Le Serpent Rouge

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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 06 avr. 2019 à 11:07
Dans l'abat-sons du clocher, IG est sous 1740 qui s'entend 1+7+4 = 12 code du L  et CAR ANTE et QUART ANTE. La conjonction CAR devant L. Soit CARL.
Pour la dalle du clocher, un petit dessin sera plus explicite, car ce jeu reprend une astuce du Petit Manuscrit.
Celui dont les lettres surélevées écrivent ''A DAGOBERT II ROI ET A ION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT''.
Phrase pleine d'humour car DAGOBERT 2 s'inverse car la fameuse culotte en TREBOGAD et le 2 en modifie 2 lettres. La recomposition = TRÉSOR AD.
La clef est alors UN TRÉSOR À DROITE SI ON EST, ET IL EST LÀ, MORT.
L'en-tête désigne la lettre qui doit être à gauche de la lettre cachée.
En-tête_Petit_Manuscrit..png

SI ON EST À DROITE DES T.
Nota : De plus le triangle de l'Alpha sélectionne un triangle du texte borné par 3 croix.

Donc, le 4 recèle un A qui complète CARL en CARLA.
Reste alors la paire IG.
Trois hypothèses sont à envisager :
_1) : La version voltairienne de Pierre Plantard : IG = J'AI I. Et CARLA devient CLAIR.
Ce qui permet le développement du mythe, Pierre Plantard de Saint CLAIR.
_2) : La déduction extravagante d'une ''fine équipe'' de chercheurs :
IG = 1 G devant. Et CARLA devenu GARLA cache le GRAAL, ni plus, ni moins.
_3) : La mienne, beaucoup moins ésotérique. Le CARLA est le ruisseau temporaire qui coule au Sud du village.
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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 07 avr. 2019 à 07:19
Le ''Iota'' de différence :
A l'origine, le décalage d'une unité vient du transept de l'antique Croix. 18 et 19 grains.
Parfait, car les lettres R et S se suivent dans l'alphabet latin.
C'est cette différence de +1 qu'utilisera l'Abbé Saunière dans ses dates. Lui qui vécu au XIXème siècle.
Mais un siècle auparavant, son prédécesseur sera obligé de choisir une différence plausible avec son temps. Donc il fut contraint d'opter pour l'alphabet grec où les lettres P et Σ, Rô et S, se suivent en 17 et 18ème place alphabétiques.
C'est la raison pour laquelle on rencontre ces 2 types de dates, 18-19 et 17-18.
Ce qui complique le déchiffrage, ce sont 2 interprétations différentes :
_ 1) : Dans le sceau du Serpent Rouge, Le P n'est pas un Rô car il est chiffré par la date de 1186. Or l'addition 1+1+8+6 = 16 = code du P latin. Et S = 19 latin, somme de 1+0+9+9 (1099).
La différence n'est plus d'un Iota, mais de 3, 16-19.
_2) : Pierre Plantard récidive dans son propre blason.
Les extrémités du phylactère qui porte son nom forme deux boucles où on peut lire 1681 et 1861.
Il reprend ainsi l'inversion des dates rencontrées à Rennes où 1819 = 1891.
Pour lui, la distance alphabétique désigne les lettres P et R, 16 et 18, +2.
On ne peut nier le lien direct entre ces pseudo-armoiries et Rennes-le-Château, la présence de ''ET IN ARCADIA EGO'' l'atteste.
Je me pose la question des ''Iota''.
Où plutôt celles des OURSES. Car les 2 constellations des Grande et Petite OURSES dominent ces 2 dates et servent apparemment à transformer OURS en OPUS.
Car le nom OURS écrit OUPS est peut-être au presbytère.
Nota : OPUS, l'œuvre, consiste à travailler les 2 noms de CALLISTO et d' ARKAS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 08 avr. 2019 à 02:24
La fleur de LYS, emblème royal :
Ce LIS a toujours été très utilisé par les amateurs de rébus car il est très souple et permet :
LIS, impératif du verbe lire, Il s'inverse en conditionnel dans SI L, SI ELLE, voir CIEL.
Associé au chiffre romain, SI L = aussi SI 50.

Les exemples de son usage ne manquent pas. On le retrouve près du coffre au trésor du pirate sur le plan de LA BUSE. Et même en double exemplaire.
Mais si j'aborde ce sujet ce n'est pas à propos du faux blason de Pierre Plantard, où pourtant il occupe une place centrale dans le cercle qui écrit la lettre O.
C'est au sujet d'une affaire qui me tient à cœur.
Il y a déjà quelques années, un document exceptionnel, de la main de l'abbé Saunière, a été exposé dans le petit musée local de l'époque.
Malheureusement je n'ai pu en avoir qu'une photo de mauvaise qualité, prise à travers le verre de la vitrine, et rendue difficilement lisible à cause des reflets du flash.
J'ai vainement demandé sur les forums et dans les blogs pour obtenir un relevé plus net. Mais les chercheurs de Rennes-le-Château ne sont coopératifs que si on dit la même chose qu'eux, hélas...
Ce document manuscrit est extrêmement intéressant car il a servi d'ébauche aux jeux élaborés par l'abbé.
On y retrouve cette fleur de LYS, mais aussi les grappes de raisin et surtout une signature, G.MALIS, avec ce fameux G.
Autrefois j'entendais J'AI MALICE ou J'AIME ALICE par J'AI avec des POMMES (Malum).
Mais aujourd'hui j'aimerais bien revisiter ce document.....
Nota : Ce cahier est titré ''1Ilvc Universel''. Un nid élevé c'est, un nid verse L. En effet, on distingue un oiseau (un geai?) dans son nid. Ses 12 œufs entourent la signature.
De plus le chronogramme 1+1+50+5+100 = 157 et si on ''verse'' L, 107.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 08 avr. 2019 à 22:56
L'auteur déclaré du Serpent Rouge est SAINT MAXENT.
Est-ce là un pseudonyme de Pierre Plantard ?
A propos de ce dernier et de sa fleur de de Lys.
L'emblème écrit LIS (de lire) et il est au centre d'un cercle qui race un O. LIS O.
Mais, cette fleur a 3 pétales. Soit LIS O en 3 lettres.
Sur son blason, ces 3 lettres sont représentées par 3 points, derrière le mot EGO●●●.
EGO se lit alors ÉGAUX.
Les 3 lettres ''égales'' dans le nom ARCADIA sont les 3 voyelles A.
Ces 3 A sont aussi présents dans les 2 Ours, ArkAs et cAllisto.
Dans MAXENT, il y a le mot MENT.
Pour les amateurs de la Chouette, cela rappelle 71721075 où les 4 préfectures donnaient la clef LE COMPAS MENT SI 3 MAR (Le E du compas 780 ne s'inverse pas en 3, mais en 2).
Le mensonge n'est donc pas une exclusivité Rennaine.
Par contre Saint Sulpice est un mensonge, puisqu'il s'agit de St Antoine.
Certains (moi le premier) ont fait le lien entre Saint Maxent et Max Valentin.
Depuis, j'ai abandonné cette hypothèse, préférant Grand Valtin et Tête des Faux.
SAINT Maxent ne semble pas lié à SAINT Clair.
On a même parfois l'impression que Plantard contredit le Serpent Rouge. Cependant les points communs sont la majorité.
Par exemple cette façon d'extraire les 3 points (que le Serpent Rouge nomme iota).
On peut considérer que ''Cet Ami dont le nom restera un mystère'' et ''Le nautonnier de l'arche impérissable'' sont des allusions conduisant à PARIS (Eugène Sue + Fluctuat nec mergitur).
Saint Maxent et Plantard ont constamment essayé de délocaliser l'affaire des 2 Rennes pour lui donner une envergure parisienne. Ce qu'elle n'a jamais eu. Elle n'a jamais dépassé les limites du Razès.
C'est pour cela que je pense que la légende d'Ignace Paris a été inventée.
Ce berger condense dans son nom les principaux ingrédients de l'énigme.
Les 2 IG des dalles sont en tête de son prénom, IG-nace, et le cadre de son nom P---S recèle le ROS. De plus inversé en Si P à R, si la lettre P = R vaut le PR-AECUM original.
Et de surcroît le O = les 3 lettres ARI. Bref Ignace Paris est l'arcane idéal, trop beau pour être honnête.
Pour moi, PomaS est meilleur que PariS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 10 avr. 2019 à 00:44
Il y a deux cas où il ne faut pas retirer 3 ''Iota'' mais 2.
En fait il n'y en a qu'un, la signature cruciforme du Grand Manuscrit. L'autre se cache sur le vitrail de la Mission des Apôtres et est postérieur à l'abbé Saunière, et il est directement inspiré du premier.
Par deux fois on retrouve le mot SION écrit avec un thêta grec et inversé en ΘNIS.
C'est la commande conditionnelle SI ON A ÔTÉ.
Au centre de la signature 2 lettres volontairement illisibles* se traduisent simplement par le mot ''lettres''.
SI ON A ÔTÉ 2 LETTRES.
Sur le vitrail un point a été ajouté aux extrémités des hampes de la lettre N pour construire 2 I.
SI ON A ÔTÉ 2 IOTA.
Dans la signature, l'alphabet est vertical et latin (Sur le porche du presbytère, l'alphabet vertical est grec). Il va de A à Z en encadrant les 2 caractères obscurs.
De plus le A est inversé et le Z couché de façon à écrire un n allongé.
La signature se lit SI ON A ÔTÉ 2 LETTRES DANS L'ALPHABET ET QUE L'ON INVERSE CELUI-CI POUR QUE A REMPLACE N.
Ceci pour construire l'alphabet de substitution A=N, B=O, C=P, D=Q ….. et vice versa, N=A, O=B......
Demi alphabet incomplet (méthode Vigenère).
Sur le vitrail, l'alphabet est horizontal à la manière d'une date 17●09●. 17+9 = 26.
Les 2 points, ●●, rappelle les 2 extrémités du N de ΘNIS, et 9 est le code de I, Iota.
En clair : SI ON A ÔTÉ 2 LETTRES > 17 ENTRE 2 IOTA DANS L'ALPHABET.
Les 2 derniers chiffres, 8 et s'additionnent, 8+4 = 12, pour donner la lettre de substitution L.
Dans le titre du vitrail et dans le nom de MISSION il n'y a que 2 lettres supérieures à 17, la paire de S. Ainsi MISSION devient MILLION.
Ce jeu plein d'humour semble être l'œuvre d'un chercheur du XXème siècle contrarié par les proportions que prenait le mythe du ''Prieuré de Sion''.
Sous la Croix-Signature on retrouve les 4 vers de l'hymne à Marie-Madeleine d'Odon de Cluny.
JÉSU.MEDÈLA.VULNÉRUM+SPES.UNA'.PŒNITENTIUM.
PER.MAGDALA'NÆ.LACRYMAS+PECCATA.NOSTRA.DILUAS.
Je reviendrai sur ce Grand Manuscrit qui est le monument de ce formidable jeu de piste. Mais pour l'instant, je fais juste remarquer la faute d'orthographe dans le nom de la Sainte, A/E.
Original :
JESU.MEDELA.VULNERUM+SPES.UNA.PŒNITENTIUM.
PER.MAGDALENÆ.LACRYMAS+PECCATA.NOSTRA.DILUAS.
* Ces 2 lettres obscures sont 2 croix, celles que l'on dessine quand on calligraphie un alpha et un oméga inversé en minuscules, αω.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 11 avr. 2019 à 00:29
Grand Manuscrit :
Dans le texte,140 lettres supplémentaires ont été introduites avec une fréquence d'une sur 7.
Au centre, une série de lettres surélevées écrit le texte ADGENESARETH et dans une suite de 36 lettres encadrées par le seul A majuscule et se terminant par l'unique Ω du texte se loge ARETH qui se traduit par ''qu'il écrive H''.
Séparés par le lac de Tibériade, AD GENESARETH, 2 textes de 64 lettres.
Au début du Serpent Rouge, une petite illustration montre un personnage de style romain, agenouillé, appuyé sur une colonne et jouant avec des dés. Sur les faces de ces cubes on relève les chiffres 1, 2, 3 et 4.
La légende précise, '' ….découvrir une à une les soixante quatre pierres...''.
Dans sa main, une équerre signale l'importante du carré. 64 est le nombre de cases d'un échiquier.
On comprend mieux alors la clef de la signature cruciforme.
SI ON A ÔTÉ αω = AΩ ET SI ON INVERSE L'ALPHABET.
ARETH, entre A et Ω, se traduit par ''qu'il écrive H'' mais se comprend ''qu'il trace 8, code du H''.
Et AD GENES ARETH = AU DÉBUT QU'IL TRACE UN CADRE DE 8 LETTRES POUR CASER LES 64. Soit construire une grille de 8*8.
On remarquera que dans chacune des 2 parties du texte, les incrustations REX MUNDI et PANIS SAL comptent 8 lettres.
Ce grand manuscrit a servi de modèle au cryptogramme du ''SOT PECHEUR''.
L'auteur de ce dernier a une lecture un peu différente. Il traduit ARETH par ''ARETE'', Considérant que le H final est un êta, 7ème lettre de l'alphabet grec.
Il utilise la clef : ''Si on a ôté E dans l'alphabet et qu'on a plié ce dernier en 4''.
Je pense qu'il s'est basé sur le petit dessin en bas du document où un carré est partagé en 4 par une croix.
Il existe une troisième possibilité, de loin la plus élégante, et qui n'altère en rien les 2 matrices de 64 lettres.
Les 2 lettres obscures de la signature ne sont pas αω, alpha oméga, mais αγ, alpha gamma, AG.
Ce qui permet de compléter SIΘN en SIGNO, Je signe en latin.
La Croix-signature se lit alors dans les 2 sens, SIGNO A.G. et SI ON A ÔTÉ A INVERSÉ.
Le A inversé, en bas de la Croix écrit un V. Quand il pivotera pour remplacer le N étiré au sommet de cette Croix, il reprendra sa valeur de A. Mais en attendant, il donne V romain, 5, code d'un E.
SI ON A ÔTÉ E dans l'alphabet.Il faut donc construire un alphabet de substitution sans E, et où le A s'inverse en N. Le tout sur une Croix qui divise par 4 par définition.
ARETH ne se lit plus,Je trace H mais ARETA, j'écris A.
En effet, dans le nouvel alphabet, A = N, mais aussi H et encore T.
Chaque lettre a 4 valeurs possibles.
ABCDFG
HIJKLM
NOPQRS
TUVXYZ

GrandManuscrit1.PNG
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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 12 avr. 2019 à 00:39
Le Grand Manuscrit compte plusieurs jeux en plus des 2 séries de 64 lettres, de la signature cruciforme et de l'hymne à Marie-Madeleine.
Le petit personnage antique qui joue avec les lettres-cubes s'appuie à une colonne brisée.
Ce mot colonne est important. Il renvoie à une lecture verticale.
Dans la signature les 4 lettres verticales N/α/γ/V, N sur A sur G sur A inversé en V, forment une ''colonne''.
Le V a permis de construire l'alphabet de substitution sans E formé de 6 colonnes.
La seconde écrit BIOU.
SI ON A ÔTÉ G, il faut le remettre en place dans BIOU pour obtenir l'origine, BIGOU.
La Croix-signature prendrait alors tout son sens, SIGNO BIGOU. Et αγ, A.G., = BIGOU (abbé).

L'hymne à Marie-Madeleine utilise la technique des 4 quarts.
Cette méthode est la même que celle utilisée sur la tombe.
Une Croix divise en 4 parties un texte et la solution se trouve dans l'addition de différents segments de ces 4 quarts de texte.
Sur la tombe, les 4/4 étaient REDDIS, REGIS, CELLIS et ARCIS et le nom recomposé ARC + DI.
Nota : La formule ET IN AR+XAΔ+IA EΓΩ ne figurait pas à l'origine sur cette stèle. Elle a été rajoutée pour aider au déchiffrement. ''Et je suis dans le mot ARCADIA''.
Ceci pour la liaison horizontale des quarts.
La liaison verticale utilise la superposition des 2 D sur les 2L pour la substitution CARDI /CARLI.

Nota à propos des Bergers d'Arcadie et de la fameuse inscription :
Depuis plus de 30 ans je me bats pour défendre l'hypothèse D.M.
Certes, à l'origine, sur les sarcophages et les tombes antiques, D.M. signifiait ''Aux Dieux, aux Mânes''. DIS MANIBUS.
Mais pour les amateurs d'arcanes, D.M. se traduit aussi par DUOBUS MANIBUS. AVEC DEUX MAINS (ablatif). Pour s'en convaincre il suffit de regarder les mains des bergers. Et surtout les doigts.
Je précise ce point parce que l'abbé Saunière a repris l'hymne à Marie-Madeleine sur le bas-relief de l'autel et que les doigts de la Sainte y jouent un grand rôle.
Suivant le principe des 4 quarts, des 4 vers de l'hymne il n'en restera qu'un, fortement modifié.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 13 avr. 2019 à 00:32
Hymne à Marie-Madeleine selon l'abbé Saunière :
Il était écrit sur une tableau en-dessous du bas-relief de l'autel.
La scène représente Sainte Madeleine agenouillée dans sa grotte.
Devant elle une Croix végétale perd ses feuilles et s'étiole.
Au pied de cette Croix, un crâne. En latin CALVA. C'est le même que celui du linteau de la porte du cimetière. Il se traduit de la même façon.
Ici c'est le nom de cette Croix vivante.
Un livre ouvert porte une croix sur chaque page. Le texte dessous fait référence aux 4 vers de l'hymne à Marie-Madeleine.
Sur la ligne d'horizon se profile 2 lettres, J et M.
Les 2 croix du livre sélectionne ces 2 lettres et ne garde que les 2 noms dont elles sont les initiales, JESU et MEDELA.
Les doigts des mains sont curieusement croisés pour dessiner aussi 2 Croix qui sont les mêmes que celles du livre, J et M., mais qui se trouvent dans le nom des doigts croisés, les MAJEURS.
La solution découle de l'analyse de ces 2 composants :
JESU MEDELA et MAJEURS.
Mais pour bien comprendre le raisonnement il faut revenir en arrière et trouver la traduction de ces 4 vers en bas du Grand Parchemin et savoir pourquoi MAGDALENÆ y est fautive en MAGDALANÆ, A pour E.
Le nom de MAGDALANÆ est sous le mot MEDELA.
Le transfert vertical A/E modifie ce dernier en MADELA.
Dans JESU MADELA, il y a le verbe SUM, en latin, JE SUIS.
Les 2 premiers mot du premier vers se traduisent par :
JE SUIS MALADE.
Saunière va plus loin, il coupe les majeurs en JA+ MEURS et finalise en JE MEURS.
C'est la Croix vivante appelée CALVA dans la grotte de la MADELEINE qui en est train de trépasser.
Sur le linteau du cimetière, le CALVA est corrigé par PULVIS inversé en SI V LU P. Si la lettre V est lue comme un P grec (Rô).
C'est donc le CARLA qui se meurt dans la grotte.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 avr. 2019 à 18:19
Dans le Petit Manuscrit, la technique des paires a été utilisée.
Les doublons du texte sont 2 fois LL, 2*CC, 2*RR, 2*BB ''redis'' en A, 2*2*AA.
Ainsi le nom du CARLA est caché 4 fois.
Dans l'hymne à Madeleine une paire est reprise, CC dans PECCATA.
Dans les 2 séries de 64 lettres on note les paires YY, PP, EE, II, TT dans l'une et CC, GG dans l'autre.
Faut-il traduire MUNDI REX, 8 petites lettres de la première série, par M UN DIRE X, soit un m = X ?
En fait de roi du monde, il n'y a qu'un seul M dans cette série. A la 11ème place. Placé entre 3Y, YMYY.
Et PANIS SAL, par LÀ S SI N A P ? Car P est aussi la 11ème lettre de la seconde série. PNP.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 16 avr. 2019 à 00:12
Les 2 manuscrits ne sont pas les originaux.
Et le copiste semble ne pas avoir respecté l'alignement vertical des lettres.
Prenons l'exemple de la lettre Z.
Sur la croix-signature elle est représentée sous la forme d'un N étiré.
Dans la 3ème ligne du texte, on la retrouve inversée en S dans LA(Z+S)ARUS.

GM_LAZAR.PNG


Une fois de plus le point sous le L joue un rôle fondamental (Diacritique).
Ce qui renvoie toujours au N de la signature, avec sa première hampe souscrite d'un Iota.
SI ON A ÔTÉ 1 Iota, une lettre dans l'alphabet et SI ON A inversé l'alphabet A en N.
Le segment grec entre l'Alpha et Ω (lignes centrales 10 et 11 du texte) sélectionne ARETH de AD GENESARETH.
Qu'il trace H = Qu'il écrive de Alpha à l'Ω. Entre le A et le O.
ARETH devenu ARETO et inversé en ÔTERA et dans la suite ÔTERAS E neg da.
ÔTERAS E vaut exactement NΘ(-)IS / NV.
Le A y est simplement inversé en V romain code du E.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 avr. 2019 à 01:56
Les 4 vers de l'hymne à Marie-Madeleine servent d'exemple.
Il ne faudrait pas voir 2 séries de 64 lettres, mais 4 lignes de 32 lettres.
Ces 4 lignes semble désordonnées. En effet les 4 mots surélevés ne sont pas dans l'ordre REX MUNDI et PANIS SAL mais ainsi imbriqués, REX PANIS SAL MUNDI.
Construire un texte sans la voyelle E est très difficile.
Dans les 128 lettres, on dénombre 6 E.
Tout le monde ne peut pas imiter Georges Perec (Lipogrammes, La Disparition)....
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 18 avr. 2019 à 06:21
L'auteur du ''Sot Pêcheur'' s'est inspiré du Grand Manuscrit dont il a copié les techniques pour élaborer son cryptogramme.
Bien que ce document soit signé B.S.CUR., il n'est pas de Bérenger Saunière Curé.
Selon moi, voici la méthode de cet auteur inconnu :
Il a utilisé 2 clefs, plusieurs fois employées :
_ ''Deux fois retourna''.
_''XXV fois le goûta''.
Au départ, ''son poisson'' est la Croix-signature du manuscrit.
Elle est ''retournée 2 fois'' :
_ 1) : Horizontalement, ●NΘ(-)IS → SI(-)ΘN● = SI ON ÔTE 1 Iota.
_ 2) : Verticalement, N(αγί)V → A(ίωα)N.
Cet auteur, qui a eu certainement une copie plus fidèle que la mienne, a vu 3 lettres grecques dans la colonne verticale..
Pour cette raison il a écrit 25 en chiffres romains car 2 des signes tracent une croix. Soit XXV.
Il a ôté le V considéré comme le Iota à éliminé et il l'a remplacé par le H de ARETH, segment grec du texte (Encadré par le seul Alpha en majuscule du texte et par le seul Ω.) ''Qu'il trace H''.
Finalement, la Croix-signature se résume en un fût vertical portant AHXXN = AH20N.
Pour ce ''Sot Pêcheur'', ''il ne lui resta que l' ARETE'' de son ''Poisson'' d'origine.
Il ''en fit un peigne d'or'' (un ROS de tisserand) et l'acrostiche en 5 lettres d'une série de 25 lettres.
Une arête de poisson devenue peigne, l'image est belle, mais associée au mot ''grill'', elle implique un choix. Et qui dit tri, dit fausses lettres.
Dans la Croix-signature, l'ARETE est aussi un acrostiche. Très particulier car c'est celui d'un alphabet plié en 4.
C'est la raison pour laquelle le N est étiré pour représenter le Z couché et la colonne prend alors une seconde dimension AH20T dans A à Z.
Le Serpent Rouge ne mentionne pas l'existence du cryptogramme du ''Sot Pêcheur'' car il doit lui être antérieur. Bien que sa date de parution soit fausse car elle reprend les codes du site. 17 Janvier 1967 = St Antoine S ou AI SOIS ANTE G.
On remarquera que le petit personnage antique empile des cubes de pierres (1, 2, 3 et 4) pour confectionner une colonne verticale et non pas pour écrire à plat.
Le ''Sot Pêcheur'' utilise aussi 2 séries de 64 lettres, mais l'une chiffrée sert de cadre à l'autre dont les lettres sont déterminées par XXV croix lors d'un pliage.
Très symétriques les 4 lettres repères, R-F et M-Z, ne sont empilées que 2 par 2 et donnent le même alphabet de substitution, sans E.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 19 avr. 2019 à 15:47
Je privilégie cette hypothèse :
_ Phase 1) :
La Croix-signature, transept ●NΘ(-)IS :
Le thêta dans le O rajoute un T à SI ON qui devient SI ON N ÔTE.
Le point sous la hampe du N écrit un I ou un 1 romain.
Au centre les 2 croix tracent un alpha et un oméga inversé,αω. A-Ω = Alphabet grec.
Lecture horizontale : I, SI ON ÔTE, Alphabet grec.
Le segment grec est délimité au centre du texte par le seul Alpha majuscule et l'unique Ω. Il contient les 5 lettres surélevées de AD GENESARETH, ARETH, qu'il trace H.
Nota : Le verbe arare, labourer, est à double sens. On peut aussi bien le traduire par tracer un sillon, écrire en gravant que par rayer.
Ce H redescend entre ON et IS : I NO H IS.
N,O et I sont ''ôtées'' pour ne laisser que le monogramme classique I.H.S. = In Hoc Signo (Vinces).
_ Phase 2) :
Le fût vertical : NHV.
Contrairement à toute attente, ce n'est une Croix qui domine le H du monogramme I.H.S., mais un N étiré. C'est ce N étrange qui est ''le signe qui permet de vaincre''.
Cette lettre hybride est à la fois un N et un Z couché.
Il renvoie à la 3ème ligne du texte où une autre lettre particulière est à la fois un S et un Z dans le nom de LA(Z/S)ARUS.
Cette lettre double est remplacée par le C de FedCERUNT qui la domine pour finaliser en LACAR.
Dans ce premier temps LACAR se traduit par LÀ QUART.
Plus tard par CARLA.
Le signe de Croix partage les 2 séries de 64 lettres en 4/4 de 32. A l'image de l'hymne à Marie-Madeleine dont chacun des vers est le quart du quatrain.
Et ce curieux N/Z sert aussi quand il vaut le A inversé en V.
Dans sa version ''Si on ôte I à Z'', 1 à Z, celui-ci rétrograde en Y. Ainsi A = Y.
là, la cible est le mot LACRYMAS dans l'hymne.
Les larmes de Madeleine sont alors métamorphosées en LACRAMAS, nom qui contient LACRA.
C'est le 2ème QUART du texte, CARLA.
Il reste à analyser les 2 autres cas du fût, quand V = N.
Mais, d'ores et déjà je pense que mon hypothèse est juste.
Car le Grand Manuscrit rejoint le Petit Manuscrit et ses 4 QUARTS cachés dans le nom du CARLA écrit 4 fois grâce aux doublons (2*2CC, 2*2LL, 2*2RR, 4*4AA (BB ''redis'' en AA)).
La Croix-signature a permis de découvrir 2 des 4 quarts du document. Il en manque 2.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 20 avr. 2019 à 09:39
Le nom de LAZARe est cité 4 fois en lignes 2, 3, 16 et 18.
Les lettres supplémentaires dans ce nom sont, dans l'ordre :
LAZARU-V-S, L-B-AZARUS, L -U-ZARAM, LAZ-C-ARUM.
Une lettre C jouxte bien un Z dans LAZCARUM.

Les 7 démons de Marie-Madeleine (Luc 8:2) :
Le code alphanumérique 7 est aussi bien celui du G latin que du H grec.
Mais si on ôte un ''Iota'' au grec on retrouve un Z (Zêta = 6), alors que T (Thêta = 8) moins 1 = H.
En tenant compte que 17 = AG mais aussi P, Rô.
Tout cette comptabilité dans des lettres cadencées toutes les 7.
Rennes-le-Château est bien l'univers des 7 !
C'est plus simple à Rennes-les-Bains où H est une Hache et vaut 8 ans.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 avr. 2019 à 01:21
Essayons donc la méthode de l'abbé Jean Vié.
Ou plutôt celle de l'auteur de la stèle de l'abbé. Car ce pauvre Jean Vié ne pouvait anticiper la date de sa mort et connaître sa propre longévité de 64 ans.
Admettons que cet auteur, certainement un religieux comme lui, ait pu lire le Grand Manuscrit ou du moins, avoir connaissance de la technique de la Croix-Signature.
En gravant la Croix discoïdale de la tombe, il dessina alors 4 fers de HACHES du type francisque.
Ce faisant il invite le passant à considérer que le fût et le transept de cette Croix portent des lettres H, verticales et horizontales. Et par la leur code 8.
Ce qui permet de partager l'écart des dates (1840 – 1808 = 32 et 1872 – 1840 = 32) en 4 périodes de 8 années.
En résumé, un coup de hache vertical suivi d'un coup horizontal. Curieux signe de Croix....
Sur le Grand Manuscrit, cela revient à l'interprétation suivante :
●NΘ(-)IS  = SI ON ÔTE I devant Θ. Si on ôte 1 romain devant 8 code de thêta ou si on ôte une lettre au mot tHêta. 8 – 1 = 7 code du H.
Le transept est négatif. Pour avoir la Hache H il faut le lire ''égal à moins un''.
Le fût (N/Z) (-) V reprend le transept en y ajoutant le V inversé en A. SI ON A ÔTÉ I A Z.
Zêta, code 6, + 1 = 7 = H, êta.
Le fût est positif. Pour avoir cette Hache H, il le lire ''égal à plus 1''.
La Croix-signature partage en 4 grâce au signe ± 1.
Le Serpent Rouge utilise une formule dont j'ai parlé précédemment et qui conduit au CARLA.
En Serpentaire il écrit : ''A ceci, Ami lecteur garde toi d'ajouter ou de retrancher un iota ●●● médite, Médite encore, le vil plomb de mon écrit contient peut-être l'or le plus pur.''.
''A ceci (C+C = 200), Ami lecteur garde toi d'ajouter ou de retrancher un iota ●●●(=C) médite, Médite encore (Demi/demi = quart, 200/4 =50 = L), le vil (44) plomb de mon écrit contient peut-être l'or le plus pur (24 carats).(44-24 = 20 = T, CARAT + L - T) ''.
En bref, AJOUTER OU RETRANCHER UN IOTA = ± 1.
Ou alors, AD GENESARETH est l'abréviation de AD GENESEM ARET H, ''Au début qu'il écrive H'' et l'origine, le nom du Père dans le signe de Croix, est ce N étiré.
Il ne vaudrait pas un Z couché, mais un H. N et H.
Cela revient au même, mais c'est plus simple.
N/H /V : La première lettre de la première série est un V ce serait alors un H ou un N.
A mon avis, l'indice le plus IMPORTANT donné par le Serpent Rouge est que les ''iota'' sont des codes alphanumériques. 3 points = C.
Ce qui signifie que pour Saint Maxent, 1 point = A.
Alors, ●NΘ(-)IS = SI ON A T.
Ce qui n'annule pas pour autant SI ON ÔTE I.
L'auteur a voulu dire tant de choses en si peu de lettres. Ces inversions permanentes rappellent ''Le bon sens c'est le sens du contresens'' des turbines EDF de La Chouette.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 avr. 2019 à 02:34
La Croix-signature, un puzzle complexe :
_ ●NΘ(αγ)IS = SI ON A ÔTÉ I et SI ON A T.
_ (αγ) = AG.
_ (αγ) s'inverse en (αω) = Alphabet grec.
_ Le segment grec se loge au centre du texte, encadré par le seul Alpha et l'unique Ω, et sélectionne ARETH dans AD GENESARETH. Soit ''Qu'il trace H''.
_ L'alphabet latin est délimité par ses extrémités A = N inversé et N étiré = Z couché.
_ N hybride est aussi un simple N qui écrit N sous A verticalement.
_ Sur le fût de cette Croix on retrouve 4 lettres, AHNT + AG.
1ère manœuvre :
Si on ôte une lettre à l'alphabet latin après l'avoir crucifié, on obtient l'acrostiche AHNT.
L'alphabet sans E est plié en 4.
2ème manœuvre :
Le résultat obtenu est ''si on a ôté 1'' à chacune des 4 lettres. AHNT. Il faut alors le rajouter pour décaler l'acrostiche en BIOU.
3ème manœuvre :
AG vient se superposer comme avoir G au centre. Pour finaliser en colonne BIGOU.
C'est l'abbé BIGOU qui a signé ce Grand Manuscrit.
A.G. Étant son chiffre, j'en déduis que c'est Antoine et non pas son oncle Jean.
L'abbé de l'alphabet !
On comprend mieux pourquoi le Serpent Rouge en POISSONS compare ''cet Ami'' au ''nautonnier de l'arche impérissable'' des armoiries de mgr Billard. La devise de ce dernier, ''In verbo tuo laxabo rete'', sur tes mots je jette mes filets. L'abbé de l'alphabet était un pêcheur de lettres, un passionné des écritures secrètes.
BIGOU et BILLARD partagent le même BI en tête.
Alors on s'interroge sur la contradiction du Serpent Rouge qui prétend, dans le Verseau ne pas connaître le nom de cet abbé, mais seulement son chiffre PS. ''Son nom restera un mystère''. Cette allusion aux Mystères de Paris, d'E.Sue, laisserait à penser que P et S sont le cadre de PARIS.
Il faudrait alors croire que l'idéogramme (P-S dans G) était un pseudonyme de l'abbé BIGOU.
Alors qu'il cachait en réalité le nom de GROS synonyme de CROS, CROIX.
L'abbé Bigou était l'abbé de la Croix. Disons qu'il découlait de l'alphabet crucial.
Cette ambiguïté du Serpent Rouge peut venir de l'interprétation de REX PANIS en PARIS NEX (la mort).
Pour moi, REX PANIS et MUNDI SAL sont des commandes conditionnelles conduisant à des substitutions.
Du genre, SI N AP... et SI LÀ UN …
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 avr. 2019 à 06:49
L'avantage d'utiliser les alphabets parlants est principalement phonétique.
Par exemple, on lit AG, mais on entend ÂGÉ.
Et c'est surtout remarquable avec l'alphabet grec où P = Rô et Iota = I ôta.
Il n'y a pas que la Croix-signature du Grand manuscrit qui emploie des alphabets verticaux. La dalle de la porte du presbytère porte X sur Δ en exposant du P.
En latin, AGGERO = J'entasse, j'empile, J'amoncelle.
Sur la fresque du confessionnal, le prêtre domine un amoncellement de choses disparates boue, pierres, bois... C'est un AGGER.
Un alphabet vertical est une pile de lettres. On préfère dire une colonne plutôt qu'un tas.
Toutes les lettres grecques ne sont pas utilisées.
Dans la pile ci-dessus, c'est la différence X – Δ, 22 – 4 =18 qui recèle le Sigma, Σ.
Lettre magique qui cache AMIS G.
Revenons sur le cas du Thêta, avec 3 exemples :
La Croix-signature, le vitrail de la Mission des Apôtres et le Petit manuscrit.
●NΘIS, Θ●N●IS et ''Sabbato secundθ primo'' (Ligne 2).
Nans les 2 cas du Θ majuscule, ce sont les hampes du N qui sont pointées et qui donnent le I ou les 2I. Thêta peut se lire indifféremment SI ON ÔTE ou SI ON A ÔTÉ I ou II.
SI ON A ÔTÉ I à N et SI ON A ÔTÉ II à N.
Logiquement, N – 1 = M et N – 2 = L.
Mais, si ce résultat s'avère exact pour le vitrail où effectivement Θ●N●IS = L, ce n'est pas le cas dans la Croix-signature où le N est un Z allongé. C'est ce Z qui est diminué d'un rang et rétrogradé en Y. Avant d'être à son tour substitué par le A inversé en V.
●NΘIS vaut donc Y = A.
Secundo primo se traduit par ''en second lieu, au commencement''.
Cette succession vise la première et la seconde lettre de l'alphabet présente dans le nom du SABBAT, A et B.
θ ôte dans la seconde. Il diminue les B en A.
Ceci est confirmé par l'annotation en exergue ''Redis b les'', REDIS LES lettres B.
SABBAT finalise alors en S-AAAA-T.
En français, le phonogramme parfait est la lettre H. Entendue HACHE elle se traduit par COUPE.
Placée au centre de la Croix-signature grâce a ARET H du Segment grec A-Ω, elle invite au partage par 4.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 avr. 2019 à 19:15
Dans l'hymne à Marie-Madeleine, une Croix sépare le M de VULNERUM et le S de SPES. (M+S).
De même une autre Croix joint le S de LACRYMAS au P de PECCATA. (S+P).
Que valent ces 2 Croix ?
Dans la Croix-signature, quand ●NΘIS = Si on ôte I à N, ●NΘIS = MOIS. M-OI-S.
Il y a-t-il un lien entre M+S et MOIS ?
Où faut-il se rapprocher de cadre dans JE(SUM)EDELA. Et voir + U dans ''je suis'' ?
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 avr. 2019 à 09:36
GM_Idéogramme..png


Le texte est encadré par ces 2 idéogrammes carrés.
Comme ce manuscrit recèle 2 séries de 64 lettres (8²), on peut supposer que ces 2 dessins concernent ces 2 séries et qu'il convient de les considérer comme des matrices de 8 cases par 8. Telles des sortes d'échiquiers.
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 28 avr. 2019 à 04:48
Le Serpent Rouge, en Scorpion, fait le lien entre les 4 tableaux du peintre SIGNOL et le Méridien.
SIGNOL s'inverse en LONGIS qui peut être longus décliné au pluriel.
Nota : Sur la toile de la Résurrection, le N de SIGИOL a été intentionnellement inversé pour que le lecteur lise ce nom à l'envers.
Le Méridien vise le Gnomon de l'église parisienne de St Sulpice car l'auteur du Serpent Rouge a tenu à délocaliser l'énigme de Rennes-le-Château. Cette confusion est rendue possible grâce à la date du 17 Janvier, fête patronale commune à St Sulpice et à St Antoine.
Le seul endroit où je retrouve le mot SIGNO est dans le transept de la Croix-Signature du Grand Manuscrit.
●NθγIS inversé en SIGNO et en SI ON A ÔTÉ I.
Le gamma central en minuscule est d'ailleurs la seule lettre grecque identifiable.
Les une ou deux autres, sur le fût sont illisibles.
Si on a ôté 1, je signe verticalement N(?)γ(?)V inversé en A(?)ω(?)N.
On remarquera que le signe de Croix est fait à l'envers, horizontalement puis verticalement.
Dans ce croisement de 5*5 lettres, le G central est commun et il s'inverse en ω, Ω.
''Je signe Ω moins 1''. = JE SIGNE Ψ.
Dans Ψ, Psi, on retrouve le chiffre P.S. de l'idéogramme de la vieille tombe et du Petit Manuscrit.
Et ce couple est le chiffre de St Sulpice.
Nota : SULPICE rappelle beaucoup PULVIS du linteau du cimetière. Il contient 2 ingrédients déjà utilisés sur le site. La commande conditionnelle ''SI'' et le participe passé du verbe lire, ''LU''.
PULVIS = SI V LU P. SULPICE = SI P LU S, ou CI P LUS ?
Le lien entre Rennes et Paris ne semble pas évident et l'hypothèse ci-dessus n'est guère convaincante.
Une autre allusion parisienne vient encore opacifier cette variante.
Toujours en Scorpion, Le ''père Olier dans son cercueil'' est cité.
Jean Jacques Olier fut un des prêtres de St Sulpice.
''IL EST PASSÉ en faisant le BIEN'' et maintenant il est mort dans sa tombe.
A mon avis, OLIER = LIRE O et entendre EAU.

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