Madito a écrit :Je rappelle que la 530 nous montre clairement deux points via l'ouverture du bec :un au nord du Cotentin
délimité par la mer,l'autre dans les Pyrénées atlantiques délimité par la frontière espagnole.
Nous découvrons en 470 que le deuxieme point est Roncevaux que nous atteignons par une direction sud,
soit en gros la direction Cherbourg-Roncevaux.
Ce n'est pas parceque nous trouverons plus tard Cherbourg par deux fois qu'il nous faut obligatoirement
l'ignorer en 530 et 780.
Je pense que Cherbourg est en 780 et que le croisement se fait sur l'axe Cherbourg-Roncevaux ou
Cherbourg Golfe-juan.
Je pense surtout qu'on nous demandera de passer par l'ouverture (Peut-être l'énigme 530 plus que Bourges) 2 fois. Ces demandes de passage par l'ouverture se font en 470 (soluce avec Roncevaux) et en 560 (soluce avec Cherbourg). D'où pour moi ce qu'indiquent les 2 parties du bec du coq (compréhensibles donc lus tard).
Le vrai lien entre la 530 et la 780 réside par cette notion de centre pivot. En effet la boussole n'a pas son pivot d'axe de rotation, ce qui donne, amha, l'envie de placer ce pivot sur l'oeil du coq, justifiant ainsi le fait qu'on est toujours à Bourges en 780, sinon il faut s'y rendre...
La 530 nous offre une carte de France.
La 780 une boussole qu'on va utiliser.
Je pense que Max souhaite que l'on change "d'univers", en 780 il nous place sur le terrain. Pourquoi? Une boussole ne sert à rien si on n'est pas sur le terrain.
530-780-470, Max fixe les règles de son jeu sur le thème de l'orientation. Et s'il décide (c'est un exemple) de mettre le Nord en haut des pages et le sud au sud ouest ou à l'est de la carte, why not... (Je le répète, ce n'est qu'un exemple...)
Au passage je conçois le visuel de la 780 exactement comme sur le visuel de Dinis.