R = 18 = Cher reste plus qu'à comprendre que CE = 35 = Ille et Vilaine .. ==> Il est vilain E ..... pardi c'est le seul qui se cache !
On a également FRANCE en arrière plan ==> FR à N CE ...
Il faut donc chercher ensuite qui est ce FR ...
Avec le titre on peut penser qu'il s'agit d'initiales qui Ouvrent les mots..
Sur le visuel la forme des Pyrénées avec ce trait horizontal qui les barre évoque une plume sergent-major et aussitôt quelqu'un qui ecrit .....donc un écrivain.
Il n'est pas difficile alors avec un bon ouvrage de référence de savoir que le plus celebre issu du 35 est François-René de Chateaubriand surnommé par sa soeur " l'enchanteur". Il est né à St Malo dont sa baie sur la manche est bien connue...
On retrouve aussitôt en 780 le M à l'O....
Un lien entre etre sage pas affaire de devin et limites de l'etrenite se crée alors....
ÉTERNITÉ ETRE sage ==> ETRE N ITÉ
L'avers ITÉ envers ITÉ ==> ÉTI ==> ETRE
Pas affaire de 2 [color=#008080]20 = 2 T[/color]N ÉTI
ÉTRE N ÉTI ==> É.RE N.I
Et comme l'ETERNITE est sans début ni fin donc perpétuelle et se répète => É RENÉ I É RENÉ I É RENÉ I ===> Et rené y est rené y est ...
René étant bien sûr le roman éponyme qui a propulsé FR de Chateaubriand au firmament des écrivains....
Il est enterré tout pres de St Malo sur le GRAND BÉ(c) ... et Flaubert lui a dédié une épitaphe se terminant par :".. la tête tournée vers la mer , le cœur de René devenu froid")
Epitaphe de Flaubert sur Chateaubriand :
Il dormira là-dessous, la tête tournée vers la mer; dans ce sépulcre bâti sur un écueil, son immortalité sera comme fut sa vie, déserte des autres et tout entouré d'orages. Les vagues après les siècles murmureront longtemps autour de ce grand souvenir; dans les tempêtes elles bondiront jusqu'à ses pieds, où les matins d'été, quand les voiles blanches se déploient et que l'hirondelle arrive d'au delà des mers, longue et douce, elles lui apporteront la volupté mélancolique des horizons et la caresse des larges brises. Et les jours ainsi s'écoulant, pendant que les flots de la grève natale iront se balançant toujours entre son berceau et son tombeau, le coeur de René devenu froid, lentement, s'éparpillera dans le néant, au rythme sans fin de cette musique éternelle.
Et CE n'est le bon chemin car A R ON CE .....VA U X !