Le Serpent Rouge

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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 avr. 2020 à 01:50
Sot_Pêcheur4.PNG


_1 : Les lettres C et L présentes sur la première ligne et sur les 2 colonnes de la couronne, au même niveau, sont éliminées.
_2 : Le E, 2ème lettre de la couronne (horizontal supérieur, descend devant le U de la seconde ligne.
_3 : Le couple RH de la ligne 2 disparaît.
_4 : Le M de la couronne inférieure, à droite, s'installe à la fin de la ligne 2.

Voici le pas à pas que j'envisage pour la dernière étape du cryptogramme.
Cette méthode cartésienne permet d'inclure et de retirer aisément les lettres nécessaires.
Le texte final commencerait donc par : ''PEUR DU NOM''.

_5 : Le couple MA descend de la couronne supérieure pour s'établir en ligne 3, où, les lettres P et I, P et I sont à effacer ainsi que le I correspondant dans la couronne verticale gauche.
_6 : Ligne 3, les lettres O, S et I disparaissent. Le C à la base de la 9ème colonne monte.
_7 : ligne 4 : Moins I, R, T et U.

Pas à pas laborieux : + ''MA CLEF SER''.
_8 : Ligne 5, ôter M, R, I et T.
Résultat des 5 premières lignes : ''PEUR DU NOM. MA CLEF SERA LUE''.

_9 : Le I et le S de la couronne supérieure descendent sur la ligne 6. Le L (colonne verticale gauche de la couronne) glisse à droite et le T de la couronne droite se déplace horizontalement. O disparaît.
_10 : ligne 7, T saute.

_11 : Le E à la base de la colonne 17 grimpe en ligne 7. le I de LUI saute.
''PEUR DU NOM. MA CLEF SERA LUE 5 FOIS ET MA CLÉ LUE SE......''.
Nota : La voyelle E est la Vème de l'alphabet. Dans bErEngEr sauniErE, on compte V clefs E.
_12 : Ligne 8, Le U en tête disparaît et le R en base de la colonne 4 monte.
_13 : Les lettres D et M qui encadrent la ligne 9 y entrent. E et T sortent. Un des 2 L joints de la base monte et le E de cette base sert pour la seconde fois en rejoignant le G.
''PEUR DU NOM. MA CLEF SERA LUE 5 FOIS ET MA CLÉ LUE SERA LUE G DE MA TÊTE GNS''.

Les 64 lettres intérieures sont réduites à 56.
Ce premier jet peut être amélioré ; J'y retourne.......
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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 26 avr. 2020 à 02:58
Ce ''Sot Pêcheur'' ne serait pas l'abbé Bérenger Saunière signant B.S.CUR(é).
Mais qui ?
Qui dont l'auteur du cryptogramme a peur de dévoiler l'identité ?
Comment traduire avec exactitude le mot ''CLÉ'' ?
La ''clef'' d'un nom propre peut être le nombre de lettre qui compose celui-ci.
Clef V = nb de lettres du patronyme. Nom de 5 lettres.
Ou, l'initiale de ce nom, son chiffre, sa ''tête''.
Peut-on appliquer la formule ''2 fois retourna et XXV fois goûta'' à n'importe quel mot ou nom de 5 lettres ?
Oui, si on utilise l'antique alphabet sans W où le code alphanumérique du Z est 25.
Par exemple : ZORBA = YORON. B et A substitués (retournés) dans l'alphabet plié en deux, Z – 1.
Nota : C'est déjà cette formule qui permet d'obtenir l'alphabet de 24 lettres plié en 2.
L'ancienne version de celle-ci était dans la signature en Croix du grand Manuscrit : ΘNIS-A/N = SI ON A A = N et SI ON ΘTE une lettre (le E).
Nota : Une astuce a permis de s'affranchir de la lettre Z, à la fin de la 3ème ligne du Grand Manuscrit. Dans LAZAR, le Z est calligraphié S inversé.
Un nom comme PARIS peut alors se traduire par CAFIR (S – 1 = R).

Changeons d'interprétation :
''PEUR DU NOM. MA CLEF SERA LUE 5 FOIS ET MA CLÉ LUE SERA LUE G DE MA TÊTE GNS''.
Parmi les nombreuses variantes envisageables essayons de réduire la phrase ; A l'origine le texte compte 32 croix, essayons de retomber sur 32 lettres au lieu de 56.
La redondance du participe passé LUE diminue déjà le résultat :
''PEUR DU NOM. MA CLEF SERA 5 ET MA CLÉ SERA LUE MA TÊTE ''. En 40 lettres.
Avoir PEUR d'un nom de 5 lettres dont la TÊTE est celle des 64 lettres restantes ce cryptogramme.
C.à.d. le P (Ex initiale de Pêcheur).
Le 25ème mot du texte original est ''CUIT'' et son initiale est C (sa tête).
Et dans l'alphabet plié en 2, P = C.
Ce sont donc bien les 25 lettres de ''CUIT IL NE LUI RESTA QUE L'ARETE'' qui sont ciblées.
On retrouve alors l'acrostiche imparfait CLIAA que j'ai précédemment traduit par CLRAA, anagramme de CARLA.
CUITI
LNELU
IREST I/R
AQUEL
ARETE. A/R.
Il y a donc 2 possibilités, I/R ou A/R qui finalisent en CARLA ou CLAIR.
Nota : Si V CLAIR est entendu SAINT CLAIR, on peut déboucher sur Pierre Plantard = auteur de ce cryptogramme.
Qu'en serait-il de la signature B.S.CUR ? De l'O.R.PUR ?
Il semble qu'un transfert cartésien soit judicieux puisque les 4 coins YBNR du texte coïncident avec les 4 codes LOAF de la couronne.
Cependant, une lecture linéaire n'est pas à exclure. Les 64 lettres internes (De P à S) se superposant aux 64 lettres de la couronne. La difficulté réside dans le choix de la césure. De A à Z ?
Le petit dessin du Serpent Rouge précise bien, '' …. découvrir une à une les soixante quatre pièces...'', au-dessous des 4 cubes repérés 1, 2, 3 et 4. Par symétrie une lettre peut occuper 4 emplacements lors du pliage.

Réaliser une telle grille où 32 croix devenues 25 définissent 64 lettres est un véritable exploit.
La méthode Atbash est aussi un pliage d'alphabet.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 avr. 2020 à 05:58
Le joli BISOU interdit par le confinement :
C'est celui que nous offrent les deux abbés BIGOU en traversant l'alphabet de substitution plié.
BIGOU = OUSBI !
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 28 avr. 2020 à 06:56
La première lettre de la série intérieure de 64 est le P de PÊCHEUR. La dernière est le S de B.S.CUR.
Si le qualificatif SOT ne s'adresse pas au mot PÊCHEUR mais uniquement à son initiale sélectionnée par la grille des 32 Croix, l'adjectif signale que c'est cette lettre P qui est SOTTE.
Il conviendrait alors de la remplacée par un B pour retrouver les initiales de la signature, B.S.
PÊCHEUR devenu BÊCHEUR figurerait le chercheur qui creuse avec sa pelle.
P 62 S → B 62 S.
Cette hypothèse est renforcée par le bénitier diabolique où le B porté sur la vasque (Cartouche rouge B.S) devient le P de P.S.
Le code alphanumérique du P, 16, est inscrit par les 16 besants de la couronne de la Croix sommitale de l'ensemble statuaire.
P.S. S'entend ROSE. Celle-ci est au centre de cette Croix. Elle est rouge.
Le E final ne se lit pas, son code 5 est griffé sous l'aile du diable.
Et le P est un Rho ou Rô grec. P.S = RôS.
Le mot ROS latin peut rappeler le ''RHONE'' du cryptogramme, c'est un écoulement.
Il est rouge, car en dialecte languedocien ROS = Rouge.
Ainsi l'inversion B/S du cryptogramme aboutirait à : BÊCHEUR = P.S.CUR.
De toute façon, ce P est SOT, ''à l'embouchure du nom du RHONE'', c'est un RHO grec.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 29 avr. 2020 à 07:53
La phrase clef du cryptogramme commence donc au 25 ème (XXV) mot du texte et comporte 25 (XXV) lettres. Il faut inversé 2 lettres (I/R, ''2 fois retourna'') pour découvrir découvrir l'acrostiche CARLA, cadencé toutes les 5 lettres.
La phrase clef du Grand Manuscrit est encadrée, au centre du texte, par les 2 seules lettres grecques majuscules Alpha … Ω. Elle compte 36 lettres cadencées 1/5 qui finalisent en téléstiche ARETH.
On retrouve là le mot ARÊTE contenu dans la phrase du cryptogramme.
Cette racine ARETH est commune à une autre séquence (1/7) qui partage les 2 séries de 64 lettres et inscrit AD GENESARETH.
Le lac de Tibériade contient le verbe latin ARET H = Qu'il écrive H.
AD GENES ARET H peut se traduire par , ''à côté de lettres G, N, S, qu'il trace H'' sans que l'on sache si ce H est latin ou grec (êta).
La dernière ligne du cryptogramme se termine par CUR sans E. Après pliage, il ne reste plus sur cette ligne que 3 lettres sélectionnées par les croix, N, G et S.
Sans doute une coïncidence qui ne peut confirmer l'interprétation AD GENESARETH = Au début, à la Génèse, qu'il écrive H ou H, codés 7 ou 8 (grec ou latin).

Les méthodes utilisées :
Outre les cadences (1 lettre toutes les 5 ou 7), la cryptographie utilise aussi l'anagramme et l'acrostiche (le calvaire de 1897 est un exemple, Aimons, Saluons, Respectons, Notre croix = ASRN). Le pliage qui détermine la grille semble novateur ainsi que la technique de substitution (Vigenère sans E).
Les codes sont alphanumériques (1891 =18 19 = RS).
Le Petit Manuscrit utilise une particularité, les doublons (RR, AA, LL, SS) pour écrire 4 fois le nom du CARLA.
Dans le cryptogramme, on retrouve 3 paires dans la couronne, YY, RR, ZZ. Et dans le texte. SS, XX et LL.
Le Grand Manuscrit n'utilise pas les croix de séparation, contrairement au Petit dont les 3 croix délimitent le triangle du texte qui recèle le mot AQUA.
La majorité des jeux se résout par des substitutions partielles comme dans PARVA = CARLA (Coumesourde) ou CALVA = CARLA (Cimetière)et bien sûr, COELO = CARLA (Tympan, Ω, +O-még-A+, O = A).
Le S de B.S.CUR peut-il être l'initiale de SÈDE ? Et CUR l'anagramme de CRUX ?
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 30 avr. 2020 à 06:34
Admettons que le cryptogramme ne soit que la version moderne de l'antique Grand Manuscrit.
Ou plutôt, que ce soit la notice de déchiffrement de ce vieux document. L'auteur récent réutilisant les mêmes méthodes d'écritures secrètes pour aider le nouveau chercheur.
La clef dans la signature cruciforme donne en transept : ΘNIS = SI ON ÔTE une lettre.
Et en fût N étiré en forme de Z allongé opposé à A inversé en V, γ ou Y.
En renversant le fût, à la manière de celui du pilier carolingien, N/Z remplace A/Y.
En lecture directe, A = N (alphabet plié sans E).
Et la commande : ''Si on ôte Y/V et si on l'inverse en A''.
La lettre ''Y/V'' visée est le Y de LACRYMAS dans l'hymne à Marie-Madeleine, en épilogue du document.
En latin, LARME = LACRIMA ou LACRUMA dans sa forme archaïque.
En bas du Grand Manuscrit, ce nom est écrit avec un upsilon grec. LACRYMAS.
Cette même voyelle Y est mise en exergue en tête du cryptogramme du ''Sot Pêcheur''.
Elle est la première lettre du document dont elle occupe un des 4 coins de la couronne associée au signe rond plein●.
Mais alors qu'elle vaut A dans le Grand Manuscrit, ici elle se remplace par L. Y = A contre Y = L.
Nota :
L'auteur du Serpent Rouge signe du pseudonyme Louis Saint Maixent.
Sur son sceau circulaire, on lit les 2 dates 1099 et 1186 qui ne sont pas celles du royaume de Jérusalem mais les sommes, 1+0+9+9 =18 et 1+1+8+6 =16, sont les codes alphanumériques des lettres S et P.
Il se peut que la date 1009 soit le chronogramme MIX ou que X ENT soit entendu CENT, MIC = 1099. Nom + prénom = LI I MIX.
Avec de nombreuses possibilités si LOUIS contacté en LIS ou LUS.

De nos jours, les parcs d'attractions comme Le Puy ...Dy... ou As... canalisent nos contemporains en mal de divertissement. L'abbé Saunière fut un précurseur en élaborant un parc d'attractions réservé aux intellectuels. Un formidable jeu de piste basé sur des énigmes. La longévité de ses arcanes prouvent l'ingéniosité du système. En apparence gratuite, la participation à cette chasse se révèle magistralement rentable......
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 04 mai 2020 à 09:19
Que devrait-on découvrir après avoir déchiffré les 2 Manuscrits et le cryptogramme du ''Sot Pêcheur'' ?
Cette solution se cache dans le Sagittaire du Serpent Rouge (Signe 12) :
''...face à moi je vis déroulant sans fin ses anneaux, l'énorme SERPENT ROUGE cité dans les parchemins, salée et amère, l'énorme bête déchaînée devint au pied de ce mont blanc, rouge de colère''.
Pour ma part, je ne trouve pour l'instant que les résultats suivants :
_ Petit Manuscrit : ''J'aime Tau'', la lettre grecque Tau, emblème de St Antoine l'ancien).
5 fois le nom du CARLA. AQUA dans le triangle des Croix et SOLIS SACERDOTIBUS = SUBITO DRECAS SILOS = Subitement c'est le diable (DRAC) s'il hausse, si il est en crue.
_ Grand Manuscrit :
Résurrection de LAZAR = renaissance du CARLA (Z = C).
2 séries de 64 lettres. LACRYMAS → CARLA (Y = A). ''Si on ôte une lettre''.
_Cryptogramme :
Pliage en 4 et découverte de 64 lettres de la grille. Acrostiche des XXV = CARLA.

Le SERPENT ROUGE serait donc une ''énorme bête''.
Celle que représente le 13ème signe zodiacal d'Ophiuchus, le SERPENTAIRE entendu SERPENT DE TERRE. Un monstre qui peut se ''déchaîner'' en période de crue. Ce torrent boueux diabolique (Drac = Satan), serait le ruisseau du CARLA chargé d'ocre rouge quand il est en ''colère'', après un orage.
Curieusement cet ''écoulement, (en latin ROS)'' serait mort temporairement, en attente de résurrection, selon le régime d'un oued.
Nota : Métaphore Ruisseau / Serpent. Le nom du village de La SERPENT est au féminin.

Peut-on pour autant traduire le qualificatif ''énorme'' par GROS ?
GROS est un mot très pratique qui se décompose en G et ROS qui lui même contient le double sens de l'écoulement latin et de la couleur rouge occitane. ROS RÒS = EAU ROUGE.
Le code alphanumérique du G est 7. Et le mot SERPENT peut s'entendre SEPT EN.
Si bien que cet ''AMI'' (Poissons 2) le SERPENT ROUGE se traduit aisément par GROS.

Petit détour par le cimetière de Rennes-Les-Bains.
Tombe du comte Paul Urbain de Fleury.
Citée 2 fois dans le Serpent Rouge en Scorpion, ''IL EST PASSÉ lui aussi en faisant LE BIEN ainsi que CELUI de la tombe fleurie.'' et en Capricorne, ''à celui qui PASSE de FAIRE LE BIEN''.
L'épitaphe dorsale était :'' IL EST PASSÉ EN FAISANT LE BIEN''.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 05 mai 2020 à 07:03
''IL EST PASSÉ EN FAISANT LE BIEN'', ce qui signifie qu'il ne passe plus, IL FAISAIT jadis LE BIEN.
Dans sa version liquide, quand le SERPENT ROUGE image le ruisseau du CARLA, on comprend l'effet bénéfique qu'il avait sur la paroisse quand il irriguait les terres agricoles. Tari, le village est gravement atteint. La résurrection du ruisseau était espérée malgré que les prêtres considéraient que la punition était divine ''Pénitence ! Pénitense !''
GROS ancien = Prospérité de Rennes-Le-Château.

Allégories :
Mais GROS n'est pas qu'un ruisseau, c'est aussi un patronyme ou un pseudonyme.
Ce nom masque un personnage, un ancien ''ritou'' (Rector) de ce village. Il est alors précédé de l'initiale du prénom de ce dernier, Antoine. AGROS.
On notera que l'inverse d'AGROS, SORGA = la source, la résurgence, en dialecte languedocien.
L'abbé A.GROS et le ruisseau du CARLA faisaient le bonheur de ce village.

Origine du Serpent, le verbe SERPENTER.
Sur l'épitaphe de l'ancienne stèle de Marie de Blanchefort le verbe EREPERE, sortir en rampant, sur le ventre, à la manière d'un reptile, se cache dans les 8 anomalies TEMEREPO.
TEMERE EREPO = Au hasard, je me faufile.
Ces 8 anomalies concernent 8 lettres qui se faufilent dans le texte. Ces 8 jalons ''serpentent'' dans l'épitaphe pour repérer les 8 lettres de CLARA BEL.
Ces façons de ''serpenter'' dans les textes se retrouvent dans plusieurs documents :
_ Dans le Petit Manuscrit, ce sont les lettres surélevées qui ''serpentent''. A DAGOBERT II ROI ET A SION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT. DAGOBERT 2 s'inverse en TREBOGAD et BD en SR. SI ON EST À DROITE DES T …....
Les T eux-mêmes serpentent dans cette base pour écrire :
A DAGOBER(T) II ROI E(T A) SION ES(T C)E (TR)ESOR E(T I)L ES(T L)À MORT.
TATCTRTITL = ACRIL = CLAIR.
_ Dans le Grand Manuscrit les 64 + 12 + 64 lettres serpentent à la fréquence 7. ARET H aussi.
_ Dans le cryptogramme, les 64 lettres intérieures serpentent au gré des 32 croix superposées par le pliage. Les 5 lettres du CARLA sont cadencées par V, 5.
TEMERE EREPO = alors, Discrètement nous nous glissons dans ce texte, CARLA et AGROS.

La version humaine du GROS semble ne pas convenir à la définition :
''...face à moi je vis déroulant sans fin ses anneaux, l'énorme SERPENT ROUGE cité dans les parchemins, salée et amère, l'énorme bête déchaînée devint au pied de ce mont blanc, rouge de colère''.
Autant elle s'adapte bien à un cours d'eau, autant elle paraît lointaine d'un prêtre.
En effet comment interpréter ''déroulant sans fin ses anneaux''. Un indice qui apparente plutôt ''l'énorme bête'' à un serpent constrictor, genre BOA, qu'à un curé de campagne.
Cependant, le mot anneaux sans fin, c.à.d., scindé en ANN et EAUX colle parfaitement à un écoulement, le grandes ou plutôt les GROSSES EAUX.
Je ne vois pas de correspondance dans ''salée et amère'' avec la rivière Sals et je traduis ce couple par LARMES, en regard de ''LACRYMAS'' de l'hymne à Madeleine. Donc en CARLA.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 05 mai 2020 à 23:39
Comment distinguer le prêtre du ruisseau, le GROS du GROS ?
A la page 280 de La Vraie Langue Celtique, l'abbé Henri Boudet traduit le nom CROS par CROIX (Notre Dame du CROS).
Ce qui est singulier car un CROS, en dialecte languedocien est trou, une cavité, un CREUX.
Mais phonétiquement, la terminaison des mots à la manière méridionale, se prononce. Ainsi, on lit un CROS mais on entend une CROSSE.
Toujours dans le Capricorne, on note la présence en majuscule de PERRAULT (''en conte''). C'est une allusion à la clef PS-PRAECUM où PR AECUM se traduit aussi par P latin = Rô grec.
La lettre Rô, P, s'entend RO. La voyelle O n'est pas écrite mais elle est présente.
Si on veut transformer un GROS en CROIX, en CROS, il suffit donc de changer son initiale. Manœuvre d'autant plus logique que le code alphanumérique du Γ grec est aussi celui du C latin, 3.
Le ruisseau du CARLA est ainsi représenté par une simple Croix horizontale dans les mains de Ste Madeleine au tympan de l'église.
Nota : Les égalités P/Rô et G/C sont les substitutions incontournables de la cryptographie de Rennes-le-Château.
L'abbé Antoine GROS peut donc évoluer en Abbé A. de la CROS (En Vierge du Serpent Rouge, ''DELACROIX'').
Le GROS ruisseau et l'abbé GROS sont les 2 ''AMIS'' cités en Verseau et Poissons.

Une Croix en chiffre. Où comment cacher une Croix dans une date.
Pour que cette dernière soit plausible (1er ou 2ème millénaire), elle doit impérativement débuter par 0 ou par 1. Zéro étant un code inexistant dans l'alphabet, ce sera donc un 1, code du A.
La voyelle A n'est pas dans le mot CROS, mais on la retrouve dans AGROS.
Le code du G étant 7, une date commençant par 17 cache AG ou Q (en latin ) ou P (en grec).
Pour obtenir le nom entier de AGROS, il faudrait donc une date à 6 chiffres 171719.
Sauf si 17 est bissé, 1719.
Par contre ROS (PS) se range aisément dans une année. 1891 = 1819 = RS sous la gargouille du porche et sur le pilier carolingien. 1781 = 1718 dans l'épitaphe de Marie de Blanchefort (PΣ).
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 07 mai 2020 à 02:57
Comment savoir si 17 = A G, 1 et 7 ou P, Rô, code 17 ?
On remarquera que 2 dates sont souscrites de IG sur les dalles rouges du clocher et de la porte du presbytère, 1740 et 1725.
Ce I devant le G n'est pas l'initiale d'Ignace Paris. C'est le chiffre romain 1.
il est associé au G pour indiquer que le nombre 17 de la date doit se traduire par AG et non pas par Rô.
A l'origine, ce principe se trouve dans le nom de DAGOBERT II. Ce 2 romain signale que nom du roi comporte II erreurs. Ne manquant pas d'humour, l'abbé A.GROS invite à l'inversion du nom (en mémoire de la fameuse culotte!).
TREBOGAD – II = TRESOR AD (A DROITE).
Cette méthode a plu à St Maixent. En Scorpion, il fait une allusion au Père Jean-Jacques Olier de St Sulpice : ''Peut-être comme Olier dans son cercueil''.
LIRE O dans le mot CERCUEIL impose de modifier ce dernier en CERCEL. U et I sont inutiles pour découcrir l'anagramme en 6 lettres CERCLE.
O = un CERCLE, quand la bouche circulaire de la gargouille anthropomorphe dessine le O qui s'insère entre 18 et 19 de la date 1891 du pilier du porche (= ROS), ou quand le médaillon central en relief de la croix carolingienne complète de la même façon la date de la Mission de 1891, entre les 18 et 19 grains du transept.

Dans le même ordre d'idée, vu précédemment :
Paul Urbain de Fleury qui est ''PASSÉ EN FAISANT LE BIEN''.
La balance ur_BAIN / BIEN conduit à la conclusion IL EST PASSÉ EN FAISANT LE BAIN.
Ce qui est historiquement vrai, ce compte relança le thermalisme à Rennes-Les-Bains vers 1813.
Mais là, il s'agit du BAIN de Rennes-Le-Château, inconnu jusqu'alors.

L'équipe qui a résolu l'énigme de Rennes-Le-Château était parisienne. Les auteurs de l'opuscule du Serpent Rouge avaient pour pseudonymes, Pierre Feugère, Louis Saint Maxent et Gaston de Koker.
Parisiens, il n'est pas étonnant qu'ils aient choisi des repères dans la capitale pour développer à leur tour un jeu qui cache la solution de l'affaire. Bien qu'il n'y a jamais eu de lien entre Paris et le Razès.
On trouve donc de nombreuses références à l'église St Sulpice. Uniquement parce que la signature de l'abbé A.GROS, l'idéogramme P-S dans la spirale, se trouve être aussi le chiffre de SulPice, SP.
La présence sur les lieux de Signol, Delacroix et Olier permet d'étoffer les arcanes. La toile de Poussin au Louvre, est une heureuse coïncidence.
Il me semble important de remarquer le pendant de St Sulpice, St Germain-des-Prés (Page 2 : ''NOTES SUR SAINT GERMAIN DES PRÉS ET SAINT SULPICE'').
L'accusatif pluriel d'AGER est AGROS. Les champs, les campagnes, les terres agricoles.
Un puriste traduirait SAINT GERMAIN DES PRÉS par SAINT GERMAIN AGRORUM.
SAINT GERMAIN AGROS ET SP (SAINT SULPICE).
Curieux, surtout avec l'initiale G de Germain.
La méthode du mot ''valise'' a bien été utilisée puisque SP vient de la valise SulPice.
La tentation est grande d'en rechercher dans chaque mot …...

Les actes archivés dans les registres paroissiaux de Rennes-Le-Château, baptême, confirmation, mariage et mort, se terminent toujours par la formule ''En foi de quoi, Bigou prêtre curé signé''.
Ces documents couvrent la période 1737 /1759, le curé de la paroisse était Jean Bigou.
Nota : Mort de Messire François d'Hautpoul de Blanchefort, le 15 mai 1733 (page 52).
Je découvre avec surprise la présence d'un 3èmme Bigou. Après les 2 prêtres curés Jean et Antoine, apparaît un certain Pierre (mariage de 1746, page 24 ci-dessous).
BigouPierre.PNG
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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 08 mai 2020 à 07:53
Dans son église, l'abbé Saunière installa la statue de St Antoine de Padoue face à la chaire, sur socle formé de 4 anges séparés par des gerbes de lis. Les mêmes anges que ceux qui dominent le diable du bénitier.
Il y a donc deux représentations de St Antoine dans le sanctuaire. L'autre statue est celle de St Antoine ERMITE tenant dans sa main gauche un livre rouge (Lire Rouge).
Les dates :
St Antoine Ermite (le Grand). IV ème siècle. Fête patronale le 17 Janvier.
St Antoine de Padoue. XIII ème siècle. Fête patronale le 13 Juin.
L'abbé A.GROS de Rennes-le-Château partageait des traits communs à ces deux saints, à commencer par leur prénom, ANTOINE.
En Vierge du Serpent Rouge, on lit ''RETIRE MOI DE LA BOUE QUE JE N'Y RESTE PAS ENFONCÉ'', indice qui fait référence à ''la septième sentence'' du chemin de Croix de l'église parisienne de St Sulpice (VII, Jésus épuisé retombe).
Cet indice, ''RETIRE MOI DE LA BOUE'', est répété en Capricorne.
VII, 7 est le code alphanumérique de la lettre G.
RETIRE G DE LA BOUE.

La BOUE = Terre + Eau. Elle est représentée sous forme de colline ''fleurie'' sur la fresque du confessionnal.
La lettre G n'est pas dans le mot BOUE. Si on la rajoute, on obtient BOUGE.
L'inscription SAINT ANTOINE DE PADOUE est gravée sur un bandeau doré qui entoure le socle.
Un crucifix est passé dans la cordelière qui ceinture le Saint. Une Croix est ainsi positionnée sur un cercle.
Le livre ouvert que tient le Saint rappelle que la vérité est dans l'écriture.
Je rebaptise alors la statue en ANTOINE DE LA BOUE.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 09 mai 2020 à 05:48
St Antoine de Padoue, ce Saint qui redécouvrit le manuscrit de Brives !!!!!
Un autre indice du Serpent Rouge complète la série ANTOINE + BOUE + G.
En Cancer, ''N'étant pas Hercule à la puissance magique''.
Parmi les 12 travaux du héros, celui qui se fond le mieux dans le contexte boueux semble être la purge des écuries d'Augias. Ce n'est guère poétique de réduire l'énigme de Rennes-Le-Château à un vulgaire problème de chasse d'eau. Cette hypothèse pourrait décourager certains amateurs d'ésotérisme. Disons alors que la boue peut aussi être très utile en thermalisme......
Supposons surtout que BOUE + G évolue en BIGOU, ANTOINE alias A.GROS.

Les répétitions :
Les mots ''AMI'' (Verseau et Poissons), ''RETIRE MOI DE LA BOUE'', (Vierge et Capricorne), '' IL EST PASSÉ EN FAISANT LE BIEN'' (Scorpion et Capricorne) sont bissés pour bien montrer la bivalence entre le GROS de l'abbé Antoine Gros, AGROS et le ruisseau AGROS entendu ÂGÉ ROS, le vieux ruisseau rouge. Le Serpent Rouge bicéphale , la double Croix.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 10 mai 2020 à 06:07
Enfin, le confinement touche à sa fin !
Pour remercier Ste Marie-Madeleine de nous avoir accompagné pendant ces 2 longs mois, je propose un petit pèlerinage à sa ''source bienfaisante'' (Lion).
Mais attention, pas à la fontaine guérisseuse de la Madeleine de Rennes-Les-Bains, la ''Gode'' (La Vraie Langue Celtique page 273/4), à celle de la grotte de la Madeleine (Ex du Fournet) dans les Bals.
Les vertus de ses eaux ne peuvent sans doute pas vaincre le Civid S (19) mais cette petite randonnée vous permettra de connaître l'origine des petits galets rouges qui ont servi à écrire le mot KX SLX sur le sarcophage/banc de la grotte de la Sainte dans le jardin de l'église.
Cette source pérenne se jette dans le ruisseau des couleurs et sort directement de la paroi. A votre santé !
Dans le mot KX SLX un espace sépare en 2 segments de 2 et 3 lettres.
La clef se cache dans l'inversion du second, XLS = 40S = quarante S entendu CAR ANTE (Avant latin) S.
KXS = CAR. K = C, X = A, R devant S.
KXSLX = CARLA.
C'est l'ancien ruisseau du Carla qui gît dans le sarcophage, l'ÂGÉ ROS, le vieux ruisseau rouge. Comparé à St LAZARE sur le vitrail de l'église.
Son nom est composé de ses propres galets.
En latin, l'anagramme de CARLA, L'ARCA = le cercueil, et définit le banc/sarcophage.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 18 sept. 2020 à 06:56
Le Serpent Rouge s'intéresse principalement aux jeux de Rennes-Le-Château, négligeant trop, à mon avis, ceux de Rennes-Les-Bains.
Les prêtres de ces deux villages avaient pourtant plusieurs points communs et tous ont cultivé le génie de l'exploitation de bases existantes. Ils se sont divertis à exploiter des situations placées sur leurs sites par le hasard. Leur regard sur le monde qui les entourait les incitait à aménager la réalité en second degré. Ils ont recherché à tirer profit de situations à priori banales pour jouer avec les apparences. Voir au-delà du réel, un peu comme le poète qui cherche des silhouettes dans la forme des nuages.
L'abbé Boudet fut un expert de ces contemplations détournées. Prenons par exemple l'élaboration qu'il fit avec son prédécesseur l'abbé Jean Vié, au nom prédestiné.
Ce n'est qu'une coïncidence si ce prêtre mourut à 64 ans.
De même, c'est pur hasard si sa vie se décompose en deux segments de 32 ans (1808-1840 et 1840-1872).
Il était remarquable de constater que la vie de Jean Vié se divisait en 8 portions de 8 ans.
De là à choisir le code alphanumérique 8 = H, il n'y avait qu'un pas car depuis toujours, sur le Razès c'est ce système de chiffrage qui est utilisé.
L'astuce de Boudet fut l'emploi de l'allographe de la lettre H entendue HACHE, ce qui permettait de représenter 8 en sculptant un fer de Hache.
L'autre finesse consista à partager une Croix discoïdale en 4 fers de hache. Une Croix valant ainsi 8 ans. Et 2 Croix, 64 ans.

La résolution de l'énigme se résume à la formule de la pierre tombale de l'abbé :
2 Croix de 8 ans = VIÉ.
Nota : Ce type de recyclage n'excluait pas l'humour Jean Vié = JANVIER.
VIÉ se décompose en VI, 6 romain et E, code 5 alphanumérique.
Voila le constat qui est à l'origine de l'arcane. Jean Vié aurait du vivre 65 ans, comme son nom le cache et non pas 64 !
Voulant honorer son prédécesseur, l'abbé BOUDET (Lire DEBOUT) l'adressa au ciel, donc au paradis. Il en fit donc une planète, MERCURE, en superposant les 2 Croix car la périodicité de l'astre est de 88 jours.
Pour l'allégorie, il personnifia la boule du pilastre Sud du fronton du clocher.
Cette méthode avait déjà été employée pour honorer le prêtre Delmas qui précéda Jean Vié (vers 1709).
Là, c'est le calvaire central du village ''JUBILE DE 1854 Pre DELMAS'' = PIERRE DE MARS.
J'eus Bi (2) Lés de 1854. 18 = code du R.
Ainsi, le clocher à peigne de Rennes-les-Bains est encadré par les planètes de Mercure et de Mars.
La voûte céleste fait le lien entre les deux Rennes. Si ''LUMEN IN COELO'' se traduit par CLARA IN CARLA, la présence de ces 2 divinités païennes est curieuse.

Cette manie d'interpréter les décors s'est transmise chez les actuels amateurs de rêveries. Le rocher à l'allure fantomatique de la Victoire de Samothrace(Serbaïrou) n'a jamais porté l'inscription ''Ad Lapidem Curebat Olim Regina'' (ALCOR – Grande Ourse), mais comment résister à la tentation de l'y graver ?
Tout ici n'est histoire que de déformations enjolivées et de dérives artistiques. Refaire un monde qui tourne rond comme le cercle imaginaire d'un cromlech. Chasse au trésors surréalistes.....

Le plus intéressant dans identification de ces 2 sphères de pierre qui ornent le clocher réside dans le changement d'astre. Car, si au départ la boule Sud représente la planète Mercure (visible depuis le cimetière), après le décès des dames Boudet (1896), mère et sœur de l'abbé, elle devint Spica, l'étoile mémorielle d' Adélaïde Boudet, tout en restant Mercure entendu ''Mère du Curé''.
Représentée alors par la Vierge qui domine le calvaire Pétrus .

Le nom de Jean Vié ne peut se cacher dans une date mais quand il évolue en Jean VIER (JANVIER), il se glisse aisément dans 1856. Les codes 18, 5 et 6 inversent le mot FER. Et 18 + 5 + VI confirme que l'abbé VIÉ était l'homme de FER.
Nom délicat à porter, surtout pour un homme d'église.............
Heureusement que l'abbé Boudet ne fut pas obscène. Dans son univers mégalithique, on imagine sans peine quel menhir il aurait pu choisir pour commémorer ce brave Jean Vié (''VIÉ RECTORE'' !!!
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 10 oct. 2021 à 15:56
Critiques de la cryptographie de l’abbé Saunière :
Au sommet du tympan de l’église de Rennes-le-Château, un phylactère en forme de fer à cheval dessine la lettre grecque Ω.
Son texte est encadré de 2 croix. ‘’+ IN HOC SIGNO VINCES +’’.
Par ce signe de la Croix, tu vaincras.
Cette locution latine est un leitmotiv sur le site. Ce symbolisme chrétien se répète dans plusieurs arcanes. Il permet de donner des clefs de déchiffrage.
Ici, c’est le mot OMÉGA qui est balisé par les 2 Croix pour inviter à la substitution Alpha / Oméga.
Alphabet grec transféré sur l’alphabet latin / français. A = O.
Dans la tradition chrétienne Dieu est l’A et l’Ω de toute chose. Le commencement et la fin. L’éternité du christ. (St Jean, Apocalypse 21-6).
En rapprochant cette clef, A = Ω ou A = O, de Matthieu 20-16 on se dirige sur l’indication ‘’Les premiers seront les derniers’’. Le déchiffreur s’attend logiquement à retomber sur une variante du code biblique Atbash.
Mais ce n’est pas le cas.
Une seconde clef se cache dans la phrase ‘’TERRIBILIS EST LOCUS ISTE’’. Ce lieu est terrible.
C’est un mélange de latin et de français. Ce panachage s’entend TER – R – IBI – LIS = Lis un troisième R ici.
Logiquement, dans un alphabet renversé suivant la méthode Atbash le R cité devrait se substituer à un I. Or ce n’est pas le cas.
La cible de ces 2 clefs (A = O et 3ème R) se loge dans la devise papale de Léon XIII, ‘’LUMEN IN COELO’’ = Lumière dans le ciel.
COELO = CAELA et, avec E = R, CARLA.
Synonyme de LUMEN, CLARA, la clarté, est l’anagramme de CARLA.
La solution est donc : CLARA IN CARLA.
Jeu imparfait donc à mon goût.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 oct. 2021 à 01:47
‘’HIC DOMUS DEI EST ET PORTA COELI’’, ici est la maison de Dieu et la porte du ciel.
COELI, COELO décliné au génitif, est à son tour modifié par les 2 clefs.
La porte de l’église du village devient la PORTE du CARLA et de la clarté CLARA.
L’entrée de l’église de Marie-Madeleine conduit à la LUMIÈRE.
Mais quelle est cette vérité à découvrir ?
Le phylactère Ω est à double détente.
Non seulement les 2 Croix de ses extrémités encadrent le mot OMÉGA pour donner la substitution A/O (Les premiers seront les derniers) mais il met aussi en évidence la lettre centrale G dans le mot SIGNO. Signalement accompagné de l’anagramme OMÉGA = AMO GÉ, j’aime le G, 3ème lettre de l’alphabet latin équivalente par son rang au GAMMA grec, Γ.
J’aime la substitution C/G. J’aime quand COELO devenu CARLA devient GARLA.
Ainsi, Rennes-Le-Château deviendrait Rennes-L-Ghâteau.
Cette interprétation prêterait à sourire si GARLA ne cachait pas le GRAAL.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 avr. 2022 à 10:39
Christ = ‘’Je suis l’Alpha et l’Oméga’’ Apocalypse (St Jean 1 : 8 ou 22 : 13). Le commencement et la fin de tout.
L’abbé Antoine Gros utilisa une paraphrase quelque peu sacrilège et écrivant ‘’Je suis l’Alpha et l’inverse de l’Oméga’’. Car il avait remarqué que l’ω gravé sur le pilier carolingien s’inversait en γ, gamma, lui permettant ainsi de masquer ses initiales.
Une autre fois, dans l’en-tête du petit manuscrit il reprit cette inversion de l’ω en M oncial dans ‘’Tau dans α sur ω’’ = AMO T, j’aime la lettre T.
Choqué donc quand je découvre une nouvelle version de ce symbolisme chrétien dans une inscription ‘’woke’’ :
‘’LGBT en force !’’. Un Alpha phallique est dominé par un Oméga fessu.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 avr. 2022 à 15:04
Pourquoi l’en-tête du petit manuscrit est-il calligraphié en grec ? (T dans α sur ω inversé = AMO TAU).
L’abbé Antoine Gros affectionnait particulièrement Saint Antoine (Le Grand, l’Ermite
, fêté le 17 Janvier) dont il partageait le même prénom.
Et l’attribut de cet Egyptien était la Croix en TAU.
Tout naturellement, les lettres à droite des T recomposent un message.
SI ON est à droite. Et non pas SION.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 avr. 2022 à 09:03
Pourquoi avoir choisi le nom de DAGOBERT ?
En raison de l’origine du pilier carolingien ?
Non, pas seulement.
Les lettres surélevées du Petit Manuscrit dégagent ce nom dans :
‘’A DAGOBERT II ROI ET A SION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT’’
Mais il ne s’agit pas là du roi Dagobert 2 mais de Dagobert 1er.
Le chiffre romain 2, II, n’est là que pour inviter à une double manœuvre.
L’abbé Antoine Gros ne manquait pas d’humour. En choisissant un monarque aussi célèbre, il savait bien que son patronyme serait inversé, comme sa fameuse culotte, en TREBOGAD 2.
Le chiffre jour alors un double rôle :
_1 : Il retire les lettres B et G qui sont substituée par S et R dans le mot TRESOR AD.
_2 : Il attire l’attention sur la paire AG (D(AG)OBERT) qui signe le manuscrit des initiales de l’auteur.
LE texte se lit alors :
‘’À A.G. TRÉSOR ADROITE À SI ON EST CE TRÉSOR ET IL EST LA MORT ET LÀ MORT’’
La commande conditionnelle SI ON, couplée avec l’en-tête AMO T impose la sélection de toutes les lettres jouxtant les T pour découvrir le trésor de l’abbé A.G. . Trésor qui est mort là, à Rennes-Le-Château et qui représente une CROIX (La mort pour un chrétien).
‘’A DAGOBERT II ROI ET (A) SION EST (C)E T (R)ESOR ET (I)L EST (L)A MORT’’
Soit ACRIL = CLAIR.
Une variante permet de finaliser sur ACRLA, car LA suit un C.
On notera que CLAIR est souvent préféré à CARLA (Pierre Plantard de Saint Clair).
Mais c’est le mot latin CLARA qu’il faut choisir. Anagramme du ruisseau CARLA
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar james » 23 avr. 2022 à 10:28
marc a écrit :Pourquoi l’en-tête du petit manuscrit est-il calligraphié en grec ? (T dans α sur ω inversé = AMO TAU).
L’abbé Antoine Gros affectionnait particulièrement Saint Antoine (Le Grand, l’Ermite
, fêté le 17 Janvier) dont il partageait le même prénom.
Et l’attribut de cet Egyptien était la Croix en TAU.
Tout naturellement, les lettres à droite des T recomposent un message.
SI ON est à droite. Et non pas SION.


Bonjour Marc.

Il est très intéressant ce petit parchemin. J'ai pour ma part une autre interprétation du symbole en en-tête du manuscrit. S'il se trouve à cette place, c'est qu'effectivement il doit nous donner une ou plusieurs informations capitales quant à la nature de ce qui suit et la manière de l'utiliser. Nous avons un même symbole formé de trois lettres grecques : alpha, tau et oméga. Nous sommes donc invités à les combiner. Alors pourquoi pas de la manière suivante : A(LPHA) T(AU) et OME(GA), soit ATOME...



(XIVe siècle)Sous la forme athome issue du latin athomus, variante de atomus (« partie élémentaire de la matière »), lui-même étant un emprunt du grec ancien ἄτομος, átomos (« insécable, non coupé »), dérivé de tomos (« couper, diviser ») avec le préfixe a- (« privatif »). Le mot latin « individu » a une logique sémentique analogue. Durant l'antiquité, le mot grec chez Démocrite et Épicure et le mot latin chez Lucrèce ont le sens philosophique de « particule de matière, considérée comme insécable et ultime »


" Insécable "... ne pourrait-on alors rapprocher le texte issu des évangiles ayant servi de support pour élaborer celui du petit parchemin de cette clé de compréhension qu'est le symbole aux trois lettres grecques, et donc de l'atome ? Un symbole fourni, disons-le clairement, clef en main...



" Or donc, un sabbat où il traversait des moissons, ses disciples arrachaient et mangeaient les épis, en les froissant dans leurs mains. Mais quelques Pharisiens dirent : "Pourquoi faites‑vous ce qui n'est pas permis le jour du sabbat ?" Et, répondant, Jésus leur dit : "Vous ne l'avez donc pas lu, ce que fit David lorsqu'il eut faim, lui et ses compagnons, comment il entra dans la maison de Dieu, prit les pains de proposition, en mangea et en donna à ses compagnons, ces pains qu'il n'est permis de manger qu'aux prêtres seuls ?" Et il leur disait : "Le Fils de l'homme est maître du sabbat."
« Finalement, ayant perdu l’esprit sans ressource, il vint à donner dans la plus étrange pensée dont jamais fou se fût avisé dans le monde. » Miguel de Cervantes

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