Le Serpent Rouge

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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 19 mars 2019 à 07:56
Retour au presbytère :
Dalles rouges 1725 R Δ-X / IG et 1727+ :
X - Δ = 22 – 4 = 18 code du Σ, Sigma, S latin et du R latin.
Ce Sigma indiquerait que la lettre qui le précède est grecque. Et donc que R est un Rô.
1725 traduit AGBE cacherait le mot ''PASTEUR'' gravé sur le porche du jardin.
La clef de substitution serait donnée par l'autre inscription 1727 = AGBG.
Lue ''Dans AG, B = G → AG = BG+.(Le + représente la petite Croix au-dessus de la date).
AGBE devenue ABBE égalerait PASTEUR par ABBÉ.
Le linteau de la cure se traduirait dans une première phase par ABBÉ PS entendu ABBÉ RôS /IG.

Le Serpent Rouge traduit P-S par ROUGE (RÒS en occitan et en dialecte languedocien).
Il se base sur la GOURDE déchirée de la fresque du confessionnal avec son accroc en forme de D.
Mais l'abbé Saunière donne aussi une autre valeur à cette couleur sur l'inscription circulaire du calvaire de 1897. ''O AVE CRUX'', O avec RUX = ROUX.
Mais ROS a aussi sa version latine ''Écoulement'' sur la dalle 1891 du pilier du porche de l'église. La bouche ronde de la gargouille anthropomorphique d'où s'écoulent les eaux de pluies écrit la lettre O qui s'insère entre 18 et 19 pour construire ROS.

Nota : les dalles rouges 1725 R Δ-X / IG et 1727+ sont jumelées de la même façon que le sont les pierres blanches qui encadrent la porte de l'église, IH+S et 1646.
Le monogramme IH+S se traduit ici par IN HOC SIGNO sous entendu TU VAINCRAS.
Tu vaincras par le signe de Croix quand celui-ci vaudra un plus +.
1+6+4+6 = 17 = P (Rô). Tu vaincras grâce à P.

J'explore actuellement une nouvelle piste qui semble intéressante.
Elle découle de deux constats :
_ Dans le Petit manuscrit, ce sont les B qui sont réduis en A (Redis).
_ Dans le cryptogramme du SOT PÊCHEUR le mot SOT utilise les codes grec de ROS latin, 18 et 19.
J'ai déjà donné sur ce forum ma traduction complète de ces 2 documents.
AGBE lu AGEB s'entendrait ÂGÉ B.
Un vieux B serait un Bêta grec, β devant l'échelle Δ-X.
Un Bêta étant un SOT par excellence.
Mais quand il corrigé par IG = 1+7 = 8 = H, il devient BETHA.
Et BETHANIE est ''la maison de tous'' des Évangiles.
Ce nom serait alors à l'origine du choix du nom de la ''Villa'' de Saunière.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 20 mars 2019 à 01:42
Prebytère 1725.PNG
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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 20 mars 2019 à 01:45
A mon avis la meilleure interprétation est la suivante :
L'inscription s'écrit sur 2 niveaux 1725 domine IG.
Le R porte les 2 lettres grecques X sur Δ en exposants.
IG se traduit par I et II romains. 2 donne le code d'un B.
Si bien que G = II, 2, B et vice-versa, B = G.
1725 = AGBE = AGGE.
AGGE devant P donne AGGERO. En latin , j'amasse, j'amoncelle, je rassemble.
Sur la fresque du confessionnal, le prêtre domine un entassement de boue et de pierres rouges, truffé d'objet disparates. Le verbe AGGERO convient parfaitement à ce tertre que certains nomment la ''colline fleuries'' en raison des 17 roses qui jonchent le sol mais qui cachent AG ROSES en réalité.
La différence X - Δ = 22 – 4 = 18 code du Σ, SIGMA.
AGGERO SIGMA = j'empile en désordre le mot SIGMA = anagramme.
SIGMA est recomposé en AMIS G.
Mais G se traduit aussi par B ou par II.
AGGERO 2 AMIS = JE RASSEMBLE DEUX AMIS.
'' LA MAISON DU PASTEUR SEPT EST LA MAISON DE TOUS'' ( Les G), LA MAISON DES 2 AMIS .
Les initiales de ces 2 AMIS homonymes est donnée par l'autre dalle.
17+27 = A.G + B.G.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 mars 2019 à 10:29
Pourquoi le signe de Croix permet-il de vaincre l'énigme de Rennes-le-Château ?
Parce qu'il divise l'espace par 4 donnant ainsi la clef principale, le QUART.
IN HOC SIGNO VINCES = 4/4.
Prenons l'exemple du cryptogramme du SOT PÊCHEUR avec première clef, '' 2 fois retourna et XXV fois goûta''.
Le seul tronçon du texte encadré de 2 croix pointées compte ces 25 lettres ''CUIT IL NE LUI RESTA QUE L'ARETE''.
En acrostiche, avec les 2 retournements commandés, R/I  :
CUITI
LNELU
RIREST
AQUEL
ARETE
CLRAA = CARLA entendu QUART LÀ.
Effectivement, il faut plier le manuscrit en quatre pour faire se superposer les 32 croix du texte et n'en conserver que 25.
Pareillement pour l'ancienne tombe. Des 4 mots, REDDIS REGIS CELLIS ARCIS, 1 seul survit.
De même pour 40 = Quart Ante.
La longévité de Jean Vié, elle aussi en partagée en en 4 ''Haches'' de 8 ans (¼ de 32).
Avoir choisi comme support des dates est un véritable carcan car pour être plausible, il faut que le premier chiffre se trouve dans les 2 premiers millénaires. Obligatoirement 0 ou 1. Mais comme 0 ne s'additionne pas c'est donc un 1.
De plus les 2 chiffres ne peuvent être supérieurs à 9. Les codes imposent de choisir des lettres allant de A à I.
Captif de ces 2 impératifs le créateur n'a guère de choix car il faut de surcroît que la somme des 2 chiffres soit divisible par 4.
Exemple : c = (a + b)/4, a = 1, b < 10.
Le fait d'avoir choisi le chiffrage alphanumérique impose des calculs simple, additions et soustractions.
Mais ces opérations sont rendues délicates par la présence des chiffres romains qui sont des lettres.
I V X L C D M peuvent ne pas se traduire par 1, 5, 10, 50, 100, 500 et 1000.
De quelque côté que l'on se tourne, on finit toujours par retomber sur le pilier carolingien qui est le nombril de cette énigme. Avec sa fameuse équation '' A 23 Ω / 18 O 19 / 29 ''.
A propos de soustractions :
On peut comparer l'échelle grecque du presbytère, X/Δ, et les entrelacs du pilier, X/X.

Ce qu'il y a de passionnant dans cette énigme Ce sont ses rebondissements. Dès que l'on essaie d'approfondir un détail, on doit chercher des références parallèles. Dans le cas de X – Δ = Σ, l'image de la tombe de l'abbé Boudet est présente, avec son livre IX0IΣ (310 XI).
De même, on ne peut analyser la Croix du pilier sans faire un détour par le musée lapidaire de Narbonne et par la Croix de sa pierre sculptée. Là aussi, c'est une Croix de procession entre l'Alpha et Ω. A la différence que ses 4 bras sont symétriques et que leurs 10 grains chiffrent un X.
AXO = je nomme. Exactement comme à Rennes-le-Château à la différence qu c'est un nombre romain et nom pas le code alphanumérique du X, 23.

N'étant pas pressé par le temps, revenons sur nos archives........
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 mars 2019 à 11:04
Narbonne_Croix.PNG
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 mars 2019 à 03:35
Un indéniable air de famille entre ces deux antiques Croix ( Médiévales sans aucun doute) :
Rappelons le texte original de celles de Rennes-le-Château :
A 23 Ω / 18 O 19 / 29 = AXO ROS BI en latin,
Et AΨΩ ΣOT BI en grec latinisable en A PSI O SOT BI.
Utilisé par Saunière avec la soustraction des 2 X des entrelacs en
A 23 – X Ω / 18 O 19 / 29 – X = A 13 O ROS 19 = AMO ROS S.
Puis finalisé grâce à la substitution C/S de la répétition de PENITEN(C/S)E.
AMO ROSC = AMO CROS, J'AIME LA CROIX.
Sur la Croix narbonnaise, les 4 symboles près du maître (assis sur un siège curule) chiffrent ainsi :
Le carré à 4 coté = 4, la marguerite à 6 pétales = 6. le petit cercle à 1 anneau = 1, celui à doubles anneaux = 2. sur la tête du personnage, la somme 4+6+1+2 = 13, code du M.
Ce M se retrouve dans les 2 marguerites qui encadrent le haut de la Croix, 7+6 = aussi M.
L'Alpha et l'Ω, à l'étage inférieur, recomposent le verbe AXO avec le X central.
Remplacé par le M découvert, on retrouve bien alors AMO , J'AIME.
Nota : Personnellement, j'estime que ce jeu utilisant le symbolisme classique A/Ω a souvent été repris en Europe jadis. De nombreuses Croix anciennes doivent porter le verbe AMO.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 mars 2019 à 02:02
Nota : Les possibilités sont réduites de trouver un verbe latin en 3 lettres commençant par A et se terminant par O (1ère personne du singulier).
AGO, je fais avancer.
AMO, j'aime.
AIO, je dis oui.
ALO, j'alimente.
ARO, je laboure.
AXO, je nomme.
Le symbole chrétien Alpha / Ω n'offre donc qu'un choix limité.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 mars 2019 à 10:35
La pierre de Narbonne a été classée dans l'art mérovingien par les spécialistes.
Elle serait donc antérieure à la croix carolingienne de Rennes-le Château.
Un agrandissement du document est indispensable pour noter les détails de ce qui ressemble à une antique B.D.
Les 2 oiseaux picorent des grains (≈ 12) dans une coupelle. Ils s'abreuvent dans un pot rayé de 5 stries horizontales. Les 2 verbes d'action sont BOIRE et MANGER.
Le chien allongé au pieds de son maître assis dort. Action : DORMIR.
Ce maître pense au 4 symboles gravés autour de sa tête. A la manière des bulles dans les B.D. modernes. Action : PENSER.
Devant lui, le personnage qui semblait l'éventer d'une palme, n'est pas son serviteur. Et c'est là que les choses se compliquent, pour moi, il urine. Sous toutes réserves, action : URINER.
Le ''penseur'' utilise la somme des 4 symboles, 1+6+4+2 = 13 code du M pour rêver des 2 Marguerites (Margarita) qui encadrent la Croix et dont les 7 et 6 pétales codent la même lettre de leur initiale M.
Il songe donc à 4 mots commençant par l'initiale M dépendants de la Croix où un M aussi a remplacé AXO par AMO. Après les avoir nommer, il les aime.
Pour moi, ces 4 M sont :
_ Les Marguerites, Margaritae.
_ Le verbe Manger, Manducare (Repas des oiseaux).
_ Le verbe Mingere, uriner.
_ Le chien Molossus.
Mais, de ces 4 éléments du décor, un seul touche la Croix, MANDUCARE.
Le personnage assis parle et dit AMO MANDUCARE = J'AIME MANGER.
Ce jeu est très irrévérencieux. Il rappelle les enluminures où les moines se moquaient de leurs abbés dans des lettrines apparemment inoffensives.
Il y a eu jadis à Narbonne un personnage important qui vivait de la Croix et qui avait la fâcheuse réputation d'être un goinfre.
On peut peut-être identifier cet ecclésiastique grâce à son chien Molossus. Car le nom du molosse tire son origine du chien d'Alexandre le Grand.
Nota : Dans la liste des évêques narbonnais ne figure aucun Alexandre.
Le musée lapidaire de Narbonne est en cours de restructuration. Après inventaire, il quitte l'église N.D. de Lamourquier pour s'installer au musée Narbo Via. Je n'ai hélas pas accès au catalogue de ses collections. Mais je crois me souvenir que cette pierre fut découverte dans le réfectoire de l'évêché.
Si quelqu'un d'entre vous sait quelque chose au sujet de cette Croix, je le remercie d'avance de me partager l'information.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 mars 2019 à 05:28
Le cas particulier de la voyelles E :
Nota : Cette lettre est dangereuse en cryptographie simple, de type Vigenère, en raison de sa fréquence (Une lettre sur 6) en facilitant donc trop le déchiffrage des alphabets de substitution.
Le cryptogramme du ''SOT PECHEUR'' est signé B.S.CUR, sans la terminaison E du mot CURÉ.
Bien qu'à mon avis, ce petit bijou récent ne soit pas de la main de l'abbé Bérenger Saunière, l'absence de cette voyelle répond à une raison précise. L'alphabet utilisé ne comporte pas la lettre W. Comme aux siècles passés. Un alphabet de 25 lettres ne peut donc pas se ''plier'' en deux. Il faut en retirer une pour obtenir un alphabet de substitution unique composé de 24 lettres superposées. Un peu à la manière de la méthode biblique Atbash.
ABCDFGHIJKLM
NOPQRSTUVXYZ
A = N, B = O,.........L = Y, M = Z. réversible en N = A, O = B,.......Y = L, Z = M.
Cependant 2 lettres E existent dans le cadre de 64 lettres. Mais ce sont de simples E inconvertibles.
Au dos du calvaire de 1897, l'acrostiche en 4 lignes de ''Aimons, Respectons, Saluons, Notre croix'' ARSN, renvoie à la face avant et au ''souvenir'' de '' FÉLIX – ARSÈNE BILLARD''.
ARSN = ARSÈNE sans ses 2E.
FÉLIX – ARSÈNE s'entend FAIT L'X À RENNES.
La voyelle E = X sur ce calvaire uniquement. (Pas sur les entrelacs ni sur KXSLX).
En effet, l'inscription circulaire O AVE CRUX donne O AVEC RUX = ROUX.
Avec la substitution X/E, ROUX devient ROUE.
Deux plaques de marbre circulaires flanquaient ce calvaire à l'origine. Dérobées, il ne subsiste que leurs traces rondes et leurs inscriptions en cercle IN CRUCE SALUS et IN CRUCE VITA.
Dans la Croix il faut lire S et voir A (Dans le titulus INRI).
Que représentaient ces 2 plaques, je l'ignore, mais peut-être des ROUES.
Ce que je crois savoir, par contre, c'est que le X de CRUX est le É de CURÉ.
Sur le pilier, chaque entrelacs porte 2 X inclus dans 2 grands cercles séparés par un petit rond central. A l'origine le sculpteur a bien représenté ces 3 cercles superposés, OoO. 3 O = TRÈS latin O.
De plus les entrelacs étaient ornés d'un chapelet de 37 grains.
Un entrelacs venait se plaquer sur la croix faciale pour retirer 2 fois 10 grains sur le fût.
A 23 – X Ω / 18 O 19 / 29 – X = A 13 O ROS 19 = AMO ROS S.
L'abbé Saunière y a rajouter un G pour obtenir J'AIME GROSS.
Mais il manque le E final de GROSSE.
Et même le S de CROSSES. L'abbé aimait les entrelacs, les CROSSES.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 26 mars 2019 à 09:21
Revenons sur la version originale de ce pilier (Avant qu'il ne serve de socle à l'autel).
C'était un pilier carré de section parfaite, avec 40 cm de côté.
Il n'était pas adossé à un mur comme il le fut plus tard et il était plus haut (actuellement 75 cm).
Il a donc été scié au bas et raboté d'un cm au dos, supprimant ainsi définitivement son décor arrière.
Résultat de ces mutilations : Le sciage au niveau du cercle bas des entrelacs interdit le décompte exact des grains de la tresse. J'en dénombre 37 quand le Serpent Rouge en voit 36 (couronne de son sceau).
Certains pensent que ce pilier a été raccourci pour servir de bénitier et être ainsi à portée de mains des fidèles. D'autres estiment que c'était pour être au niveau de la table de l'autel.
Pour ma part, je crois que ce pilier portait au dos et au pied des décors gênants et peu orthodoxes.
En effet, les entrelacs ne sont que deux croix décomposées. Ils représentent les fûts de 2 Croix désassemblées dominées par 2 petits entrelacs horizontaux, vierges de toutes inscriptions, qui en sont les transepts.
Le nombre de grains n'avait sans doute plus d'importance à l'époque de Saunière qui n'avait besoin que des 2X, mais à l'origine il a dû jouer un rôle important.
Pour le Serpent Rouge qui partage verticalement la couronne de son sceau en deux, 36/2 = 2*18 = RR.
Pour moi, 37 = 18 + 19 = RS.
Ce qui voudrait dire qu'un entrelacs, avec son petit cercle central écrirait ROS et qu'il vaudrait donc le transept de la grande croix faciale.
Ainsi, à l'artiste carolingien aurait sculpté 3 ROS sur ce pilier. En latin TRES ORS......
Nota : On retrouve plusieurs fois un jeu semblable dans les triangles de rose des vitraux.
2 roses bleues + 1 roses rouge = TRES ROSES inversées en TRES SESOR.
Avec les 36 grains du Serpent Rouge, on n'obtient que 2 OR. Les grands cercles des entrelacs dessinent le O autour du X ajouté au R. X dans OR.
Bien sûr, ces X valent de l'OR quand un entrelacs vient se superposer au fût de la Croix et diminuer de 10 les 23 et 29 grains. Mais à l'origine ne fallait-il pas utiliser les 2 entrelacs et soustraire 20 pour obtenir 3 et 9, C ou G grec et I ?
Saunière n'en a utilisé qu'un seul et finalise par AMO ROS S avant renversement du pilier.
Là Saint Maxent est d'accord. Au centre de son sceau, le monogramme de Ste Madeleine, SM, est traversé d'un OS (Fémur). SOM et MOS. Ce sont les 3 lettres superposées sur le fût de la Croix après les 2 soustractions.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 mars 2019 à 08:06
Restons simple. Et considérons qu'un seul entrelacs était utile.
La base était AMO ROSS.
En latin, ROS c'est l'écoulement, principalement de l'eau. C'est d'ailleurs comme cela que le traduit le jeu de la gargouille anthropomorphique 1891 du porche de l'église. Sa bouche ronde dessine le O encadré de 18 et 19 qui indique que l'eau de pluie qui ruisselle sur l'auvent est un ROS.
Mais ce peut être n'importe quel liquide, du sang ou du vin, les ''larmes de Madeleine'' sont des RORES.
Pour un puriste, AMO ROSS est fautif. On devrait lire ROREM ou RORES.
Si ROSS est le phonétisme des fleurs, ce serait ROSAM ou ROSAS.

Quand on voit le nombre d'inscriptions rajoutées par Saunière sur ce pilier pour le rendre intelligible, on se doute que de retrouver son message d'origine sera difficile......
Mais ces inscriptions sont-elles bien interprétées ?
IMMACULÉE CONCEPTION.
PENITENCE ! PENITENSE !.
A MISSION Ω 1891 = SI ON A MIS Ω entre 18 et 19 = ROS.
Monogramme de MARIE.
O MARIE CONÇUE SANS PÉCHÉ PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS À VOUS.

Pour moi le pilier de la mission de 1891 et le calvaire de la mission de 1897 qui se font face disent la même chose. De manière différentes, mais cachent un secret identique.
Utilisons la technique préconisée par l'abbé Saunière lui-même.
Nota : Je tiens pour vraie l'anecdote suivante :
Lors de l'édification de son riche domaine, on demanda à l'abbé quel nom il avait choisi pour baptiser la tour Sud qui flanque ses remparts. Il dit alors qu'il envisageait le nom de Tour de L'Horloge. Non pas en raison du jeu de mots OR LOGE ( La tour où l'OR loge) mais parce qu'elle était au MIDI. Et il ajouta cette précision fondamentale MIDI s'entend MI DIT, à moitié dit.
C'est la raison pour laquelle le nom de la tour nommée MAGDALA semblant rappeler le lieu de naissance de Marie Madeleine qui vise la grotte de la Madeleine , au Sud , dans les Bals doit être complété pour s'écrire MAGDAL-EN-A.
Cette technique du ''moitié dit'' ou du ''demi-mot'' s'apparente à celle des ''mots-valises''.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 28 mars 2019 à 01:19
Les ½ mots :
Les premiers se trouvent dans la répétition PENITENCE ! PENITENSE !, qui avec sa faute d'orthographe donne aussi la substitution S/C.
Puis IMMACULÉE CONCEPTION = AMI LU C ET E SON SEPT IN O.
Cet AMI lu un 7, un G dans O et le remplaça un C. Il, lu aussi un E.
Ces 3 premiers jeux sont riches d'enseignements :
L'abbé Saunière aimait un AMI nommé GROSS qui modifia son nom en CROSSE.
AMO ROS S → AM(O+G) ROS S → AMO CROSS+E = AMO CROSSE.
Ainsi, l'abbé aimait l'entrelacs qu'il avait utilisé pour réduire les code 23 et 29 initiaux.
Une CROSSE est un entrelacs.
Saunière esthète, amateur d'art wisigoth ?
En inversant, à la manière de la croix de St Pierre, il poursuivait plusieurs buts :
_ Montrer que l'Ω devenait un γ. Que le O écrivait G.
_ Que le l'évidement en haut du pilier, qui servit de cachette aux manuscrits après avoir la vasque d'un bénitier, était vide d'eau bénite et de secrets. D'où l'a nécessité de la ''pénitence''. C'est une malédiction divine. Les fidèles sont responsables de cet assèchement.
_ Que le M en onciale romane du M de Marie s'inversait en γ. Exactement comme l'en-tête du Petit Manuscrit. Le verbe AMO était reconstitué dans ce monogramme.
Et dans ce monogramme il rajouta un γ. Un Γ majuscule, lettre asymétrique, ne pouvant s'intégrer visuellement dans ce monogramme qui devint alors AMO G.
En intégrant un G, MA devient MAG et MARIE mute en MADGALENA.
Et le nom de MARIE au-dessous, sur la dalle de marbre (O MARIE CONÇUE SANS PÉCHÉ …....) utilise à son tour ce G en devenant MAGIE.
O MAGIE CONÇUE SANS PÉCHÉ PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS À VOUS.
La MAGIE ''naturelle'' (Sans artifices sataniques) qualifiée de BLANCHE n'était pas condamnée par l'église. Ses effets bénéfiques s'apparentant aux miracles. Ici, Blanche = Immaculée.
Nota : Saint Maxent cite l'abbé Th. Moreux dans sa préface en faisant une allusion à la pierre philosophale (''ALCHIMIE MODERNE''). Il insiste sur la transmutation du ''vil plomb en or le plus pur'' dans le Serpentaire Ophiucus.
Résumons :
L'abbé Saunière avait un ami qui avait changé le G de son nom en C dans son pseudonyme CROSSE. Saunière aimait cette ami et par derrière lui les entrelacs carolingiens du pilier.
Tout cela sur fond de magie.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 29 mars 2019 à 02:12
Pour résoudre l'énigme, il faut bien recompter les grains de la tresse des entrelacs,; 37 et non 36.
Soit 18 + 19, R + S. Et considérer que le petit cercle central dessine le o de ROS.
Bref, il faut comprendre que chaque entrelacs vaut le transept de la grande croix faciale.
Puis traduire ROS par écoulement.
La somme des 2 X contenus est le phonétisme de 20, VINGT, VIN !
On remarquera bien que le végétal stylisé qui entoure la Croix est un cep de vigne chargé de grappes de raisins.
Vous comprendrez alors pourquoi je m'autorise à rebaptiser ces 2 entrelacs de CORBIÈRES et de MALVOISIE. (En souvenir de la préface de L.V.LC. par Plantard).
Et la magie dans tout cela ?
Miracle serait plus approprié. C'est quand l' EAU devient du VIN, faisant ressembler Rennes-le-Château à CANA.
On comprend mieux pourquoi le titulus I.N.R.I. de la croix du calvaire se métamorphose en RAISIN.
Et sur la fresque du confessionnal, pourquoi le petit personnage voûté, marchant avec peine en s'appuyant sur son parapluie en guise de canne, ce vieillard âgé, AG, domine le mot SOULAGERAI. Il s'en retire laissant le bandeau annoncer : ''Venez à moi vous tous qui souffrez et je vous SOÛLERAI''.
Quant à ''l'Achimie Moderne'' du Serpent Rouge, la phrase complète est :
''A ceci, Ami lecteur garde toi d'ajouter ou de retrancher un iota ●●● médite, Médite encore, le vil plomb de mon écrit contient peut-être l'or le plus pur.''.
Les iota sont les 3 points, ils chiffrent une lettre C. Dans le démonstratif CECI, il y 2C soit 200 romains. Bien garder ce nombre, sans l'augmenter ni le diminuer.
Médite et médite encore = Demi et encore demi. Soit la moitié de la moitié = le QUART.
Le ¼ de CC = 50 = L.
Vil plomb = VIL romains = 44. Or le plus pur = 24 CARAT.
44 – 24 = 20 code du T de CARAT qui est supprimé et remplacé par le L précédent pour donner CARLA.
Ce jeu est très habile. Il illustre parfaitement le principe de substitution simple utilisé à Rennes-le-Château. ''d'ajouter ou de retrancher'' = de substituer. Avec l'emploi des lettres/chiffres romains.
Exemple :
Sur les 4 corniches du socle du calvaire de 1897, l'abbé Saunière a fait graver l'inscription que l'on retrouve sur l'obélisque du pape Sixte Quint à St Pierre de Rome. ''CHRISTUS VINCIT, CHRISTUS REGNAT, CHRISTUS IMPERAT et CHRISTUS AB OMNI MALO PLEBEM SUAM DEFENDAT''.
Mais l'abbé ne garda que l'acrostiche A.O.M.P.S. Entre CHRISTUS et DEFENDIT. Ceci pour signaler l'usage des acrostiches dans l'inscription dorsale ''Aimons, Respectons, Saluons, Notrecroix'' = ARSN.
Mais en modifiant DEFENDAT en DEFENDIT (Qu'il protège , subjonctif, par il protège, indicatif), l'abbé introduisait la substitution A/I.
L'acrostiche A.O.M.P.S. A souvent été traduit par AMO P-S, J'aime P-S, idéogramme de l'abbé Gros. Trop hâtivement à mon sens car la substitution est là A/I pour rectifier en IMOPS, anagramme de POMIS.
En latin, POMUM est un fruit à pépins. Décliné en POMIS = Avec, au moyen de, POMMES.
Faisant le tour des 4 côtés du calvaire une frise propose ses pommes par lots de 5. Ce sont des fruits imaginaires, hybrides des pommes classiques par leurs feuilles mais portant des écailles comme des pommes de pin. C'est leur nombre qui compte, 20.
Aucun document ne résume mieux l'énigme de Rennes-le-Château que le tableau de P. Plantard dit ''Pape Pomme bleue''.
On y retrouve les principaux jeux et rébus des deux Rennes.
Il fut savoir qu'une croix dont les extrémités se termines par des sphères, des boules, est dite ''à pommettes'', ''à pommes'' ou ''pommée''. La Croix occitane (de Toulouse) porte 12 pommes.
Mais avant d'analyser cette toile, un petit mot sur son créateur Pierre Plantard et sur sa ''fine'' équipe :
Ils avaient parfaitement résolu les mystères de Rennes-le-Château et de Rennes-les-Bains.
Mais, une fois l'affaire découverte, ils se sont mis à dériver et à échafauder un ésotérisme condamnable.
Je leurs reproche principalement d'avoir inventer le ''Prieuré de SION'' sur la base de l'idéogramme P-S qui cache en réalité le nom de GROS et de la commande conditionnelle Si On. Car ils savaient pertinemment que cela était un mensonge.
Mais, pour rester honnête, toutes leurs élucubrations ne sont pas à jeter au panier.
Sur le pilier par exemple, ils estimaient que la répétition de PENITENCE recelait ''P en 1 romain'', P en initiale de ''O MARIE conçue sans PÉ'' pour obtenir POMARIE.
Et que A.O.M.P.S se lisait POMAS, génitif singulier de POMA.
Revenons à la toile. Une grande Croix papale à double étage porte les 7 pommettes qui codent la lettre G. Au-dessous, un ecclésiastique tient une crosse d'évêque dorée.
Le pommeau de la triple croix, plus gros que les 7 pommettes n''en code pas moins la lettre A devant le G.
Traduction, à Rennes, une Croix se dit Grosse en raison du nom du prêtre tonsuré A.GROSSE.
Les gants du pape portent les stigmates de la Crucifixion comme cela est fréquent sur les cartes anciennes des jeux de tarot (Ce tableau est inspiré de celui d'Oswald Wirth).
Ces 2 X sont dans les ''paumes'' du pontife. Ils représentent les 2 X d'un entrelacs du pilier carolingien et valent donc 20.
Ils vont dans la le pommeau de la triple Croix qui a donné son nom à l'œuvre en raison de sa couleur, gris-bleu.
L'autre main du pape pointe la lettre grecque Π qui devient l'initiale de pomme. ΠOMME.
Cette ''pomme bleue'' recueille donc 3 suppléments, A, 20, Π.
Sa traduction semble simple puisque son exact est pommeau. Cette pomme vaut de l'eau.
Mais le code du T étant vingt on peut entendre VIN.
Une ΠOMA, en grec se traduit par Eau potable, eau de qualité.
C'est le Serpent Rouge dans son Scorpion qui tranche.''Je porte ma main à ma bouche mordant instinctivement ma paume''.
Pour les chrétien le vin est un symbole. Celui du sang du Christ. Il sort des stigmates dans les paumes. ''mordre la pomme''= retirer une lettre, un M.
La ''pomme bleue'', ΠOMA, est la source de la Croix d'où s'écoule de l'eau et du vin, du sang.
Mais où est cette source, où est cette Croix ?
La scène se déroule dans le cimetière derrière l'église de Rennes-les-Bains, reconnaissable à la boule de son fronton. La croix du clocher donne l'orientation Ouest.
Je reviendrai sur ce tableau et sur l'autre personnage qui tient dans sa main gauche la Croix de la tombe des Dames Boudet. Je le cite pour bien montrer qu'à Rennes-les-Bains une Croix est classique quand c'est une Crosse à Rennes-le-Château. Les 2 moines étant séparés par le signe des Gémeaux.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 30 mars 2019 à 01:21
Pape_Pomme_Bleue.PNG


Avec le tableau, l'analyse est plus simple à commenter :
Deux ecclésiastiques ressemblants à 2 moines tonsurés sont séparés par mle signe zodiacal des gémeaux.
Ce sont 2 jumeaux intellectuellement, partageant la la même passion pour les ''écritures secrètes''.
A gauche, l'abbé H. Boudet tient la Croix classique, mais fléchée, de la tombe de sa mère et de sa sœur. A droite l'abbé Crosse est le personnage ''mystère'', ''l'Ami'' à découvrir. Il tient une crosse d'évêque dorée.
Le duo d'abbés nous apprend qu'à la CROIX de Rennes-les-Bains correspond la CROSSE de Rennes-le-Château.
La triple Croix papale est donc une CROSSE modifiée en GROSSE grâce à ses 7 pommettes qui codent un G.
Le pommeau de cette GROSSE représente une pommette unique codant un A. C'est la fameuse ''pomme bleue'' qui a fait couler tant d'encre.
Elle est pointée par l'index gauche du pontife. L'index droit désignant le fanon de sa tiare où sont inscrits une lettre Pi, Π, en forme de dolmen, suivie de 4 barrettes. Le tout se traduit par : Mot grec de 4 lettres commençant par Π et construit avec les lettres du mot DOLMEN.
Les 2 gants du pape portent les stigmates de la Crucifixion. Ces 2 X rappellent ceux d'un entrelacs du pilier carolingien. X+X = 20 code d'un T qui va rejoindre la GROSSE.
Le chemin allant de la main droite à la main gauche en passant par les PAUMES de celles-ci, il choisir O et M dans le nom du DOLMEN et rejoindre le A du pommeau pour finaliser par ΠOMA et traduire par EAU de qualité.
La SOURCE de la GROSSE+T.
Nota : Le dolmen utilisé est celui qui domine le site.

Prépositions et conjonctions dans les clefs : EN, ET, OU, CAR :
_ PENITENSE : P en I, en 1. T en S = P en initiale, substitution S/T.
_ Dans LENE BUXEUM EOUS SCAPHÆ (2*10 lettres) EOUS = E ou bien S.

Un manque de logique apparent :
L'esprit de symétrie voudrait que les 2 entrelacs soient plaqués sur le fût de la Croix.
Or Saunière n'en utilise qu'un.
A 23 Ω / 18 O 19 / 29 = A 13 O ROS 19.
A 23 – X Ω / 18 O 19 / 29 – X = A 13 O ROS 19 = AMO ROS S.
On devrait donc aboutir à
A 23 – 2X Ω / 18 O 19 / 29 – 2X = A 3 O ROS 9 = ACO ROS I.
Il est donc obligé d'avoir recours au monogramme de MARIE, AMO G, pour bien signaler que dans la première phase, seul un entrelacs est utile.
Puis dans un second temps, il se sert des 2 entrelacs pour récupérer 2T (2 fois 2X).
L'abbé a donc été contraint d'élaborer une triple clef dans la répétition de PENITEN(S/C)E.
P en I, T en S, S/C. 2 substitutions et une addition.
P en 1 romain,1, en initiale. T = S. C = S.
Résultats ;
P devant O MARIE. ROSS = ROTT. CONCEPTION = SON SEPT IN O.
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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 31 mars 2019 à 05:23
A propos du tableau ''Pape Pomme Bleue'' :
Bien que le moine de gauche désigne la tombe des dames Boudet, il ne serait pas l'abbé Henri Boudet mais le contemporain de l'abbé A.Gross, un siècle plus tôt, PIERRE DELMAS.
Cette hypothèse repose sur 2 arguments :
_ Sur le fanon de la tiare papale le Π en forme de dolmen serait les initiale de PI-erre et les 4 barrettes suivantes les 4 lettres DLME du nom du DOLMEN communes à celle de celui de DELMAS.
_ La lettre X sur les gants serait entendue comme '''l'INCONNUE'' en mathématique. Cette méthode viendrait du calvaire de 1897 quand FÉLIX ARSÈNE BILLARD est traduit par FAIT L' X À RENNES BI. Les 2 premières lettres de l'évêque recompose alors BI FAIT L'INCONNU À RENNES-LE-CHÂTEAU.
Le dolmen sur la crête serait à l'emplacement du menhir du ''Cap dé l'Hommé'' (L.V.L.C., page 229).
Le CAP DE L'HOMME = La tête de son nom. Π. DEL par exemple.

Les prêtres du Razès ont laissé beaucoup de latitude aux futurs amateurs qui se pencheraient sur leurs arcanes. Quand on pense que JESU MEDELA VULNERUM = JEU M'AIDE LA VUE où on dénombre pas moins de 6 fausses lettres en plus des phonétismes, on s'aperçoit que le déchiffrage s'annonce délicat.....
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 01 avr. 2019 à 01:04
Ecu_Serpent_Rouge.PNG


Le blason du Serpent Rouge . T = S :
En clair , il renvoie au pilier carolingien et aux 2 X de son entrelacs.
Et il confirme que les codes alphanumériques sont mélangés.
Il ne faut donc pas décoder 18 O 19 uniquement en latin mais seulement 18, R.
19 est un code grec, celui du Tau, T.
8 O 19 = ROT.
C'est pour cela que le ''SOT PECHEUR est à l'embouchure du RHOne''.
Au début du nom du fleuve qui est un P grec en lettres.
SOT grec = ROS latin.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 02 avr. 2019 à 01:20
Ma traduction définitive du pilier carolingien vu par l'abbé Saunière :
IMMACULÉE CONCEPTION. AMI LU CE E SON SEPT IN O.
PENITENCE ! PENITENSE ! = P en 1, T en S, S/C.
A MISSION Ω 1891 = SI ON A MIS Ω entre 18 et 19 = ROT.
Monogramme de MARIE = MAGDALENA.
O MARIE CONÇUE SANS PÉCHÉ PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS À VOUS.
POMA.
A l'aide des 2 X d'un entrelacs :
AMO GROTTE MADELEINE SOURCE = J'AIME LA SOURCE DE LA GROTTE DE LA MADELEINE.
Je pense que dès l'origine les entrelacs ont été chiffrés pour valoir le transept de la Croix faciale, ROS. En quelque sorte le transept horizontal devait pivoter de 90° pour remplacer le fût est écrire ainsi ROS verticalement. On ne lisait pas alors AMO entre l'Alpha et l'Ω, mais ARO, je trace, j'écris. Et sur les 3 niveaux ARO / ROS / S.
Si on déplie le pilier à la manière d'un triptyque on construit une lettre H dont les 2 hampes (les 2 entrelacs latéraux) écrivent ROS+XX et la traverse (celle de la Crois faciale) ROS.
Et si on préfère garder le transept à 90°, un chiffre III. ROS entre 2 ROS+T verticaux.

Avant de retourner sur la version originale de pilier, arrêtons-nous sur une technique de dissimulation intéressante :
Au tympan de l'église, un phylactère en forme de fer à cheval porte l'inscription '' + IN HOC SIGNO VINCES +'', encadrée de 2 Croix. Par ces 2 signes de Croix, tu vaincras.
Et par ce signe, celui que dessine le phylactère, un Ω, tu vaincras aussi.
Le nom OMÉGA encadré, +O...A+, invite à la substitution des voyelles dans COELO qui deviendra CAELA.
Cette méthode est reprise sur le calvaire de 1897 dans la corniche ''CHRISTUS VINCIT, CHRISTUS REGNAT, CHRISTUS IMPERAT et CHRISTUS A.O.M.P.S. DEFENDAT''.
Aux extrémités de chaque face des 4 séries, une rose à 4 pétales dessine une croix. Si bien que ces croix-roses encadrent 4 fois les C et T.
+Christus regnaT+. +C...........T+, +C........T+, +C........T+.
Créant ainsi un lien entre les lettres C et T, Cent romain et Vingt.
De même les 2 inscriptions circulaires IN CRUCE SALUS et IN CRUCE VITA sont encadrées par 2 croix-roses : +In cruce saluS+, +I......A+.

Le décompte des grains de raisin sur le pilier carolingien :
D'abord dénombrer les grappes. Et ceci malgré le sciage du pilier.
La hampe torsadée qui servait à porter cette Croix de procession partage le motif en deux colonnes verticales.
Sous l'Alpha, 4 groupes : 3, 11 ou 12, 8 ou 9,10 grains.
Sous l' Ω, 2 groupes : 9 et 10 12 grains.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 03 avr. 2019 à 01:46
Mettons-nous à la place d'un abbé nommé BIGOU découvrant ce pilier.
Sans aucune modification, uniquement avec les codes alphanumériques donnés par les grains, il lit sur la Croix AXO ROS BI.
Il constate donc que les 2 premières lettres de son nom sont là, BI.
Surtout que le verbe AXO = JE NOMME.
Il peut cependant déchiffrer 23 par A et C et non pas par X. Il peut aussi considérer que la Croix est encadrée par le symbole A-Ω et non pas seulement son fût.
Mais il n'a guère le choix.
AXO ROS BI ou AB C ROS BIO.
Dans les 2 cas, un S final semble faire défaut.
La seconde possibilité paraît la meilleure car elle contient 3 des 5 lettres de son nom.
Mais elle la porte des 2 O déjà empruntée.
Celle des 2 cercles des entrelacs qui contiennent les X.
AB CROS BIO = Par la crosse 2 O = Avec les 2 X de l'entrelacs.
Saunière s'est trituré les méninges pour insérer un G sur cette Croix. Or ce G existe naturellement au centre des entrelacs.
Les 2 O superposés encadrent le petit cercle central.
La tresse qui dessine ces 3 cercles compte 37 grains.
2 O = 2 fois 15 = 30. G = 7. 30 + 7 = O+O+G = 37.
Ce qui fait que quand un entrelacs vient se plaquer sur la face de cette croix pour retirer 2 fois X des codes du fût, il positionne ce G dans le médaillon central.
AMO R(O+G)S S.
Il peut y avoir là une piste à creuser car ce G est centre de cette Croix comme il à celui du nom de BI-G-OU.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 04 avr. 2019 à 11:01
Ah, ce G. il m'en aura causé des insomnies depuis le jour où je l'ai rencontré dans REGIS dominant le C d' ARCIS !
Je reviens sur la dalle rouge du presbytère pour corriger peut-être une erreur d'inattention.
J'ai lu un peu vite la date 1725 en ne prenant pas garde que le 2 a une calligraphie bien particulière car il peut écrire aussi un 4.
Il faudrait alors donc lire 1725 et 1745.
C'est la répétition de cette lettre G qui m'intrigue.
Sur les 2 dalles du presbytère on la retrouve 4 fois :
IG, 1725 = AGBE, 1277 = AG BG. Soit 3 AG et 1 IG.
Mais sur la l'épitaphe de Marie de Blanchefort aussi :
CT GIT, AGEE, 17 JANVIER = AG. MDCOLXXXI, 1781 = AG 18.
Les G semblent se regrouper par lots de 4.
On peut penser que ce G, SEPT, vient des 7 démons de Marie Madeleine où que cette lettre est réellement présent dans le patronyme de l'auteur.
Mais où les choses se compliquent, c'est que 17 est aussi le code alphanumérique du Rô.
1717 = AGRO ou ROGA.
De plus, à Rennes-le-Château, le P grec vaut un R latin. (PR-AECUM = P et R égaux).
Ce que la date de 1781 , 17-18 traduit bien. P – R.
Nota : Le Serpent Rouge, en Capricorne utile le ''conte de PERRAULT'' pour faire remarquer cette égalité locale. P = Rô. Il regroupe ces 2 lettres en songeant au mot SEPT de l'épitaphe qui se lit aussi SERT et surtout SERPT, origine du nom SERPENT.

Que le C latin vaille le G grec, cela se conçoit, ayant le même code alphanumérique 3. Mais que le P se substitue au R...
Et tout cela à cause du transept GROS du pilier carolingien.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 05 avr. 2019 à 04:32
Le point qui fait toute la différence.
Sur le presbytère 2 dates :
_1725 gravée sur une dalle de grès rouge.
_1727 gravée sur une dalle de calcaire blanc ;
Nota : le Serpent Rouge appelle ces pierres des ''rocs''.
Mais dans 1727, un point partage la date en deux. 17●27.
Ce ● est surmonté d'une Croix.
1+7 = 8 = H. 2+8 = 9 = I.
Il y a là deux des 3 lettres du monogramme IH+S, Par Ce Signe (tu Vaincras), In Hoc Signo, accompagnés de la Croix qui est ce signe qui donne la victoire.
Mais ici cette Croix est le simple PLUS d'un calcul élémentaire.
Ce jeu à double détente utilise alors l'addition 1+7+2+7 = 17 = P (Rô).
C'est lui le signe qui mène à la victoire final, P.
Ce jeu est repris à peu près dans la même sur les 2 dalles blanches, elles aussi, qui encadrent la porte de l'église.
Le monogramme IH+S se traduit de la même façon et l'addition de la date, 1+6+4+6 =17 = P.
La différence vient de l'occultation du S par le point.
Ce point vaut une unité. Toujours cet héritage du pilier où le second nombre vaut le premier plus 1.
Au final, 17●27 = PS.
Cela revient à décomposer la Croix PLUS en P lu S. Lire S dans P.

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