Le Serpent Rouge

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Le CARLA :
Sur le tympan, au-dessus de Maria Magdalena, un phylactère dessine un grand Ω (‘’le diadème de cette REINE du castel’’, Rennes le Château, dans les Gémeaux du SR).
A l’intérieur, le classique IN HOC SIGNO VINCES avertit que le signe vainqueur est l’OMÉGA.
Le nom de cette lettre commence par O et finit par A, A → O. Exactement l’inverse du symbolisme AΩ, du Commencement à la Fin de toute chose. La substitution O/A frape le mot CØELØ dans la devise du pape Léon XIII, LUMEN IN COELO qui devient LUMEN IN CAELA.
Au-dessus des armoiries du pape, le mot TERRIBILIS = TER R IBI LIS, Lire un troisième R ici.
C’est celui qui remplace le E de CAELA qui s’achève en CARLA.
Suivant cet exemple, l’inscription HIC DOMUS DEI EST ET PORTA COELI → C’est la maison de dieu et la porte du CARLA.
Sur ce porche les 4 quarts sont représentés par 4 pots de fleurs identiques.
Dans la grotte de la Madeleine du jardin, sur le banc, l’inscription KXS LX a été écrite avec des galets rougeâtres. Ces pierres polies ne peuvent provenir que d’un cours d’eau.
LX = 60, soixante entendu Sois Ante (comme 40 = Car Ante).
Etre avant les 3 lettres KXS = JVR (BS a utilisé un alphabet ancien sans W). J est codé 10, X lu C à RLC (APXAΔIA). XVRLV = CARLA après l’inversion des V en A.
Dans le signe d’Ophiuchus on lit ‘’médite, Médite’’. Et Demi et Demi. La moitié de la moitié = le Quart là.

Fontaine des 4 Ritous (F4R) :
Chacun des deux vantaux de la porte de l’église est décoré d’une sculpture sur bois de la tête d’un ange souriant sur un parchemin partiellement déroulé. Ces anges correspondent à ceux de la croix du bénitier.
Le parchemin (lire par chemin) est percé de 4 TROUS. Une sorte d’étole est pendue à une patère qui dessine le point d’un I au- dessus du tissu qui en est le corps. Ces I sont dirigés vers les 4 trous.
4 TROUS + I = 4 RITOUS. L’ange SOURIT → RITOUS.
Dans l’inscription du bénitier l’article LE a été rajouté à la formule classique, ‘’Par ce signe tu LE vaincras’’. Nous avons vu que le signe de Croix était le mot GROS écrit dans le cartouche rouge. Mais il existe aussi le signe en tant que geste. Nous avons vu aussi que la main avait griffé le E sous l’aile pour le retirer de ROS-E et que le genou avait noué le G.
Maintenant il faut analyser le signe/geste dans le contexte local des 4 Ritous.
La main gauche cache ostensiblement retournée pour cacher les CALS de sa paume. Elle repose sur l’Os de sa cuisse, le FÉMUR. 2 mot qu’il faut traduire par LAC et FAIT MUR.
La vasque du bénitier, entre les cornes du diable, représente un barrage artificiel au niveau du perthuis étroit, un MUR. Pour créer un lac sur le site de la F4R, il suffit d’une simple levée de terre.
Il faut donc traduire SALOMON, dans Ophiuchus du SR, ‘’Voici la preuve que du sceau de SALOMON je connais le secret’’, par NOM À L’OS.
Sur la fresque du confessionnal, les 4 Ritous sont représentés par les 4 rosiers rouges alignés à gauche. Le MUR est ce tertre manifestement artificiel, fait de boue où on distingue l’ancien pilastre de la chaire à prêcher et un petit coffre- fort qui transforme cette ‘’colline fleurie’’ en verrou. (ancienne cachette du secret).
Car c’est ce MUR, ce barrage, qui est le gardien du trésor pas le diable qui lui est le Carla.
Un nouvel indice est très important. Les 4 Ritous, en étant illustrés par 4 rosiers, ne reprennent que 3 lettres du mot.
Il faut donc bien faire la différence entre :
_ CROS et GROS qui sont des CROIX.
_ ROS et ROS, le RU et le ROUGE.
_ AG.ROS et AG.ROS, l’âgé RU et l’âgé Ritou.
Le principal intérêt d’AGROS, est son inverse SORGA, la SOURCE en occitan.

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Le meuble du confessionnal :
On situe la scène grâce aux 4 rosiers (4 Ritous, comme précédemment).
3 arcades en demi-lunes se superposent de part et d’autre d’une lame de scie à 30 dents. Celle-ci est l’intrument du partage très utilisé dans ce jeu.
Une première demi-couronne de 12 gros besants code AB.
Une seconde de 24 petits besants se scie en 2 pour donner 2 fois 12 = ab + ab.
La différence de taille entre les gros et les petits besants sépare les majuscules des minuscules. A et B sont les initiales d’un nom propre quand ab + ab = 2 abbés.
Les 2 abbés se font face. L’un porte une crosse et l’autre est un AGNEAU à la tête anthropomorphique.
Son antérieur droit est cassé et il n’a que 3 pattes. On coupe la tête de son nom pour ne conserver qu’AG d’AG-neau. Il est devenu l’abbé AG.
L’animal a 3 pattes est traversé par un rosier dont on ne garde que les 3 premières lettres, ROS de ROS-ier.
Voici donc notre abbé AG ROS nommé A.B. L’âgé ROS, le vieux Ritou A.B.
On se souviendra que ‘’le plus grand des amis’’ du baptistère se nommait Jean B.
Ils sont ici réunis, A. et Jean B. Et c’est Jean qui est auréolé. Jean le thaumaturge.

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L’échiquier :
Il se trouve à l’entrée de l’église composé de 32 dalles noires et 32 blanches (Negri d’Ables). (‘’pavé mosaïque’’ dans le Cancer du SR).
Ses diagonales sont parfaitement alignées sur les 4 points cardinaux. L’axe Est / Ouest est noir, l’axe Nord / Sud est blanc.
Le bord de rive de l’auvent du porche dessine une grande flèche d’Or pointée vers le ciel. Ses 3 extrémités sont blanches. 2 épis de faîtages représentent des colombes immaculées et le pignon (qui a été remplacé) est orné d’un cœur blanc surmonté d’une croix.
Les tuiles de rive sont vernies d’Or. C’est la voie d’Or blanche.
On retrouve l’OR dans le cœur de la C-RO-ix.
Les 2 colombes = PAX où X est traduit C (comme dans APXAΔIA). → RAC.
RAC + OR = CARRO = CARREAUX blancs de l’échiquier. → Axe Nord / Sud. ‘’Vers le midi’’ dans les Poissons du SR.

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Le blason :
Le texte se compose de 2 fois 10 lettres, LENE BUXEUM – EOUS SCAPHÆ. Lentement, de la couleur jaune du buis, oriental ou nom d’un cheval mythologique, la barque.
2 visuels s’affrontent, une amphore versant du liquide face à une tête de cheval blanc. Le tout sur un fond de 20 traits verticaux. Vingt entendu VIN. Ce que semble contenir l’amphore.
LENE BUXEUM = BENE LUX EUM, Bien, la Lumière, Lui (acc. du pronom IS) = Son bon éclairage.
ÉOUS SCAPHÆ = SOUS ÉCAPHÆ = desSOUS EST CAFÉ.
La lumière vient quand on comprend que l’amhore verse du café.
L’amphore ayant versé la moitié de son contenu et le blanc cheval n’offrant que sa tête :
BLANC CHE-val + am-PHORE = BLANCHEFORT.
Le café est noir (il remplace le vin), le cheval est blanc = NEGRI d‘ABLES.
Ce sont les armoiries de Marie de Negri d’Ables de Blanchefort, la Dame d’Hautpoul.

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L’Épitaphe :
Ne pas oublier que cette stèle était jumelée avec la dalle du poulpe CULPAE, les fautes.
L'épitaphe de Marie de Blanchefort, sur la stèle verticale, utilise aussi les 8 bras du poulpe pour désigner 8 lettres comportant des anomalies de calligraphies. Elles-mêmes pointent 8 lettres qui les jouxtent : CT LE MA RE AR EB EP OL, 2 séries donc, TEMEREPO et CLARABEL. Temere, en latin, au hasard.
Une lacune débute le texte qui commence par CT GIT. Elle laisse la place à un I, celui de ICI GIT.
L’autre I de ICI est un T. Et le T de HAUTPOUL manque dans HAU-POUL.
ITEM EREPO = Pareillement je sors en rampant, en me traînant sur le ventre, comme un reptile ou un poulpe.
En utilisant ainsi un I supplémentaire, je suis en contradiction avec Ophiuchus du SR qui précise : ‘’ garde toi d’ajouter ou de retrancher un iota’’.
Un T doit sortir (Il y en a 5 dans le texte).
Le mot SEpT contient une des 8 anomalies et un T.
La formule PS PRAECUM n’est utilisée que dans sa fonction ‘’Avec P devant S’’.
Ainsi SEPT devient SEPS, le serpent venimeux, en latin.
A l’origine, ce qualificatif de SERPENT était donc adressé à Marie de Blanchefort elle-même (sans doute avait-elle une langue de vipère).
C’est l’auteur du SR qui en a détourné la destination en traduisant CLARABEL par le BEAU CARLA. Ce Ruisseau n’est comparé qu’au diable (ou a un drac) par les prêtres locaux pas à un SEPS.
Le 17 JANVIER est la fête de St ANTOINE ERMITE.
2 autres lignes débutent par 17 : MDCOLXXXI, 1781 et AGÉE avec le code 17 d’AG.
En 1781, le prêtre qui avait en charge la paroisse de RLC était Antoine BIGOU. Il y a de forte chance que ce soit lui qui ait signé cette épitaphe.
Dans l’opuscule du SR, le blason de Marie de Négri d’Ables de Blanchefort, vu précédemment, se trouve en première page sous le titre, LE SERPENT ROUGE.
Très important, à mon avis :
En détournant ainsi l’attribution du Serpent, St Maxent considère que la spirale de l’idéogramme représente celui-ci. Quand la Croix, le CROS, écrit à l’ancienne GROS le Serpent est le G puisque SEPS vient de SEPT code du G.
Mais ce n’était pas du tout l’intention de l’abbé qui signait C/GROS. Lui voyait son initiale dans la croix, pas un serpent !

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Déchiffrer le SR n’est pas chose aisée. Mais avec de l’obstination…
Je viens juste de comprendre le rôle du signe Ophiuchus, le Serpentaire (Serpent Terre).
On ne peut pas dire que chaque signe représente un des jeux, car ceux-ci sont dispersés et la reconstitution est ardue. Voici donc l’exemple :
Serpentaire / Ophiuchus, signe n° 11 :
‘’Maudissant les profanateurs dans leurs cendres et ceux qui vivent sur leurs traces, sortant de l’abîme où j’étais plongé en accomplissant le geste d’horreur : ‘’Voici la preuve que du sceau de SALOMON, je connais le secret’’, que (xxxxxxxREINE rayés) de cette REINE j’ai visité les demeures cachées. ‘’A ceci, Ami lecteur, garde toi d’ajouter ou de retrancher un iota… médite, Médite encore, le vil plomb de mon écrit (peut rayé) contient peut-être l’or le plus pur.’’.
_ ‘’Maudissant les profanateurs dans leurs cendres et ceux qui vivent sur leurs traces, sortant de l’abîme où j’étais plongé’’
Les profanateurs sont BS et MD qui ont pillé et détruit la tombe de Marie de Blanchefort.
Ceux qui vivent sur leurs traces sont les chercheurs sans conscience qui ont eux-aussi volé et vandalisé le site.
L’abîme est celui de la réflexion.
_ ‘’Voici la preuve que du sceau de SALOMON, je connais le secret’’.
Les détenteurs des secrets du Temple de SALOMON sont les Francs-Maçons.
Connaître le secret du sceau = faire partie de ces initiés.
_ ‘’en accomplissant le geste d’horreur’’.
Dans le rituel maçonnique le geste d’horreur consiste à présenter ses 2 mains, paumes à l’avant et doigts ouverts. Comme quand on repousse quelqu’un ou une idée du genre, Vade retro satanas.
Mais alors les 10 doigts ont la même valeur et la même présentation que le nombre 10 en calcul manuel.
_ ‘’de cette REINE j’ai visité les demeures cachées’’.
La REINE (en majuscule et en 5 lettres) de RENNES est MARIE MADELEINE. Le prénom de MARIE, en français, est gravé dans ‘’O MARIE…’’, devant le pilier carolingien qui est donc une de ses demeures.
Le texte se simplifie alors :
En choisissant le nombre 10 sur le pilier carolingien. ‘’A ceci, Ami lecteur, garde toi d’ajouter ou de retrancher un iota… médite, Médite encore, le vil plomb de mon écrit contient peut-être l’or le plus pur.’’.
_ ‘’A ceci, Ami lecteur, garde toi d’ajouter ou de retrancher un iota’’.
Iota s’écrit I et I romain = 1. Interdiction d’ôter 1. Mais conseil de retirer 10.
‘’A ceci’’ = jeu du pilier où les 10 sont les X des entrelacs.
C’est le retrait de 10 dans les 23 grains du fût de la croix qui permet d’obtenir AMO.
C’est pourquoi le M du second Médite est en majuscule.
_ ‘’médite, Médite encore’’ paraphrase la répétition de Péniten(S/C)e !
M est dite, est découverte dans AMO CROS.
_ ‘’le vil plomb de mon écrit contient peut-être l’or le plus pur’’.
Cette allusion à la pierre philosophale renvoie à la préface où le mot ALCHIMIE se retrouve dans, ‘’ALCHIMIE MODERNE de l’abbé TH. MOREUX’’.
Curieusement, la solution est reportée en bas du signe du Lion, ‘’NOTRE DAME DES CROSS.

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St Antoine de Padoue :
2 statues de St Antoine rappellent l’importance de ce prénom dans l’affaire de RLC.
St Antoine Ermite attire plus l’attention que St Antoine de Padoue, pourtant ce dernier cache un jeu fondamental.
La statue fait le pendant du bénitier. Comme elle, elle est repose sur le quatuor d’anges des 4 Ritous.
Le socle est ceint d’un bandeau circulaire portant l’inscription ST ANTOINE DE PADOUE.
Le Saint, lui est ceint d’un corde d’où dépasse un crucifix. Ce dernier signale l’absence d’une lettre joker dans le bandeau inférieur, un S.
La clef est celle du phylactère Ω du porche, A → O.
PADOUE devient PA = S D’(O/A)UE. PAS D’EAU.
Résultat : Pas d’EAU pour Antoine à la fontaine des 4 Ritous.
On met là le doigt sur le secret de RLC, l’EAU. Ou plutôt sur sa rareté.
BS devint fou furieux quand l’incendie du 14 juillet 1895 fut éteint avec l’eau de sa cirterne. Car pour lui, son EAU = son OR.
Voilà pourquoi le ROS latin est omniprésent dans les jeux. En étant vulgaire, je dirais que le O barré, Ø, = l’EAU s’est ‘’barrée’’.
Sur les vitraux et dans la mire de la cheminée de la tour Magdala, le même message TRES sur SESOR = TRÉSOR. Au Ø répondent les 2 roses bleues qui sont respectivement la fontaine des 4 Ritous et la source de la grotte de la Madeleine. La rose rose restant le ruisseau du CARLA.
Une véritable obsession de la sécheresse.
Ce manque d’eau s’explique, car cette zone du Razès est karstique. Jadis ce village fut puissant et bien alimenté en eau. Louis Fédié, dans Rhedae, la Cité des Chariots, lui prête une importante population. Sa prospérité disparut quand l’eau vint à manquer. Pour ma part, je pense que ce tarissement s’est produit suite à un effondrement d’une galerie dans le très complexe réseau souterrain du Carla. Mais je ne saurais le dater. Ce qui est certain, c’est que le phénomène préoccupa grandement le clergé local. D’où le projet d’un barrage pour créer un lac artificiel aux 4 Ritous (un bénitier géant).

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Fresque du confessionnal :
Déjà vus, les 17 roses, la besace, le mini-personnage, les lis orangés, le tertre et les 4 rosiers.
Reste à comprendre les 11 personnages et le thaumaturge.
Ces pénitents sont tous malades ou blessés (béquille). Le bandeau précise qu’ils ‘’souffrent’’.
Le guérisseur est BS. Il reprend la posture de son illustre prédécesseur l’abbé G sur le barrage artificiel. Il faut dire que les paysans locaux avaient l’habitude de creuser ce genre d’ouvrage. Ils nommaient ces cavités des lagas ou lacas, des lacs, disons des sortes de lavognes. Le nom est resté. Au sud du village une zone porte encore le nom de ‘’Lagastous’’.
L’ambiguïté vient de l’interprétation des 17 rameaux de rose.
AGROS peut vouloir dire l’âgé ritou, le vieux ruisseau, l’A.G. rouge.
Pour coller au contexte, je choisis SORGA, la source.
Le SR en Lion compare ISIS, ‘’reine des sources bienfaisantes’’ à Madeleine dont ‘’le baume guérisseur’’ n’est rien d’autre que de l’eau de source.
En choisissant ISIS, il utilise les terminaisons en IS de la tombe du poulpe. En Vierge, l’allusion est répétée, ‘’deux fois IS’’.

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Linteau du cimetière :
On y lit : MEMENTO HOMO QUIA PULVIS ES ET IN PULVEREM REVERTERIS. Souviens toi homme que tu es poussière et que tu retourneras poussière (Gen. III. V 19).
REVERTERIS pilote. Tu retourneras le mot poussière. PULVIS → SIVLUP.
Si la lettre V est lue comme étant un P.
L’autre version du mot poussière est PULVEREM qui s’inverse en MÈRÉVLUP lu MAIS R ET V LU P.
Mais les lettres R et V sont lues comme étant des P.
Le linteau est encadré de 2 URNES portant une croix joker de I. → RUINES.
Ces 2 ruines sont celles des châteaux de Rennes et du Bézu, exactement comme sur la fresque du confessionnal. Les 2 sont morts de soif.
Au centre une sorte de chapeau de gendarme est dominé par une croix gravée d’IH+S. Le signe qui permet de vaincre est le X formé par les 2 tibias.
Ce linteau borde le jardin où se trouvent les 4 X des entrelacs du pilier carolingien.
Les bords du chapeau dessinent 2 S allongés et inclinés dont l’un est inversé. Ils invitent à renverser PULVI-S.
La cible de la substitution V/P/R est le crâne, en latin CALVA qui passe par CALRA pour donner le résultat CARLA.

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Vitrail de la rosace :
L’arcade qui l’abrite est ornée de 17 roses. Mais ici AG est derrière ROS pour ROSACE soit ROS AGE, avec toujours l’égalité C/G.
Elle représente le ROS âgé, mais dans son cours souterrain qui va de la Fontaine des 4 ritous, représentés par les 4 personnages à la droite du Christ, à la grotte de la Madeleine, où la Sainte est agenouillée. Les 2 sources sont représentées par les 2 flacons. Celui des 4 Ritous est plus important que celui du ‘’nard de grand prix’’.
Les 4 Ritous sont d’âges différents, allant du jeune homme au vieillard. Cela pour donner de l’importance au segment AGE dans ROSAGE.
La grotte de la Madeleine est orientée au NORD. Le col du vase du NARD dessine un O que l’index de la Sainte pointe. Là encore, substitution A/O.
Ce vase est aussi ceint d’une frise en dents de scie qui le découpe en tranches : N-OR-D.
L’eau de cette source vaut de l’OR.

Le vitrail de Marthe et Marie :
Il illustre le chapitre 10 de l’Évangile de Luc (41-42).
‘’Jésus lui répondit : ‘’Marthe, Marthe, tu t’inquiètes et tu t’agites pour beaucoup de choses,
Mais une seule est nécessaire. Marie a choisi la bonne part, elle ne lui sera pas enlevée.’’
Dans cette scène qui suit la parabole du bon Samaritain, Marthe se plaignant de devoir s’occuper seule des tâches ménagères.
Sur le vitrail, les 3 personnages du Christ, de Marthe et de Marie sont représentés. Seule Marthe est debout. Jésus est assis sur un banc et Marie, à même le sol.
La commande est dans la parole, ‘’UNE SEULE CHOSE EST NÉCESSAIRE’’, utilisée 2 fois.
Marthe porte la vaisselle du repas et pour la laver, elle a besoin d’EAU.
En arrière-plan s’étend un immense plan d’EAU.
Mais le Christ accompagne sa réponse d’un geste. Il invite aussi Marthe à s’assoir à son côté.
Sous la main levée de Jésus il y a un autre BANC et celui-ci est frappé d’une Croix. BANC + = BLANC.
‘’Une seule chose est nécessaire, assieds-toi’’ lui dit-il, mais phonétiquement entendue, Assiette Toi.
On remarque alors que la Sainte porte 3 Assiettes Blanches sous un pot d’or.
La clef est 3. Elle pilote l’extraction du mot LAC de BLANC.
Une seule chose est nécessaire, un LAC.

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Le bas-relief de l’autel :
Sainte Marie Madeleine est agenouillée devant un crâne qui représente la MORT et un arbuste cruciforme qui VIT encore mais qui est en mauvaise santé car il perd ses feuilles. La mort le guette.
2 lettres J et M se découpe sur l’horizon.
Un livre ouvert montre 1 croix sur chaque page, au-dessus de 2 textes, pour signifier que chacune de ces croix = une lettre.
Les mains sont la cible. Dans ces doigts, très curieusement croisés, il faut choisir le MAJEUR car il comporte les 2 lettres J et M mises en exergue. Pour respecter l’ordre, le mot est scindé et reconstitué en JAMEUR et lu JE MEURS grâce à la substitution A/E. (La lame de scie est dans l’arcade en anse de panier).
La croix vivante se plaint, Je Meurs.
Au-dessous se trouvent les 4 vers de l’Hymne à Madeleine d’Odon de Cluny (toujours en Quart là).
JÉSU.MEDÈLA.VULNÉRUM + SPES.UNA.PŒNITENTIUM.
PER.MAGDALENÆ.LACRYMAS + PECCATA.NOSTRA.DILUAS.
Jésus, Remède à nos peines + Espoir Unique pour nos repentirs.
Par les Larmes de Madeleine + Notre Peine tu Effaces.
Dans chaque ligne se trouve une croix qui signale une erreur de lettre.
PŒNITENTIUM devrait s’écrire PÆNITENTIUM. La faute Œ pour Æ permet de dégager la subtitution A/E qui corrige JÆMEUR.
La faute du bas est dans LACRYMAS. Le tronc de la croix vivante, fourchu, dessine un Y.
LACRYMAS devient LACRAMAS abrégé en CARLA.
J et M ont été choisis pour coller aux initiales des 2 premiers mots, JÉSU.MEDÈLA.VULNÉRUM qui doivent être entendus, JÉSU.M’AIDE LA VUE …..
Ainsi, le cours souterrain du Carla se meurt dans la grotte de la Madeleine. Une visite sur place permet de comprendre que ce boyau, d’environ 2 m de diamètre, était jadis le lit d’une rivière. Aujourd’hui, il est complètement obstrué par les alluvions. Seule, la source de la Madeleine, au pied de la falaise des bals, sourd encore. Mais pour combien de temps ?
Il y avait pourtant de l’eau jadis. 2 photos prises par BS montrent encore un moulin en bon état sur le ruisseau des couleurs (où se jette le Carla et la source de la Sainte).

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Vitrail de la résurrection de Lazare :
Il faut se rappeler que dans le Grand Manuscrit, en fin de 3ème ligne, LAZARE écrit avec un Z inversé, LbaZaRUS, est traduit en LACAR = CARLA.
Sur le vitrail, Lazare sort d’une grotte à l’appel du Christ (Veni Foras).
Il convient de regarder l’axe horizontal déterminé par l’index du Christ qui pointe précisément la FOURCHE d’un arbre. A droite se trouve le long nez du ressuscité et à gauche une curieuse construction de style borie au toit en delta et a ouverture unique. C’est un four à pain comme il en existe dans tout le Sud de la France.
L’axe FOUR – FOURCHE – NEZ donne FOURNET, ancien nom de la grotte de la Madeleine.
Le CARLA / LAZARE est considéré comme un mort ressuscitable dans cette caverne.

St LUC :
Jeu très bref mais très important.
Sa statue se trouve au dos de la chaire à prêcher et son index pointe le grand X du chrisme.
X LUC = X Lu C.
Ce jeu est à rapprocher de celui de FÉLIX-ARSÈNE BILLARD sur le calvaire de 1897.
BILL-ard Fait l’X à rennes. BI = 2 et LL= C en nombre romain. 2 fois L aussi (2*50 = 100).
A RLC, X = C. Et depuis longtemps puisque APXAΔIA, ARCADIE l’utilise déjà.
Sur les entrelacs du pilier carolingien, ces 4 X, quand ils valent 10, sont soustraits de la croix faciales. Sinon ils permettent de composer CROS aves les O et le couple RS (18 + 19 besants du double 8).
On lit alors TRÉSORS et CROS.
Dans les Poissons du SR, on lit le nom de ‘’nautonnier’’. Ce mot est rarissime et s’adresse exclusivement à Mgr Billard dont la devise était, IN VERBO TUO LAXABO RETE ( Luc 5 : 5), Sur ta parole je jetterai le filet, et dont les armoiries représente ce nautonnier. Pour le SR, il y a un lien entre lui et l’abbé G.

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Calvaire de 1897 :
Vu précédemment, FÉLIX-ARSÈNE BILLARD → A RLC X = C.
Ce calvaire fait face au pilier carolingien dont il est la notice de déchiffrage. De section carrée comme lui, ce mode d’emploi moderne résume à lui seul le secret de ce village.
Le texte latin de la corniche se compose de 4 phrases : CHRISTUS REGNAT, CHRISTUS IMPERAT, CHRISTUS A.O.M.P.S DEFENDIT et CHRISTUS VINCIT.
4 verbes semblables à ceux de la tombe du poulpe. Régner, Commander, Défendre et Vaincre.
Certains pensent qu’il est inspiré de l’obélisque de Sixte Quint à St Pierre de Rome, mais le verbe DEFENDAT est au subjonctif.
L’acrostiche A.O.M.P.S. est celle de ‘’Ab Omni Malo Populum Suum’’, de '' De Tous Maux Peuple Son''.
Un autre acrostiche est à rechercher dans les 4 lignes de la face Est. AIMONS, SALUONS, RESPECTONS et NOTRE CROIX → ARSN. C.à.d., le prénom d’ARSÈNE Billard sans ses voyelles E.
Pour empêcher le déchiffrage ou tout simplement par vandalisme, les 2 plaques circulaires de marbre qui ornaient les flancs Nord et Sud, ont été dérobées, ne laissant que leurs couronnes, 2 roses accompagnant IN CRUCE VITA et IN CRUCE SALUS, dans la Croix, la vie et la Santé.
Mais VITA se lit VIT la lettre A et SALUS, BS A LU la lettre S.
Dominant la grande Croix, le titulus INRI récupère ces 2 lettres INRI + AS pour écrire le mot RAISIN.
Sur chacune des 4 faces de ce calvaire une frise de 4 fois 5 grappes de raisin code 4 fois la voyelle E.
Ce E qui déjà manque dans ARSN. Le message est clair, ôter les E.
On retrouve là, exactement la même idée que sur le bénitier où les 5 ongles du diable ont griffé ce E sous l’aile. Et sur le même mot en plus, sur les 2 ROSES latérales qui deviennent ROSS.
Sur la face avant, une 3ème inscription circulaire, O CRUX AVE devient AVEC ROUX et s’entend AVEC ROUE. Pour avertir que ces 3 inscriptions en cercle sont la clef du jeu.
Mais, à RLC, le ‘’X fait C’’. AVEC R OU C.
La conjugaison des 3 roues ROSS + R (ou = et) C améliore AOMPS en AMO CROSS.
La solution était donc au dos du calvaire, AIMONS NOTRE CROIX.
Et surtout, c’est exactement ce que dit le pilier carolingien, J’AIME la/les CROIX, AMO CROSS.
Le végétal stylisé du pilier est un cep de vigne.
Revoir ‘’N.D. des CROSS’’ dans le Lion du SR.

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Bilan provisoire :
PS-PRAECUM :
_ CROS ;
Idéogramme :
_ C/GROS.
Tombe du poulpe :
_ CARLA, C/GROS.
Épitaphe de Marie de Blanchefort :
_ CARLA, SERPENT.
Bénitier :
_ CARLA, CROS, LAC des 4 RITOUS.
Pilier carolingien :
_ AMO CROS, TRÉSORS.
Dalle 1740 :
_ AG car avant IG.
Dalles IH+S et 1646 :
_ Ø = O barré.
Dalles 1725 P ΔX et 17+27 :
_ BERGERIE BERGER.
Dalle 1891 :
_ ROS
Date 1856 :
_ VIÉ = FER.
Baptistère :
_ Jean B est le plus GRAND des AMIS.
Porte bois :
_ 4 RITOUS.
Porche presbytère :
_ Pasteur G.
Porche église :
_ Mesure de la prière = code alphanumérique.
_ Lumen in CARLA.
_ Ω = substitution A/O.
_ SUD → OR.
Échiquier :
_SUD.
Banc KXS LX :
_ CARLA.
Confessionnal :
_ Abbé AGROS.
Cheminée MAGDALA :
_ Ø.
St Antoine de Padoue :
_ Pas d’EAU aux 4 Ritous.
Triangles des roses :
_ TRESOR = 2 sources + CARLA.
Fresque du confessionnal :
_ Besace = BS.
_ 4 Ritous, source guérisseuse SORGA.
_ Sous l’AG ira.
_ AG.ROS thaumaturge.
Linteau du cimetière :
_ CARLA, clef X.
ROSACE :
_ Les 2 sources. 4 Ritous et Madeleine.
Vitrail de Marthe et Marie :
_ LAC.
Bas-relief de l’autel :
_ Le CARLA se MEURT.
Vitrail de Lazare :
_ CARLA ressuscité.
St LUC :
_ X = C.
Calvaire de 1897 :
_ AMO CROSS.
Dalle Narbonne :
_ 4 fois AMO la CROIX.
Serpent ROUGE :
_ Blason = Armoiries Blanchefort.
_ Sceau = Déchiffrage du bénitier.
_ Ophiuchus = Déchiffrage du pilier.

Je pense avoir balayé tous les jeux spécifiques à RLC.
Je me propose, dans une seconde étape, d’analyser ceux qui font le lien avec RLB.
En effet, par exemple,‘’La Croix de crète de 35 centimètres’’ citée dans la Balance du SR se trouve page 235 de La Vraie Langue Celtique de H. Boudet.
Au passage, je pense que ‘’l’un des 3 tableaux de Delacroix’’ dans la Vierge est ‘’Héliodore chassé du Temple’’. Il sert d’allusion à l’excommunication de BS.
Le SR semble ne guère apprécier notre abbé. Je crois qu’il est traité de profanateur dans Ophiuchus et d’usurpateur dans le Taureau.

Quelle tentation, dans un pays où les C et les G se valent, de transformer CARLA en GRAAL !

[marc]

Le Grand Manuscrit, 1 :
Il est signé par un idéogramme cruciforme dont la traverse est NΘIS et le fût N, 2 lettres grecques indéfinissables, A inversé.
La lettre Thêta = O et T. Peut s’entendre ’’ôte’’.
Inversé NΘIS est la commande conditionnelle SI ON.
Le fût intervertit A et N.
En lecture apparente : SI ON A N.
Tout dépend de ces 2 lettres grecques qui ne sont peut-être qu’une lettre et son inverse comme dans le cas de γ = ω inversé.
A mon avis il faut traduire par SI ON A = N et SI ON ÔTE (γ ou α ou ?).
SI ON ÔTE une lettre à définir et qu’on inverse A en N.
Maintenant, cette lettre est peut-être volontairement rendue ambigüe.
Le lecteur ne doit s’apercevoir que d’une chose, c’est un caractère grec.
SI ON SAIT LE GREC ?
Tant que ces 2 lettres grecques ne sont pas identifiées avec certitude, il est sans doute préférable de lire SI ON A → N.
Une autre version de ce jeu se trouve sur le vitrail de la Mission des Apôtres. C’est un ajout postérieur au décès de BS. ΘNIS 17.09. 84, qui reprend aussi le code 17 = AG et Rô.
ΘNIS 17.09. 84 = d’abord, SI ON (AG ou R) I HD.
La lettre N est encadrée de 2 points qui transforment ses hampes en 2 I.
SI ON ÔTE II. Si on ôte 2 aux chiffres suivants, on obtient différents résultats suivant les lieux des retraits.

Vitrail de la Mission des apôtres :
Un des jeux les plus simples qui a fait, et fera, couler des flots d’encre, à cause d’une Pomme Bleue.
Ce fruit se trouve dans la paume de St André dont les bras dessinent sa Croix en X.
Il suffit de savoir qu’un Pomme ou une Pommette est l’extrémité arrondie des bras d’une croix.
La main qui tient la pomme présente ostensiblement son pouce qui vaut 1 en calcul manuel.
Le tout : POMME + A.
Il suffit de suivre l’index de l’Apôtre vu de dos qui désigne la pommette sur la joue de l’Apôtre, à l’extrême droite de la scène.
Seule difficulté, ‘’Si on sait le grec’’. Cette POMMA est une ΠOMA, une source en grec.
Celle qui alimente le lac dans le dos du Christ.

[marc]

Le Pape Pomme Bleue, 1 :
Pierre Athanase Plantard, PAP, est intimement lié au Serpent Rouge (SR). On suppose même qu’il en est l’instigateur. St Maxent, celui qui signe le SR, ne serait qu’un prête-nom. Feugère et De Koker auraient rédigé la suite de l’opuscule à partir de la page 6. C.à.d., la partie St Sulpice.
Il est évident que PAP fut l’illustrateur de cette entreprise car c’est lui qui a créé une série de tableaux sur RLC/RLB. Le Pape Pomme Bleue, Le Fou-Mat, L’Impératrice, L’Empereur. Il s’est inspiré des lames de tarot, déjà très ésotériques, du jeu d’Oswald Wirth pour les adapter au contexte local, en augmentant l’atmosphère mystérieuse qui entoure cette affaire par une dose de druidisme pour récupérer La Vraie Langue Celtique.
Le tableau situe l’action derrière l’église de RLB, côté cimetière.
Deux ecclésiastiques tonsurés encadrent le Pontife. Ils sont séparés par le symbole zodiacal des Gémeaux car ils sont à considérer comme intellectuellement jumeaux.
Celui de gauche pointe la croix fléchée de la tombe des Dames Boudet, celui de droite tient une crosse dorée. A la Croix de RLB correspond le CROSS de RLC.
Les initiales de leurs noms les dominent. Les 7 pommettes de la triple croix papale codent un G et la ‘’pomme bleue’’, le pommeau de cette croix vaut A. Soit abbé A.G.
A gauche, la lettre Π est dessinée par un dolmen de PI-erre. Suivie de 4 barrettes sur l’épaulette qui valent D.
PI. D. est la formule du CERCLE O et les initiales de PIERRE DELMAS.
2 abbés donc, Pierre Delmas à RLB et A.G. à RLC. O PAPE A.
Éternel symbolisme A/Ω, outil valable dans les 2 villages.

[marc]

Le Petit Manuscrit 1 :
L’en-tête est composé de 3 lettres dont une double. L’ω s’verse en M oncial pour écrire MO. Le Tau est intérieur a l’Alpha,α, stylisé en triangle. Le tout = AMO T dans le triangle.
Le T est la lettre majeure de ce texte. C’est aussi l’attribut de St Antoine.
La phrase surélevée :
A DAGOBERT II ROI ET A SION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT.
Malicieusement DAGOBERT se met ''à l'envers'' : TREBOGAD .
II = 2, soit 2 lettres à substituer pour écrire le mot TRESOR, soit B et G remplacées par S et R.
La proposition ET est aussi à inverser :
A TRESOR AD ROI TE A SION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT.
La phrase se lit alors : ''A Trésor A Droite si on est ce Trésor et il est là Mort''.
A DAGOBERT II ROI E(T A) SION ES(T C)E (TR)ESOR E(T I)L ES(T L)A MORT.
Les lettres ''à droite'' des T sont : A C R I L soit ACRIL ou CLAIR. ACRILA si A initial utilisé en fin de phrase.
CLAIR ou CARLA si I = 1 romain ou Quart il A voire CLARA, la lumière.
Double sens dont le principal est à retenir : ‘’Clarté si on est à droite des T’’
Résultat de la surélévation : CARLA = TRÉSOR MORT.

[violette]

mais tant de recherches pour arriver à Adam et Eve, c'est quand-même un fameux détour :)

[marc]

Le calvaire d’entrée :
Les 3 calvaires Delmas de RLB sont des ‘’pierres savantes des Redones’’. LVLC page 226.
Celui-ci donne le code de sa date, 1856 = 18.5.VI romain = REF.
L’abbé Jean VIÉ, VIER devient FER. (F code 6).

Le calvaire du JUBILÉ :
Jubilé = j’eus Bi (2) Lés (laizes, chiffres) de la date 1854. → 18 = R.
Le 4 est aussi un L barré.
PRE DELMAS – L + R = PIERRE DE MARS.
Les 3 pommettes rayonnantes de la croix de fer forgé représentent MARS.
MARS est la planète du FER, donc de l’abbé Jean VIÉ.

Calvaire PETRUS :
Il est situé à la verticale du mur-clocher de l’église entièrement restaurée par Pierre Delmas.
Au sommet du fronton une boule de pinacle sert de repère.
DOMINO VIE RECTORE PETRUS DELMAS FECIT se le lit, JE DOMINE moi VIE (en hauts caractères) ÉRIGÉ par le CURÉ PIERRE DELMAS A FAIT.
RECTOR est à double sens car ce mot est aussi à l’origine de RITOU, le CURÉ local.
Ainsi VIE (sans accent) domine le mur dressé par Pierre Delmas. De la même façon que la croix de fer portant la VIE-rge Marie domine le tronc pyramidal de ce calvaire.
Le signe est le salut, AVE qui permet de comprendre le transfert.
Jean Vié est la boule du pinacle qui représente la planète du FER, MARS.

[marc]

Tombe des Dames Boudet :
Rigoureusement identiques, les épitaphes de la mère et de la sœur de l’abbé Boudet ne comportent qu’une erreur.
La fille ne se prénommait pas ADÈLAÏDE mais Antoinette.
Ce faux prénom est suivit d’un S incongru pour former le jeu AD ELLE AIDE S. A côté d’elle le S aide.
MARIA + S = AMARIS.
AMARIS ANTONIA = TU ES AIMÉE ANTONIA !
Amour filial ordinaire pour cette tombe dont la croix est fléchée pour signaler son rayonnement. Elle influence son entourage.