Le Serpent Rouge

Annonces concernant les autres chasses au trésor, en cours ou à venir.
marc
Hulotte
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 sept. 2015 à 01:40
Voici le plus vieux document que j’ai découvert relatif à La Fontaine des 4 Ritous (Grâce au Dictionnaire Topographique du Département de l’AUDE de l’abbé Sabarthès, page 143).
Sur ce compoix de 1594, la Fontaine des 4 Curés = la Foun de Quatre Rectours, en ligne 14.
On retrouve les noms du BÉZU et de BUGARACH en lignes 14 et 12 (CHEMIN GRAND ???? A BUGARACH).
LE GRAND CHEMIN se retrouve en ligne 15 et LA QUANTITÉ DE SOIXANTE SEPT en ligne 1.
Je ne suis pas expert en épigraphie et je n’ai jamais rencontré de spécialistes capables de déchiffrer ce texte.
Si le cœur vous en dit, votre aide sera la bienvenue.

Ce document est très intéressant car il semble prouver que jadis ce lieu était le carrefour de 4 directions cardinales. En utilisant le mot RECTOURS pour RITOUS, on retrouve une croisée de ‘’grands chemins’’.
Ce qui expliquerait pourquoi le ruisseau du CARLA est la croix de Rennes-le-Château.
Ce croisement Nord-Sud / Est-Ouest et celui des routes ancestrales Couiza-Bézu / Bugarach-Espéraza.

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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 19 sept. 2015 à 17:09
L’ombilic de Rennes-les-Bains est le calvaire du jubilé.
Comme les 2 autres calvaires, celui d’entrée du village et celui dit ‘’Pétrus’’, son socle est un tronc de pyramide en grès et il porte le nom de PIERRE DELMAS.
Sa brève inscription : JUBILE DE 1854 / Pre DELMAS.
Le 4 est un L barré verticalement donnant ‘’le signe de la croix qui permet de vaincre’’ son jeu.
18 et 5 sont les codes alphanumériques de R et E. Ces 2 lettres sont les RE miniatures derrière le P de Pre.
J’EUS BI LÉ DE 18,5,(4=L+) = J’EUS 2 LÉS (laizes, 2 bords) et (4=L+) = J’EUS 8 RE.
Le code alphanumérique de 8 est H. Son allographe HACHE = COUPE. COUPE RE.
Couper RE dans le prénom PIERRE l’abrège en PI.
Sur l’autre bord, ne conserver que les 2 dernières lettres du nom de DELMAS le réduit à AS.
PI-(ERRE DELM)-AS = PIAS.
Les 3 pommettes hérissées de 8 pointes de la croix de fer forgé donnent le C tout en dessinant des étoiles rayonnantes.
PI-AS + C = SPICA, l’ÉTOILE. Anagramme d’ASPIC, la vipère rouge.
A la rigueur, on pourrait dire que Pierre Delmas devient un SERPENT ROUGE mais Le nombre de pointes (Spica = pointes) impose le pluriel, SPICAE.
Ce jeu utilise la référence extraite de ‘’La Vraie Langue Celtique’’ de l’abbé Henri Boudet, La HACHE CELTIQUE (Page 255).
Il reprend le même mot SPICAE que celui de la parabole des épis de blés dans le Petit Manuscrit.

Le calvaire d’entrée ne porte que PIERRE DELMAS 1856.
Il joue aussi sur le verset de Matthieu 16 :18, ‘’Pierre tu es pierre et sur cette pierre….’’.
Les codes de la date 18, 5, 6 sont R, E et F. → FER.
C’est un conseil à l’entrée du village. Il faut porter le FER sur le nom de PIERRE DELMAS.
1856 = COUPE.

On retrouve cette date 1856 = HACHE, en bas du calvaire PETRUS.
DOMINO VIE RECTORE / PETRUS DELMAS FECIT
VIE, je domine l’érection que Pierre Delmas a faite.
Le mot RECTORE est fautif mais ce mot (qui se traduit aussi par ‘’Par le curé, RECTOR en étant l’ancien nom) est placé ainsi en raison de son initiale R et de son O qui ‘’domine le VIème E du texte dans FECIT.
En grands caractères, VIE + petit R sont les premières lettres de la VIE-r-ge Marie ‘’hachée’’ que porte la croix de fonte ornée de roses.
La VIERGE est le signe zodiacal qui ‘’domine’’ ce calvaire et un des 2 signes qui permettent de vaincre ce jeu (IN HOC SIGNO VINCES). L’autre étant ce O (Exactement comme l’Ω du tympan de Rennes-le-Château.
L’étoile majeure de cette constellation est SPICA. En 3 lettres, l’ÉPI.
Ce qui modifie VIE en PIE et reconstruit le prénom PIERE au-dessus du nom DELMAS, comme sur le calvaire d’entrée.
SPICA, La POINTE, je domine l’érection que Pierre Delmas a faite.

Un peu d’histoire :
Deux abbés Delmas se sont succédés au presbytère de rennes-les-bains. Tous deux se prénommaient ANTOINE.
9 Oct. 1664 - 20 Juin 1731 et ?/ ?/ 1674 - ?/ ?/1707.
Le premier est l’auteur du fameux manuscrit Delmas daté de 1709.
La présence d’un troisième Delmas, prénommé Pierre et qui aurait conduit la paroisse après les 2 Antoine, n’est pas avérée. L’abbé jean vié entendait honorer ce prêtre bâtisseur en érigeant ses 3 clavaires.
L’église St Nazaire et St Celse fut rehaussée l’église au cours du XVIIIème siècle.
La façade de l’église est de type mur-clocher. Le fronton original avait la même forme que l’actuel et portait les 3 troncs de pyramides qui sont aujourd’hui les 3 clavaires Delmas. A leurs places ont été érigés 2 pilastres plus légers, mais de même forme. Au centre, le support court n’a pas été remplacé.
Le profil en ‘’chapeau de gendarme’’ du fronton explique la hauteur de ces 3 pierres recyclées en calvaires.
Les 3 calvaires, au Nord, d’entrée du village, au Sud, Pétrus et au centre, du Jubilé respectent leurs positionnements frontaux d’origine. Un court entre 2 hauts symétriques.
Ces colonnes en delta portaient des boules en pinacle. Seule l’actuelle boule centrale, d’un diamètre supérieur, est d’origine. Elle était surmontée d’une croix de fer.
Le calvaire PETRUS se trouve au pied de la façade, à la verticale du tronc de pyramide Sud qui porte une boule de pierre en pinacle. L’abbé Vié a dressé un parallèle entre ces 2 colonnes de même forme.
Cette sphère dans le ciel représente donc l’étoile SPICA dans VIRGO.
Ces 3 calvaires honorent la mémoire du curé Delmas mais son nom sert d’instrument pour en découvrir un autre. Ainsi la date ‘’coupe’’ les ‘’CAPS’’ de ses nom et prénom de façon à ce le cercle O = PI*D, πD. (Page 229 de la Vraie Langue Celtique, ‘’Le Cap dé l’Hommé’’ mort.

Résumé des 3 calvaires Delmas : La boule du pinacle = O dans POINTE. Le Ciel représente le Paradis.

Nota : Pierre Delmas rebâtit l’église de Rennes-les-Bains, mais PETRUS bâtit l’Église elle-même. L’apôtre romain fut ensuite le 1er Pape. Le Pontife du temps de Saunière fut Léon XIII et celui de l’abbé Vié qui le précéda, PIE IX.
Ce serait lui le ‘’Pape Pomme Bleue’’.

La tombe des Dames Boudet :
Elle jouxte celle de Jean vié et est orientée faxe à la boule du pinacle.
Les 2 épitaphes jumelles sont rigoureusement identiques. La partie droite de la stèle concerne la sœur et la partie gauche, la mère de l’abbé Henri BOUDET. Adélaïde et sa fille Maria Antonia.
Or cette ligne présente une anomalie avec un S intrus, ADELAIDE + S MARIA ANTONIA.
Marie Antoinette prend sa forme occitane et le prénom d’Adelaïde reste français, mais sans le tréma.
La mère, née HUILET le 20 Nov 1810 à Montfort-sur-Boulzane, se prénommait Jeanne Adélaïde Elisabeth.
Sa fille, née le 8 Oct. 1833, Jeanne Marie Antoinette Adèle.
AD (Latin, à côté) EL+les AIDE S → A côté d’elles, mettre au pluriel aide.
La croix gravée représente 3 SPICAE alors que la boule = SPICA, au singulier. Imitant en cela les SPICAE du calvaire du Jubilé.
Ces 3 pointes sur cette croix rappellent les 3 clous de la Crucifixion. 3 CLAVI qui deviennent CLAVIS, la CLEF de l’énigme. Ils sont aussi mis en exergue sur le tableau dit du ‘’Christ au lièvre’’, près de la Sainte éponge.

La solution se trouve sur la tombe de Jean Vié :
Curieusement, la VIE de VIÉ dura 64 ans un carré parfait.
En bas de la stèle, l’inscription PRIEZ POUR LUI est en italiques penchées.
La même invitation, cintrée en forme de fronton d’église, se retrouve sur la tombe des frères Boudet à Axat.
PLIEZ POUR LUI convient mieux. L’axe étant la phrase centrale ‘’Nommé Curé en 1840’’.
Cela permet de superposer Jean VIÉ à 1er 7bre et d’obtenir 17 JANVIER et J’ENVIE R.
L’âge se décompose en 2 séries de 32 ans : 1808↔1840↔1872.
Une croix discoïdale représente 4 haches de fer.
Chaque série de 32 ans se partage en 4 secteurs de 8 ans suivant et le modèle de la croix circulaire.
De part et d’autre de la pliure il y a 4 fois 8 ans soit 4 haches. 8/8 = 88 jours.
Une hache scinde le texte de la pliure en d’eux où le R envié est rajouté. Nom Mé + R Curé = MERCURE.
La périodicité de cette planète est de 88 jours.
Une croix de fer récemment restaurée domine la pierre et sert de collimateur pour viser la boule du pinacle.
Cette boule semble ne plus être l’étoile de La vierge SPICA mais la planète MERCURE.
Au centre de cette croix, le soleil héliocentrique montre la rotation de l’astre et ses 8 rayons codent une hache qui partage la planète en 2. Une petite croix sommitale rajoute la lettre E.
A l’extrémité de la traverse de cette croix on retrouve MERCURE + E décomposé en MÈRE et CURÈ.
Ainsi, SPICA est la MÈRE du CURÉ. Mais ce n’est pas la mère de l’abbé Boudet, comme sur la tombe latérale, c’est la maman de Jean Vié.
En enterrant sa propre mère à côté de Jean Vié, Henri Boudet a habilement mis SPICA au pluriel, SPICAE.
La mère de l’abbé Jean Vié se nommait ROSE JOSSO (Son père se prénommait déjà Jean).
La boule du pinacle de l’église de Rennes-les-Bains représenterait donc une ROSE. Le O dans les SPICAE du calvaire Petrus n’était que la voyelle dans les épines.

C’est là que l’affaire s’obscurcit. Car le 17 Janvier est aussi le masque d’Antoine P-S, AG.ROS, à Rennes-le-Château.
Et un jeu qui paraît bien innocent pourrait bien être plus compliqué qu’un simple amour filial qui espère voir sa maman au paradis.

En effet, en Taureau du Serpent Rouge, on lit, ’’Grâce à lui, désormais à pas mesurés et d’un œil sûr, je puis découvrir les soixante-quatre pierres dispersées du cube parfait, que les Frères de la BELLE du bois noir échappant à la poursuite des usurpateurs, avaient semées en route quant ils s’enfuirent du Fort blanc’’.
Quant pour Quand est une simple faute d’orthographe.
Le Fort blanc est l’ancien château fort de Blanchefort.

L’abbé Jean Vié serait-il un de ces usurpateurs ?
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S17
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar S17 » 19 sept. 2015 à 17:58
marc il est passionnant ce post merci !
Qd j'aurais un peu plus de temps j'essaierai de tout reprendre, on entre vraiment ds un conte :-)
530 : BOURGES / 780 : SUD + mesure 0.33 / 470 : A RONCEVAUX-BOURGES-AUBE / 580 : RAS / 600 : RAS / 500 : CARIGNAN-DABO / 420 : GOLFE-JUAN-DABO / 560 : pas Dabo
2e passage : numéros croissants
marc
Hulotte
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 20 sept. 2015 à 23:14
La solution commune entre les énigmes de Rennes-le-Château et Rennes-les-Bains est le nom de ROSE. Mais il n’a pas la même valeur dans les 2 villages bien qu’il s’entende de la même façon.
_ 1) : A Rennes-les-Bains, c’est une fleur, une ROSE qui cache un prénom féminin.
_ 2) : A Rennes-le-Château, c’est un ruisseau, un ROS latin, un écoulement.
Phonétiquement identiques, ces 2 interprétations se complètent d’une 3ème, occitane, ROS = ROUGE.
Et, ce qui complique encore le choix, c’est que cette racine ROS rentre en composition dans CROS qui vaut une CROIX languedocienne (La Vraie Langue Celtique, page 280).
Quand, en plus, ces lettres sont chiffrées dans les codes alphanumériques de 2 alphabets différents, la lecture devient délicate.
Prenons des exemples qui sont plus parlants que les longs discours :
A la gauche du porche de l’église de RLC, le pilier est dominé par une gargouille anthropomorphique dont la bouche dessine un O.
Dessous, la date 1891 se lit 18-19. La seconde partie est inversée.
C’est un jeu de Saunière qui utilise les codes alphanumériques latin.
18 = R, 19 = S. avec le O central, 1891 → ROS.
On retrouve cette même date sur le pilier carolingien sous le jeu A-MISSION-Ω = SI ON A MIS O.
Là encore, 1891 = ROS.
Maintenant si on relève la date de MDCCLXXXI, 1781, sur l’épitaphe de Marie de Blanchefort, date qui est aussi à demi inversée en 17-18, on doit utiliser les codes grecs. Soit P-S. le P étant un Rô.
La dalle rouge, au-dessus de la porte du presbytère, le rappelle sur l’échelle de l’alphabet grec.
La distance entre Δ et X est P, 17 positions.
Ainsi, suivant l’auteur, 1891 ou 1781 = ROS.
Les codes alphanumériques ne sont plus utilisés depuis longtemps car ils sont à double sens au-dessus de la dizaine.
Ainsi, 17 qui vaut P grec peut valoir 1, 7 = AG latin.
De plus 17 est réellement et simplement un nombre dans la date 17 Janvier où il représente Antoine dont c’est je jour de la fête de son St patron.
Ainsi, la date complète, 17 janvier 1781→ 17 17 18 = AG.ROS + Antoine.

En composition, une autre confusion possible vient se greffée.
Le code du C latin = celui du G grec (rang alphabétique 3).
L’idéogramme P-S entouré de sa crosse = GROS mais vaut CROS, CROIX.

A cette situation déjà confuse viennent s’ajouter les chiffres des personnages qui ne sont pas de simples monogrammes.
Bérenger Saunière signait BS (Bénitier) ou BS CUR (Cryptogramme).
Les 2 abbés BIGOU, oncle et neveu, ont choisi le cœur de leur nom, G.
Sur l’arche du porche de la cure, une petite croix domine le verbe EST dans LA MAISON DU PASTEUR ES+T LA MAISON DE TOUS. Cette croix est le P à inclure dans SET pour donner le code 7 du G.
Les chiffres des 2 abbés sont : Antoine Bigou et Jean-Baptiste Bigou, 17 et 27 = AG – BG.
On les retrouve sur une dalle rouge du presbytère.
La difficulté vient alors du tri en AG, Antoine Bigou et ÂGÉ, l’adjectif vieux.
Pour différencier ces 2 cas, BS a utilisé l’empilement sur la fresque du bénitier.
On voit un prêtre thaumaturge qui officie au sommet d’une butte composée d’objets disparates et de boue semble-t-il. En latin, AGGERO = j’amoncèle, j’entasse.
Tout cela pour que le lecteur ne traduise pas les 17 rameaux de roses qui jonchent le sol par AGROS mais par ÂGÉROS.
Et pour bien confirmer cette lecture, il utilise le mini-personnage en redondance. Ce petit vieillard plié sur sa canne domine le verbe SOULAGERAI du bandeau. SOUS L’ÂGÉ IRA.
Cet ÂGÉ personnage se dirige au pied du tertre pour modifier la BESACE déchirée. Son accroc montre l’absence de la lettre E dans B SAGE (Pas BS ÂGÉ).
Mais ce n’est pas Bérenger qui est ce sage, c’est Baptiste Bigou, le plus grand des AMIS des fonts baptismaux.
L’ÂGÉ ROS est le vieux ruisseau du Carla à la fontaine des 4 Ritous représentés par les 4 orangers indiqués par les LIS ORANGÉS.
Tout naturellement, les abbés Bigou ont associé leur chiffre G/7 au ROS ROS, ruisseau rouge, pour construire une croix, en utilisant l’antique égalité gréco-latine, Γ=C.
GROS = CROIX des Bigou = Idéogramme sur la tombe ou signature sur le Petit Manuscrit.
On retrouve 2 fois cette égalité G/C. sur la porte de de la cure (IG), et surtout sur le clocher dans 1740IG où la croix est donnée par l’intersection du 4.
1740IG = AG quarante IG. La croix A G CAR ANTE, avant, c’était un Gamma.

Le TRÉSOR de Rennes-le-Château est résumé plusieurs fois dans les triangles des ROSES (2 bleues, une rose) sur les vitraux. Ce triptyque rappelle qu’il est composé de 2 abbés et d’un ruisseau.
TRES, en latin 3, suivi de ROSE inversée.
TRÉSOR = 2 Bigou + Carla.

La question reste cependant entière, la ROSE du pinacle de Rennes-les-Bains est-elle celle de Rennes-le Château, ou simplement la mère de l’abbé Jean Vié ?
Deux liens aquatiques peuvent relier ces 2 villages. Tous deux possèdent un ruisseau nommé CARLA (CARLAT) et une source de la MADELEINE.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 sept. 2015 à 09:09
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‘’Les USURPATEURS’’. 3 possibilités :
_ Ce sont les 64 ans de la VIE de VIÉ.
_ Ce sont les 2 fois 64 lettres supplémentaires du Grand Manuscrit.
_ Ce sont les 2 séries de 64 lettres du cryptogramme du ‘’Sot pêcheur’’.
A mon avis, ce sont les auteurs du cryptogramme faussement attribué à l’abbé Saunière.
Il reprend exactement la méthode utilisée dans le Grand Manuscrit.
PEUR DU NOM. MA CLEF A RIEN NE SERT. MAIS JEU BEAU A ÉTÉ. CARLA. ENTRE RENNES ET BÉZU 4I.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 sept. 2015 à 16:55
Les vieilles lettres, AG+lettre, 17+Lettre :
Sur le tympan, le phylactère portant +IN HOC SIGNO VINCES+ dessine un Ω qui est une de ces lettres ÂGÉES.
Converti en AMO GÉ, l’OMÉGA grec cache en fait la lettre Γ, GAMMA, elle aussi ÂGÉE. 177.
L’inversion du pilier carolingien transforme ω en γ.
Mais l’ω s’inverse aussi en M oncial.
L’en-tête du Petit Manuscrit le prouve, l’alpha triangulaire est dominé par cette lettre double pour construire AMO. A l’intérieur du triangle le T est encore une lettre âgée, un TAU.
Ce Tau qui permet de savoir que ce document est signé d’Antoine.
J’AIME T dans le triangle.
J’ignore la date précise de l’élaboration du Petit Manuscrit, tout en la situant au XVIIIème siècle.
Mais je pense que la méthode de la cachette triangulaire est très antérieure.
Oswald Wirth ne connaissait pas ce document. Néanmoins, il l’a réutilisée.
Sa lame de tarot du Fou-Mat porte la lettre hébraïque Shin qui vaut 300 et qui se traduit par DENT.
Le triangle des dents tracé par celles du personnage, du crocodile et du chat détermine une zone secrète où l’échancrure de la manche dessine une lettre M.
De la même façon, sur la lame du Pape, la lettre hébraïque Hé vaut 5 et le triangle est déterminé par les 3 croix que portent ses 2 gants et sa tiare. A l’intérieur duquel, le bouton de sa fibule écrit la lettre O.
Ce tarot est si intéressant qu’il mérite son propre topic …………
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 sept. 2015 à 05:57
……. Revenons au Petit Manuscrit, à son en-tête ‘’J’aime T’’ et à son triangle de la Mort :
Les lettres surélevées écrivent la clef primaire.
A DAGOBERT II ROI ET A SION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT.
Le nom de DAGOBERT II est facétieux. Il faut le ‘’remettre à l’endroit’’ et lui retirer ses II fautes pour le corriger avec P-S. L’idéogramme ROS en bas de page qui sert de signature et qui sera utilisé 2 fois.
TREBOGAD – G et B + P-S = TRÉSOR AD.
À TRÉSOR À DROITE A SI ON EST-CE TRÉSOR ET IL EST LÀ MORT.
En clair, Ce Trésor mort est là, dans le texte, si on est à droite des lettres T.
A DAGOBERT II ROI E(T A) SION ES(T C)E (TR)ESOR ET IL ES(T LA) MORT.
Soit, ACRLA = CARLA.
Pour les couples, voir dessin ci-dessous.

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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 sept. 2015 à 23:07
‘’Et il est là, mort’’. Les 3 croix du texte sont celles de tombes. Elles délimitent le cimetière triangulaire qui recèle le trésor.
‘’A droite du T’’ se trouve sa clef, TRESPONDENSA dans laquelle l’idéogramme P-S corrige le P en Rô.
TRESRO N DENS A = TRÉSOR N DANS A → Substitution N/A à l’étage inférieur du N pointé par un repère ►.
QUAN → QUAA = AQUA = EAU.
A ces résultats, on peut rajouter plusieurs sous-arcanes comme la commande conditionnelle verticale SI ON.
Mais l’inversion qu’il ne faut pas négliger est celle de SOLIS SACERDOTIBUS.
SUBITO DRAC EST S’IL HAUSSE. DRAC c’est le Diable, qui apparaît ‘’le ciel ayant ouvert ses vannes, l’énorme SERPENT ROUGE cité dans les parchemins’’ devient cet oued chargé d’ocre (En Sagittaire).
Solutions : CARLA, 4 CARLA, AQUA, DRAC.
Les jeux secondaires sont :
_ Ligne 2 : SECUNDΘ PRIMO. O+Θ, Thêta, = ÔTÉ.
Ôter le second qui devient le premier. Placée derrière le mot SABBATO, elle invite à diminuer la seconde lettre de l’alphabet, B, qui devient la première, A. Redondance de REDIS LES B.
_ Ligne 10 : dumum inversé en ωλένη, ΩΛΈΝΗ, Olène.
En latin O LENE = O lentement. Repris sur le blason du Serpent Rouge, en BENE, O BIEN ? EAU DOUCE ?
_ Ligne 13 : uxuθ inversé en θήχη, ΘΉΧΗ, le cercueil = L’ARCA latin.


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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 sept. 2015 à 15:11
Pour refuser d’admettre que le trésor de Rennes-le-Château est l’AQUA, l’EAU, beaucoup de chercheurs se réfugient derrière l’excuse des ‘’POMMES BLEUES’’.
Analysons donc ce leurre.
Cette fameuse ’’pomme bleue’’ se trouve sur le vitrail de ‘’La Mission des Apôtres’’ et elle est violette.
Un des apôtres la tient sous son aisselle droite alors que ses 2 bras croisés dessinent une croix de St André.
L’extrémité arrondie d’une croix se nomme une POMME ou pommette.
De plus, celle-ci est dans la PAUME du Saint.
Le Serpent Rouge, en Scorpion utilise ce phonétisme dans, ‘’Je porte ma main à ma bouche, mordant instinctivement ma paume’’.


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On ignore qui a baptisé le tableau de Pierre Plantard, ‘’Le Pape pomme bleue’’ mais sur ce dernier, ‘’la pomme bleue’’ est le pommeau de la triple croix papale.
Les vitraux de l’église de Rennes-le-Château n’ont pas été spécialement créés par le peintre verrier Henri Feur de Bordeaux. Ils ont été commandés sur catalogue. Par contre, ils ont été adaptés aux jeux de cette église de façon à délivrer un message différent de l’initial. Ils comportent donc tous un ajout.
Sur celui de la Résurrection de LAZARE, c’est un petit FOUR qui a été rajouté à côté du visage du Christ de façon à localiser la résurrection de LAZARE devenu LACAR dans la grotte du FOURNET (Aujourd’hui, de la Madeleine).
Sur le vitrail de Marthe et Marie, une croix a été rajoutée sur un banc pour recomposer BLANC, la couleur des 3 assiettes. Marthe se plaignant des tâches ménagères, Jésus lui répond, ‘’Une seule chose est nécessaire’’ pour faire ta vaisselle, l’EAU. Luc 10 :42.
Sur le vitrail de la Mission des Apôtres, cet ajout est l’inscription ΘNIS / 17.09 / 84
L’analyse consistera à essayer de relier ce vitrail au tableau qui reprend la lame du Pape du tarot.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 sept. 2015 à 04:30
Ce tableau se veut œcuménique entre les 2 villages de Rennes-le-Château et de Rennes-les-Bains qui utilisent la même formule, ‘’IN HOC SIGNO VINCES’’ pour désigner la même lettre, O.
Le phylactère Ω du tympan correspond au VIème E ‘’dominé’’ du calvaire Pétrus.
Les 2 ecclésiastiques tonsurés et agenouillés sont les abbés Pierre Delmas et Antoine Bigou, reliés par le symbole zodiacal des Gémeaux entendu J’AIME EAUX et O.
Jumeaux dans leur passion des jeux de mots et des arcanes, ils représentent leurs villages rivaux par l’intermédiaire des croix. Celle de gauche est la croix fléchée de la tombe des Dames Boudet. Celle de droite, en or, est un des 5 CROS du pilier carolingien.
Les noms des 2 prêtres sont simplement codés en alphanumériques. Sur le fanon, le dolmen de pierre dessine un Pi, Π, et les 4 barrettes, un D. ‘’Caps’’ de PI-erre D-elmas.
Les 7 pommettes de la triple croix codent le G de Bi-G-ou et la fameuse ‘’pomme bleue’’ le A de son prénom Antoine. AG ou 17 ou Rô.
L’astuce vient du chiffre de Pierre Delmas qui donne aussi la formule du calcul d’un CERCLE O, sous la boule du pinacle.
Étape 1 :


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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 sept. 2015 à 16:45
Étape 2 :
Plantard traduit le calvaire du Jubilé ainsi :
J’EUS 2 L de 185 (4=L+) par L de DELMAS = L + = M.
DELMAS devenu DEMMAS compte 2L+ et se comprend PIERRE DE 2000 ANS.
Une pierre de 2000 ans est un DOLMEN. Ainsi DELMAS = DOLMEN.
Sur le calvaire PETRUS, il utilise le O dominant le VIEme E pour modifier le nom en DEOMAS.
PETRUS DEO MAS FECIT = PIERRE A FAIT LA MAISON DE DIEU.
En arrière-plan, celle-ci, l’église de RLB.
Ce qui prouverait que l’abbé Jean vié s’intéressait déjà aux ‘’pierres savantes des Redones’’, bien avant l’abbé Boudet.
Les 2 colonnes sont Roque Nègre et Roque Rouge, suivant leur couleur. Elles donnent l’axe N/S en partant du château de Blanchefort. L’église est sur cet axe.
Dans le coin gauche supérieur, un curieux dolmen ressemble à une maison avec sa table triangulaire imitant le profil d’un toit. C’est le DOLMEN DELMAS qui joue sur la proximité de ces 2 noms et du calvaire du jubilé pour dégager l’égalité MAS = MAISON dans DEO MAS, la maison de Dieu.
Il reprend ainsi le site du ‘’Plat de la Coste’’ où se dressait le menhir du ‘’Cap dé l’hommé’’ que les pages 229 et 234 personnifient en Notre Seigneur Jésus Christ.
La boule du pinacle représente ce ‘’CAP’’, cette tête du Christ. Car sur le calvaire Pétrus, c’est la VIE qui domine la maison de Dieu. (Jean 14 : 6, ‘’Je suis le chemin, la vérité et la VIE’’). L’enfant dans les bras de la Vierge Marie.
Dans sa préface de La Vraie Langue Celtique, Pierre Plantard compare les deux abbés Saunière VS Boudet dans le chapitre ‘’Deux curès’’.
Il n’estime guère le premier qu’il trouve superficiel, aujourd’hui on dirait ‘’bling-bling’’, avec ses manières de nouveau riche. Par contre il confesse une admiration sans borne pour le discret abbé aux yeux bleus. ‘’Une telle érudition émanait pourtant de l’humble curé …’’.
Bérenger Saunière, n’ayant pas été apprécié, il ne figure pas sur ce tableau. Le troisième ecclésiastique est Henri BOUDET, le Pape DEBOUT, comme son ouvrage vertical sur sa tombe d’Axat.
Le trio est ainsi reconstitué.


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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 26 sept. 2015 à 05:14
La base du tableau de plantard est la lame 5 du tarot d’Oswald Wirth. Mais lui-même s’est inspiré des chefs d’œuvres de Jean Dodal et de Jean Noblet.
Le pape est toujours représenté avec ses gants brodés d’une croix en souvenir des stigmates de la Crucifixion, mais sur certains tarots, ceux-ci sont BLEUS.
Ces gants ne sont pas de simples accessoires de la tenue liturgique des Papes, ce sont les Chirothèques, en soie de mer.
Le Serpent Rouge est formel, il faut ‘’mordre la paume’’, pas la pomme.
Si on mord, si on coupe, un gant on obtient G-ANT.
Soit AG inversé en G. ANT-oine.
Le Pape Pomme Bleue est alors Antoine BiGou.
Le pape du tarot délivre ainsi 2 messages :
_ Pomme → POMMEAU de sa triple croix, POMM + EAU.
_ Paume → Son nom, Antoine Bigou.
Le tout dans le contexte des Gémeaux = J’AIME O/EAUX.


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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 sept. 2015 à 04:20
Retour sur le vitrail de la Mission des apôtres pour constater que la main qui tient la ‘’pomme’’ violette ne porte pas de gant.
Le seul pape possible est Pierre, le seul des 12 apôtres qui le fut et qui fonda l’Église.
Il peut effectivement représenter AG car ses initiales, P-S de Pierre Simon, sont celles de ROS et que le personnage central, de dos, est vêtu d’une toge rouge (Ros).
Le but du jeu est d’identifier l’apôtre à demi caché à droite et qui est désigné par Simon.
Il est à moitié dissimulé dans l’ombre, ceci pour inviter à ne retenir qu’une partie de son nom.
Cette inscription aide : ΘNIS / 17.09 / 84
C’est une reprise de la signature du Gand Manuscrit utilisée aussi dans le Petit où le O de la commande conditionnelle SI ON devient un Θ pour donner SI ON ÔTE.
Les 2 hampes du N sont sus et souscrites pour apporter 2 I.
SI ON ÔTE II. Paraphrase de DAGOBERT II.
17.09 = A G I. J’ai A = I.
84, 8+4 = 12 = L.
L’apôtre occulté est Judas. On retrouve son nom dans la commande conditionnelle:
SI ON ÔTE II / ISCARIOTE entendu IS CARI ÔTE. Avec le segment IS CARI encadré par les 2I.
SI CARI, utilise légalité 2, A=I, et le L final pour finaliser en SI CARAL = SI CARLA.
SI il y a le CARLA, il y a le plan d’eau en arrière-plan.
A première vue, la pomme violette ne sert à rien. Sauf si CARLA n’est pas le ruisseau, mais le ‘’QUART LÀ’’.
Les bras de l’apôtre dessinent une croix et seul une des 4 extrémités se termine par la Pomme/Paume.
A la rigueur, on peut retrouver dans cette pomme ‘’mordue’’ la POMA grecque, ΠΏMA, la source d’eau de qualité, potable.
On peut aussi remarquer que Pierre-Simon est de dos et que son nom, AGROS, est ainsi inversé en SORGA, la source, en dialecte languedocien.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 sept. 2015 à 13:13
Cela ne répond toujours pas à la question : Pourquoi la boule du pinacle qui représentait l’O EAU jusqu’en 1856 désigna-t-elle la planète Mercure à la mort de l’abbé Jean Vié ?
Une évidence cependant, jean Vié, ne pouvant présager de sa longévité (VIE de VIÉ = 64 ans), il n’est pas l’auteur de son épitaphe.
On est en droit de supposer que l’abbé Boudet en fut le rédacteur. Et que plus tard, il choisit délibérément d’enterrer sa propre famille à coté de cette tombe.

L’EAU se cache sous diverses formes littéraires, O, Ω, VIE, πD, ROS, P-S, mais a aussi des synonymes symboliques comme le CERCLE et surtout le triangle. Comme le triangle des 3 roses (Trésor) sur les vitraux, Mais ce n’est le seul. Ne pas oublier que la citation en préface du Serpent Rouge est de l’abbé Th. Moreux, auteur de l’ALCHIMIE MODERNE.

Le symbole le plus visible est celui de MERCURE inversé sur la croix de la tombe de Jean Vié.
Le plus difficile à trouver est celui qui se trouve sur la lame de tarot de la Papesse.
Sur l’originale d’Oswald Wirth, le livre qu’elle tient porte le symbole ancien de l’EAU, une sorte de Yin-Yang.
Sur la version revisitée par Plantard, ce symbole a été remplacé par un Delta pointé au-dessus d’une lettre B inversée. On retrouve là le même symbole triangulaire qui est écrit sur le turban du Fou-Mat.
Cette carte étant repérée 2 le B en est le code. B + EAU = BEAU.
Nota : Dans la version ancienne, le livre de la ‘’Pances’’ est ouvert et illisible
Chez les alchimistes et les francs-maçons, le triangle équilatéral peut représenter les 4 éléments, Eau, Terre, Air et Feu, suivant son orientation.
Jean Vié devient Janvier pour que le phonétisme de son nom, VIER puisse le transmuter en FER dans la date 1856, 18, 5, VI, ou le VI romain code un F. REVI, VIER s’inverse en FER.
Il peut ainsi dominer la pierre du calvaire qui a la géométrie d’un Δ quand DELMAS devient DELTAS.
Le symbole alchimique du Fer est le même que celui de MARS, la planète rouge du FER, ♂.
Ce fer est dans la boule du pinacle qui représente un O entendu EAU.
Il s’agit donc de symboliser le FER dans L’EAU.
Malheureusement, le symbole d’une croix dans un cercle est celui de l’Huile.
Plantard inventa donc un nouveau symbole qui est loin de satisfaire le puriste. Dans cette logique DELMAS devient DE MARS sur le calvaire du Jubilé.
Je me méfie de cet auteur dont les initiales mêmes le font suspecter. P-ierre A-thanase P-lantard = P.A.P., ce qui en fait un PAPe potentiel quand un triangle, Tres en latin = 3, est suivi d’un point A.
Ne voyons cependant pas le MAL partout. Car, quand le Fer est dans l’Eau, ♂ dans Δ, le ‘’Cap’’ (sa tête) est MAR.
Sur le calvaire Pétrus, la VIE-ge MAR-ie est aussi abrégée en 3 lettres.
Égalité MAR-s ↔ MAR-ie.

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Pour l’instant, je ne vois pas la raison de ce changement de planète MARS/MERCURE.
Quoiqu’il en soit, 14 ans (1896 – 1872) séparent le décès de Jean Vié de ceux des Dames Boudet. Mais rien ne prouve que l’épitaphe de l’abbé ne fût pas rédigée plusieurs années après sa mort.
Si seulement la Sainte sur la croix du calvaire Pétrus n’était pas la Vierge Marie mais Magdalena, je dirais que le fer dans l’eau est l’eau ferrugineuse de la source de la GODE……(P. 273).
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 28 sept. 2015 à 04:50
FER dans EAU, nota :
La croix du calvaire du Jubilé a-t-elle été fondue à partir de ces extraordinaires ‘’pierres métalliques’’ du ruisseau de Las Breychos ? (LVLC page 236).
Peut-on extraire LA VIE ANTIQUE de (LA) (V)RA(IE) L(AN)GUE CEL(TIQUE), comme peut le laisser supposer les Observations Préliminaires 1, ‘’Désireux de faire revivre d’antiques souvenirs.’’ ?
J’ai beau fouiller toutes les listes de symboles, je n’en trouve que 2 susceptibles de s’adapter à la ‘’pomme bleue’’, VÉNUS et MERCURE. Ce sont les seuls qui portent une croix souscrite sous un cercle. (le O de la pomme sur la croix du gant), ♀.
On ne peut pas se fier aux couleurs qui divergent selon les auteurs. Notons que Vénus est souvent verte ou bleue et que Mercure est parfois marron ou gris. (Mars est toujours rouge).
On se croirait dans l’énigme 420 de la Chouette d’Or.
Si la main droite de ce Pape astronome désigne Vénus, et sa main gauche Mercure, que le calvaire du Jubilé vise Jupiter (4 =Lt) et que la tombe des Dames Boudet donne Mars alors que celle de Jean Vié pointe Mercure et calvaire Pétrus Vénus, ce n’est peut-être que le nom générique de ces astres qui compte. La boule du pinacle ne serait simplement qu’une PLANÈTE.
Chaque ‘’pierre savante’’ donnant une planète, l’ancienne tombe d’Urbain de Fleury cachait peut-être Uranus.
Beaucoup de ‘’dolmens du cromlech’’ portent des croix grecques qui rassemblent les 4 éléments dans leurs 4 triangles.
Il est préférable de dire ‘’FER sous O’’ ou ‘’Croix sous Cercle’’ plutôt que ‘’FER dans EAU’’.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 30 sept. 2015 à 08:28
IOTA :
Moi, le signe qui permet de vaincre, je domine la maison de dieu que Pétrus Delmas a érigée.
Je suis un des 3 signes gravés qui dominent par leur taille les autres caractères de l’inscription.
Je suis donc dans le mot VIE et je ressemble à la colonne pyramidale qui porte la boule du pinacle.
Je suis I.
Côté calvaire, je suis le I de MARIE en fer qui domine la pierre pyramidale.
J’abrège son nom en MARE qui s’inverse en ERAM = j’étais.

Les 3 calvaires Delmas, dans l’ordre N/S : PIERRE DELMAS FER, PRE DE MARS, MARE.

L’abbé Boudet cacha MERCURE dans la tombe de Jean Vié.
Puis rédigea les épitaphes doubles de sa mère et de sa sœur sur leur tombe qu’il prit soin de placer dans la ligne de mire du pinacle près de celle de Jean Vié.
Rigoureusement identiques ces épitaphes ne diffèrent que sur la ligne des prénoms où un S intrus suit le prénom de la mère Adelaïde.
AD Elle AIDE S permet de modifier MARIA en MARS. La coupure derrière la 3ème lettre est donnée par l’exemple ANN-o DOM-ino.
Ainsi la planète MARS se retrouve sur la partie droite de la stèle.
Les 3 pointes de flèches de la croix rappellent par les armes, la fer de MARS et les 3 lettres retirées, O IN O.
La partie gauche, qui jouxte la tombe de Jean Vié ne change pas, mais elle cache maintenant la MÈRE du CURÉ Boudet, MERCURE.
Ainsi, les 2 planètes MERCURE + MARS se trouve jumelées sur cette stèle.
Leur somme permet de dégager leur solution, MARE.

Il y a une inscription sur la dalle horizontale de cette tombe. Aujourd’hui illisible, elle a certainement été relevée au siècle passé.
Quelqu’un a-t-il cette inscription ? Merci.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 01 oct. 2015 à 08:00
Pourquoi l’inscription de la dalle de la tombe des Dames Boudet n’est-elle sur aucun site ni aucun forum ?
Pourtant, les 2 pierres, stèle et dalle, sont en granite. Pierre beaucoup plus dure que le tendre calcaire de la tombe de Jean Vié, qui, elle, a cependant bien conservé une épitaphe parfaitement lisible antérieure de 14 ans.

Quand les 3 flèches représentent les 3 lettres INO supprimées par l’abréviation de DOM-INO, le S intrus de AD ELles S AIDE conduit à la commande conditionnelle SI ON.
Malheureusement, certains chercheurs préfèrent voir là le Prieuré de SION, une vue de l’esprit, totalement absente du Serpent Rouge.
Pour moi, SI ON, avec le O de ANN-O = SI ON Θ. SI ON ÔTE ION.
Par exemple, SI ON ÔTE ONI dans ANTONIA, on obtient MARIA S ANTA, pour SANCTA MARIA. La Vierge Marie de la croix du calvaire Pétrus élevée à la place de la boule du pinacle.
Mais ce n’est qu’une hypothèse que je ne pourrais défendre que si je connaissais l’inscription basse de cette tombe….

Néanmoins, il est possible que la stèle de Jean Vié soit postérieure à celle des dames Boudet.
De toute façon, il est toujours préférable de choisir SOIN plutôt que SION. Cure = Soigner ancien.
La tombe qui était, à l’époque, à droite de celle de Boudet, avait peut-être une importance dans cet arcane.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 02 oct. 2015 à 14:32
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Il y a quelques années, un livre ancien a été mis aux enchères. J’ai proposé de l’acheter, en vain. Le propriétaire a toujours voulu garder l’anonymat. Et la vente ne s’est jamais faite. De cette obscure affaire, il ne reste plus que cet extrait qui avait servi à attirer les clients. A mon sens, il résume parfaitement l’énigme RLC/RLB.
Au centre, on retrouve l’EAU dans les 2 ondulations parallèles souscrites de 3 points, ●●●, représentant les 3 lettres d’un mot.
A gauche, l’idéogramme P-S rappelle la formule P-S PREACUM, avec la lettre virtuelle qui est devant le P dans l’alphabet placée derrière celui-ci quand P et R aecum (égaux).
C’est le RôS de Rennes-le-Château. Rô/Rho grec reprit en tête du nom RHODES. DE ROS = Du Ruisseau.
Qui se complète d’un C dans CROS, la CROIX.
La date, 21●6●●●3● contient les 3 points qui permettent d’identifier l’EAU.
Les 3 nombres désignent les emplacement de ces lettres cachées dans le titre : CH(E=3)(V=●)A(L=6)(I=●)ERS DE RHODES & (D=21)(E=●) MALTE. (l’esperluette & = 2 lettres, ET).
Ainsi l’EAU est VIE. La VIE que l’on retrouve sur le calvaire Pétrus.
RHODES + MALTE = RHOS DEMAL ET, ROS LE DELTA.
Un Delta, Δ, est un tronc pyramidal. Il existe 5 de ces socles, 3 sont des calvaires et 2 dominent le fronton de l’église. Ils tirent leur nom d’une déformation de DELMAS en DELTAS.
Mais DELMAS se transforme aussi en DE MARS.

Les chevaliers de Rhodes et de Malte ne sont pas des Templiers, mais des Hospitaliers. La connotation HOPITAL est importante. Ces chevaliers soignant les pèlerins de la Terre Sainte.
On retrouve des Deltas gravés sur plusieurs menhirs du cromlech ainsi que sur le fauteuil du diable à la source du Cercle. La table du dolmen du tableau du ‘’Pape pomme bleue’’ présente aussi un profil aplati de Δ.

Les 2 chevaliers hospitaliers de Rennes-le-Château et de Rennes-les-Bains étaient ROS et DELMAS.
Deux abbés thaumaturges adeptes du thermalisme.

Cette référence à Jérusalem n’est pas unique. Sur le sceau du Serpent Rouge, les dates 1099 et 1186 en situent les limites du royaume tout en donnant les initiales P-S (1+0+9+9 =19, S et 1+1+8+6 = 16, P).
Mais c’est surtout la répétition du nom de SALOMON qui guide vers le Temple de Jérusalem.
En Scorpion, ‘’le nouveau temple de SALOMON édifié par les enfants de St Vincent.’’ et en Ophiuchus, ‘’Voici la preuve que du sceau de SALOMON je connais le secret ’’.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 03 oct. 2015 à 11:10
Sceaux de Salomon :
Le premier ne mérite pas qu’on s’y attarde. Les ‘’enfants de St Vincent’’ sont les pseudo-émules de Bérenger Saunière, décédé le 22 Janvier 1917, jour de la fête de St Vincent. Cette ‘’fine équipe’’ d’usurpateurs connut son heure de gloire commerciale en son temps. Mais heureusement, aujourd’hui, elle n’intéresse plus guère que les naïfs et sa librairie semble s’en ressentir. On ne peut pas mentir tout le temps à tout le monde…….
Le second se trouve sur le sceau du Serpent Rouge. C’est l’OS qui traverse le monogramme SM de Ste Madeleine. Un FÉMUR entendu FAIT MUR par l’abbé bâtisseur ROS. SALOMON = NOM À L’OS.

Le 3ème, s’il s’avère, serait plus intéressant car c’est l’Étoile de David dessinée par les symboles triangulaires superposés de l’EAU et du FEU. On pourrait ainsi retrouver SPICA dans la boule du pinacle.

Comme tous les jeux de cette énigme reposent sur des aménagements de mots, donc de césures, on peut aborder SALOMON par l’angle de son légendaire jugement du PARTAGE de l’enfant.
L’abbé Boudet inventa la HACHE 8. Excellent outil tranchant car très visuel.
Rappel : Sur la stèle de la tombe de l’abbé Jean Vié une croix discoïdale représente 4 fers de Haches.
A ces 4 H virtuels s’ajoutent les 2 fois 4 H des 64 ans de la longévité.
Plus le H, 8, constitué par la date du 1er 7bre.
Il y a ainsi 13 haches sur cette stèle. Ce qui est normal car elle cache la planète Mercure dont l’initiale M se code 13 en alphanumérique. Planète qu’une hache partage à son tour en MÈRE CURÉ /CURE. La mère du curé qui soigne.
Le point du partage textuel se trouve entre les 2 M de NOM-MÉ.
L’abbé Saunière préféra la SCIE :
Rappel : Sur le meuble du confessionnal, les dents de la lame de scie se trouvent sur la moulure entre les codes 12 et 24. Elles permettent d’obtenir 3 fois AB, et de scier les antérieurs de l’AG-neau et du ROS-ier pour recomposer AGROS.
L’abbé Vié ne précisa pas l’outil de coupe, il se contenta du générique FER, 18,5,6.
Ainsi, il ‘’porta le FER’’ sur le nom de Pierre Delmas sur le calvaire d’entrée dont les 3 extrémités de la croix de fer sont fendues.
Abrégé en PI.D., celui-ci, réduit à une formule mathématique, devint le CERCLE O.

Il est très difficile d’admettre que la boule du pinacle puisse être à la fois un O et Spica, l’Épi de Virgo. Le fait de retrouver un O+, nous induit à le confondre peut-être avec ♀, le symbole de la planète vénus.
Il existe pourtant une possibilité.
Comme O est le monogramme de Pierre Delmas et que Marie est le nom de la Vierge.
MARIE DELMAS ne fut-elle pas la mère de l’abbé Delmas ?
La fouille des arbres de généanet n’éclaircit guère ce point. Le patronyme DELMAS est très riche. Nombreux Pierre et Marie. On y retrouve l’abbé Antoine (9 Août 1644 – 20 Juil. 1731) cité plus avant.
Il n’y a plus de tombes Delmas dans le cimetière. Il faut dire que les crues ravageuses de la Sals ont souvent balayées les sépultures.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 04 oct. 2015 à 08:22
MARIE DELMAS :
La ligne des prénoms de la tombe des Dames Boudet donne un indice avec son S intrus.
ADELAIDE S MARIA ANTONIA.
L’abréviation actuelle de Sainte en Ste était jadis remplacée par le seul S de S-ANCTA.
AD EL AIDE S MA = A côté d’Elle SMA AIDE.
SMA + ADELAIDE = Ste MADELAIDE. Seul le D vient contrarier le nom de MADELEINE.
Ainsi du pinacle représente MARIE S MADEL ou Ste MARIE MADEL-eine.
MADEL est son CAP qui permet le double sens du nom de DELMAS, véritable passe-partout dans cette affaire.

Sur la tombe de de Jean Vié la tête de la croix de fer vise la boule représentant alors la planète Mercure gravitant autour du Soleil central dont les 8 rayons donnent la Hache de son partage.
MERCURE divisé en MER et CURE, récupère la petite croix E, pour devenir la MÈRE qui CURE, la MARIE du pinacle dans le collimateur.
Mais cette Hache ne se contente plus de fendre le nom de la planète, elle pourfend aussi son symbole.
La lettre O sommitale se partage en 2 croissants latéraux sur la traverse, (+O+).
Ces croissants sont les panses des lettres majuscules G et D.
Ainsi apparaît la base GOG que la petite croix finalise en GODE.
La ‘’GODE’’ était l’antique nom de la source de la Madeleine (LVLC, p.273/4).

C’est le lien qui réunit les 2 Rennes. Le Château a son église, les Bains possèdent sa source guérisseuse.
Du moins, telle était la situation à l’arrivée de l’abbé Saunière.
Une rivalité s’installa entre les 2 villages car les pèlerins fréquentaient plus volontiers la source de la Madeleine, d’accès facile, que la Fontaine des 4 Ritous qu’ils ne pouvaient gagner qu’après une longue marche.
L’abbé voulait rester comme le plus grand des curés locaux bâtisseurs.
Il rebaptisa la grotte du Fournet, grotte de la Madeleine, de façon à récupérer la source qui coule à ses pieds dans la falaise des Bals. Il possédait ainsi, l’église et la source de la Sainte.
Mais, la source du Fournet n’étant pas ferrugineuse, il rata son projet. Les pénitents, malades, continuèrent à rechercher les vertus curatives des eaux de Rennes-les-Bains.

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