Je voudrais savoir si quelqu’un pouvez me donné une explication clair sur la lettre E en fin du mot inconnue ? Trouve-t-il une explication logique ?
J’ai bien compris qu’un inconnu s’écrie sans E et qu’une inconnue avec E mais cette phrase me trouble quelque peu et vue mes difficultés dans la langue Française je ne trouve pas son sens !
Une âme caritative qui m’explique en deux mots !
Pourquoi un E dans l'inconnue ?
- Couscous
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- Ino Ukoziak
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- Couscous
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Merci Ino, j'avais déjà vue cela mais je reste quand même sans comprendre que viens faire ici les mathématiques !
J’essaye de comprendre la logique, on nous donne une charade et on termine sur des maths ! ???
J’essaye de comprendre la logique, on nous donne une charade et on termine sur des maths ! ???
- crew
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Si cet item te donne X, tu ne vois pas le lien avec les math ?
- Couscous
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Oui Crew mais justement ! le X c’est aussi une lettre et qui est la 24è de l’alphabet.
Je dis tout je dis rien, mais va-t-on savoir si justement il n’y a pas une équation caché en rapport avec X= 24 et mon 11è ….un lien avec une valeur de la mesure ? Pas fort en math !
En tout cas il y a quelque chose de dissimulé derrière cette lettre.
Ensuite admettons que nous prenions l’exemple de la 530 et que le E se cache ! ben la aussi ça change tout ! Simple supposition…
Je dis tout je dis rien, mais va-t-on savoir si justement il n’y a pas une équation caché en rapport avec X= 24 et mon 11è ….un lien avec une valeur de la mesure ? Pas fort en math !
En tout cas il y a quelque chose de dissimulé derrière cette lettre.
Ensuite admettons que nous prenions l’exemple de la 530 et que le E se cache ! ben la aussi ça change tout ! Simple supposition…
- Couscous
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Si on parle de math je suis la définition de l'inconnue :
Alors n'y a t-il pas un problème d'équation?
Une inconnue, en mathématiques, est un élément constitutif d'une question de même nature qu'une équation. L'inconnue permet de décrire une propriété vérifiée par une ou plusieurs valeurs qui prendraient la place de cette inconnue, ces valeurs étant souvent des nombres. Dans le cas d'une équation, une bonne réponse est une valeur pour laquelle, quand on la substitue à l'inconnue, l'égalité est vérifiée. Cette réponse prend le nom de solution. L'inconnue est aussi utilisée dans d'autres situations comme une inéquation. Un problème peut comporter plusieurs inconnues, mais chacune d'entre elles est exprimée sous la forme d'un seul et unique symbole
Alors n'y a t-il pas un problème d'équation?
- jalec
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Qui dit EQUATION... dit EGALITE...
Le signe EGAL (=) aurait été inventé par Robert Ricorde (1518-1558).
Le signe EGAL (=) aurait été inventé par Robert Ricorde (1518-1558).
- Mupsai
- Dryade
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En math UNE inconnue se note "x". Point barre.
Après si tu veux trouver un autre niveau, libre à toi ;)
Mais la définition de Max pour ce "x" est l'une des moins alambiquées à mon avis.
Après si tu veux trouver un autre niveau, libre à toi ;)
Mais la définition de Max pour ce "x" est l'une des moins alambiquées à mon avis.
- Hobby
- Hulotte
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Mupsai a écrit :Mais la définition de Max pour ce "x" est l'une des moins alambiquées à mon avis.
A moins que cette inconnue soit interchangeable. Un T par exemple, ce qui ferait VAUT de VAUX... mais ce n'est aussi qu'une idée.
- Mupsai
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En effet tout est possible... ;)
- tanacl
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Un fait objectif et notable, c'est que la définition de cet item renvoie aux mathématiques. Utiliser X pour dérouler un code, c'est un autre problème.
- Couscous
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Ce qui est curieux c’est que ce X inconnue en 470 m’a bien l’air d’être le X révélé de l’énigme 500 dans laXis.
D’ailleurs X= 24
500 = 24 =MORSE
Premier item de la charade 470 = mon premier =A=>vers le X par l’ouverture B pour voir la lumière.
en 500 = LA X IS= en note= A=>X ET B = A=> vers le X par B si no repositionnons la note SI au centre.
Tout ceci n’est pas une coïncidence !
D’ailleurs X= 24
500 = 24 =MORSE
Premier item de la charade 470 = mon premier =A=>vers le X par l’ouverture B pour voir la lumière.
en 500 = LA X IS= en note= A=>X ET B = A=> vers le X par B si no repositionnons la note SI au centre.
Tout ceci n’est pas une coïncidence !
- Couscous
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Mupsai a écrit :En math UNE inconnue se note "x". Point barre.
Après si tu veux trouver un autre niveau, libre à toi ;)
Mais la définition de Max pour ce "x" est l'une des moins alambiquées à mon avis.
En math c'est bien ce que je dit ! et que viens faire les math ici ?!
Tu ne crois pas sérieusement que c'est pour nous dire de trouver la lettre X?
- Mupsai
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Et que vient faire une entité qui ronfle ou qui est nue?...
- Ino Ukoziak
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11 items
A = 530
Espace = 780
...
U = 520
X = supersolution (l'inconnue)
Et effectivement, le fait que X soit la 24e lettre n'est pas anodin et est à mettre en rapport avec la 500
A = 530
Espace = 780
...
U = 520
X = supersolution (l'inconnue)
Et effectivement, le fait que X soit la 24e lettre n'est pas anodin et est à mettre en rapport avec la 500
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- Couscous
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Mupsai a écrit :Et que vient faire une entité qui ronfle ou qui est nue?...
Tu réponds à une question par une autre, si tu veux on y reviendra un autre jour pour parler de celle qui est nue et qui ronfle, là c'est du X qu'on parle !
- Couscous
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Ino Ukoziak a écrit :11 items
A = 530
Espace = 780
...
U = 520
X = supersolution (l'inconnue)
Et effectivement, le fait que X soit la 24e lettre n'est pas anodin et est à mettre en rapport avec la 500
Ok je vois que sur certains éléments on est synchrone, bon c'est déjà pas mal
- Couscous
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Hobby a écrit :Mupsai a écrit :Mais la définition de Max pour ce "x" est l'une des moins alambiquées à mon avis.
A moins que cette inconnue soit interchangeable. Un T par exemple, ce qui ferait VAUT de VAUX... mais ce n'est aussi qu'une idée.
Une bonne idée !
- Maximinus
- Lapone
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Pour aller plus loin.... trop loin ? :
"Le symbolisme algébrique : L'usage des lettres.
Dès l'antiquité, on faisait un usage systématique des lettres en géométrie pour désigner des indéterminées comme des points ou des droites, etc., c'est à dire des grandeurs qui ne sont pas inconnues mais seulement données de façon non spécifiée.
Du côté de l'arithmétique et de la théorie des équations, quelques traces d'abréviations symboliques sont très anciennes (signes pour la soustraction et l'addition chez les Égyptiens et chez Diophante) mais le caractère rhétorique de l'algèbre prédomine largement en particulier chez les Arabes en dépit du haut niveau de technicité de leur calcul algébrique.
On peut distinguer deux processus :
•d'une part, inventer des notations maniables pour les 4 opérations de l'arithmétique avec des conventions permettant de pouvoir structurer une suite d'opérations ;
•d'autre part, inventer des symboles pour l'inconnue et ses puissances et former des sommes algébriques avec ses symboles.
En Algèbre, l'usage des lettres est apparu dès le début du 16ème siècle.
MAUROLICO, dit Francesco de Messina en fait usage mais sans calculer avec elles et, s'il fait des additions et des multiplications, il introduit une nouvelle lettre à chaque fois.
Une importante innovation est l'utilisation des lettres capitales A, B, C,... pour désigner l'inconnue.
On trouve cela, à des variantes près chez l'Allemand STIFEL en 1544, le Français Jacques Peletier en 1554, et très clairement chez Jean Borrel, un homme d'église connu sous le nom latinisé de Butéo, qui publie en 1559 logistica quae et arithmetica Vulgo dicitur.
C'est à cette époque que la manipulation de certaines expressions algébriques à une ou plusieurs inconnues désignées par des lettres devient plus familière. C'est ce que l'on a appelé l'algèbre numéreuse.
Cependant, la mutation la plus fondamentale viendra de François Viète (1540-1603).
Il désigne par des lettres non seulement les inconnues et les puissances des inconnues, ce qui était déjà une habitude, mais aussi les coefficients indéterminés (ce que l'on avait fait en géométrie dans l'Antiquité).
Il réserve pour les grandeurs connues indéterminées les consonnes B, C, D..et pour les inconnues les voyelles A, E, O..
Viète réalise des progrès très nets en matière de calcul algébrique et d'applications de celui-ci à la géométrie des Grecs. Les problèmes classiques du second degré et du troisième degré sont traités, ainsi que nombre de problèmes de degré supérieur.
(La dernière proposition du traité de Viète (l'art analytique) fonde véritablement la théorie des équations en donnant les relation entre coefficients (le terme est de lui) et les racines.).
Les mathématiciens de la première moitié du 17ème siècle (Harriot et Albert de Girard) simplifieront les notations de Viète et avec Descartes (1596-1650), elles auront à peu près atteint leur forme actuelle (des notations diffèrent pour les puissances, le signe d'égalité et la multiplication). ( Pour plus de précisions sur les équations)."
"Le symbolisme algébrique : L'usage des lettres.
Dès l'antiquité, on faisait un usage systématique des lettres en géométrie pour désigner des indéterminées comme des points ou des droites, etc., c'est à dire des grandeurs qui ne sont pas inconnues mais seulement données de façon non spécifiée.
Du côté de l'arithmétique et de la théorie des équations, quelques traces d'abréviations symboliques sont très anciennes (signes pour la soustraction et l'addition chez les Égyptiens et chez Diophante) mais le caractère rhétorique de l'algèbre prédomine largement en particulier chez les Arabes en dépit du haut niveau de technicité de leur calcul algébrique.
On peut distinguer deux processus :
•d'une part, inventer des notations maniables pour les 4 opérations de l'arithmétique avec des conventions permettant de pouvoir structurer une suite d'opérations ;
•d'autre part, inventer des symboles pour l'inconnue et ses puissances et former des sommes algébriques avec ses symboles.
En Algèbre, l'usage des lettres est apparu dès le début du 16ème siècle.
MAUROLICO, dit Francesco de Messina en fait usage mais sans calculer avec elles et, s'il fait des additions et des multiplications, il introduit une nouvelle lettre à chaque fois.
Une importante innovation est l'utilisation des lettres capitales A, B, C,... pour désigner l'inconnue.
On trouve cela, à des variantes près chez l'Allemand STIFEL en 1544, le Français Jacques Peletier en 1554, et très clairement chez Jean Borrel, un homme d'église connu sous le nom latinisé de Butéo, qui publie en 1559 logistica quae et arithmetica Vulgo dicitur.
C'est à cette époque que la manipulation de certaines expressions algébriques à une ou plusieurs inconnues désignées par des lettres devient plus familière. C'est ce que l'on a appelé l'algèbre numéreuse.
Cependant, la mutation la plus fondamentale viendra de François Viète (1540-1603).
Il désigne par des lettres non seulement les inconnues et les puissances des inconnues, ce qui était déjà une habitude, mais aussi les coefficients indéterminés (ce que l'on avait fait en géométrie dans l'Antiquité).
Il réserve pour les grandeurs connues indéterminées les consonnes B, C, D..et pour les inconnues les voyelles A, E, O..
Viète réalise des progrès très nets en matière de calcul algébrique et d'applications de celui-ci à la géométrie des Grecs. Les problèmes classiques du second degré et du troisième degré sont traités, ainsi que nombre de problèmes de degré supérieur.
(La dernière proposition du traité de Viète (l'art analytique) fonde véritablement la théorie des équations en donnant les relation entre coefficients (le terme est de lui) et les racines.).
Les mathématiciens de la première moitié du 17ème siècle (Harriot et Albert de Girard) simplifieront les notations de Viète et avec Descartes (1596-1650), elles auront à peu près atteint leur forme actuelle (des notations diffèrent pour les puissances, le signe d'égalité et la multiplication). ( Pour plus de précisions sur les équations)."
Soyons désinvoltes, n'ayons l'air de rien...
- Couscous
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Tu est MaxiGrand ! Tu as trouvé le second billet
Des cartes en 500
Des cartes en 500
Descartes fait passer les lettres du statut d'inconnue « géométrique » au statut de variable « réelle ».
Il préféra le premier les lettres du début de l'alphabet a, b, c, d… pour les nombres connus (paramètres) et celles de la fin pour les inconnues x, y, z.
C'est l'usage qui s'est imposé.
Il a systématisé la notation des exposants xn quoiqu'il utilise souvent xx au lieu de x2.
René Descartes a aussi innové en utilisant le mot fonction pour f(x) = xn.
Son nom est associé :
– au repère cartésien et aux coordonnées cartésiennes,
– à la forme cartésienne d'un complexe,
– au produit cartésien de deux ensembles,
– à sa ville de naissance : La Haye Descartes.
Modifié en dernier par Couscous le 27 sept. 2016 à 22:22, modifié 1 fois.
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