Le Serpent Rouge

Annonces concernant les autres chasses au trésor, en cours ou à venir.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 avr. 2022 à 02:46
A propos de l’alpha, calligraphié en minuscule dans l’en-tête :
Tracé ainsi, avec 3 angles, il renvoie au triangle dessiné dans le texte, dont les 3 angles sont des Croix.
_ Ligne 4 : MANTBUS + MANDU…
_ Ligne 7 : BATIS + QUOD…..
_ Ligne 10 : ERAI + INTRO….
L’Alpha de l’en-tête recèle le Tau, quand l’Alpha du texte dissimule le mot ‘’quaNdo’’.
Le texte du Petit Manuscrit écrit ‘’FECIT DAVTD QUANDO ESURUT’’ alors que la copie fidèle serait : ‘’FECIT DAVID CUM ESURISSET’’.
On voit immédiatement que le I du nom du roi DAVID est un Tau.
La conjonction CUM peut se traduire par QUANDO, quand.
Mais au-dessus du a de ‘’quaNdo’’, il y a un petit triangle noir en Alpha inversé (style macron diacritique).
C’est la raison pour laquelle je lis ‘’aqua’’ dans ‘’TdquaNdo’’. Le D de David est un alpha ou la a souscrit est bissé.
Je finalise par AQUA CARLA.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 avr. 2022 à 06:22
Pourquoi avoir choisi l’Evangile de Matthieu (2 : 23-28) ?
Parce qu’il contient deux fois le nom du SABBAT (lignes 2 et 6/7).
La commande se trouve à l’extrémité du texte dans les 2 mots superposés : REDIS BLES.
Elle est pilotée par le téléstiche vertical des 4 dernières lignes, la commande conditionnelle SI ON.
SI ON REDIT ou SI ON RÉDUIT LES lettres B.
Les 2 SABBAT deviennent SAAAAT + SAAAAT. Soit 8 lettres A ou 4 paires de AA.
Alors que la phrase cachée s’écrit avec les lettres surélevées, en ligne 2, on relève l’anomalie suivante, ‘’ Sabbato secundθ. primo’’ où le o de secundo est un thêta pointé décale vers le bas.
Cet indice confirme que dans le nom de sabbat la seconde lettre de l’alphabet, le B de saBBat devient la première, un A.
Les autres paires du texte se localisent ainsi :
_ Ligne 3 : ILLTRIS et VELLERE, LL + LL.
_ Ligne 3 : PER SECCETES (Secedo, un seul c). Ligne 6 : ECCE QUIA, soit CC +CC.
_ Ligne 6/7 : AUTEM INSS ETXTT et avertissement final SOLISSACERDOTIBUS, SS + SS.
Total : 8 A + 4 L + 4 C + 4 S = 4 fois le nom CALAS, CASLA ou LACAS.
Curieusement, il n’y a pas de couples de R pour déboucher sur 4 CARLA. Le S lui est préféré.
L’épilogue est aussi à double détente en avertissant que ce texte est réservé aux prêtres, seuls lettrés à l’époque à maîtriser le latin et le grec, clefs du déchiffrement de l’énigme.
Et c’est peut-être aussi dans les séminaires que l’abbé A.G. a développé le goût des inversions.
SUBITODRECASSILOS, SUBITO, subitement,
Je réserve ‘’DRECAS SI LOS’’ car le diable latin DRACO (Dragon, Serpent légendaire) est devenu DRAC en dialecte languedocien (Créature maléfique liée au danger des eaux, Démon).
Le phonétisme OS entendu HAUSSE n’est guère satisfaisant bien que l’idée de crue brutale colle bien aux eaux du texte.
Je réserve aussi l’interprétation verticale de la colonne.
Les 6èmes lettres des lignes suivantes sont des T :
Ligne 1 : ETFACT-U.
Ligne 2 : SABBAT-O.
Ligne 4 : PERUNT-U.
Ligne 5 : CABANT-Q.
Ligne 6 : CEBANT-E.
Ligne 8 : SETXTT-A.
Ligne 9 : LECIST-I.
Ligne 10 : ESURUT-I.
Réserve encore, ligne 13, sur ‘’ERANT uxuo quibus’’ pour ‘’ERANT QUOS NON’’ avec son inverse pointé ‘’θ .η.χη’’ = Thêkhê grec, le coffre = L’ARCA latin, le cercueil (‘’IL EST LÀ MORT’’).
Réserve toujours sur ‘’du.mum’’ écrit inversé en ‘’ωλεν.η ρ’’, olene, l’avant-bras, la main avec ses 5 doigts, comme les 5 lettres à découvrir. Ligne 10.
Réserve encore sur le seul accent du texte sur le E de ‘’b lés’’
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 26 avr. 2022 à 06:29
Les mots valises ne sont que des segments des sources. Ex : Olène n’est pas l’intégralité du mot Dumum.
Les deux secrets à découvrir sont des noms de cinq lettres (Une main), L’auteur l’abbé A.GROS et le nom du ruisseau local, le CARLA.
Existe-t-il un lien entre eux, à part le fait que SORGA est la SOURCE en occitan ?
Comment se fait-il et pourquoi ‘’le SERPENT ROUGE’’ cache-t-il à la fois un prêtre et cet oued ?
Janus à deux visages, abbé bienfaisant et ruisseau guérisseur devenant deux démons rouges.
Il existe plusieurs techniques de désignation de lettres cachées :
_ Petit Manuscrit : Lettres abaissées ou surélevées. Lettres à droite des Tau.
_ Grand Manuscrit : Lettres cadencées toutes les 7.
_ Epitaphe de Marie de Blanchefort : Anomalies de calligraphies. Lettres plus petites ou plus grandes, en majuscules ou déformées, fautes d’orthographe.
_ Le cryptogramme du Sot Pêcheur désigne ses 64 lettres par pliages sur des croix. Mais il n’est pas d’origine.
L’abbé Antoine Gros est la forme humaine du Serpent Rouge car TEMEREPO se lit TEMERE EREPO ou ITEM EREPO ,pareillement je me faufile, je glisse comme un reptile, au hasard des lettres de l’épitaphe.
On doit donc retrouver les deux composantes, les noms du prêtre et du ruisseau, gravés sur la pierre tombale.
Pour le CARLA, c’est relativement simple puisque que ses lettres jouxtent les anomalies :
C(T) NOBL(e) (M) ARIE NEGR(e) DA(R )LES = TEMER. C(T) L(e) (M) A R(e) A(R ) = CLARA.
Mais pour l’abbé, c’est plus fin.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 avr. 2022 à 10:38
La confusion vient du titre même du ‘’Serpent Rouge’’ qui peut très bien se traduire par G ROS, l’idéogramme qui entoure la signature P-S, ou par 7 ROS (Code alphanumérique du G) ou même par
ÂGÉ ROS, le vieux rouge (occitan) ou le vieil écoulement (latin).
Quand on rencontre le nombre 17, la première interprétation conduit aux fêtes patronales de St Antoine Le Grand et de St Sulpice (17 Janvier). Mais, 1 et 7 codent aussi A et G.
De plus interpréter la date de 1717 par AGP(Rho grec) est tout à fait possible (1+7+17).
Sur le meuble du confessionnal, la tête anthropomorphe de l’agneau partagé donne cette racine AG.
Mas sur la fresque du confessionnal l’amoncellement, le tas qui constitue le tertre avec ses 17 ROSes peut très bien s’entendre AGGERO, j’amasse, j’empile. Et là, la consonne G est bissée pour confirmer le phonétisme. ÂGÉ ROS.
Le mot SEpT, au centre de l’épitaphe de Marie de Blanchefort rappelle le mot ES+T (= SEPT) gravé sur la clef de voute du jardin du presbytère.
Il y a bien eu un ritou nommé Croc, mais c’était en 1884.
J’ai longtemps soupçonné l’abbé Barthélémy PonS (P-S) de Bugarach d’être l’auteur de ces jeux.
Antoine BiGou avec son G central colle aussi assez bien avec l’Alpha Gamma ROS du pilier carolingien dont le pseudonyme est captif.
Les registres paroissiaux faisant foi, c’est l’abbé Antoine Bigou qui y a inscrit le décès de Marie de Banchefort (17 janvier 1781).
Maintenant, il y a bien eu un prêtre nommé ROUGÉ, en 1821, qui conviendrait pour se glisser dans la peau d’ A.GROS, mais j’ignore tout de lui. G Rouge = G RoS.
PaGèS, en 1822, donne aussi un cadre P-S propice, avec un G central.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 29 avr. 2022 à 17:55
Une date, en 4 chiffres donc, ne peut coder au maximum que 4 lettres, à condition encore qu’elles soient toutes inférieures à J (10). Que ce soit avec les codes alphanumériques grec (24) ou latin et français ancien, (25, sans le W récent).
Mais, dans la majorité des cas, les dates de Rennes-Le-Château cachent une ou deux lettres.
Les meilleurs exemples sont dans le transept de la croix carolingienne où les 18 et 19 grains qui encadrent le médaillon central qui dessine un O chiffrent ROS. Jeu qui est repris dans la date 1891 gravée sur le porche où c’est la gueule arrondie de la gargouille qui trace le O central. Là, 91 est inversé dans 18 O 19.
Les deux dates du sceau du Serpent Rouge s’additionnent, 1+0+9+9 = 19 et 1+1+8+6 = 16.
1099 = S, 1186 = P.
Pour obtenir un texte supérieur à 4 lettres, il faut donc une date plus complète.
Pour la dalle de Marie de Blanchefort : 17 Janvier MDCCLXXXI = 17 Janvier 17 18 (Inversion dans 1781 comme dans 1891). 17 = AG latin ou P grec. 17 18 = P-Σ. Le tout s’entend AG RoS.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 02 mai 2022 à 05:46
La légende d’Ignace Paris :
Les dalles datées se rangent en deux catégories, les anciennes, et les modernes (celles de B. Saunières).
Les vieilles dalles rouges se trouvent sur le presbytère (1725 et 1727) et sur le clocher (1740).
Leurs additions sont : 1+7+2+5 = 15 code du O latin ou du omicron grec, 1+7+2+8 = 18 code du R latin ou du Σ, 1+7+4+0 = 12 code du L latin ou du mu grec.
Les deux dalles modernes au porche de l’église sont 1891 (déjà vu avec la bouche circulaire de la gargouille qui insère le O entre 18 et 19 pour afficher ROS, et 1646. Cette dernière est jumelée avec son opposée IH+S (Pierres blanches). 1+6+4+6 = 17 code du Q latin ou du P grec.
IN HOC SIGNO + = Par ce signe Rho, tu vaincras.
Sur le pilier carolingien, MISSION 1891 (SI ON A MIS O entre 18 et 19) n’est qu’un double du message de la gargouille.
La date du calvaire, 1897, ne semble pas utilisée. 1+8+9+7 = 25 = Z.
Le calvaire, face au pilier carolingien, délivre le même message : AMO ROS, J’aime le rouge liquide.
La légende d’Ignace Paris est une invention récente. C’est une construction qui permet d’utiliser les dalles 1740 et 1745. Ces deux inscriptions portant le couple IG, initiales possible du prénom. PariS, encadré dans P-S permet d’intégrer RôS dans son écriture grecque P-S.
I est 1 romain code du A. IGPS masque AGROS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 03 mai 2022 à 14:45
Les dizaines en lettres :
3 sources : Dalle 1740 du clocher, 1700 QUARANTE. L’inscription en galet dans la reproduction de la grotte de La Madeleine, KXSLX = KXS SOIXANTE. L’épitaphe de Marie de Blanchefort, ligne 6/7, SOIXANTE.
Ces 3 dizaines utilisent l’adverbe ANTE, devant, en avant, dans des constructions franco-latines particulières :
_ SOIXANTE s’entend ‘’Sois Ante’’ = ETRE DEVANT, avec l’impératif du verbe être.
2 possibilités, avec ou sans le X : Etre 10 devant ou être devant le ‘’Sept’’ de l’épitaphe.
_ QUARANTE se traduit par ‘’Quart ANTE’’ = QUART DEVANT, EN AVANT DU QUART. Ou phonétiquement par la conjonction CAR. CAR serait le préfixe du nom caché.
L’avant de la date est 17 soit AG rectifié par IG.
I+G ou A+G = 1+7 = 8. ¼ de 8 =2 code du B. 1740 IG = BIG.
Nota : 17+27 = aussi AG + BG.
Plaisante la comparaison entre le clocher de ce minuscule village et Big Ben…..
Comme SOIXANTE est à cheval sur 2 lignes fait que la ligne 7 = ANTE SEpT ANS peut se traduire par AVANT G….
Il y a 3 G dans le texte : T GIT, NEGRe et AGEE. Sélection T, E ou A.
Il peut cependant reporter de 7 ans en arrière un événement qui aurait eu lieu en 1774.
L’arc du portail du jardin du presbytère porte l’inscription ‘’LA MAISON DU PASTEUR EST LA MAISON DE TOUS’’ au centre de la phrase sur la clef de voûte, le verbe EST est surmonté d’une croix. C’est la lettre joker qu’il faut insérer pour composer le chiffre SEPT, soit G.
La maison du PASTEUR G est la maison de tous les pasteurs G.
C.à .d., A.G et B.G.
Ce couple d’abbés se retrouve dans la date 1725 = IGBE = BIGE, char à 2 chevaux ou si on exclut ce tandem, AGEB = ÂGÉ B. Un vieux B est un Bêta grec ou l’initiale d’un vieux ritou.
Nota : La cure ex projet Bethania ?
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 04 mai 2022 à 11:17
Il est préférable d’inverser LX en XL dans KXSLX pour bénéficier de la conjonction devant l’adverbe.
Quarante remplace donc Soixante dans CAR ANTE. CAR devant LX ? Soit KXS = CAR.
X est ainsi déchiffré en A et KXSLX s’entend CARLA.
Le banc qui porte l’inscription dans la grotte de La Madeleine représente un sarcophage antique.
Le cercueil latin, L’ARCA est alors l’anagramme du CARLA.
Dans la grotte du Fournet, git le CARLA.
Et comme c’est l’âgé ruisseau rouge, l’inscription est écrite avec des galets de son lit.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 11 mai 2022 à 11:05
La ‘’fine’’ équipe de chercheurs parisiens qui déchiffra les jeux de Rennes-Le-Château, (avant de se fourvoyer dans un regrettable trafic de mythe), regroupa ses travaux dans le fameux dossier LOBINEAU.
Rien à voir avec la rue Lobineau, si ce n’est que Dom Alexis était aussi un historien ecclésiastique.
Personnellement je lis ce nom ainsi : L’ EAU BI NO et je peux aussi l’entendre LE BI NO.
Le poète préférera le phonétisme LE B IN EAU pour obtenir LE BEAU et retomber sur le cryptogramme du ‘’Sot Pêcheur’’, - Ma clef à rien ne sert mais jeu BEAU a été -. (Substitution B=O dans le cadre).
Tout d’abord, il faut bien comprendre qu’un ritou, un curé de campagne, est avant tout un berger (Voir haut-relief du confessionnal). Et le verbe latin qui lui convient parfaitement est AGO, je mets en mouvement, je pousse devant moi mes ouailles.
Un autre verbe, très proche en 3 lettres, est aussi encadré par l’alpha et l’Oméga, AMO, AMΩ, j’aime.
La proximité entre ces deux est si évidente que l’ω s’inverse en M oncial et aussi en gamma γ sur le pilier carolingien.
Bien sûr, le fait que le G soit un C (dans CROS = CROIX) rend l’enchainement moins aisé.
(CAR ANTE, Avant le code du Γ grec = celui du C latin = 3).
Connaître la raison du choix du nom de LOBINEAU n’est guère important, on peut n’y voir que deux EAUX.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 12 mai 2022 à 16:11
Question du jour : Pourquoi le prédécesseur de Saunière, l’abbé Antoine, n’ a-t-il pas utilisé directement la lettre R dans ses jeux, lui préférant le Rho grec, P, alors que dès l’origine, le transept de la Croix carolingienne en donne le code avec ses 18 grains encadrant à gauche le cercle central, suivi à droite des 19 grains du code de la lettre S. R et S sont latines. Alors pourquoi ce choix du code grec 17 ?
Revenons à l’interprétation de l’abbé Saunière qui utilisera par ailleurs plusieurs fois ce P grec.
Mais sur le pilier, MISSION 1891 = SI ON A MIS O entre 18 et 19 (A = Alpha et O = Ω gravés) , on obtient le mot latin ROS horizontalement.
L’abbé inversa le pilier pour inverser l’ ω en γ (O en G). Puis il compléta par le monogramme de Madeleine où les 4 lettres sont écrasées, superposées, dans le chiffre AMωγ.
Pour confirmer la triple valeur de l’Oméga, il compléta le pilier avec en inscription de base ‘’OMArie conçue sans péché…….’’.
L’inscription faciale du pilier d’après Saunière : A (Ო+ω+γ), AMO G ROS.
Texte finalisé par la faute d’orthographe dans la répétition de ‘’Pénitence ! Pénitense !’’, S/C. En mémoire des apparitions de 1858. Pour inviter à retirer SEPT de conCEPTion. 7 = code du G.
Ce qui permet de corriger définitivement le C en G dans AMO CROS, j’aime CROS.
Le Serpent Rouge, en Lion, nomme l’Immaculée Conception Notre Dame des CROSS.
A mon avis, traduire CROS par CROIX est abusif (Il y a 5 croix sur le pilier) mais l’abbé Boudet, dans LA VRAIE LANGUE CELTIQUE, page 280, précise : ‘’Notre Dame du CROS ou Notre Dame de la CROIX.’’.
CROS, en dialecte languedocien, c’est avant tout ‘’le CREUX’’, le trou, la grotte….
Pourquoi ne pas avoir réutilisé ce code 18 ?
Un retour sur la dalle de Coumesourde ou sur la tombe d’ARCADIA est nécessaire.
Les deux portent la clef P-S PRAE-CUM.
Nota : Le Serpent Rouge, en fait allusion à la dame blanche ISIS en référence aux 4 terminaisons, reddIS regIS cellIS arcIS.
Triple détente :
_ PRAE avant CUM avec. Avec la lettre qui est avant P. C’est obligatoirement la lettre O. Si le R avait été choisi, alphabétiquement, cela aurait été un Q. Le P latin était impératif.
_ PR AECUM, en latin = AEQUUM = égal. P et R sont égales. Rho grec = P latin.
Avec P devant O avant S = POS = ROS. Soit P-S = ROS.
_ PRAE CUM, avant l’adverbe CUM = initiale C du mot devant l’ensemble.
Le tout : CROS. Soit, l’idéogramme P-S cerclé en tête de la pierre tombale.
On notera donc les différences entre le pilier carolingien qui ne donne pas directement le G mais le C et la tombe d’ISIS qui n’a pas directement le R de CROS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 13 mai 2022 à 06:32
L’abbé Saunière utilisa l’égalité Rô grec, P = R latin sur le linteau du cimetière où la poussière de la formule classique de la Génèse ‘’Memento homo quia pulvis es et in pulverem reverteris’’, ‘’souviens toi homme que tu es poussière et que tu retourneras poussière’’ est inversée en commande conditionnelle SI V LU P. Si la lettre V est lue comme une lettre P, sans préciser si cette dernière est grecque ou latine.
Au-dessus du texte la tête de mort sur les deux tibias croisés rappelle le lieu, le cimetière.
En latin, le CRÂNE se dit CALVA. Avec la substitution V/P, il devient CALPA anagramme de CARLA.
L’abbé a donc bien repris le Rho =P de l’abbé Antoine.
On notera que c’est le même crâne qui repose aux genoux de Ste Madeleine sur le bas-relief de l’autel.
Autre réemploi, le calvaire de 1897 :
Là, l’abbé Saunière a changé, ce n’est plus le curé des premiers travaux à son arrivée dans le village.
Il semble ne plus aimer la Croix et lui préférer des plaisirs terrestres….
Néanmoins, il réutilise P-S dans A.O.M.P.S. = AMO ROS. Mais il n’y a plus le G ou le C en initiale.
Non, simplement, l’abbé aime ‘’l’écoulement rouge’’.
Pour ce faire il utilise les 3 inscriptions circulaires : IN CRUCE VITA, IN CRUCE SALUS, O CRUX AVE.
Mais il ne s’agit plus de saluer la Croix et d’y voir la Vie et la Santé mais de traduire ainsi :
O AVEC RUX = ROUX (ROS en occitan). VIT A = voir la voyelle A dans la Croix où S A LU S = où Saunière a lu la lettre S.
En clair sur la Croix, le titulus INRI est à compléter avec A et S pour réécrire RAISIN.
Ce n’est plus du tout le même esprit. Ce qui fera dire à Pierre Plantard que Saunière dissertait des ‘’mérites comparés du vin des Corbières et des vins de Malvoisie (préface de La Vraie Langue Celtique).
Traduire A.O.M.P.S. par AMO ROS = J’aime le vin rouge peut paraître hasardeux et nuire à la réputation de l’abbé. Il se peut effectivement que cette phrase soit mise dans la bouche de l’évêque Billard pour se moquer de celui-ci. Ce dernier, point sot, s’en serait rendu compte déclenchant la ‘’suspense à divinis’’ en punition.
Après 1897, la préoccupation majeure de Saunière n’est plus la catastrophe écologique due au tarissement du ROS, ruisseau, CARLA. Hélas, le prêtre sourcier est plus considéré comme sorcier.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 16 mai 2022 à 16:26
Un verbe résume toute l’énigme.
Fresque du confessionnal :
‘’Venez à moi vous tous qui souffrez et qui êtes accablés et je vous soulagerai’’
Au-dessus du segment ‘’AGE’’ dans soulAGErai, un personnage miniature courbé par la vieillesse s’éloigne en s’appuyant sur sa canne/parapluie.
A sa soutane noire, on identifie ce ritou plié qui quitte la scène en emmenant ces 3 lettres qui le caractérisent : l’ ÂGÉ.
Amputé de ces dernières, le texte final est quelque peu différent de l’original.
VENEZ À MOI ET JE VOUS SOULERAI ……
La gourde est déchirée sur le tertre des 17 Roses (AG ROS).
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 02 juin 2022 à 15:07
Dès l’origine, l’abbé créateur de l’énigme de Rennes-le-Château est captif de l’initiale C de l’adverbe CUM dans sa clef ‘’P-S PRAE CUM’’. Celle-ci se traduit bien par CROS et non pas par GROS.
Donc, dès le départ, l’abbé invita à la substitution C/G sur la pierre tombale.
Deux substitutions centrales y sont remarquables :
Dans l’égalité REDDIS sur CELLIS, une paire de D domine une paire de L (DD sur LL).
Le milieu (In Medio*) de REGIS domine le C d’ ARCIS (G sur C).
L’égalité D = L servira à transformer APX ΔI A en APX ΛI A (A+R+C - L+I – A = CARLA).
La substitution G/C corrige définitivement CROS en GROS.
Par voie de conséquence, traduire CARLA par son anagramme GRAAL est tout aussi acceptable que de se limiter à CLAIR.
*Revoir la dalle de Coumesourde où LINEA = L IN EA = lettre L en ELLE.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 04 juin 2022 à 10:22
Dalle de Coumesourde :
IN MEDIO LINEA UBI M SECAT LINEA PARVA
Le mot LINEA est répété. Attention, il n’est pas décliné (dat. et acc.)
Il n’est pas gravé IN MEDIO LINEAE UBI M SECAT LINEAM PARVAM
Il ne faut donc pas traduire par : Au milieu de la ligne où M coupe la ligne petite, mais : AU MILIEU. LA LIGNE OU M COUPE. LIGNE PETITE.
Ce texte est habilement étagé sur 8 niveaux :
SAE SIS
IN + MEDIO
LINEA UBI
M SECAT
LINEA
PARVA
P-S PRAECUM
+
Ici la clef P-S PRAECUM se traduit par CROS (et non pas par GROS) et concerne les deux CROIX médiévales des lignes 2 et 8.
Il y a 2 CROS, donc 2 erreurs à corriger, entre autres, dans le mot de la ligne petite, PARVA.
Nota : Sur la tombe des 4 IS, il y avait aussi 2 Croix qui totalisaient APX et ΔI en CARLA.
D’autre part, PARVA est une combinaison latino-française de PAR, l’égalité latine, la parité (pareil), avec le verbe aller. PAR VA = Egalité de lettres, substitution.
Dans un premier temps, PARVA évolue en en PARLA grâce à LINEA = L in EA, L en Elle.
Le site remarquable de COUMESOURDE joue sur la qualité. SOURDE, certes, mais pas muette.
Cette dalle PARLE !
Le verbe SECARE est utilisé (SECAT). Les grandes sécantes coupent la clef P-S PRAECUM en traversant les lettres S et R.
Les petites sécantes désignent IN et ED dans la ligne IN + MEDIO.
Le code alphanumérique de la date MCCXCII, 1292, 1+2+9+2 = 14 = N latin ou Ξ grec.
Le ‘’médio’’ de la date de 7 chiffres est X.
Le milieu du mot SECAT est C dans l’étage désigné par M.
PARLA devient CARLA après la parité.
Au recto, on trouve 2 fois le mot LINEA. Au verso CEIL et BEIL s’opposent et s’inversent dans LIEB – LIEC. Au-dessus de la date qui totalise 14 et code N. Ce N qui est ‘’in médio’’ du nom LINEA.
LINEA B + LINEA C = LINEA U(B)I + M SE(C)AT = 14 lettres.
Sur le modèle des dates / signatures sur les dalles rouges du presbytère et du clocher, 1292 se traduit aussi par ABIB inversé en BIBA. BIBAM = que je boive.
Coumesoudre était surtout célèbre pour abriter une des rares sources du plateau.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 05 juin 2022 à 11:08
Sous un autre angle :
Le dernier mot du texte de la dalle de Coumesourde ne se traduit plus par CARLA mais par L’ARCA, le cercueil, la tombe. Les 2 substitutions imposées par les 2 CROS sont alors P = L et V = C.
Les 2 croix (CROS) ne sont plus des croix de chemins mais des tombeaux. L’un est sur le site de Coumesourde (en bas sur le tracé), l’autre était dans le cimetière de Rennes-Le-Château.
Leurs deux stèles portaient la formule-clef P-S PRAE-CUM.
La traduction de la date 1292 choisie est ABIB. Où AB est la préposition latine avec, par, au moyen de.
Grâce à IB, le chercheur doit résoudre l’énigme.
C’est déjà le cas du verso de la pierre où, grâce à BI = 2, la double substitution est annoncée.
Mais au verso, ce sont les 2 inscriptions CEIL et BEIL qui doivent guider.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 11 juin 2022 à 14:52
Alphabets parlants, allographes :
Un confessionnal porte le nom du prêtre qui y officie.
Sur le bas-relief du meuble de l’église de Rennes-Le-Château la tête de l’agneau anthropomorphe à l’antérieur coupé donne les initiales d’un curé, AG ou son phonétisme ÂGÉ.
En demi-cercle, une sculpture dans bois dessine les 12 triangles d’une sorte de lame de scie et code donc L ou AB entendu ABBÉ.
C’est donc le confessionnal de l’Abbé A.G. ou de l’Abbé âgé.
Sur la dalle de Coumesourde apparait une autre technique d’abréviation de nom avec la clef ‘’In medio’’, au centre.
Quand 1292 = AB IB, on découvre l’auteur de l’inscription au verso. L’ABBÉ IB.
Alors, comment comparer l’abbé IB de cette dalle et l’abbé IG des plaques du presbytère et du clocher ?
On notera que les datations dans cette énigme concernent les XIIIème, XVIIIème et XXème siècles (MCCXCII, MDCCLXXXI, 1725, 1727, 1891,1897). Les dates de Rennes-Les-Bains sont différentes : 1776, 1808, 1836, 1840, 1856, 1872, MDCCCXCVI).
La solution la plus simple est de choisir ‘’In Médio’’ du nom de l’abbé comme le G de celui-ci.
Et le patronyme qui se prête le mieux à cette interprétation est BIGOU, avec son G central.
L’adverbe UBI (linéa 3) ne serait que le masque contracté de l’auteur, Antoine BIGOU amputé du couple GO.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 juin 2022 à 10:32
Le sceau du Serpent Rouge est formel, les 4 chiffres d’une date s’additionnent pour donner le code alphanumérique de la lettre secrète. Ex : 1099 = 1+0+9+9 = 19 = S et 1186 = 1+1+8+6 = 16 = P.
Il devrait en être de même sur la dalle de Coumesourde ; MCCXCII, 1292 = 1+2+9+2 = 14 = N.
Mais la clef ‘’In médio linea ubi M secat linea parva’’ s’applique aussi bien sur la face de la pierre que sur son dos.
Au recto, la petite ligne qui contient ce M est ‘’M SECAT’’. Elle met donc en exergue le centre C du verbe.
Au verso, c’est la date qui contient ce M est qui doit être partagée en deux. Il ne faut donc pas y découvrir N, mais G. Soit 14/2 = code 7.
En résumé : RECTO → C, VERSO → G.
On retrouve alors la substitution constante à Rennes-Le-Château, P-S PRAE CUM = CROS mais se lit GROS.
Il y a 2 Croix dans l’inscription.
Dans la ligne IN + MEDIO, cette Croix sépare les lettres N et M.
Le milieu du mot CROIX est la voyelle O. N + M = NOM.
En bas du recto les 2 diagonales qui traversent la clef ‘’P-S PRAE CUM’’ y sélectionnent les 2 lettres S et R. R –O- S = ROS.
Les 2 Croix trient NOM et ROS. En encadrant PARVA qui évolue toujours en CARLA.
La ligne majeure du texte est ‘’M SECAT’’ , c’est elle qui pilote sur son C central qui sera l’initiale à substituer (au P de PARVA) du nom caché.
La première ligne de l’inscription aide au déchiffrage.
SAE ---SIS. SIS est une commande conditionnelle calquée sur celle de SION = Si on.
SI S = Si dans le texte ci-dessous un mot commence par S. Choix du verbe SECAT.
SAE = Lettre S avoir E comme suite. Confirmation de la sélection de SECAT.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 10 avr. 2023 à 07:34
Croix de Narbonne.JPG
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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 10 avr. 2023 à 07:36
05/04/2023. Dalle de Narbonne (marbre blanc) :
Le fût inférieur de la Croix pattée est encadré des deux lettres Alpha et Oméga, première et dernière lettre de l’alphabet grec.
Ces deux lettres, dans la symbolique chrétienne sont le Début et la Fin de toute chose. Elles définissent le Christ.
(Je suis l’Alpha et l’Oméga …. Apocalypse de St Jean 1,8).
Les nombres :
_ Encadrant la partie supérieure du fût de la Croix, deux marguerites à 7 et 6 pétales codent 7+6 = 13.
_ Au-dessus de l’homme assis sur le pliant faldistorium, une marguerite à 6 pétales, un cercle double, un autre cercle, mais triple et un carré double s’additionnent en 6+2+3+8 =19.
_ La somme des 8 spirales aux 4 extrémités de la Croix, des 2 spirales qui bordent le canthare, des 2 du pliant et de la queue du chien = 13.
_ Chaque bras de cette Croix, parfaitement symétrique, est orné de 10 besants (grains). En tout, ce décor compte XXXX unités.
_ Un végétal en arche fait le pont entre les deux personnages. De part et d’autre de la nervure centrale on dénombre 16 et 16 feuilles opposées.
Nota : pour certain, cet arc est une palme agitée par le serviteur debout pour éventer son riche maître oriental. Pour un autre, libre-penseur, il s’agit d’un jet d’urine de 32 gouttelettes…
Nota : on remarquera la technique de la dissimulation des codes dans des végétaux dans les anciennes écritures secrètes. Comme dans le manuscrit de Voynich où les plantes recèlent des codes dans les nombres de leurs feuilles, de leurs racines, de leurs fruits et de leurs couleurs.
Les codes alphanumériques :
Les alphabets latin et grec ne comptent pas le même nombre de lettres. Les codes alphanumériques diffèrent.
Ainsi, 13 chiffre M romain alors que 19 désigne un Tau grec.
Le manche de cette Croix de procession brandie par l’homme âgé barbu dessine ce Tau. Ce n’est pas un T latin car il est encadré par l’Alpha et l’Ω dans A-T-Ω.
Les mains, gauche pour le jeune personnage debout et droite pour celui de droite, qui doit être un ecclésiastique important, confortablement installé, car c’est lui qui tient la Croix, pratiquent un échange. Une permutation T/M. Ainsi ATO devient AMO = J’AIME.
Message apparent :
‘’J’AIME LA CROIX’’. Profession bien naturelle pour des gens d’église. Mais on ne peut s’empêcher de faire le lien avec les deux Croix de Rennes-Le-Château qui ont détourné cette confession d’amour.
Que ce soit sur le pilier carolingien (AMO ROS) ou sur le calvaire de 1897 (AMO PS), le même aveu mais beaucoup plus sacrilège. Disons rabelaisien !
Car sur la Croix narbonnaise, la référence au liquide est flagrante, avec les deux colombes qui s’abreuvent dans le canthare.
Définition du nom CROS :
En dialecte languedocien, un CROS, c’est un trou, une excavation, une caverne. Mais curieusement, dans le Razès, le sens de ce mot a évolué et s’est mis à signifier Croix car plusieurs ‘’ritous’’ (curés de campagne locaux) portèrent ce patronyme. Etre curé de la Croix est certes plus valorisant qu’être celui du trou, l’abbé creux.
Ainsi, l’abbé Henri Boudet, ritou de Rennes-Les-Bains, à la page 280 de La Vraie Langue Celtique, traduit N.D. du CROS par Notre Dame de la CROIX. Ce qui est faux. On devrait corriger par N.D. de la grotte.
AMO CROS = J’AIME la CROIX et J’AIME le prêtre CROS qui la dessert.
En étêtant ce nom de son initiale, on dérive sur une autre définition. CROS – C = ROS.
Double valeur avec le ROS latin, l’écoulement et le RÒS occitan qui qualifie les couleurs rouge et rousse. Un ROS ROS est un écoulement de liquide rouge.
Le VIN :
Le liquide qui sourd de la Sainte Croix est le sang du Christ, le vin de la communion (Luc 22 : 20).
Il s’écoule du canthare des deux colombes aux ventres désignés par leur main des deux personnages.
Différences entre la Croix narbonnaise et la Croix castelrennoise :
A Narbonne la pierre est du marbre, beaucoup plus onéreuse que le calcaire de Rennes.
Le pilier de Rennes-le-Château n’était pas conçu à l’origine pour cacher une écriture secrète. C’est tout à fait accidentellement que le sculpteur a créé 18 besants dans la traverse gauche et 19 dans la droite pour encadrer le médaillon central qui écrit le O de ROS.
De plus le ritou se nommait Antoine GROS et non pas CROS car la lettre ω s’inverse en γ dans sa calligraphie ancienne. Ce qui explique pourquoi le pilier a dû être inversé par l’abbé Saunière.
La dalle de la Croix de Narbonne par contre a dès le début été destinée à recevoir des codes alphanumériques pour permettre d’introduire le verbe AMO. Alors qu’à Rennes, pour obtenir ce résultat, l’abbé a dû rajouter l’inscription MISSION 1891 entre l’Alpha et l’Ω (SI ON A MIS O entre 18 et 19). Cependant, le créateur a bénéficié de la présence d’un cep de vigne pour renforcer son propos. Ce végétal stylisé, avec ses grappes, correspond à la source vitale des deux colombes.
Proximités :
Certains voient un lien avec la chapelle de Quantanilla de las vinas. Pour moi une correspondance avec les entrelacs de St Guilhem-Le-Désert (abbaye de Gellone, dépôt lapidaire) ou de Larnas (Ardèche) me semble plus pertinente.
Conclusion :
Frère Jean des Entommeures n’était pas une exception médiévale. L’abbé Saunière, lui-même excommunié, comme son frère, en est un exemple récent.
N’oublions pas qu’il a osé inclure les lettres AS dans le sacré titulus de la Grande croix de sa paroisse pour ‘’améliorer’’ I.N.R.I. en RAISIN !
Lors de ses études au séminaire de Narbonne, peut-être a-t-il apprécié cette Croix ?
L’analyse mérite d’être approfondie. Certains détails semblent prometteurs comme le nombre de 7 encoches sur la base du canthare.
Un canthare est un vase antique conçu pour boire du vin. Il est très reconnaissable par ses deux anses en forme d’oreilles qui le font ressembler à une lettre Ω inversée.
Chaque colombe porte 6 plumes en queue et 4 en aile. Soit X. 2 colombes = vingt unités.
Le fût de la Croix compte 20 besants.
Etymologie : Le mot VIN est attesté en France depuis le Xème siècle. Vingt, semble plus tardif.
Le phonétisme VIN = VINGT permettrait de dater la création de la sculpture.
Une lecture ultra rapide fait entendre ce résultat :
AMO T = J’AIME entendre le code alphanumérique de la lettre romaine T en français, VINGT /VIN.
Mais rien que l’utilisation d’un canthare, exclusivement réservé à la consommation du vin suffit.
Nota : Au centre de la Croix, le cercle simple vaut 1. Rajouté aux 19 du code de Tau, il définit le T latin.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 avr. 2023 à 15:44
Groland (2).png

Rabelais aurait peut-être fait un lien entre Rennes-Le-Château et Groland ….
Rapprochement que fit Plantard dans sa préface de La Vraie Langue Celtique :
‘’Cependant que l’abbé Saunière dissertait sur les mérites comparés des vins des Corbières et des vins de Malvoisie ….’’.
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