C'est là que le bât blesse

Discussions au fil de l'eau sur la 470
Timy
Hulotte
Messages : 1971
Enregistré le : 13.09.2008
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Timy » 04 févr. 2017 à 21:20
Hobby a écrit :
Don Luis a écrit :Ce n'est pas une question de logique ! Les visuels de Becker sont hautement interprétables et, à mon avis, le seul moyen de trancher, c'est de trouver la réponse à la question : à quoi ça sert ?

Il me semble que c'est une multitude de petites lueurs qui font la grande lumière.
J'ai trouvé quelque chose très récemment qui expliquerait le concept d'ouverture et la lumière.
Mais comme je reste en panne dans la 780 (la mesure et tout le toutim), la prudence s'impose.

Donc, pour moi la vague est constituée d'obscurité (le texte) d'où sort la lumière (un lieu) grâce à un code donné par A RONCEVAUX et la visée de la flèche.


Je suis un peu gêné.

Je vois un peu les choses comme cela, pourtant, sans aucun jugement de valeur, je pense que nous n'avons pas la même interprétation des notions d'ombre et de lumière.

Voilà comment je vois les choses :
- En 470 on découvre ce qu'est la lumière, sujet sensible voire tabou.
- Sa définition reste vague, même si sa découverte est paradoxalement précise.
- Une énigme antérieure, ainsi que deux IS, peuvent nous mettre sur la voie de ce qu'elle est, son sens précis.
- La masse sombre du visuel de la 470 contribue à ce faisceau d'indices, par opposition à la lumière en quelque sorte.
- Ceci est de nature géographique et historique.

Il demeure possible que quelqu'un ait une lumière différente validant ces points, mais je n'en ait pas vu dans les solutions que j'ai pu parcourir jusqu'alors.

@+
Hobby
Hulotte
Messages : 1864
Enregistré le : 14.09.2016
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Hobby » 04 févr. 2017 à 21:27
Je pourrai être plus précise sur cette hypothèse et ce que j'ai trouvé si j'arrive à sortir de cette :zinzin: :rouleau: :vner: de 780.
Avatar de l’utilisateur
Rachel
Hulotte
Messages : 10727
Enregistré le : 16.12.2007
Localisation : Aix en Provence
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Rachel » 04 févr. 2017 à 23:59
Timy a écrit :Voilà comment je vois les choses :
- En 470 on découvre ce qu'est la lumière, sujet sensible voire tabou.
- Sa définition reste vague, même si sa découverte est paradoxalement précise.
- Une énigme antérieure, ainsi que deux IS, peuvent nous mettre sur la voie de ce qu'elle est, son sens précis.
- La masse sombre du visuel de la 470 contribue à ce faisceau d'indices, par opposition à la lumière en quelque sorte.
- Ceci est de nature géographique et historique.

Il demeure possible que quelqu'un ait une lumière différente validant ces points, mais je n'en ait pas vu dans les solutions que j'ai pu parcourir jusqu'alors.
Tu veux dire qu'une ombre plane sur ce visuel .....
Historiquement, si on conçoit Roncevaux et la bataille ( IS), la seule ombre qui plane au dessus de cela c'est .... Charlemagne !.
Et le conifère qu'on voit en vague, est en fait très probablement un genévrier...
juniperus.jpg
mLe lien avec Charlemagne est tout simple :
Le genévrier sabine était déjà connu dans l'Antiquité où on lui attribuait des propriétés abortives et emménagogues. L’espèce figure également dans le capitulaire De Villis : au Moyen Âge on la considère comme une plante médicinale dont la culture est ordonnée par Charlemagne.
http://jardin-botanique.unistra.fr/actu ... -sabina-l/
Le genévrier sabine était déjà connu dans l'Antiquité. Dioscoride et Pline lui attribuaient des propriétés abortives et emménagogues. Et Charlemagne, dans ses Capitulaires, a ordonné à ses sujets de le cultiver comme plante médicinale.
http://www.web-docteur.com/h68.htm

Tu as ainsi ta lumière toute trouvée.
:bise: :bise:
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Je crois bien être au sec...
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Don Luis » 05 févr. 2017 à 00:40
Oui, mais ton genévrier a toutes ses branches qui montent, alors que sur le visuel, on a des branches qui vont vers le bas, et c'est seulement dans la partie inférieure qu'on a quelques traits qui vont vers le haut.

DL
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
crapotin
Chevêchette
Messages : 27
Enregistré le : 25.01.2017
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar crapotin » 05 févr. 2017 à 00:41
@timy

J'ai "sommé" la lumière. C'est une voile portant le drapeau dabo. Elle éclaire déjà Chaume-de-Riquéval.

@chouetteur

La 470 et la 500, sont concomitantes. Pour les visuels, je crois que celui de la 500, symbolique en son X de 2424,
est (580), vu depuis les yeux de Dame Nature (envers)?
Lues
Avatar de l’utilisateur
Rachel
Hulotte
Messages : 10727
Enregistré le : 16.12.2007
Localisation : Aix en Provence
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Rachel » 05 févr. 2017 à 06:32
Don Luis a écrit :Oui, mais ton genévrier a toutes ses branches qui montent, alors que sur le visuel, on a des branches qui vont vers le bas, et c'est seulement dans la partie inférieure qu'on a quelques traits qui vont vers le haut.
Mais qu'importe la direction des branches que je montre un Juniperus a en général ses branches assez longues pour fléchir ensuite sous leur poids et devenir tombantes ... Orreaga signifie "lieu des genévriers" alors que Roncevaux = aubépines ???
Il est une phrase que je trouve admirable car elle colle en tout point avec ce que Max voulait nous faire voir et entendre et que Becker a peint :
un « arbre poétique », et n’ait déployé son dôme de sombre verdure que dans l’imagination d’un poète inconnu.
Je vous conseille d'ailleurs la lecture de ceci (d'où j'ai extrait cette belle définition):
http://fr.novopress.info/117894/culture ... cevaux-44/
Cette étude repose sur un traité datant de 1903 (Les Légendes du Moyen-Âge, de Gaston Paris. Hachette, 1903.) mais le texte de 2012 corrigé 2014 et je ne sais pas si cette "définition " est une reprise ou une "création" mais c'est pour moi exactement la définition de ce qu'on peut voir dans le visuel 470.

Et en fait , que ce soit pin , sapin , genévrier ou autre épicéa ou mélèze, c'est la frondaison en dome qui importe.
Et surtout qu'il s'agit d'arbres à aiguilles car le symbole à retenir avec l'épée est en fait une expression très célèbre qu'aucun d'entre vous n'a entrevue :
De fil en aiguille .....
De fil en aiguille est une expression apparue au XIIIe siècle et signifie que l'on passe d'une chose à une autre de manière progressive. Si la traduction latine "ab acia et acu" fait bien référence au domaine de la couture, l'expression a été influencée par le "fil" en tant que "courant d'eau ou de liquide", qui symbolise un mouvement fluide. "De fil en aiguille" signifie que l'on passe d'un sujet de conversation ou d'une occupation à une autre progressivement.

Nous avons, en effet le fil de l'épée et aiguille de l'arbre...
De là à entrevoir autre chose que seulement A RONCEVAUX , il n'y a qu'un pas que vous n'avez jamais voulu franchir .
Et pourtant.....
:bise: :bise:
Je crois bien être au sec...
Timy
Hulotte
Messages : 1971
Enregistré le : 13.09.2008
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Timy » 05 févr. 2017 à 06:47
Don Luis a écrit :Oui, mais ton genévrier a toutes ses branches qui montent, alors que sur le visuel, on a des branches qui vont vers le bas, et c'est seulement dans la partie inférieure qu'on a quelques traits qui vont vers le haut.

DL


Je vais me faire l'avocat de l'hypothèse de Rachel, même si je n'ai pas cette obscurité ni ce type de lumière.
Quand on fait la remarque à Max sur le fait qu'il a mis des têtes de hiboux en guise de têtes de chouette, il nous fait sentir qu'il se cague de ce genre de détails.
Il n'était pas zoologue et, même s'il a écrit un roman, je doute qu'il ait été botaniste dans l'âme.

Ainsi, si ta remarque diminue quand même la pertinence du genévrier, elle ne peut être définitive.

@+
jalec
Hulotte
Messages : 2724
Enregistré le : 13.04.2013
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar jalec » 05 févr. 2017 à 08:57
Capture d’écran (134).png
...
Avatar de l’utilisateur
delphinus
Hulotte
Messages : 7403
Enregistré le : 06.01.2008
Localisation : Terres de Lumière
Contact :
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar delphinus » 05 févr. 2017 à 09:17
cette 470 laisse un goût d'inachevé :
- la formulation A _ RONCEVAUX en premier lieu
- les mots inutiles de la charade (tandis que, toujours, enfin)
- la masse sombre à droite du visuel
- le bon chemin et le mauvais chemin
- c'est quoi la flèche
- c'est quoi "par l'ouverture"
- c'est quoi la lumière

je suis persuadé que celui qui interprétera le REBUS du visuel donnera la solution de cette énigme
C'est le propre du barbare de détruire ce qu'il ne peut comprendre.
Arthur Charles Clarke
http://chercheurdechouette.free.fr
james
Hulotte
Messages : 2709
Enregistré le : 20.01.2017
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar james » 05 févr. 2017 à 09:31
Don Luis a écrit :En fait, on peut très bien imaginer que c'est fait pour représenter à la fois un sapin et une "vague", comme dans les rêves (ce que Freud appelait la "condensation" (https://fr.wikipedia.org/wiki/Travail_du_r%C3%AAve ). J'ai toujours pensé qu'il y avait une analogie entre le "travail du rêve" qui est un travail de cryptage lié au refoulement, et le travail d'un concepteur d'énigmes, qui doit lui aussi crypter pour empêcher le chercheur de comprendre trop vite.


Une double interprétation, oui, je crois aussi. Pour moi, il s'agit d'un pin tout d'abord, car c'est sous un pin que meurt Roland comme l'indique la chanson. Plus symboliquement, un repentir ( en peinture une partie du tableau qui a été recouverte par le peintre pour modifier en profondeur la toile). Un repentir qui évoquerait donc celui de Roland avant de mourir, pour son péché d'orgueil de n'avoir pas écouté son compagnon, Olivier le sage, lorsque celui-ci lui conseilla de sonner du cor pour appeler Charlemagne en renfort. Roland refuse, la bataille tourne au désastre et lorsque il se décide enfin à sonner, il est bien trop tard. Le massacre a déjà eu lieu. La question du repentir de Roland est un sujet qui a fait couler beaucoup d'encre...

http://www.persee.fr/doc/litt_0047-4800 ... _42_2_2156

Pour nous, il présente l'avantage, ainsi associé au pin, de situer un moment précis de la bataille de Roncevaux, qui est celui de la mort de Roland. Lorsque celui-ci demande pardon pour ses péchés avant de remettre son âme à Dieu. J'ai trouvé ce texte, très intéressant, qui évoque notamment le repentir comme une vague qu'on ne peut contenir, d'où cette idée de mouvement dans la tache verte du visuel. La vague sur le sable, comme le repentir sur la toile du peintre, efface tout. En l'occurrence ici, elle s'apprêterait à dissimuler quelque chose d'essentiel pour la compréhension de la suite (pour moi, le départ de la piste anatomique de l'oreille interne, mais je ne vais pas revenir dessus ici)...

Il y a toujours une porte de sortie ! Comme en montagne, on finit toujours par découvrir un sentier par où passer. Un mot désigne ce sentier caché, dans le texte évangélique ; c’est le mot le plus important ; il est d’ailleurs le seul à être employé à deux reprises :

« Il se repentit »

Après une parole de refus, voilà que s’éveille chez le fils la conscience d’avoir mal répondu à son Père. Il l’a sans doute peiné ! Le Père ne l’a-t-il pas appelé de ce mot si affectueux : « Mon enfant ! » « Mon enfant, va aujourd’hui travailler à ma vigne ! » Alors monte en lui le repentir, comme une vague de la mer vient effleurer le sable du rivage.


https://www.lejourduseigneur.com/homeli ... -repentir/
« Finalement, ayant perdu l’esprit sans ressource, il vint à donner dans la plus étrange pensée dont jamais fou se fût avisé dans le monde. » Miguel de Cervantes
Hobby
Hulotte
Messages : 1864
Enregistré le : 14.09.2016
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Hobby » 05 févr. 2017 à 09:46
delphinus a écrit :cette 470 laisse un goût d'inachevé :
- la formulation A _ RONCEVAUX en premier lieu
Permet de trouver une clé en rapport avec A Roncevaux (la mort de Roland ne constitue pas tout l'évènement)
- les mots inutiles de la charade (tandis que, toujours, enfin)
Permettent de décoder le texte quand on a la clé
- la masse sombre à droite du visuel
Obscurité du texte dans lequel trouver les lueurs de la solution grâce à la clé et la flèche
- le bon chemin et le mauvais chemin
Le bon permet de s'orienter dans le texte
- c'est quoi la flèche
C'est indiqué dans le texte
- c'est quoi "par l'ouverture"
On la comprend en 530, c'est un concept de lieu qui n'est pas Bourges
- c'est quoi la lumière
C'est le fait de comprendre ce qu'on fait et de trouver la solution

je suis persuadé que celui qui interprétera le REBUS du visuel donnera la solution de cette énigme

J'ai trouvé un truc solide, mais j'en reparlerai plus tard. Ce que j'ai répondu donne l'essentiel de ma démarche, mais je crains que cela ne vous éclaire pas plus pour le moment.
jalec
Hulotte
Messages : 2724
Enregistré le : 13.04.2013
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar jalec » 05 févr. 2017 à 09:47
La formulation "A_RONCEVAUX" semble nous inviter à poser la question : " A Roncevaux... quoi faire ? "...
Or "QUOI FAIRE" = 101 = "TROUVE"...
On pourrait donc écrire : " A Roncevaux... Trouve mon Tout, et, par l'Ouverture, tu verras la lumière."...
dans cette phrase (qui vaut 780...) on peut compter 6 T... "cité"... faut-il trouver une ville...?
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Don Luis » 06 févr. 2017 à 10:32
Je trouve quand même étrange cette volonté (très répandue) d'interpréter le A initial dans un sens statique (le lieu où on est ou le lieu où se passe quelque chose), alors que l'enchaînement avec la 780 laisse plutôt entendre que c'est le lieu où l'on va ou où l'on arrive !

DL
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
berurier
Ninoxe
Messages : 352
Enregistré le : 10.11.2007
Localisation : Vendée
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar berurier » 06 févr. 2017 à 11:00
visuel_470.jpg

Vous la voyez pas la spirale ? Et la vague ne donnerait-t-elle pas le sens de rotation de la spirale ?

Bon, j'avoue que si l'on pense que 2424 est Carignan, c'est un peu plus compliqué pour y penser !

Berurier
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
Hobby
Hulotte
Messages : 1864
Enregistré le : 14.09.2016
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Hobby » 06 févr. 2017 à 12:17
Un peu torchonnée, la spirale... :lol:
Don Luis
Hulotte
Messages : 14156
Enregistré le : 02.10.2007
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Don Luis » 06 févr. 2017 à 14:56
C'est une spirale à carreaux ! A ne pas confondre avec les serviettes.

DL :lol:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
Gloo
Hulotte
Messages : 2734
Enregistré le : 06.11.2015
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Gloo » 10 févr. 2017 à 16:27
Je profite de ce petit moment de détente pour poser une question sûrement idiote :

Concernant cette forme noire à droite du visuel : est-il complétement exclu que ça puisse être un "écho" à la "B". C'est juste une idée comme ça, je me suis demandé si ça ne pouvait pas suggérer une idée d'inversement. Effectivement la lumière et l'obscurité sont inversées entre ces deux visuels et on sort d'une énigme montrant une boussole à l'envers.
C'est vraiment juste une idée qui m'a traversé l'esprit, rien d'affirmatif là-dedans.
(En tout cas les sources de lumière m'intriguent sur les visuels).
LA VERITE EST TOUJOURS AU MILIEU !... AMITIES -- MAX
Hobby
Hulotte
Messages : 1864
Enregistré le : 14.09.2016
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Hobby » 10 févr. 2017 à 17:07
Il paraît qu'elle est verte... L'idée de renversement me plaît bien aussi, mais dans l'énigme elle-même ou bien la suivante.
Timy
Hulotte
Messages : 1971
Enregistré le : 13.09.2008
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Timy » 12 févr. 2017 à 15:49
Gloo a écrit :Je profite de ce petit moment de détente pour poser une question sûrement idiote :

Concernant cette forme noire à droite du visuel : est-il complétement exclu que ça puisse être un "écho" à la "B". C'est juste une idée comme ça, je me suis demandé si ça ne pouvait pas suggérer une idée d'inversement. Effectivement la lumière et l'obscurité sont inversées entre ces deux visuels et on sort d'une énigme montrant une boussole à l'envers.
C'est vraiment juste une idée qui m'a traversé l'esprit, rien d'affirmatif là-dedans.
(En tout cas les sources de lumière m'intriguent sur les visuels).


Mon avis subjectif, qui ne vaut donc que ce qu'il vaut blabla : NON !

La B et sa demie IS (champion du monde) n'utilisent pas le terme de lumière alors que sa résolution tourne entièrement autour de ce concept (disque, arc-en-ciel, Newton, spectre etc.).
La lumière du jeu, ou du reste du jeu, est un sujet tabou et apparait à de multiples reprises dans les énigmes et est nommée/suggérée dans deux IS.

Ce sont donc deux choses distinctes et quand l'auteur s'égosille à parler de B à la poubelle une fois l'ordre trouvé, c'est bien qu'il n'y a pas de rapport entre la lumière de la B et la lumière du jeu. Ceci est d'ailleurs une info capitale concédée par Max.

Alors si l'ombre de la 470 entre dans le jeu, c'est en opposition au concept de lumière de la chasse qui se découvre, justement, en 470.

AMHA.

@+
Avatar de l’utilisateur
Bioposis
Hulotte
Messages : 2948
Enregistré le : 21.02.2012
Localisation : Région Bordelaise (vers le Bassin)
Re: C'est là que le bât blesse Messagepar Bioposis » 15 févr. 2017 à 18:04
Don Luis a écrit :Je trouve quand même étrange cette volonté (très répandue) d'interpréter le A initial dans un sens statique (le lieu où on est ou le lieu où se passe quelque chose), alors que l'enchaînement avec la 780 laisse plutôt entendre que c'est le lieu où l'on va ou où l'on arrive !

DL


Bonjour Don Luis

Perso, moi ce "A" me renvoie vers autre chose que le lieu, confirmé par l'IS "Ça s'est passé....."

Comme une IS n'est qu'une indication et pas une solution, la réponse à cette IS ne peut être "A Roncevaux".

Et de toute manière, vu la tournure, tu ne peux pas répondre pas à cette phrase par un lieu mais par un événement/action... (la mort de Roland, la bataille,...) => Exemple si quelqu'un te dis "Ça s'est passé en 1789", tu ne réponds pas "A Paris" ou "La Bastille" mais "la révolution" ou "la prise".

Si l'IS avait été "Ça s'y est passé".....la réponse aurait pu être un lieu...

A plus

Alain
530 : I'll be back
780 : les pieds je les mets où je veux ! Et le plus souvent c'est dans la gueule !
470 : tu me fends le coeur !

Retourner vers « 470 »

Qui est en ligne

Utilisateurs enregistrés : Google [Bot]