Hobby a écrit :De mémoire, MV a dit qu'il n'y avait pas de lieux à trouver dans la 780.
Or, en l'absence de cette info mauditesque, on est tentés d'en chercher (notamment à cause des adverbes de lieu d'une part et de la boussole d'autre part).
Donc, sans madits, sans IS, comment aborder la 780 ?
Certainement avec l'aide de la clé. Mais il faut avoir la bonne.
Le sujet étant "il était une fois... le croisement", je dérive un peu.
Mais là encore, il faudrait savoir de quelle nature est ce "croisement" que seuls Maudits et IS mentionnent.
Bonsoir,
Je viens faire un bref saut dans la mélée.
Je ne pense pas qu'il y ait un madit qui dise qu'il n'y a aucun lieu à trouver dans la 780. Et je serai intéressé par un madit me montrant que j'ai tort.
Pour en revenir au sujet du fil, le croisement ne vient pas des madits mais des décryptages. Parmi les premiers chercheurs, les plus avancés devaient avoir trouvé. Il me semble même que cela doit traîner sur quelques forums.
Vu que le texte de l'énigme est un poème, je vous invite à chercher une solution littéraire.
On remarque facilement que le texte est de style poétique avec des rimes. Or la poésie est l'art de condenser le message à faire passer (cf wikipedia). La rime fait naître des liens supplémentaires entre les mots : ainsi leur signifiant (cocher, pied) sont rapprochés.
En poésie les signifiants renvoient à des signifiés (ce qui est représenté par le signifiant). Dans notre cas, on s'aide alors du visuel. Le mot "cocher" se rattache au cocher du visuel et le mot "pied" se rattache au piéton. Il faut donc confronter le cocher et le piéton du visuel.
Pour finir, on remarque que l'on a affaire à des rimes croisées. D'où l'explication du croisement entre le cocher et le piéton.
Amicalement,
Puzz