Le visuel de la 600 illustre bien deux passages de Victor Hugo...
I/ "Ô Gouffre", dans les Contemplations
Ô gouffre ! l'âme plonge et rapporte le doute. (le fameux doute)
Nous entendons sur nous les heures, goutte à goutte,
Tomber comme l'eau sur les plombs ;
L'homme est brumeux, le monde est noir, le ciel est sombre ;
Les formes de la nuit vont et viennent dans l'ombre ;
Et nous, pâles, nous contemplons.
Nous contemplons l'obscur, l'inconnu, l'invisible.
Nous sondons le réel, l'idéal, le possible,
L'être, spectre toujours présent.
Nous regardons trembler l'ombre indéterminée.
Nous sommes accoudés sur notre destinée,
L'oeil fixe et l'esprit frémissant.
Nous épions des bruits dans ces vides funèbres ;
Nous écoutons le souffle, errant dans les ténèbres,
Dont frissonne l'obscurité ;
Et, par moments, perdus dans les nuits insondables,
Nous voyons s'éclairer de lueurs formidables
La vitre de l'éternité.
La VITRE DE L'ETERNITE = La VERITE + L'ETERNITE + D
ça rejoint le décodage de Delphinus de la dernière phrase de la 530...
Référence aussi au vitrail et à ses lumières colorées... (cf. rouge associé à l'ouest; BOURGES = B ROUGE S --> B OUEST S = BOSSUET)...
Enfin, D, c'est la valeur hexadécimale de 1101 (pris en binaire) (date de la vente de la vicomté de Bourges au roi Philippe Ier)
Why not?
II/ Dans les Feuilles d’automne, XXIX, « La Pente de la rêverie », mai 1830.
Mon esprit plongea donc sous ce flot inconnu,
Au profond de l’abîme il nagea seul et nu,
Toujours de l’ineffable allant à l’invisible…
Soudain il s’en revint avec un cri terrible,
Ébloui, haletant, stupide, épouvanté,
Car il avait au fond trouvé l’éternité.