Le Serpent Rouge

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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 09 mai 2014 à 02:02
L’Empereur :
Toujours dans les lames de tarot de Wirth relocalisées à RLC.
La scène se passe au pied de la muraille de la tour Magdala.
Sur la poitrine impériale, un œil regarde la lune. En fait il s’agit d’un symbole cornu que l’on retrouve avec le bénitier de la lame de l’Impératrice et avec le chapeau du Fou-Mat. Il représente l’abbé AG, Antoine Bigou.
Comme il est représenté sous les traits du diable, il en a gardé l’attribut, une paire de corne.
En Poissons du SR, il est comparé ‘’au nautonnier de l’arche impérissable’’, c.à.d., à Mgr BILLARD dont il emprunte les 2 premières lettres, BI-GOU.
Dans BIL+LARD, 2 fois 50 = C romain. BICARD ne semble pas avoir de traduction, mais BIGARD ou BIGA en occitan, c’est une pioche à 2 dents. Et à RLC, les C valent des G. Les cornes peuvent venir de cette interprétation.
Pour le SR qui se termine par le signe du CAPRICORNE, où on découvre enfin Antoine Bigou, CA PRIT CORNES pour CARLA PRIT CORNES semble raisonnable. Ceci reste à démonter, mais pour PAP, l’abbé AG est représenté par un croissant de lune. Un bicorne même dans le Fou-Mat.
L’empereur est de plus assis sur un bloc de pierre faisant partie de la muraille décoré d’un autre symbole manifestement cornu lui aussi. Il remplace l’aigle noir de la version originale de Wirth.
A noter que sur cette lame, Wirth a placé un LIS rouge au pied du personnage. Exactement comme l’avait fait BS avec ses LIS ORANGÉS sur la fresque du confessionnal. LIS ROUGE / LIS OR EN GÉ. Rien de nouveau dans ces anciennes méthodes.
Je traduis ainsi cette scène Regarde le mur des cornes depuis la tour Magdala.
Les CORNES de RLC :
Elle résulte d’un curieux mouvement géologique qui s’est produit lors de la poussée pyrénéenne. Un immense plateau calcaire, dont il ne reste aujourd’hui que celui du Lauzet, s’est trouvé rehaussé et vrillé. Avec un point de fracture central. C’est dans ce perthuis très étroit que s’écoule maintenant, ce qui reste du ruisseau du Carla.
Ce qui est plus remarquable, c’est le résultat de ces 2 poussées antagonistes. A droite du perthuis, la falaise est au Sud. Elle se prolonge ainsi jusqu’à la Pique de Lavaldieu. Mais à droite, elle se dresse au Nord. Il faut imaginer une hélice dont le foyer serait cet étroit couloir.
Vu de RLC, les 2 falaises, sculptées par l’érosion, ressemblent à de grand menhirs, mais surtout à une paire de CORNES.
Jadis, nos ancêtres y ont creusé une encoche pour laisser le passage à l’axe RLC / Le Bézu.
Mais le perthuis reste très resserré, quelques mètres tout au plus.
C’est le siège idéal d’un barrage (le MUR) qui transformerait ce lieu en bénitier géant.
Ce que fit ou projeta de faire l’abbé Antoine Bigou en son temps.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 09 mai 2014 à 13:51
La Papesse :
Elle est représentée par Marie de Blanchefort devant son château de RLC.
3 lettres sont remarquables : Le A que dessine le revers de sa cape. A l’intérieur de celui-ci, une croix de St André qui trace un X. A droite, sur un tableau qui représente son épitaphe, le signes des 2 points, :, devant l’Alpha stylisé du petit Manuscrit (triangulaire). Soit XA : A.
Dans le texte de son épitaphe ce segment se trouve en SOI-X → ANTE SEPT A ← NS.
Personnellement, j’ai traduit ce tronçon, ANTE SEPT, Avant SEPS (Avant SERPENT).
A tort semble-t-il. Je vais donc corriger ma proposition en remercient PAP.
ANTE SEPT A = AVANT G (codé par 7) il y a A. Soit A avant G.
Très important indice qui élucide définitivement la dalle 1740 IG.
AG quarante IG = AG car avant 1 G. Mettre un A devant les G.
Avec le double sens, Avant il y avait un I avant le G dans le nom de BIGOU.
La dalle 17+27 confirme quand la croix est un O AGO BG = Je repousse le B devant le G, l’initiale de Bigou.
Je comprends alors pourquoi j’écris GROS dans le cartouche rouge du bénitier quand le SR y voit AGROS.
‘’Précéder les G d’un A’’ est une règle générale, valable pour plusieurs jeux de RLC.
Ainsi, sur le porche du presbytère, ‘’La maison du pasteur ES+T la maison de tous’’ avec la croix = lettre joker du P, SEPT doit être précédé d’un A. A SEPT = A.G.
Ce qui permet d’établir une chronologie dans les messages et de voir que la stèle de Marie de Blanchefort est postérieure à la tombe du poulpe :
_ A l’origine, la formule P.S-PRAECUM.
Post Scriptum Devant Avec. Avec ce qui est écrit virtuellement devant le P (le O de l’alphabet) derrière le P. POS.
Avec ce qui est écrit avant le S dans l’alphabet, R. Plus PR aecum = P égale R. ROS.
Prae Cum = Devant la préposition Cum. Initiale C. C’est la spirale qui entoure P-S.
L’idéogramme = CROS = CROIX (LVLC p. 280).
Donc, à l’origine, le CROS s’écrit avec un C.
_ la tombe du poulpe :
Là, l’égalité C/G apparait 2 fois. Dans la superposition C/G au centre de REGIS et d’ARCIS, et dans les 7 points entre les tentacules du poulpe et les 3 points sur la tête de l’animal, codes du G e du C en tête de l’idéogramme.
Ainsi, quand un abbé Bigou signait, automatiquement il traçait une croix. Mais on ne pouvait alors différencier l’oncle du neveu.
Le pilier carolingien, avec sa double lettre ωγ, était respecté puisque jadis un CROS était un GROS.
AMO GROSS que PénitenC/Se améliore en AMO GROS C.
_ Ce n’est qu’avec le décès de Marie de Blanchefort que le besoin d’un prénom s’est fait sentir (17 janvier → Antoine, A.
Jean Bigou étant décédé le 30/09/1776, Antoine Bigou profita de l’épitaphe de la châtelaine pour compléter la dalle du poulpe de la stèle de Marie. Pour signer son œuvre, il invite le lecteur à faire précéder tous les G du A de son prénom.

Le problème, l’ambigüité, vient de BS, de l’évolution de ses jeux. Je crois pouvoir l’expliquer ainsi :
Il y a un décalage entre la restauration de son église et celle du presbytère. Peut-être plusieurs années entre l’élaboration des plans (des jeux) des 2 édifices.
Au départ il avait besoin du mot C/GROS pour représenter la grande croix du Carla (Portée par Maria Magdaléna) et l’abbé Bigou en même temps. AGROS lui suffisait. C’est pourquoi, sur le meuble du confessionnal il soude les 2 segments de l’AG-neau et du ROS-ier en AGROS. Il n’y a pas de E intermédiaire.
Mais sur le mur de la cure, sa réflexion ayant évolué, il ajouté ce E.
1725/ IG P X – Δ = S = AG BE / IG ROS = AGE BIG ROS ou l’ÂGÉ ROS BIG.
Cela lui permet de confondre dans ces 2 mots, l’âgé Curé et l’âgé Ruisseau. Les âgés Bigou et Carla.
Mais, gros inconvénient, on ne sait plus de quel Bigou il s’agit.
Il est possible que, comme l’oncle et le neveu ont vécu ensemble à RLC, ils furent jadis distingués par les surnoms de Jeune et vieux, d’âgé.
Pour moi ‘’l’ÂGÉ’’ reste Jean, ‘’Le plus grands des AMIS’’.

De même, je pense que BS lui-même a douté. Bien qu’ayant tous les déchiffrages en main, il ne savait pas exactement ce que recelait cette tombe. C’est la raison pour laquelle il l’a fouillée et donc détruite (Ophiuchus du SR, ‘’Maudissant les profanateurs’’). Il voulait en avoir le cœur net. Était-ce un cénotaphe ou la tombe de Marie de Blanchefort ou celle de Jean Bigou ?
A mon avis, c’était un caveau double où reposaient la châtelaine et son chapelain.
Et c’était Jean Bigou le thaumaturge.
Quoiqu’il en soit, il faut prononcer AGROS AGéROS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 09 mai 2014 à 23:05
Le Serpent Rouge liquide :
Certains reprochent au Serpent Rouge de ne mener nulle part. Mais ce n’est pas le but de cette notice. Il convient de l’utiliser comme le mode d’emploi d’un montage de kit (puzzle) où les pièces à assembler sont des jeux de RLC/RLC. Il n’y a pas qu’un but, qu’une destination, à découvrir, mais de nombreux déchiffrages à élucider (En Ophiuchus, ‘’de cette REINE (Rennes), j’ai visité les demeures cachées’’).
Le jeu de tarot de PAP joue le même rôle. Disons qu’il est la version illustrée du SR, sa bande dessinée.
Que dire de l’AGEROS dans sa version vieux ruisseau ?
Son réseau souterrain est si complexe qu’il reste inconnu. Avant de déboucher dans la grotte de la Madeleine, il passait par les avens des Caparruts et de Paris. Le désensabler relève de l’utopie tant le dépôt d’alluvions qui l’obstrue est conséquent.
Mais les Ritous de jadis avaient de grands projets qui parfois virent le jour, comme celui du ‘’Trou du Curé’’ de Pierre-Lys de Félix Armand.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 12 nov. 2014 à 05:24
Le SERPENT ROUGE, le nom, est très complexe. Il se décompose ainsi :
_1) : La couleur.
Le ROUGE vient de l’occitan ROS, roux. Il s’entend ROSse (localement, les terminaisons se prononcent).
La particularité de ce mot est son homonymie avec celui de ROS, en latin, qui se traduit par l’écoulement, le ruisseau, et plus généralement par l’EAU. Ainsi ROS ROS = l’EAU ROUGE ou le RU ROUGE.
Autre singularité locale, la lettre R est grecque et s’écrit donc P (Rô). Ce qui permet de la cacher dans 2 codes alphanumériques différents, 17 grec et 18 latin. ROS s’écrit alors POS.
Et, dernière astuce, le O central est parfois occulté et remplacé par un simple tiret, P-S = ROS.
La spirale reliant les lettres précédant alphabétiquement P et S, dégagent le mot OR.
_2) : Le SERPENT.
C’est la lettre G dont le code est 7, SEPT. Il est représenté sous la forme d’une spirale qui entoure le couple P-S.
Cet idéogramme se traduit principalement par G/ROS.
Du fait de la bivalence P/R, SEPT ou SERT sont les racines du mot SERPENT. Autrefois appelé aussi SEPS (médiéval issu du latin).

Pourquoi avoir recherché une telle combinaison ?
Parce que l’idéogramme G/P-S = GROS permet de tracer une CROIX.
En dialecte occitan, CROS est le CREUX mais localement, N.D. du CROS se traduit par N.D. de la CROIX.
CROS, entendu CROSse est alors au féminin.
Là encore il s’agit de l’utilisation d’une concordance entre les alphabets grec et latin où les lettres G (Γ) et C ont le même code 3.
Dès lors, P-S dans G est à double sens, le SERPENT ROUGE est un RU ROS ainsi qu’une CROIX d’OR.
Il suffit alors de signer par une lettre G ou par le chiffre 3 à l’encre rouge pour écrire SERPENT ROUGE.
Il en résulte que la représentation de 3 ROSES (sur un vitrail, par exemple) = TRES (latin 3) + ROS inversé = TRÉSOR.
Finalement, le SERPENT ROUGE = un TRÉSOR.
La CROIX est un TRÉSOR et un ruisseau cruciforme est LE trésor à découvrir.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 13 nov. 2014 à 00:54
La locution latine ET IN ARCADIA EGO est utilisée dans le SERPENT ROUGE (Vierge).
Le verbe être (SUM, je suis) y est occulté (…).
Cette phrase sibylline doit sa célébrité à sa présence sur le tableau ‘’Les bergers d’Arcadie’’ de Nicolas Poussin (1637).
L’interprétation de la toile du Louvre est différente des utilisations ultérieures de cette formule très pratique.
Au premier degré, il s’agit là de la réflexion désabusée d’un défunt qui repose au paradis des grecs anciens, l’Arcadie, mais qui, étant mort (IN ARCA = dans le cercueil) n’en profite guère.
Mais cette toile utilise surtout habilement un ‘’jeu de mains’’.
Celle d’un berger (bleu) pointe de son index la lettre R dans l’inscription. Celle d’un autre (rouge) compte ostensiblement le chiffre 2 manuel en dépliant son pouce et son index.
Ces 3 doigts signifient qu’une lettre R doit être remplacée par une autre lettre dans le nom ARCADIA.
Il s’agit de la substitution aRcaDia, R/D.
Dans un premier temps, cette dernière sert à signer ce chef d’œuvre. POUCE + INDEX → POUSSE + IN + D/REX = POUSSIN REX, le peintre ROI.
Mais dans le nom d’ARCADIA, outre le cercueil/coffre ARCA, il y a plusieurs possibilités comme CARDA ou CARIA (cariatide, la bergère, qui est le quart des personnages).
C’est le phonétisme CAR/QUART qui est le plus intéressant car il est réutilisé dans d’autres jeux.
De plus, dans une première version de 1628, Poussin superpose le A et le O dans l’inscription et l’index du berger pointe cette paire de voyelles pour retomber sur le symbolisme classique, de l’Alpha à l’Ω.
Ce qui intéresse le SERPENT ROUGE, c’est l’opportunité, CARDA est dans ARCADIA.
Car non seulement CARDA, c’est la CARDE occitane, ‘’le peigne d’or’’, mais c’est surtout l’anagramme de DRACA, la diablesse, la démone.
Le principe du quart vient de l’observation du partage en 4 secteurs égaux d’une croix grecque (symétrie dans un quadrata). Il est simple. Dans un texte de 16 syllabes, 2 d’entre elles composent la clef.
Ainsi dans l’épitaphe REDDIS REGIS CELLIS ARCIS, les syllabes APX et ΔI, repérées d’une croix, donnent la solution grecque XAPΔ1, CARDA, le peigne et surtout DARCA, la diablesse.
Sur cette tombe, la locution est en grec, ET IN APXAΔIA EΓΩ, car les la substitution n’est plus R/D mais Δ/Λ, D/L comme l’impose la superposition des 2 couples DD/LL.
Ainsi, DARCA devient CARLA et s’entend alors QUART LÀ.
Le mot CARLA vient de CARLAT issu lui-même du Castellum romain (latin Castrum), la forteresse.
La singularité du Razès fait que le ruisseau du CARLA porte un nom féminin.
On notera au passage que le cours d’eau qui a donné son nom au village de La Serpent est aussi au féminin.
C’est la raison pour laquelle, LE Carla est qualifié de Diablesse, Draca, au féminin.
Pour rester puriste, disons que Le CARLA = DRAC (Sous le bénitier, dans l’église).
L’opuscule du Serpent Rouge l’a rebaptisé ASMODÉE.

Vu précédemment, l’idéogramme ‘’P-S dans G’’ le nomme déjà le Serpent Rouge.
Équivalences :
Serpent Rouge = G/ROS = CARLA = SERPENTAIRE entendu SERPENT TERRE (Constellation, 13ème signe du zodiac de l’ouvrage). Terre = Ocre charriée après orages.

Cela ne résout pas pour autant le ‘’Quart’’ de la toile de Nicolas Poussin. La bergère est coiffée d’une chevelure complexe enrubannée.
Derrière le chignon, au niveau des épaules, on remarque un objet blanc bleuté. Ce détail pourrait être un peigne ayant un profil animalier (Œil/Gueule). Sa couleur, bleu clair est celle de la croix dessinée dans les nuages noirs à droite et en haut de la toile.
J’ai vainement cherché à y découvrir une représentation cachée, à la manière des anciennes images d’Épinal.
Je note les hypothèses suivantes :
_ Cet objet indéfini se trouve sous la nuque, au niveau de la clavicule (En latin, Clavis = la Clef).
Il représente un mélange stylisé des 2 lettres A et E. Et conduit à la substitution E/A dans EGO qui, devenu AGO, se traduit par Je Pousse. Dans le nom ARCADIA, je repousse le R.
Devenue flottante dans ce mot, la lettre R recompose A CARDIA.
_ Ou, l’index et le pouce chiffrent 2, code du B substitué au R dans ABCD AIA.
Puis Alpha B = ALPHABET et Aβ.
Le tout conduisant à la découverte du nom de la dame. Son épouse Marie-Anne Dughet ne serait peut-être pas la muse de cet artiste. A cette époque, la reine de France était Anne d’Autriche.
_ Ou encore. Dans les mains des 2 bergers, l’index de la main basse = 1, l’unité romaine I. Et les 2 doits de la main haute = 2 fois la décimale, 20, code du T.
ARCADIA devenu CADRATA s’entend alors QUADRATA, la croix symétrique grecques. Celle qui est dans les nuées, bleue claire.
C’est l’hypothèse la plus ‘’chrétienne’’. Je suis dans la croix, donc au vrai paradis, pas en Arcadie païenne !
………………
Une autre réutilisation de la formule ET IN ARCADIA EGO se retrouve sur les pseudo-armoiries de Pierre Athanase Plantard, certainement un des co-auteurs du Serpent Rouge.
On retrouve sur ce blason la locution écrite en gothique. Suivie de 3 points de suspension qui représentent les 3 lettres de SUM et portent le total des lettres à 17, code du Rô, P.
…… Mon P.C. refusant de transmettre les pièces jointes, je ne peux, hélas, illustrer mon propos. Ce blason se retrouve sur ce lien :
http://reinedumidi.com/rdm/ulys.htm
………………
Au centre, les 15 traits verticaux codent la lettre O représentée par le cercle. Le LYS traduit l’ensemble par LIS O, Lire O central.
Les 2 OURS, ARKAS et CALLISTO représentent les 2 constellations des Grande et Petite Ourses qui orientent vers le Pôle NORD central.
Les colliers des 2 animaux portent leurs identités sous la forme ARKAS et OTSILLAC.
Le phylactère ‘’PLANTARD DE SAINT-CLAIR’’ se termine par 2 boucles dessinant des O et accompagnées des dates 1681 et 1861.
Ces dernières sont les codes 16 et 18 du P et du R disposés à la manière semi-inversée de Rennes-le-Château (1891 = 18 19). Ces 2 lettres donnent les couples PR et RP. Ces 2 substitutions transforment lesmots OURS et SRUO en OPUS, l’œuvre. Ce qui signale que 2 travaux sont alors à effectuer.
Ici, le lecteur est invité à lire dans l’ARCADE. Il y dénombre 11 Abeilles en ESSAIM..
On peut sourire au déchiffrage de ce blason moderne, mais ses astuces conduisent vers un point bien précis. Et c’est surtout les méthodes employées qui semblent confirmer les interprétations précédentes, qui elles, décodent des cryptogrammes historiques bien réels.
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Archimede
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar Archimede » 13 nov. 2014 à 03:53
LU-MI-NEUX !

Je ne rate jamais une intervention de Marc !
C'est toujours puissant !
Ce gars cherche plusieurs lièvres, alors il croise les pistes des différents trésors et mystères irrésolus, et ça paye....

Il joue seul Marc, à mon avis, et c'est dommage car il est talentueux.

Il mourra, je mourrai, nous mourrons sans avoir trouver la chouette.

N'oublions pas que même Buonardo et Kerzer n'ont pas non plus la chouette, de loin comme de près...

Suis pas loin de panser celui auquel je pense. Oh là, tout doux...
Ma voiture est garée en bas.
Mon volatile est gavé en basilique.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 nov. 2014 à 01:04
ET IN ARCADIA EGO, Blason de Plantard, suite :
Ainsi il y a 3 commandes. O central et les 2 colliers ARKAS + OTSILLAC entendues AR CASSE et ÔTE SI LÀ C.
Le O se substitue à A et ARCADIA devient ARCODIA.
Puis AR est ‘’cassé’’, coupé pour ne laisser que CODIA = CODE I/A.
Il convient enfin d’ôter une lettre dans un nom commençant par C, CLAIR.

L’ESSAIM de 11 abeilles code AA. ET SAINT confirme la cible, Saint CLAIR.
AA = IA (1A) et coder I/A = Coder un I du mot CLAIR par un O central.
Cette substitution a pour résultat la modification du nom CLAIR par CLAOR → ALCOR.
Alcor (le cavalier) est proche de Mizar dans la constellation de la Grande Ourse (étoile double).
La devise papale LUMEN IN COELO est ainsi respectée.
Nota : COELO, comme ARCADIA est une source. La lumière n’est ni dans le ciel ni en Arcadie, elle est dans les mots COELO et ARCADIA.
Nota : L’utilisation de l’image du lys en impératif du verbe lire est fréquente. Ex : Lys orangé = Lis OR en G.

Pourquoi Plantard associe-t-il sa famille à cette étoile ? Par allusion à l’Aiguille Creuse d’Étretat d’Arsène Lupin ?
Non pas. Il avait de plus hautes ambitions. En visant ALCOR, il voulait atteindre CAROL.
En effet, ce blason prétentieux voudrait révéler l’ascendance carolingienne de la lignée Plantard.
Mais là, c’est une autre histoire (Voir Trafic de mythes et Da Vinci Code)……..

Je suis surpris d’un tel résultat. Je m’attendais à retomber sur CLAIR = CLARA puis de CARLA passer à GRAAL. Le Saint GRAAL m’apparaissant comme une quête à la hauteur d’un tel personnage…..

@Archimède, à propos des ‘’pommes bleues’’ :
Le Serpent Rouge, en Scorpion, précise, ‘’Je porte ma main à ma bouche, mordant instinctivement ma paume…’’.
La POMME n’est pas le fruit attendu, il est mordu et ne compte qu’un M, POME.
Sa couleur bleue prévenait d’une rareté. Car ce n’est pas non plus le POMUM latin, c’est la POMA, ΠΩMA grecque, la SOURCE.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 13 déc. 2014 à 09:08
TRÉSOR :
Les anciens Ritous (curés) du Razès ont élaborés plusieurs astuces pour masquer le mot TRÉSOR.
Deux phonétismes peuvent être utilisés :
_ TREIZE. Ce nombre étant aussi le code alphanumérique du M.
_ TRES, le trois latin, 3, code du C latin ou du Γ grec.
Ainsi, 13OR et 3OR = TRÉSOR.
Mais les mots sont souvent des compositions chiffrées.
MORT = 13 ORT et s’entend TRESOR. GROS et CROS valent aussi 3ROS.
Le plus bel exemple de cette méthode se retrouve sur les vitraux de l’église où le triangle des roses est souvent bissé.
Trois ROSES, TRES ROSES se combinent en TRES + SESOR = TRÉSOR.
Ces triangles se complètent des lettres A et B codées 1 et 2 par les couleurs des 3 roses dont 2 sont roses et une bleue. Alors, TRÉSOR = AB CROS.
………………………………………………………
Page 280 de La Vraie Langue Celtique, l’abbé Henri Boudet écrit : ‘’…Notre-Dame du Cros ou Notre Dame de la Croix’’.
Ce qui est faux car dans le site minervois de Caunes, CROS est le nom du ruisseau qui passe au pied du sanctuaire. Le mot CROS, en occitan = le CREUX.
L’abbé le savait fort bien, mais il voulait signaler que le mot CROS entendu CROSS était localement utilisé en place du mot CROIX.
Dans la symbolique chrétienne, il est en effet constant de considérer que la CROIX est le TRÉSOR par excellence. CROS = 3 ROS → TRES SOR.
Nota : N.D. des CROSS (Dans le Lion du Serpent Rouge) = La statue de l’Immaculée Conception de Lourdes.
Nota : TRESOR se trouve à la 7ème ligne du Petit Manuscrit, au centre du triangle des 3 croix, dans TREPO (P = Rô).

Tout le monde connait les célèbres allographes de Voltaire, ‘’Ga’’ = J’ai grand appétit (grand G + petit a).
Mais, en est-il bien l’auteur ? Le plagiat n’existe certainement pas au niveau des rébus basés sur l’alphabet parlant. Mais cette combinaison semble bien antérieure à 1750 (Frédéric II de Prusse, Palais de Sans-Souci).
Je la retrouve plusieurs fois à Rennes-le-Château dans les formules AG = J’ai A → âgé.
Sa présence n’avait pas échappée à l’auteur du Serpent Rouge qui propose l’énigme suivante, en préface d’une réédition de ‘’La Vraie Langue Celtique’’ de l’abbé H. Boudet : ‘’Même en arborant sur le frontispice un G paré des plumes de Pan’’.
Faisant ainsi référence à la fable, ‘’Le Geai paré des plumes du Paon’’ de Jean de La Fontaine.

Le ‘’frontispice’’ est le porche d’entrée de l’église. La seule représentation d’oiseaux pouvant correspondre aux GEAIS est celle de 2 épis de faîtage, 2 colombes blanches en céramique qui coiffent les 2 piliers de l’auvent.
Le bord de rive de cette petite toiture est composé de tuiles vernissées dorées et le sommet de cette pointe se termine par un cœur en pignon, lui-même orné d’une croix.
Les 2 pigeons se font face et comme le cœur du pignon sont blancs.
Ces 3 mots ont pour cœur la lettre G.
On notera l’usage du mot PIGEON qui rappelle immédiatement le cryptogramme de La Buse.
‘’Prenez une paire de pijon, tirez les 2 cœurs …’’.
Ainsi, ‘’au frontispice’’ on retrouve un triangle de IG. 3G = 3 fois IG, IIIG.
Ce même jeu est repris sous une autre forme sur la dalle 17+27 du presbytère.
1G+2G = 3G.
On doit conclure qu’un G paré des plumes P et N du mot PAN est un PIGEON.
Le but : 3*G = 3*7 = 21 code du U. le mot TROIS + U = TROUIS.
………
Une seconde allusion se retrouve dans la préface de La Vraie Langue Celtique : ‘’Le mystère du poisson dans un plat d’argent sur son support d’ébène’’.
Là, le mot ARGENT cache le symbole chimique de ce métal, Ag.
On retrouve AG, non plus lié à un volatile mais à un poisson.
Les mots clefs sont : MYSTÈRE, AG, POISSON, ÉBÈNE.
La solution se retrouve dans le cryptogramme de Saunière où ‘’son poisson’’ est à ‘’l’embouchure’’ du mot RHONE. POISSON ‘’gouté’’= RHO + S = P-S. ROS.
EBENE = E BENE. Dans l’alphabet de substitution du cryptogramme, la lettre E a été supprimée. E Bien, Bon.
Nota : Comme sur le diable du bénitier où cette voyelle a été griffée sous l’aile. Ou comme dans ARSENE du calvaire réduit en ARSN.
Le tout, AG + E + ROS = ÂGÉ ROS.
……………………
Qu’est-ce qu’un TROUI ? Des TROUIS ?
A l’entrée du presbytère, l’arc du porche porte l’inscription, ‘’ LA MAISON DU PASTEUR ES+T LA MAISON DE TOUS.
Le verbe EST (en 3 lettres) est surmonté d’une petite croix.
LA MAISON DU PASTEUR EST LA MAISON DE (+3) TOUS. +3 = SRI.
LA MAISON DU PASTEUR EST LA MAISON DES RITOUS.
PASTEUR = RITOU (Ex RECTOR) = CURÉ. La maison est la CURE.
Nota : Une autre anagramme de RITOUS / TROUIS se découvre dans l’ange qui SOURIT de la porte accompagné de 4 TROUS + 4I.
L’énigmatique ‘’Hache Celtique’’ de l’abbé Boudet n’est rien d’autre qu’une ‘’Pierre de TROU’’ + I. Une stèle de curé. (La vraie Langue Celtique, page 255).
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 déc. 2014 à 03:03
Pourquoi trouve-t-on une allusion au Père Olier dans le Scorpion du Serpent Rouge ?
(Jean-Jacques Olier, 1608-1657, fondateur des prêtres de St Sulpice).
Son origine se découvre sur le meuble du confessionnal.
Dans la moulure en demi-lune (demi-mot, Midi = à moitié dit), les 3 arcs comptent 12 gros besants latins, 24 petits grecs et les dents de la scie qui invite au partage.
12 est la moitié de 24 et code A+B, allographe d’ABBÉ. 24 cache la dernière lettre de l’alphabet, Ω, O. Le tout → l’Abbé O. Initiale d’O lier ou lire.
_ 1) : L’Abbé est celui qui domine le tertre de la fresque. Avec ses bras en croix, il est AGROS (17 roses).
La scène représente ce pasteur soignant un AGNEAU. L’homme et l’animal sont jumelés, égaux.
Son chapeau (Un pétase grec) dessine un grand O, un Ω donc. Mais c’est son auréole qui écrit cette lettre.
Abbé O = abbé âgé ROS.
Il est ‘’Cet AMI’’ Inconnu, des Poissons, ‘’Son nom demeura un mystère’’.
Il est aussi présent sur le tableau du ‘’Pape pomme bleue’’. Représenté par l’ecclésiastique tonsuré de gauche, l’épaulette papale le baptise ΠΔ. Pi*D étant la formule du calcul d’une circonférence, donc d’un cercle O.
_ 2) : La face de l’AGNEAU est anthropomorphique car Abbé O ≈ AGNEAU.
A peu près, car l’animal n’a que 3 pattes et son antérieure est cassée. Son nom aussi, amputé du N.
AG-EAU. Avec la tête séparée du corps. Ce dernier est traversé par un des 4 arbustes qui boisent cette sculpture de façon à ce que ROS de ROS-IER recouvre le EAU d’AG-EAU.
En effet, ROS, en latin = EAU (tout écoulement).
Ainsi l’abbé EAU = Abbé ROS.
J’en conclue que le SERPENT ROUGE peut se remplacer par le BOA ROUX. En dialecte languedocien (celui de l’abbé Boudet, ROS = ROUX.
On peut améliorer la patte cassée en lisant GENOU = Je Noue pour augmenter le jumelage entre l’animal et le pasteur.
AG-ROS entendu ÂGÉE EAU concerne aussi bien le vieux ruisseau du Carla que le prêtre thaumaturge.
La référence à St Sulpice est habile car le 17 (code d’Ag) Janvier est aussi la fête patronale de St Antoine Ermite.
A CROS devient alors Antoine Croix.
Nota : L’inverse d’AGROS, SORGA = la SOURCE en dialecte languedocien (ΠΩMA, POMA en grec). On apprécie la référence à Jean de LA FONTAINE.
Cette dualité se retrouve sur le tableau du ‘’Pape Pomme bleue’’ qui reprend la lame de tarot 5 du jeu d’Oswald Wirth. Les 2 moines sont jumelés par le symbole zodiacal des Gémeaux pour fusionner en personnage unique, le Pontife. ΠΔ à gauche, AG (7 pommettes d’or sur la triple croix papale) à droite.
Nota : Ce tableau se situe à Rennes-les-Bains et non pas à Rennes-le-Château. Cela pour utiliser le mot BAINS. Le prêtre Antoine Ros était un adepte du thermalisme. (Béthania s’entend Bêta NIA et se lit βAIN).
La liaison :
Le confessionnal se trouve à la verticale de la fresque. Et le toit de ce meuble flèche le tertre. Dans AGEROS il y a AGGERO, j’empile, j’entasse. Cette ‘’colline fleurie’’ est un amas de terre, de boue et d’objets divers, dont le pilastre de la chaire à prêcher qui recelait un manuscrit. Je traduis aggero par, je compile, j’additionne. Je vois là un résumé global de toute l’énigme de ce village.
Comme dans tous les codes alphanumériques à 2 chiffres, il y a une double lecture.
Ainsi 12 et 24 = AB O mais aussi L et OMÉGA combinés en OM ÉGAL = Homme égal. L’homme égale l’animal.
Sur la ronde-bosse et sur la sculpture sur bois, l’abbé est AG ROS.
Nota : La signature de ce chef d’œuvre est la besace déchirée qui se lit BE-renger SA-unière C-ur-É.
L’inverse qui suit est L’OMAGÉ, l’homme Âgé.
C’est le mini-personnage de la fresque. Sa robe sombre tachée d’ocre peut le faire ressembler à quelque grand’mère voûtée. Mais, si c’est une soutane, il s’agit là d’un ritou. Il s’en va, il quitte le verbe SOULAGERAI qu’il domine pour abréger ce dernier en SOÛLERAI. ‘’Venez à moi, vous tous qui souffrez et qui êtes accablés et je vous SOÛLERAI’’. Je vous abreuverai tout votre saoul (avec de l’EAU !).
Nota : Un personnage féminin aurait pu être la femme courbée depuis 18 ans (Luc 13 : 11). Mais AG = 17 = aussi Rô. R reste cependant le code du R, initiale de ROS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 déc. 2014 à 04:57
La controverse de l’AGNEAU :
Les 4 arbustes de la sculpture du confessionnal correspondent aux 4 végétaux rangés à gauche de la fresque. Ces derniers sont fleuris ou portent des baies rouges. Ils représentent la Fontaine des 4 Ritous. 2 hypothèses s’affrontent :
_ 1) : Les 17 rameaux de roses qui jonchent le tertre viennent de ces arbustes. Ce sont donc des ROSIERS dont la tête latine ROS = EAU.
L’AGNEAU scié en AG EAU est bien associé à un ROS-IER.
_ 2) : Ce ne sont pas des rosiers, mais des HOUX. Comme semble le prouver le découpage des feuilles. Il ne faut pas lire AG-EAU mais AG-OU.
En effet, en occitan, l’EAU = AGOU, AGOT, AGOUT. C’est d’ailleurs ce mot qui se retrouve en GOUTA dans le cryptogramme de Saunière.
L’antérieur de l’animal, coupé au GENOU, décompose alors son nom en G-EN-HOUX.
Cela ne change guère le résultat. L’abbé ROS rest l’abbé de l’EAU mais en version locale, celui de l’AGOU.
Par contre les 12 et 24 besants sciés donne la triple répétition AB AB AB.
L’Abbé A.B. A(avoir) B(en initiale). L’abbé B+AGOU est l’abbé Antoine Bagou.
Et comme par 2 fois, sur les 2 dalles, AG est corrigé par IG. Il s’agit bien là de l’abbé BIGOU.
Une confirmation peut être extraite de l’allusion, ‘’Comme le nautonnier de l’arche impérissable’’ (Poissons du Serpent Rouge).
Le seul ‘’nautonnier’’ que l’on rencontre sur le site est celui qui pilote l’arche de pierre, la barque du blason de Mgr Arsène Billard, accompagnée de sa devise, IN VERBO TUO LAXABO RETE (Luc 5:5) = Sur ta parole je jetterai le filet.
BILLARD, comme BIGOU commence par BI.
Un autre jeu semble conforter la seconde hypothèse sur le calvaire de 1897.
Le segment, ‘’ FÉLIX-ARSÈNE BILLARD’’ peut s’entendre. BI, FAIT L’X (l’Inconnu) Â RENNES.
…………
A la page 234 de la Vraie Langue Celtique, l’abbé Henri Boudet avertit de cette particularité régionale concernant les monogrammes. Le ‘’Cap de l’Hommé’’ (la tête) est ici cette initiale B.
Comme pour ce fameux menhir décapité, l’abbé BAGOU est étêté.
Pour que la date reste plausible, elle ne pouvait débutée que par un 1, un A. Et comme I se code 9 mais vaut aussi I romain, la substitution I/A dans AGOU peut sembler évidente.
……..
Personnellement, je préfère les rosiers aux houx. Car je me sers de FÉLIX-ARSÈNE = FAIT L’ X A RENNES pour dégager l’égalité X = E. L’acrostiche Aimons Saluons Respectons Notre, ASRN, composant le prénom d’ARSÈNE sans ces voyelles.
L’inscription faciale O CRUX AVE donnant O AVEC RUX = AVEC ROUX avant de s’achever en O CURÉ AVE.
C’est d’ailleurs ma lecture du sceau du Serpent Rouge. ROSA CRUX = ARO S CURÉ.
Je trace, j’écris, je signe S. Ce S = 1+0+9+9 = 19 dans la l’addition de la date 1099.
Le P = 1+1+8+6 = 16 = P (1186).
Je signe d’une croix, CRUX en signant de mes initiales P et S. Moi, CURÉ.
P et S forment un monogramme comme S et M, Sancta Magdalena, au centre de ce sceau.
Un curé dont les initiales étaient P S ajouta à celles-ci O et C pour améliorer sa signature en CROS, la croix locale.
Nota : Je n’ai jamais découvert le nom du ritou qui occupait la cure de Rennes-le-Château en 1725 et 1727. Son successeur, l’abbé Jean Bigou, prit en charge la paroisse en 1736 (+ 30/09/1776).
…………………..
Mon principal argument pour défendre le monogramme P.S. vient de mon interprétation de la clef originelle, PS-PRAECUM :
Post Scriptum PRAE CUM PR AECUM PRAE C = Avec ce qui est écrit après venant de ce qui est écrit avant, quand P et R sont égaux, avec C devant.
Avec la lettre O écrite devant P dans l’alphabet écrite après ce P quand elle est aussi un P grec, avec la lettre C en tête.
Ainsi P.S devient ROS puis CROS avec la spirale de l’idéogramme avant de s’achever en GROS.
L’ancien curé accompagnait ses initiales du signe de la Croix. Ce qui était fréquent chez les ecclésiastiques.
Bien sûr, ce monogramme peut n’être qu’un cadre. Celui d’un nom comme PétruS (Delmas) ou PaniS (grand Manuscrit ou PariS (Ignace), par exemple. L’idéal serait l’égalité PΩS = POMÉGAS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 déc. 2014 à 01:40
RETIRE MOI DE LA BOUE !
Cette invitation est répétée 2 fois dans le Serpent Rouge. Et en lettres capitales, vue son extrême importance :
_ En Vierge 8 : ''RETIRE MOI DE LA BOUE QUE JE N' Y RESTE PAS ENFONCE''.
_ En Capricorne 13 : ''RETIRE MOI DE LA BOUE''.
Elle est extraite de la station VII du chemin de Croix de l’église parisienne de St Sulpice, dans la chapelle des Saints Anges. Outre le rappel de son origine, le Psaume LXVIII, elle porte le nom fléché du peintre DELACROIX. Ce dernier est lui-même cité en Vierge (‘’Voilà le signe que DELACROIX …’’).
Plusieurs modifications sont nécessaires pour comprendre les allusions :
_ L’abréviation conventionnelle des Psaumes dans la Bible est Ps. Soit ici, P-S.
Le verset exact est le 69 : 14 : ‘’Retire moi de la boue, et que je ne m’enfonce plus ! Que je sois délivré de mes ennemis et gouffre !’’.
_ VII est le code de la lettre G.
_ DELACROIX se traduit par, DU CROS dans le Razès puis par DU GROS à Rennes-le-Château.
On retrouve ainsi le triptyque P-S + G + GROS.
La répétition du verbe RETIRE indique que ce retrait touche les 2 acteurs de ce mystère, le RUISSEAU et L’ABBÉ.
Au sens propre, il suffit de retirer la lettre O, Ω = EAU, du mot BOUE.
EAU BUE. Il faut séparer l’eau des alluvions qui obstruent entièrement le lit souterrain de l’ancien Ruisseau du Carla. Ce denier débouche dans la grotte de la Madeleine (Ex Fournet). Retirer = désensabler.
Au sens figuré, il faut traduire BOUE par opprobre.
2 prêtres de Rennes-le-Château furent excluent de l’Église. Bérenger Saunière, excommunié pour trafic de messes et Antoine Bigou, réfractaire, exilé après la Révolution française. Saunière correspond à ‘’Héliodore chassé du temple’’, tableau de E. Delacroix. Bigou est considéré comme un martyr de l’Ancien Régime dont le nom fut injustement traîné dans la boue par les républicains.
C’est lui G ROS. G étant le centre de son nom. A, l’initiale de son prénom Antoine.
On en déduit qu’IG est le monogramme de son oncle, l’abbé Iohannes Bigou.
Dans les 2 cas, ‘’le CAP dé l’Hommé Mort’’ est BI. (La Vraie Langue Celtique, p. 234).
Nota : La statue de St Antoine de Padoue, sur son socle des 4 Ritous se transforme aisément en Antoine de La BOUE. Le tertre de la fresque est fait de BOUE aussi.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 18 déc. 2014 à 07:47
Le sceau de Salomon :
En Scorpion 10, puis en Ophiuchus 11, on lit : ''Quel étrange mystère recèle le nouveau temple de SALOMON édifié par les enfants de St VINCENT'' puis ''Voici la preuve que du sceau de SALOMON je connais le secret''.
Ce parallèle entre l’église restaurée de Rennes-le-Château et le Temple du roi Salomon à Jérusalem invite à rechercher l’étoile de David dans le cadre de ces 2 bâtisseurs, Saunière et Salomon.
Le nom de ce dernier est bissé car il sert, lu NOM À L’OS, à rappeler le FÉMUR, entendu FAIT MUR, qui traverse le monogramme de Sancta Magdaléna dans le sceau du Serpent Rouge, lui-même tiré de la cuisse du diable du bénitier. Trouver le MUR de Madeleine.
L’Étoile de David est composée de 2 triangles équilatéraux.
Celui qui est pointe en bas est composé des 2 évêques et du Pape dont les armoiries ornent le tympan, un ecclésiastique à chaque angle :
_ Le Pape Léon XIII, LUMEN IN COELO = Lumière dans le ciel.
_ Monseigneur Félix Arsène Billard, IN VERBO TUO LAXABO RETE (Luc 5:5) = Sur ta parole je jetterai le filet.
_ Mgr François de Sales Albert Leuilleux, ZELO ZELATUS SUM PRO DOMINO DEO EXERCITUM = Je suis rempli de zèle pour la défense du seigneur Dieu.
On notera que ce trio de prélats sera repris sur la lame de tarot du ‘’Pape Pomme bleue’’ de Pierre Athanase plantard. En Poissons 2 on lit, ‘’Comment vous le décrire ? Peut-être comme le nautonnier de l’arche impérissable’’. Le blason de Mgr Billard porte l’unique ‘’nautonnier’’ du site.
Le second triangle est composé des 2 épis de faîtages représentant deux colombes immaculées de la paix. PAX. Et par un cœur, COR, blanc lui-aussi, qui orne en pignon les 2 bords de rives de tuiles vernissées dorées de l’auvent qui, en dessinant un triangle pointe en haut, vise le ciel, tel une flèche.
Pour simplifier : La superposition de ces 2 triangles peut être représentée par un losange. Ce qui permettra de la comparer au carré sur pointe de l’échiquier sur les dalles de l’église.
De plus, une croix trouve plus aisément sa place dans un losange que dans une étoile.
La traverse de cette croix va Mgr Billard à Mgr Leuilllleux, eux-mêmes personnalisés par 2 pigeons jumeaux.
C’est l’axe Ouest / Est des 2 évêques Gémeaux. PAX latin s’inverse en XAP grec = CAR latin (comme dans APXAΔIA).
Le cœur du pignon, COR latin plus la croix + qui cache un S = CROS. L’angle supérieur vise, dans le ciel, le CROS. Les Gémeaux donnent la connotation astronomique. Le CROS est le Nord latin, POLUS, où on retrouve le cadre P-S ou la constellation de la CROIX qui dirige vers le SUD.
L’angle inférieur contient la devise LUMEN IN COELO.
Le phylactère en forme d’Ω, avec son inscription +IN HOC SIGNO VINCES+ encadrée par 2 croix donne la substitution +O-még-A+, O/A. Et COELO → CAELA.
TERRIBILIS = TER (= 3ème latin) + R = IBI (= ICI latin) + LIS (de LIRE).
Lire un 3ème R en ce lieu (locus) revient à le voir dans le ciel. CAELA → CARLA.
Dans ce losange, seul l’axe Nord/Sud nous intéresse. On le transfère sur la diagonale blanche de l’échiquier pour obtenir l’axe définitif POLUS-CROS / MIDI-CARLA.
Nota : Carrelage s’entend CARLA Ge. Car Là G.

2 noms nouveaux apparaissent ainsi : Le MUR de Madeleine et POLUS dans P-S.

Les 2 triangles, 2 colombes + Pignon et 2 évêques + Pape, rappellent ceux des 3 roses sur les vitraux où 2 d’entre elles sont bleues et l’autre rouge. Soit, 2 prêtres égaux et un ruisseau.
L’origine de cette triangulation est à rechercher sur les entrelacs du pilier carolingien. O-o-O = X-o-X.
………………….
On retrouve PAULUS dans le complément de St Vincent de PAUL. Et toujours dans le Scorpion, dans le prénom de PAUL Urbain de Fleury, ‘’CELUI de la tombe fleurie’’, le bienfaiteur qui relança le thermalisme à Rennes-les-Bains en 1813. Sur sa tombe, ‘’Il est passé en faisant le bien’’ doit être corrigée en, Il est passé en faisant le BAIN (UR BAIN, comme dans BÉTHANIA = βAIN).
En épilogue de sa préface de La Vraie Langue Celtique, P. Plantard dit voir le proconsul Sergius Paulus dans le vitrail Sud. Mais peut-être n’y distingue-t-il que ses initiales.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 19 déc. 2014 à 04:59
Le vitrail de La mission des apôtres :
Référence : Matthieu 10.
Noms des 12 apôtres : Simon, nommé Pierre, André, son frère, Jacques, fils de Zébédée, et Jean, son frère ;
Philippe et Barthélémy, Thomas et Matthieu le publicain, Jacques, fils d’Alphée, et Thaddée ;
Simon le Zélote et judas l’Iscariote, celui qui le livra.
Point de Paulus, à première vue, parmi les 7 apôtres (5+2) présents. Cependant, ce vitrail comporte une clef : ΘNIS 17.09.84.
Les 2 jambes du N sont prolongées d’un point qui les transforme en I.
Dans Θ(INI)IS le O est aussi un Têta grec et s’entend comme tel dans SI ON A OTÉ II .
C’est une reprise du jeu du titre : MISSION DES APOTRES = SI ON MIS A DES POTRES.

Le PRIEURÉ de SION est une vue de l’esprit. Il n’a jamais existé à Rennes-le-Château.
SION est une commande conditionnelle. Elle tire son origine d’une mauvaise interprétation de la phrase cachée du Petit Manuscrit où ‘’A DAGOBERT II ET A SION EST CE TRESOR’’ = A DROITE SI ON EST (des lettres T de ce texte. (DAGOBERT II est inversé en TREBOGAD. Avec II fautes corrigées, B et G, il devient TRESOR AD).
La preuve de cette utilisation se retrouve sur le pilier carolingien où le mot MISSION a été rajouté entre l’Alpha et l’Ω. A MISSION Ω + SI ON MIS O entre 18 et 19 de la date.
18 et 19 étant le nombre de grains de la traverse de la croix qui codent R et S.
En déplaçant l’Ω dans le médaillon central on obtient le texte A (23 grains = BC) ROS (29 grains = BI).
Soit AB CROS BI. Avec, Au moyen de 2 CROS, Avec 2 Croix. Celle que l’on retrouve en X sur les 2 entrelacs latéraux.
Nota : Le Serpent Rouge utilise le BI pour bisser le S et mentionne N.D. des CROSS en Lion 7.

SI ON A MIS DES POTRES avec SI ON A ÔTÉ II lettres = SI ON A MIS DES POTS.
Les 4 pots de fleurs du tympan sont ainsi ciblés. Les ‘’Pots-aux-Roses’’ qui représentent les ‘’4 Ritous’’.

17 est le code classique de Rô. Et la somme 9 (- 2, II. 09 étant entre 2 points, comme le N) + 8 + 4 = 19 code du S.
On peut ainsi retrouver les initiales P-S de Sergius Paulus sur ce vitrail Sud.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 20 déc. 2014 à 08:14
Les chevaux :
Allusions dans le Serpent Rouge :
_ En Vierge : ‘’Et merveille lors des sauts des autres cavaliers, les sabots d’un cheval avaient laissé quatre empreinte sur la pierre’’.
_ En Balance ; ‘’Me voici à mon tour cavalier sur le coursier divin chevauchant l’abîme’’.
_ je traduis la tête du cheval blanc dans les armoiries de l’opuscule par BLANC + CHE-val = BLANCHE.
Nota : Un lieu, au Sud du village, est cadastré sous son ancien nom de, ‘’Clots de CAVAILLÉ’’.
Nota : Le fer d’un cheval dessine un Ω.
Quand la somme des 4 chiffres d’une date = 24, elle correspond à la définition Ω.
Quand elle = 15, c’est soit Omicron soit O latin.
Une dalle du presbytère semble convenir. 1725, 1+7+2+5 = 15 = O.
…………………………………..
La dalle 1725/IG RΔ/X :
Non seulement la somme des 4 chiffres donne 15 code du O mais, séparément, code AGBE.
Pour rester plausible, cette date doit impérativement commencer par 1, donc par A. (2175serait inconcevable).
BAGE = O domine IG. La substitution I/A corrige en BIGE.
Le BIGE est l’antique attelage de 2 chevaux (char romain).
La lettre R était un P à l’origine. Un vandale y a rajouté la jambe qui l’a transformée.
Verticalement, Δ et X représente l’alphabet grec en donnant la distance 18 entre ces 2 lettres.
18 est le code du Σ, S.
Le tout se lit BIGE OPS où P est un Rô. Soit BIGE ROS.
Nota : L’égalité P = R est la constante fondamentale des jeux de ce site. Issue de PR AECUM (=Aequum), le Serpent Rouge la précise dans son allusion du Capricorne, ‘’Conte de PERRAULT’’.
Cette dalle a un côté légèrement péjoratif, car pour nous, un ROSSE est plutôt un mauvais cheval. Mais le rôle de cette dalle est l’égalité BIG = ROS avec la paire AG et IG.
Ainsi, le nom de BIGOU est abrégé en BIG tout en valant 2 G. GROS est donc le patronyme des BIGOU aménagé en CROIX.
AG et IG sont les monogrammes d’Antoine Bigou et de Iohannes Bigou. Les 2 prêtres, Oncle et Neveu, Gémeaux par le nom, Antoine et Jean Bigou, qui furent successivement curés de cette paroisse de 1736 à 1792.
Nota : Jean se retrouve sous le prénom de Baptiste sur le baptistère où il est ‘’le plus grand des AMIS’’.
Ce couple se retrouve dans 1727 = AG et BG.
Dans la phrase, ‘’La maison du pasteur EST+ la maison de tous’’, la croix qui domine le verbe EST cache le P de SEPT. Exactement comme sur l’épitaphe de Marie de Blanchefort où SEPT = SEpT. Le pasteur 7 est G, donc BIGOU.
Nota : ‘’L’abîme’’ = les Bals et ses falaises.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 déc. 2014 à 01:28
Le Serpent Rouge appelle le diable du bénitier ASMODÉE, le gardien du trésor, dans son signe du Cancer.
P. Plantard le compare au dieu arcadien PAN.
Au premier degré, il représente le ruisseau du Carla originaire de la fontaine des 4 Ritous.
Pour ce faire la lettre P codée par les 16 besants d’or de la couronne de la croix grecque remplace le B dans le cartouche ROUGE centrale et recompose P-S, le ROS, L’EAU latine, avec le cadre qui dessine un O. Ce qui est normal sur la vasque d’un bénitier. ROS valant aussi cette couleur en occitan.
Le second degré est plus complexe car ce ruisseau devient un abbé.
Il récupère le cœur d’or de la rose, 1 = A.
Le GENOU mis en exergue = G NOU E. Entendu avec l’impératif du verbe nouer il impose son rattachement à la racine ROS présente. Il convient alors de lire GROS + le A de la rose. AGROS.
Habitués à l’anglais, nous aurions tendance à traduire GROS par BIG. Surtout quand on sait que G = BIGOU. Et nous n’en sommes guère éloignés car La Vraie Langue Celtique de l’abbé H. Boudet repose entièrement sur les racines anglo-saxonnes de l’ancien dialecte languedocien local.
Page 146 de son lexique on y apprend que BIG = Courageux ….
Au troisième degré, le ruisseau CARLA et le Ritou BIGOU sont diaboliques.
La main, doigts écartés, peigne, CARDE, la jambe. Le E codé 5 en est griffé sous l’aile.
DRAC, le diable local, n’est ni Asmodée ni Pan. Mais il tire son origine du nom d’APXAΔIA.
Ainsi l’allusion de la fable de Jean de la Fontaine (des 4 Ritous) devient limpide comme de l’eau de source. Le GEAI paré des plumes du Paon = le G paré des plumes de Pan. Paon sans O, sans EAU, sans ROS.
A.G.ROS Antoine Bigou Ritou qui eut le courage de ses opinions et qui en paya le prix.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 déc. 2014 à 06:41
Une question reste posée. Pourquoi l’abbé saunière détruisit-il la tombe du poulpe ?
Son univers ne comptait plus les 2 manuscrits, cette tombe, pas plus que l’épitaphe de Marie de Blanchefort.
On peut s’interroger sur ce point et se demander si l’unique raison n’est pas la présence de l’idéogramme P-S. En l’effaçant, il pouvait en modifier le sens. On remarque en effet que cet idéogramme n’est pas précédé d’un A. ni sur la signature du Petit Manuscrit, ni sur la tombe. On pourrait aussi en déduire que l’abbé ne voulait pas passer pour un simple plagiaire qui aurait simplement reproduit les jeux de son prédécesseur. Mais si on analyse le pilier carolingien, on est obligé de constater que le message initial a été revisité.
Sur la tombe le poulpe corrige le texte et l’idéogramme.
Le mot PULPA est lui-même modifié en CULPAE, les fautes, par les 3 points de sa tête et les 5 traits de sa queue, C et E. Ceci pour modifier APX ΔI en CARLA avec les paires de D et de L, et de lire CELAS en place de CELLIS.
Mais l’Ω, extérieur à l’animal, vise l’idéogramme et les 7 points entre les tentacules donnent la valeur de la spirale, G. Cet Ω, tout en fournissant le O central de POS dessine 2 et S.
Le tout se lirait donc GROSS et non pas AGROS, comme chez Saunière.

Autre jeu où Saunière a manifestement modifié le message original, le pilier carolingien inversé. Quand celui-ci soutenait l’autel, il était en position verticale normale pour que la cavité creusée dans sa partie supérieure soit utilisable (cachette manuscrit). Pourquoi cette rotation de 180° ?
A cause de Bernadette Soubirous dont la vision de 1858 est paraphrasée par le bandeau PENITENSE ! PENITENCE !
La chronologie décompose son utilisation en 3 étapes :
_ A l’origine la croix portait 4 codes alphanumériques, 23 et 29 sur son fût et 18 et 19 sur sa traverse dénombrés par les points en relief.
Sur 3 niveaux, A 23 Ω / 18 – 19 / 29.
Le médaillon central dessinait un O.
Le tout, A BC Ω ROS BI ne tenait pas compte du Ω et se lisait AB CROS BI = Au moyen de 2 Croix.
Ces 2 Croix de St André se retrouvaient sur les flancs du pilier, dans les 2 entrelacs verticaux représentants le fût de la croix faciale, et valant X, 10.
Avec ces 2 croix retirées des 2 codes du fût, le message devenait A M (23 – 10) Ω ROS S (29 – 10).
Le tout s’interprétait alors AMO ROS S.
_ Les 2 abbés Bigou scièrent les entrelacs détruisant ainsi la somme des 18+19 = 37 besants (R+S) dont ils n’avaient plus besoin. Car ils utilisèrent les codes grecs : AB Γ ΣoT BI qui donnaient le résultat AB G SOT BI.
Nota : on retrouve SOT dans ‘’SOT PECHEUR’’.
ABbé BIG SOT. Je présume.
_ Saunière, pensant que les chercheurs futurs ne résoudraient pas ce jeu sans aide, ajouta une notice explicative pour retrouver la version originale.
Ainsi, MISSION 1891 entre l’A et l’Ω = SI ON A MIS O entre R et S.
La dalle 1891 du porche reprend la même idée avec le O dessiné par la bouche de la gargouille anthropomorphique.
Le monogramme de Marie, AM comporte un ω minuscule inversé en γ pour construire le verbe AMO, j’aime, à découvrir. AMO est bissé sur la dalle de marbre, ‘’OMA-rie conçue sans péché …..’’.
A mon avis donc, la progression fut :
AMO ROS S → AB BIG SOT → AMO ROSS.
En inversant le pilier, Saunière positionne le BI (29) au-dessus de la traverse ROS. SOUS BI est ROS.
Allusion à SOUBIROUS.
Ce détail est très important car la ferme des SOUBIROUS se situe au Sud-Sud-Ouest du village, à 1,580 Km.
Comme souvent, l’abbé Saunière a doublé ses messages. Face au pilier carolingien, il érigea un calvaire en 1897.
De forme carré, comme le pilier il reprend le message de ce dernier sous la forme A.O.M.P.S. = AMOROSES.
Pour éviter toute confusion les 2 plaques de marbre volées, IN CRUCE VITA et IN CRUCE SALUS sont encadrées par 2 ROSES.
‘’Sans péché’’ égale ici Sans faute d’orthographe. Celle-ci est dans la substitution S/C de pénitenCe / pénitenSe.
AMO ROSS devenu AMO ROSC permet2 lecture suivant la position du pilier : ROS C. et CROS.
La CROIX ou le ruisseau C..
2 ruisseaux locaux ont pour initiale C, LE CARLA et le ruisseau des COULEURS. Ce dernier est reconnaissable dans le Verseau du Serpent Rouge en, ‘’couleurs de l’arc-en-ciel’’.
Le ROS C. /CROS est la croix (‘’NOTRE CROIX’’ du calvaire). Celle que tient horizontalement Sancta Magdalena au tympan du porche, LE CARLA.
Cette rotation du pilier, où le centre de la croix sert de pivot, est reprise 2 fois dans le Serpent Rouge :
_ En Scorpion, ‘’Je pivote sur moi-même passant du regard la rose du P à celle du S, puis de l’S au P …’’.
_ Sur la couronne du sceau, S et P sont diamétralement opposés.
Elle permet l’inversion de la lecture de la traverse. ROS → SOR.
Astuce fondamentale qui explique une fois pour toutes pourquoi le G remplace le C dans la Croix CROS de Rennes-le-Château.
CROS = GROS car SORG = la source et que l’idéogramme P-S = La SOURCE de la CROIX.
La dalle 1740IG prend alors du relief. AG quarante = Car ANTE (Avant latin) 1G.
A G car l’initiale est un G. La croix dessinée par l’intersection du chiffre 4 A (avoir) un G en initiale.
Sur le clocher, CROS = GROS.
…………….
Autre dalle intéressante 1891 lue 18-19, comme sur le pilier.
La bouche de la gargouille anthropomorphique donne le O central, de la même façon. ROS. (OS = La bouche).
Mais les codes grecs donnent aussi ΣΩT, SOT. Soit SOT ROS entendu SAUT ROSSE, Saut du Cheval et SAUT de L’EAU par le Serpent Rouge (Vierge, ‘’Sauts des autres cavaliers’’).
CASCADE se traduit localement par SAOUTADOU (voir cartes postales de Saunière).
Le Saoutadou qui nous intéresse chute en bas des Clots de Cavaillé, depuis la falaise des Bals.
Il est sur l’axe Rennes-le-Château / Ferme des Soubirous. Il ne fonctionne que lors des gros orages car il n’est alimenté que par les eaux de ruissellement du ruisseau temporaire des ‘’Ravines’’. Mais il est très spectaculaire car son flux, très chargé en ocres, est rouge.
Ce site est tout à fait exceptionnel. C’est lui qui est visé par la lucarne de l’échauguette de la tour Magdala (‘’la fenêtre de la maison ruinée’’ du signe de la Balance.
Quand, ‘’le ciel ayant ouvert ses vannes’’ (Sagittaire), Le Saoutadou masque d’un rideau rouge l’entrée de la grotte de la Madeleine, véritable sanctuaire ésotérique de la Sainte. Là où LAZARE attend sa résurrection (Voir vitrail et LAZARE VENI FORAS).
Nota : En 3ème ligne du Grand Manuscrit, Le S de LAZAR écrit LASAR est surmonté du C qui le transforme en CARLA. L’ancien lit souterrain du CARLA ‘’MORT’’ débouche dans la Grotte/Chapelle de la Madeleine. Cette canalisation, d’environ 3m de diamètre, est entièrement obstruée par du sable. La cascade, d’une dizaine de mètres plonge dans une grande vasque très minéralisée. Une sorte de bénitier géant.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 déc. 2014 à 03:05
La question concernait la destruction de la tombe. Était-elle liée à la présence du POULPE et était-elle la dalle horizontale de la stèle portant l’épitaphe de Marie de Blanchefort ?
Sur cette dernière, les 8 anomalies, TEMEREPO, sont organisées par P. Plantard en MORTE ÉPÉE pour utiliser le dessin cruciforme de cette arme.
Il faut traduire cette combinaison par TEMERE, en latin = Au hasard, de façon aléatoire et EREPO, Je me faufile en rampant comme un serpent.
2 espaces sont à signaler. En début de texte, devant le C de CI, il devrait y avoir le i de ICI GIT.
En fin d’épitaphe, le verbe REQUIESCAT est scindé en REQUIES – CAT.
ITEM EREPO + TEMERE = Je me glisse de la même façon que se sont cachées les 8 anomalies.
Les 8 lettres qui jouxtent TEMEREPE sont alors relevées en CT, Le, MA, RE, AR, EB, Ep, OL.
Soit CLARA BEL. Le BEL CARLA, la Croix de Rennes-le-Château en forme d’épée.
La date du 17 Janvier donne le prénom de l’auteur de cet épitaphe, Antoine Bigou. Date commune avec celle de St Sulpice que le Serpent Rouge reprend en Capricorne à cause du monogramme P.S., partagé lui-aussi.
Un espace est aménagé dans REQUIES-CAT pour permettre l’insertion du E qui, en donnant le verbe SECAT (Comme sur la dalle de Coumesourde), divise le mot PACE en PA-CE. SECAT IN PACE = Il coupe dans ce mot.
Le nom d’HAUPOUL contient le PO de TEMERE PO. POUL + PA = POULPA, le même PULPA de la dalle inférieure. La stèle et la dalle étaient jumelées. Le nombre 8 d’anomalies rappelle les 8 syllabes de la dalle et les 8 tentacules de l’Octopus.
Mais à quoi servait exactement ce poulpe (‘’Poulpe monstrueux expulsant son encre’’, en Scorpion) ?
On remarque que le poulpe est relié à l’idéogramme P-S par une flèche double, ↕, qui indique l’interférence entre ces 2 rébus.
L’Ω, dessiné par les 2 tentacules avant et le G codé par les 7 points, rejoignent l’idéogramme pour l’enrichir en GROS. Dans l’autre sens, le S final descend terminer PULPA en PULPAS qui lui aussi intègre l’Ω en POULPAS.
Les 3 points de la tête modifient l’initiale en C, COULPAS et le E codé par les 5 traits de l’abdomen achève le mot en COULEPAS lu COULE PAS.
Quand l’égalité R/P entre en jeu, le résultat est double : COULE PAS / COULERAS.
Il s’agit là du ruisseau du CARLA qui ne coule, dans son lit de surface, qu’après les pluies. Le reste du temps, il reste dans son réseau souterrain.
Ce qui signifie qu’avant d’être le SERPENT Rouge, le ruisseau du Carla était le POULPE.
Tout dépend de l’interprétation de la locution IN HOC SIGNO VINCES. Vaincre en faisant le signe de croix revient à diviser en 4 parts égales. Et le phonétisme de CARLA est QUART LÀ.
J’en conclue que lorsqu’on rencontre un poulpe, dessiné ou écrit, on doit appliquer cette formule.
Pour preuves :
_ Sur la dalle, ARC + DI (APX + ΔI) est le quart des 8 syllabes REDDIS CELLIS REGIS ARCIS.
_ Sur la stèle, OR est le ¼ de TEMEREPO.
Est-ce là la raison de la destruction de cette tombe ?
L’abbé Saunière était assez frustre, pour ne pas dire béotien. Aujourd’hui, on dirait bling-bling. Il avait un rapport pour le moins décontracté avec les antiquités de valeur. Ce que démontre son mépris de l’érosion (ancien baptistère, dalle des chevaliers et pilier carolingien déplacés à l’extérieur de l’église).
Comparaison peu flatteuse de P. Plantard : ‘’L’abbé Boudet, curé de Rennes-les-Bains, paroisse limitrophe, me semblait aussi soucieux de s’éteindre que l’abbé Saunière l’était de s’allumer’’. Il ‘’paraissait’’.
Détruire une tombe ne devait pas lui paraître très sacrilège. Je pense que c’est surtout par curiosité qu’il entreprit l’excavation. Pour lui, ET IN ARCA EGO pouvait se traduire par ET JE SUIS DANS LE CERCUEIL. Il voulut en avoir le cœur net. Était-ce un cénotaphe vide, la vraie tombe de Marie de Blanchefort ou celle de Jean Bigou ?
On ignore le résultat de l’exhumation. On ne peut que constater qu’ainsi les 2 poulpes disparurent du site. Hélas !
Pour ma part, je pense qu’il s’agissait là de la tombe de Jean Bigou décédé le 30/09/1776.
La date de MDCCLXXXI, 1781 serait fausse et n’aurait que la valeur de ses codes, 17 et 18, Rô/R.
Amputée de 7 ans (ANTE SEpT ANS), la date réelle serait de 1775. AGGE.

La clef CARLA = Quart là définit mieux le G. Il est le ¼ du nom de BIGOU. Comme celui-ci compte 5 lettres, il lui a retiré le ‘’CAP’’ BI pour le remplacé par A. G est ¼ d’AGOU (l’EAU).
Le Serpent Rouge prétend que son nom restera ’’un mystère (Poissons) et qu’il est comparable ‘’au ‘’nautonnier de l’arche impérissable’’, en faisant allusion à ARGO construit par ARGOS pour Jason. Nom très voisin d’AGROS.
Peut-être que les 3 auteurs du Serpent Rouge ignorait qu’Antoine Bigou, né le 18/04/1719, était le fil de louis Bigou et Marie PÉSILLÀ , PÉZILHAN ou PÉZILLA. Nom dans lequel on retrouve le P-S de base.
Nota : Sournia, lieu de naissance, près de PéSillà-la-Rivière.
Nota : La mire de la cheminée de la tour Magdala est alignée sur le hameau de Pailhères. P…S.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 déc. 2014 à 04:33
Pour moi, le Serpent Rouge est un divertissement, une sorte de super jeu de piste dont les énigmes sont des allusions sibyllines basées sur une un autre jeu, historique celui-ci, du mystère de Rennes-le-Château.
Mais je suis bien seul à penser ainsi. L’ensemble des chercheurs ne croient pas une interprétation aussi simple. Pour eux, il ne peut s’agir que d’un parcours initiatique réservé à l’ésotérisme. Ils se basent sur la fameuse invitation d’Ophiuchus, le Serpentaire 11, ‘’A ceci, Ami Lecteur, garde moi d’ajouter ou de retrancher un iota …médite, Médite encore, le vil plomb de mon écrit contient peut-être l’or le plus pur.’’. Ils y voient là une allusion cachée à la pierre philosophale car la préface cite l’abbé Th. Moreux, auteur de l’ALCHIMIE moderne et directeur de l’OBSERVATOIRE de Bourges.
Certains pensent même que le Serpent Rouge n’a pas de lien avec Rennes-le-Château. La résolution de ce jeu de mots prouve le contraire.
Alors qu’un très grand nombre d’ouvrages a été édité sur cette passionnante affaire, aucune analyse pertinente du Serpent Rouge n’a jamais été publiée. J’en vois la raison dans l’absence de traduction de cette phrase clef. Aucun auteur sérieux ne peut se permettre de proposer une solution sans ce décodage.
Je le laisse donc à votre sagacité. Joyeux Noël.
…………………………..
Parallèle entre La Chouette d’Or et la chasse des Rennes.
Ou, Max valentin est-il Louis Saint Maxent, l’un des auteurs du Serpent Rouge ?
Ou, l’énigme de Rennes-le-Château a-t-elle inspirée la Chouette d’Or ?:
Un argument peut le laisser supposer.
En effet, si on résume l’affaire du Razès, on peut dire que son but est de trouver le NORD au SUD.
Et c’est bien ce que propose la Chouette d’Or qui nous invite à découvrir La CREUSE du Sud de Bourges, au Nord de Bourg-en-Bresse.
Coïncidence d’autant plus curieuse qu’un CROS ou CROSÀ, en occitan, = un CREUX.
A mon avis, bien sûr !
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 28 déc. 2014 à 11:19
Manifestement, la transmutation du Serpent Rouge n’inspire guère les ‘’sanshulotte’’.
Et pourtant cette pierre philosophale a fait courir plusieurs millions de visiteurs en un siècle. Ce qui est sans commune mesure avec la Chouette d’Or…..

‘’A ceci, Ami Lecteur, garde moi d’ajouter ou de retrancher un iota …médite, Médite encore, le vil plomb de mon écrit contient peut-être l’or le plus pur.’
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 04 janv. 2015 à 16:32
Ami, Lecteur et second Médite commencent par une majuscule. MAL ou Là M.
Nota : Sur le visuel du Capricorne du Serpent Rouge, le nombre 13, code du M est précédé d’un L calligraphié qui dessine le Serpent dans la constellation d’Ophiuchus. L étant la 12 ème lettre de l’alphabet le signe du capricorne devrait être le 12ème du Zodiaque. Or il est ici en 13ème position. L = M.
‘’ mon écrit’’ = TRIE C. Trier le code 3, celui du C.
Les 3 iotas sont les 3 points de suspension de la phrase énigmatique qui signifie ainsi, ne retirer aucune lettre du mot ÉCRIT, mais en TRIER 3 du mot PLOMB.
‘’médite, Médite encore’’ → Et Demi et Demi encore = divisé par 2 et encore par 2 = Quart là (CARLA). Cela revient à dessiner une Croix, donc un signe algébrique +, plus.
’’Médite’’ = aussi, M est dite. La lettre M du mot PLOMB est dite, est à rajouter aux 3 lettres déjà sélectionnées dans ce mot. 3 + M → PLOM. Racine dans laquelle, L = M.
Résultat, PLOMB transmuté en POMM.
‘’Or le PLUS PUR’’ = Au + PUR’’ (Au = symbole chimique de l’OR).
AU est toujours un allographe de O. PLU = + permet le double sens suivant :
_ + est la voyelle joker E et la phrase s’entend, POMME = EAU PURE.
Nota : La suppression du E est remarquable sur le calvaire de 1897 où ARSÈNE est réduit en ARSN dans l’acrostiche et dans le cryptogramme de BS où CURÉ = CUR et dont l’alphabet de substitution de 24 lettres ne comporte pas cette voyelle.
_ PLUS + O = POLUS, le PÔLE. Et POMM = POLL.
Car la Pierre Philosophale n’est pas obligatoirement la substance alchimique qui conduit à l’or, c’est surtout celle qui guérit. Et ici, c’est la FONTAINE de JOUVENCE.
Maintenant, il faut voir le lien qui relie cette dernière au PÔLE et donc, la différence en POLUS et POMUM (le fruit en général).

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