Le Serpent Rouge

Annonces concernant les autres chasses au trésor, en cours ou à venir.
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SERGIO
Hulotte
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar SERGIO » 05 mars 2013 à 11:41
Cool Marc ; il ne faut pas entrer dans la provocation de ceux qui disent savoir. C'est pareil pour la chouette.

Il a été évoqué que la vérité a été racontée à la télé par un homme barbu avec un chapeau. Autant le nommer : Monsieur Jean PELLET décédé en 2012 qui fondait sa théorie sur le cromlech de Rennes les bains (cromelch symbolique au demeurant puisque né du livre crypté de l'abbé Boudet).

Tu as raison pour dire que la "faune rédayenne" est en perdition avec le bide de la fin du monde. Je te rassure, je ne suis pas de leur monde et l'affaire de Rennes est surtout l'occasion de voir et revoir un ami de 20 ans avec qui je fonctionne dans mes histoires de mesures (Ernest pour ceux qui connaissent).

Je n'imagine que peu de membres du forum capable de passer 4 heures à écouter Jean Luc ou Michel B. (son éminence) sur les dessous des affaires de l'OTS ou de l'OS dont le sujet initial du post masque la capacité créatrice de la fusion entre l'amalgame et l'imposture. Sommes-nous différents dans ce forum entre sincérité et mensonge, entre suppositions et certitudes infondées. Sauf que le monde des chouetteurs se pense protégé par la notion ludique du jeu.

Alors, c'est bien que tu les réveilles à la réalité des affaires de longue haleine. 20 ans pour la chouette, c'est déjà faire naître des mythes, des amalgames, des importures, ...

On oublie trop souvent que certaines affaires sont comme des écoles. La chouette est un peu l'école des jeux de chasse au trésors comme Rennes le chateau est l'école des grandes affaires de trésors.

Mes amitiés
"Unité, diversité ; ce bînome fait notre richesse" F.MAYOR
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gcrtxbrbes
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar gcrtxbrbes » 05 mars 2013 à 11:48
@ marc : Il n'y a rien de bien extraordinaire là dedans, à condition de prendre en compte le compagnonnage, ses rites et traditions, tout en restant rationnel. Je veux dire par là qu'être dans une confrérie de maçons, qu'ils soient opératifs ou spéculatifs (et 1740 est justement dans la charnière ou l'on organise la seconde), ne les transforment pas en détenteurs d'un savoir réservé à une élite, hérité d'une puissance quelconque...

Les bâtisseurs de cathédrales avaient tout un langage "secret", ceci dit ils ne sont jamais devenus "maîtres du monde". Il y a donc à expurger toute l'histoire de RLC des attentes mystiques: ne disais-tu pas toi même que bon nombre de fin-du-mondistes se sont (forcément) cassés les dents le 21 décembre dernier?!

RLC, c'est comme la chouette, en triturant tout ce qui y est lié de plus ou moins loin, on peut construire des machines à gaz ésotériques. Le problème c'est qu'elles ne mènent nulle part. Qu'il y ait eu des milieux se réclamant de la rose-croix, des magdaléniens, des francs-maçons à l'époque de Saunière, oui, bien sûr. Le début du XXème siècle était d'ailleurs dans une effervescence toute particulière à cet égard.

Et je pense que Saunière, tout autant que sa bonne, on largement profité de tous les gogo iluminés que l'on trouvait (et encore aujourd'hui), dans tous ces mouvements ésotéristes, ainsi que de la bonne foi d'autres (certains compagnons en particulier).

Je ne "décrypte" donc pas "1740 IG", car il n'y a rien d'intéressant à aller y chercher. D'ailleurs les décryptages alpha-numériques de cette affaire se basent généralement sur des documents (ou des stèles) créés a postériori, donc faux!

:bougie:
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gcrtxbrbes
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar gcrtxbrbes » 05 mars 2013 à 11:58
@ Sergio : pour monsieur chapeau/barbe, désolé pour son décès et je ne souhaitais pas manquer de respect à sa mémoire. Mais pour moi c'est symptomatique des chasses aux gros trésors comme aux petits: si on n'y prend garde on ne fait que des décryptages dont on est capable.

Par exemple, tu vois ici, les fort-en-crypto, qui voient de la crypto partout. Ou encore la célèbre Lise qui nous met du Napoléon à toutes les sauces. Les anagrammeurs en voient dans toutes les énigmes... Etc, etc... Et même si Max dit qu'il n'y a pas de personnage central dans la chasse, qu'il n'y a que des anagrammes parfaites, et qu'à mon sens tous les décryptages alpha-numériques ont été trouvés.

RLC c'est pareil. Les ésotéristes en voient partout (de l'ésotérisme), et les fins-du-mondistes avaient ré-arrangé l'histoire à leur sauce pour que ça colle. Pas de chance, ça a fini par ne pas coller. Tout comme on n'a jamais trouvé de corps d'un Jésus (et pour cause puisqu'il n'a jamais existé), de trésor d'Alaric (impossible historiquement) etc etc...
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 03 avr. 2013 à 05:26
Si le Serpent Rouge vous intéresse, je vous donne rendez-vous sur le forum que je fréquente et qui vient de rouvrir après une longue indisponibilité :

http://www.renneslechateau.com/forums/v ... m.php?f=70

Marc, toujours, sur le topic ‘’Abbé Pons’’.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 20 avr. 2014 à 17:01
Dans mon Énigme Médiévale (Énigmathèque), je cite AMO CROSS.
Le pilier carolingien sert actuellement de socle à N.D. de Lourdes qui est ‘’NOTRE DAME DES CROSS’’ dans le signe zodiacal du Lion.

D’autre part, j’établis un lien entre la SPIRALE de l’énigme 500 de la chasse de la Chouette d’Or et les 13 spirales de la dalle de Narbonne. Dans le Serpent Rouge cette SPIRALE se découvre dans le Scorpion.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 avr. 2014 à 04:28
Clef de la SPIRALE :
Pour pénétrer dans l’étrange univers de RLC (Rennes-le-Château), il faut disposer de certaines clefs indispensables. La Spirale est l’une d’elles.
Elle se présente sous la forme d’un idéogramme. Elle entoure les lettres P-S en partant devant le P pour s’achever sur le tiret, ou l’inverse, si on préfère respecter la géométrie classique.
Cet idéogramme P-S est associé à la formule PS PRAE-CUM.
P.S. est l’abréviation classique de Post Scriptum, ce qui est écrit après.
PRAE = Devant et CUM = Avec.
Le tout se lit : Avec ce qui est écrit avant, écrit après.
En passant devant le P, la spirale récupère le O virtuel qui la précède dans l’alphabet pour l’écrire derrière, à la place du tiret.
OP-S → POS.
Mais PRAE CUM = aussi PR AECUM.
AECUM ou AEQUUM est le signe neutre de l’égalité. Il = Égal.
PR égaux. P = R si P est un Rô grec.
Dans PS = ROS, le P est grec.
Mais encore PRAE CUM = Devant la conjonction Cum, C initiale du mot.
C’est elle la spirale qui entoure ROS et qui le complète en CROS.
Ainsi l’idéogramme P-S = CROS.
En dialecte languedocien, un CROS est une CROIX.
Appellation confirmée dans l’ouvrage de l’abbé Henri Boudet. Page 280 de La Vraie Langue Celtique.
La prononciation méridionale du mot CROS est CROS-se, comme la CROSSE d’un évêque.
Ce qui fait qu’une croix peut-être remplacée par un Crosse épiscopale.
On retrouvera cette égalité CROIX = CROSSE à RLC et à RLB (Rennes-les-Bains).
Dans le signe de la Vierge du Serpent Rouge, le peintre DELACROIX se lit DE LA CROSSE.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 avr. 2014 à 15:24
Clef du G :
Autre clef cardinale de cette affaire, elle se conjugue avec la précédente (P = Rô).
Les prêtres du Razès utilisaient 4 langues, le grec, le latin, le français et un dialecte languedocien (disons l’occitan) où par exemple, Curé = Ritou.
De plus ils mélangeaient ces 4 langues, et parfois dans le même mot.
Ainsi TERRIBILIS est une composition de TER, le 3ème en latin, de R, d’IBI, ICI en latin, et de LIS, lire en français. LIRE ICI un 3ème R.
Le mot QUARANTE se décompose en CAR, conjonction française et ANTE, en latin = AVANT.
Le tout : 40 = CAR AVANT.
Le visiteur est averti dès son arrivée sur les lieux. Le message le plus visible, avant même de rentrer dans l’église. Cette clef étant universelle pour tout site elle est gravée sur la dalle du clocher. 1740 IG.
1 et 7 sont les codes d’A et de G. 1740 IG = AG 40 IG.
AG CAR AVANT (c’était) 1 G.
On utilise un G dans les jeux de ce village, car jadis c’était cette lettre (aujourd’hui fausse) qui était en usage dans la cryptographie antique (toujours présente en ces lieux).
En effet, les prêtres se sont succédés en réutilisant les méthodes de leurs prédécesseurs.
Il est donc important de signaler que le G (Gamma), occupant la 3ème place dans l’alphabet grec = aujourd’hui notre C.
L’origine de cette confusion vient de l’Ω du pilier carolingien, inversé en γ, gamma, et traduit par C.
1740 IG = AB C/G (pilier), au moyen de C = G.
On peut trouver la CROIX = C/GROS.
Finalement, les 2 clefs, de la Spirale et du G, ne sont que des substitutions. P = R et G = C.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 avr. 2014 à 00:50
Au tympan de l’église de Rennes-le-Château on lit la phrase ''REGNUM MUNDI ET OMNEM ORNATUM SOECULI CONTEMPSI PROPTER ANOREM DOMINI MEI JESU CHRISTI QUEM VIDI QUEN AMAVI IN QUEM CREMINI QUEM DILEXI'', qui se traduit par : J'ai méprisé le règne de ce monde et tous les attraits de ce siècle à cause de l'amour de mon maître Jésus Christ que j'ai vu, que j'ai aimé, en qui j'ai cru et que j'ai choisi. On remarque les 4 fautes d'orthographe : ANOREM QUEN CREMINI pour ADOREM QUEM CREDIDI. Leur but est d'inviter aux inversions des lettres M, N et D. Dans la phrase suivante ''DOMUS MEA DOMUS ORATIONIS VOCABITUR'' qui signifie ''Ma maison est une maison de prière'' devient, après les inversions demandées, M/N/D, MODUS MEA NODUS ORATIONIS VOCABITUR soit ''Ma mesure est le nœud des prières''. Pour mesurer les prières, on utilise un chapelet que l'on égrène grain par gain (ou nœud par nœud). L'unité de mesure d'un rosaire est l'Ave Maria regroupé en cadences décimales. C'est ce système de boulier qui est à la base du code alphanumérique de la plupart des cryptogrammes. Chaque lettre de l'alphabet ayant un rang précis correspond à un nombre. Les grains peuvent être des fleurs, des étoiles ou des demi-boules que j'appelle des besants (tourteaux). Les dimensions de ces ''points'' sont variables. On les trouve principalement dans des arcs (voûtes).
Ainsi au code alphanumérique moderne correspond ‘’LA MESURE DE LA PRIÈRE’’, plus poétique.
Mais attention, deux alphabets se croisent à Rennes-le-Château et le code latin est différent du grec car l’alphabet de ce dernier ne compte que 24 lettres qui occupent d’autres rangs.
Ainsi, 17 = AG latin et P grec (Rho).
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 avr. 2014 à 12:11
Après les 2 clefs P/R, C/G et le code alphanumérique, une autre clef est nécessaire dans la boîte à outils, celle des DATES.
_ Exemple n°1 :
Sur le porche de l’église, seules 2 pierres sont blanches, signe de leur importance.
Ces dalles sont marquées, à gauche par le monogramme IH+S, à droite par la date 1646.
Le trilitère IH+S = Par ce signe (tu vaincras).
1646 se décompose en 16 = P et Quarante et 6 = F.
P Car Avant (c’était) F.
IHS+P = PHIS. En grec Φ. Normalement cette lettre est invariable.
Ici les PHIS permettent de vaincre.
Ce n’est le Φ par lui-même qui est gagnant, c’est sa représentation de O barré, Ø.
A RLC, le O est occulté.
Pour cette raison, j’ai choisi l’avatar du cachalot (cacha l’O et l’Eau).
_ Exemple n° 2 :
La date de 1891 se rencontre 2 fois. Elle se décompose en 18 et 19 pour reprendre le nombre de grains de la traverse de la croix wisigothe et se traduit par RS.
1891 s’allie à Ø dans ROS. (Le O est dessiné par la bouche de la gargouille anthropomorphique).
_ Exemple n° 3 :
L’abbé Jean Vié = le mois de Janvier pour que son nom, VIÉ = VIER.
En effet, cela lui permet de se cacher dans la date 1856.
18 = 18, R, 5, E et VI, 6 en chiffres romains. REIV inverse de VIER.
Et comme 6 est le code de F, il devient l’abbé de FER.
_ Exemple n° 4 : La dalle 1740 IG (AG Car avant c’était 1 G) joue aussi un second rôle qui conduit aux 2 dalles du presbytère.
Elle se lit alors, segment AG car avant c’était le segment IG.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 avr. 2014 à 00:18
L’AMI :
Autre exemple d’utilisation du symbolisme AΩ avec un M.
Le mot AMI (Cet AMI) est présent 2 fois, dans les signes du Verseau et des Poissons.
Le symbolisme AΩ est gravé en grandes lettres d’or sur les fonts baptismaux.
Au-dessus du baptistère St Jean Baptiste tient une grande Croix avec un phylactère étendu sur la traverse, de telle manière qu’il dessine un grand M.
Son texte est ECCE AGNUS DEI, voici l’agneau de dieu.
Ce M transforme l’inscription en ECCE MAGNUS DEI, voici le plus grand dé I, des lettres I.
Et AΩ en AMO.
Curieusement, sur cette statue on note la présence de 3 épis de maïs (représentation rare).
Le Ï tréma de MAÏS est le plus grand des I.
Et l’anagramme donne le plus grand des AMIS.
Jean B. est le PLUS GRAND des AMIS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 avr. 2014 à 14:27
Sur la terrasse de la tour Magdala, la cheminée est percée d’une curieuse mire en forme feuille de trèfle.
Les 3 lobes déterminent un 4ème cercle, central, de la même manière qu’une filière à pas de vis (voir tarauds).
Cette mire trilobée est très précisément orienté sur le hameau de Pailhères.
La mire sélectionne les 3 lettres P-a-I-l-H-ères, PIH qui construise la lettre PHI déjà rencontrée sur les 2 pierres blanches du porche. Mais pas le Φ classique, Ø, le O barré.
Toujours pour rappeler qu’à RLC, les O sont occultés.
La conception même de l’opuscule du Serpent Rouge rappelle l’absence de cette voyelle.
Dans le plan des 12 signes zodiacaux, la constellation du Serpentaire, conventionnellement absente, a été insérée en raison de sa racine SERPENT et de son initiale O d’Ophiuchus.
Le village est bien choisi, à 390 m d’altitude, il est réellement sans EAU.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 avr. 2014 à 18:20
ET IN APXAΔIA EΓΩ (dans le signe de la Vierge) :
Voilà une formule qui aura fait couler beaucoup d’encre et pourtant elle se résout avec 2 doigts !
A l’origine, elle se découvre sur le tableau de Nicolas Poussin, LES BERGERS D’ARCADIE.
La main du berger, sous l’inscription, montre ostensiblement le POUCE et l’INDEX nécessaires.
Dans IN-dex on retrouve la préposition IN en 2 lettres.
POUCE s’entend POUSS, + IN = POUSSIN, la signature de l’artiste.
Il est donc inutile de rechercher quelque réflexion ésotérique désabusée sur la vanité de ce monde.
Du genre, ‘’Je suis au paradis sur terre, mais je suis dans l’ARCA, (cercueil), je ne peux en jouir’’.
A RLC, ce jeu a été détourné. ET IN ARCADIA EGO = ET MOI JE SUIS dans le nom d’ARCADIE.
La tombe du poulpe (Scorpion du Serpent Rouge) précisait les 5 lettres à sélectionner : AP+X et Δ+I avec les 2 + (= 2 doigts). Soit APXΔI.
ARCDI = I romain DRAC. En dialecte local, UN DIABLE.
De plus, cette tombe dite REDDIS REGIS CELLIS ARCIS, donnait la substitution DL dans les couples de ces 2 lettres superposées (DD sur LL). I DRAC devenait alors ARCLI.
I DRAC ARCLI alias Le SERPENT ROUGE.

Mon but est de traduire en langage clair le Serpent Rouge. Mais je suis en désaccord avec l’interprétation de l’énigme de RLC/RLB qu’en fait Louis Saint Maxent, l’auteur de cet opuscule.
Comme je dois avant tout traduire les allusions, je suis obligé de donner ces fausses déductions et d’expliquer la vision particulière de l’ouvrage. Je considère que l’auteur de ce document avait parfaitement résolu l’affaire, mais qu’il en a modifié les résultats dans un but que je ne commenterai pas mais qu’il faut bien qualifier de trafic de mythe.
Comme c’est sur cette tombe, aujourd’hui disparue, que débute notre divergence, je la signale, et j’y reviendrai ultérieurement avec les 2 solutions, la sienne et la mienne. Pour l’instant je balise le désaccord : SULPICE dans le signe du Capricorne (Le Serpent Rouge n’occupe que 5 des 13 pages de l’opuscule. Le reste est consacré à l’église St Sulpice de Paris).
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 avr. 2014 à 05:54
Le Bénitier :
Dans le signe du Scorpion, on lit, ‘’Je pivote sur moi-même passant du regard la rose du P à celle de l’S, puis de l’S au P’’.
Parallèlement, le sceau (ROSA CRUX) illustre cette rotation avec ces 2 lettres reprises dans sa couronne.
L’ensemble statuaire du bénitier est dominée par une croix grecque dont la couronne porte 16 besants dorés.
Au centre de celle-ci, un autre besant d’or est au cœur d’une rose rouge.
Au-dessus du diable, un cartouche rouge porte les 2 initiales de Bérenger Saunière, B.S.
Les 5 ongles de la main du diable (serres) vont cacher un E (code 5) en le griffant sous l’aile gauche (5 cicatrices). Soit – E.
_ 1) : Vision du Serpent Rouge :
16 et 1 sont les codes de P et de A.
P de la croix remplace le B du cartouche qui de B.S passe à P.S.
Le A suit, P.S + A.
La ROSE est transférée, par cette rotation, dans le cartouche. Le + A remplace le – E.
On retrouve ce mot ROSA, dans le sceau.
_ 2) : Ma version :
La ROSE, sans E, descend bien de la croix pour occuper le cartouche de la vasque.
Mais le besant central n’est pas un A. Il se cumule avec les 16 besants de la couronne pour coder par 17 le P grec.
La différence est minime, ROSA pour ROS. Mais la suite en dépend.
Cette façon de voir est reprise dans les 2 dates du sceau, 1099 = 1 + 0 + 9 + 9 = 19 = S et 1186 = 1 + 1 + 8 = 6 = 16 = P. Soit P.S avec des codes latins et non pas Rô S, comme chez moi.
Là aussi je reviendrai sur ce bénitier car je suis en désaccord total avec le nom d’ASMODÉE (Dans le signe du Cancer).
marc
Hulotte
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 avr. 2014 à 10:52
La Besace :
Elle se trouve sur la fresque au-dessus du confessionnal. Elle est déchirée car son nom l’est aussi.
BE-SA-CE = BÉ-renger SA-nière C-ur-É. Elle signe le chef d’œuvre de l’abbé.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 avr. 2014 à 15:47
Le pilier carolingien :
Les 4 bras de cette croix wisigothe sont dissymétriques. Le fût haut est orné de 23 grains quand le fût du bas en compte 29. La traverse, de gauche à droite vaut 18, le médaillon central qui dessine un O et 19.
Soit, en codes latins, ROS.
Le symbolisme AΩ, qui encadre la tête de la croix, a été repris dans l’inscription supplémentaire, MISSION 1891, pour composer le jeu, SI ON A MIS O entre 18 et 19. Soit O entre R et S. Ce qui confirme que cette traverse porte bien ROS.
Le texte se lit sur 3 lignes : A 23 Ω / ROS / 29. Soit A B C Ω / ROS / BI.
Ce pilier sert de socle à N.D. de Lourdes. 2 inscriptions dominent le pilier, IMMACULÉE CONCEPTION et PÉNITENCE ! PÉNITENSE ! qui sont les paroles entendues par Bernadette Soubirous lors des apparitions de 1858. Mais une faute a été glissée pour inviter à la substitution C/S.
ABS Ω / ROS / 2. Le préfixe BI est celui des doubles.
Le pilier a été inversé de façon à ce que ce que sa lettre Ω subisse cette rotation de 180°.
La sculpture de cette lettre est particulière. Elle est si stylisée que son inversion la transforme en γ, Gamma.
ABS G / ROS / 2 = ABS 2 GROS. Avec, au moyen de 2 GROS.
Ici le mot GROS est la version antique de CROS, la CROIX.
Localement, plusieurs mots occitans ont gardé la double appellation, comme LAGAS / LACAS, le lac.
‘’Au moyen de 2 croix’’ renvoie sur les flancs du pilier. Ceux-ci sont décorés d’entrelacs représentant des croix décomposées. La traverse est au-dessus du fût qui reste seul en dessinant un double 8. Ce faisant, chaque entrelacs trace 3 O superposés. 2 grands O et un petit o central qui imite le médaillon central de face avant de ce pilier. L’ensemble est bordé de 37 besants = 18 + 19 = R et S, comme sur la traverse faciale.
Les ‘’2 Croix’’ sont des croix de St André, des X, au centre des grands O.
L’un de ces entrelacs va se plaquer sur la croix avant pour en modifier le texte.
La traverse ROS n’est pas concernée, mais les 2 parties du fût se retrouvent amputée de 10.
23 – X = 13 et 29 – X = 19. Soit M et S.
Nouveau texte : AMΩ / ROS / S = AMO ROSS.
Péniten(S/C)e reprend du service et AMO ROS(S/C) se termine en J’AIME le CROS, la CROIX.
Les entrelacs cachent le mot TRÉSORS avec leurs 3 O (Tres latin) + RS.
Ce jeu a inspiré à BS (Bérenger Saunière) celui des vitraux.
Un triangle de 3 ROSES (2 bleues une rose) se lit TRES + SESOR (ROSES inversé et superposé). Ce TRÉSOR est répété 6 fois dans l’église.
En bas du pilier, le M du monogramme de MARIE est composé de 3 lettres M, A et γ boucle érodée).
Le jeu de ce pilier repose sur la bivalence de l’Ω, ω, inversé en γ. O/G.
AMγ inversé = AMO.
Au pied du pilier, une dalle de marbre porte l’inscription, O MARIE CONCUE SANS PECHE PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS.
On retrouve là la confirmation du résultat AMO dans OMA et le fait que ce pilier est fautif (pêché) et qu’il nécessite une correction.
Résultat : AMO CROS et TRÉSORS.
Dans le Serpent Rouge, N.D. de Lourdes est nommée, ‘’NOTRE DAME DES CROSS’’ dans le signe du Lion.
Commentaires :
Ce pilier antique a été utilisé plusieurs fois et en différents lieux. Avant d’être dans ce jardin et de servir de socle à une statue de la Vierge, il supportait l’autel dans l’église. Une cavité creusée à son sommet servait alors de cachette.
Nous connaissons les inscriptions rajoutées par BS pour aider le chercheur à déchiffrer, 2 PÉNITEN(S/C)E !, MISSIO, 1891, Monogramme, dalle OMA. Mais nous ignorons les précédentes qui disparurent lors des travaux de BS. Et ce n’était là qu’une étape intermédiaire. Ce qui serait passionnant de savoir c’était l’emplacement original de ce pilier et de connaître l’intégralité de la pierre qui a été, hélas, sciée.
Il faut bien noter que ce pilier a été sorti de l’abri de l’église. Négligeant l’érosion, BS l’a réinstallé en extérieur, au Sud de l’église. Car la CROIX que BS AIME est la même que celle que Maria Magdalena tient à plat sur le tympan du porche. Et celle-ci se trouve en plein air, au Sud du village.
Sur la face, avant un végétal stylisé entoure la croix. Hâtivement, on peut l’identifier comme étant un cep de vigne portant des grappes.
Imaginons ce pilier dans sa version d’origine. Érigé dans le bon sens et avec sa base qui permettrait d’identifier la plante. Il se décode en AMO ROS S.
La seule différence avec la version de BS est l’absence du C. L’abbé a donc été contraint d’ajouter 4 inscriptions uniquement pour introduire son C et construire sa CROIX, CROS.
Intéressons-nous au mot ROS. En latin c’est l’écoulement d’eau, la source, la rosée, le ruisseau. Disons le RU pour rester bref.
J’AIME le RU S. S étant l’initiale du nom de ce ru.
Mais ROS, c’est aussi la couleur rousse, rouge en occitan et ROS ROS = le Ru Rouge.
D’autre part, en latin, ROS = aussi SUMAC, Rhus, un arbuste genre vinaigrier dont les baies servaient d’épice.
Si le végétal est identifié comme ROS, il sert à confirmer que la traverse vaut bien ROS, le RU, la VIE.
Ce qui est certain, c’est que ROS est dans CROS.
Il y a 5 croix sur ce pilier, 4 de St André + la grande croix faciale. Elle peut donc servir de pierre d’autel. 5 codant le E ou ce E se trouvant derrière la faute S/C da Péniten(S/C)E, on peut poétique considérer que la plante et un rosier et lire AMO ROSES pour l’original et AMO CROSSE pour la version BS.
N.D. des CROSSes convient aussi parfaitement pour qualifier les 2 entrelacs latéraux.
La solution se trouve en face de ce pilier, sur le calvaire de 1997.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 avr. 2014 à 23:17
Le Presbytère :
Pour y accéder on passe sous l’arc d’un porche gravé de l’inscription, LA MAISON DU PASTEUR ES┼T LA MAISON DE TOUS. La clef de voûte porte le verbe EST surmonté d’une croix joker remplaçant la lettre P manquante.
La cure est la maison du pasteur SEPT, du pasteur G.
Sur le presbytère, 2 dalles : 17┼27 et 1725/IG P Δ/X.
On retrouve ici l’égalité AG = IG annoncée par la dalle 1740 IG du clocher.
Pour être plausible, une date ne pouvait commencer que par un 1 (code A). On n’imagine pas 9740 par exemple, avec un I codé par 9.
_ 1 : 1725/IG P Δ/X.
Sur la droite, une échelle virtuelle représente l’alphabet grec avec seulement 2 lettres, Δ et X. la distance entre celles-ci, 17, code le P devant. Qui est donc un Rô. (Un vandale a d’ailleurs rajouté la jambe à cette lettre qui est aujourd’hui un R).
Ceci pour indiquer que 17 ne sera pas traduit par le code latin AG, comme partout ailleurs mais par le code grec.
1725 / IG / R → R BE / IG / R.
Les lettres I et G sont respectivement sous 17 et sous 25. 2 segment qu’elles rejoignent.
R + I – BE + G – R → RI BEG R = BERGeRIe. Les 2 E manquent.
Ainsi la maison du Pasteur G. annoncée sur le porche est une BERGERIE sans E.
_ 2) : 17┼27 : La croix est un +, signe de l’addition.
Là encore, je dois donner la version du Serpent Rouge (SR), puis la mienne :
_ SR : 1, 7 + 2, 7. = AIG.
_ Moi : La Croix Joker cache les E manquants. 17 est un Rô, comme sur l’autre dalle.
17 E 27 = R E B G = BERG. Le G entendu Gé = BERGé pour BERGER.
Ces 4 lettres servent à organiser et à compléter la dalle précédente.
Résultat : Le presbytère est une BERGERIE comme celle qu’il faut découvrir.

Il faut savoir que les 3 auteurs déclarés du SR sont Pierre Feugère, Louis Saint Maxent et Gaston de Koker (On suspecte Saint Maxent d’avoir été Max Valentin), mais que le patron de cette équipe incertaine de chercheurs de l’époque (méprisament surnommée ‘’la fine équipe’’) était Pierre Athanase Plantard. Et que ce dernier a rédigé la préface d’une réédition de La Vraie Langue Celtique dans laquelle il a écrit : ‘’Même en arborant sur le frontispice un ‘’G paré des plumes de PAN’’ …’’.
Le GEAI sans E sur le frontispice du presbytère, parés des plumes du PAON sans O, pourrait bien convenir au AIG de cette dalle. AIG-ue étant l’EAU en général, entendue O, avec Pan, le dieu des Bergers.
Cela n’est pas certain, mais il faut le signaler.
Le SR a intérêt à ce que le secret de RLC soit dans le village lui-même. Or la BERGERIE (aujourd’hui en ruine) en est loin.
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SERGIO
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar SERGIO » 25 avr. 2014 à 08:08
marc a écrit :Il faut savoir que les 3 auteurs déclarés du SR sont Pierre Feugère, Louis Saint Maxent et Gaston de Koker (On suspecte Saint Maxent d’avoir été Max Valentin),....


J'ai rencontré Franck Marie à qui l'on doit la réédition du serpent rouge et il m'a confirmé que les 3 co-auteurs étaient décédés avant même le dépôt à la bibliothèque nationale du SR.

De même, JLC m'a confié que le SR était en réalité l'oeuvre de Philippe de Chérissey qui n'en était pas à sa première imposture.

Effectivement le serpent rouge est abondament crypté mais il ne conduit qu'à de fausses pistes. Reste qu'il est une concentration du complot Plantard et de la fumeuse émergence du prieuré de Sion. Certains irréductibles vont même à dire de PP de SP n'est pas mort.

On se verra peut-être au 15 août pour le repas des chercheurs. Au plaisir
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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 avr. 2014 à 08:53
Le Sceau :
Il concerne le bénitier qui est si important que ce visuel spécial lui est réservé.
En effet le bénitier est le Serpent Rouge. Il suffit de le déchiffrer pour percer le mystère de RLC.
Je retourne donc sur le cet ensemble statuaire à l’étape où je l’ai laissé, après la rotation signalée dans le signe du Scorpion.
J’avais noté la divergence : Pour le SR, il y ROSA dans le cartouche rouge de la vasque, pour moi, seulement ROS.
Le GENOU entendu Noue Gé complète nos 2 versions en AGROS pour SR et simplement GROS, pour moi.
Déjà vue, la couronne du sceau avec ses 36 besants (2 fois 18 = 2 R) séparés par P et S.
La somme des dates 1099 et 1186 = S et P aussi.
Au centre le monogramme de Ste Madeleine, SM est traversé par un fémur qui lui donne la voyelle manquante SM + OS = SOM entendu Somme des dates.
On remarquera que celles-ci rappellent le Royaume de Jérusalem. Fausse piste intentionnelle.
De même ROSA CRUX oriente vers la ROSE CROIX, toujours pour connoter ésotérisme.
Il faut lire le double sens ROSA = CRUX, La ROSE = La CROIX en latin, et AROS = CRUR X. Le dénommé AgROS = un CURé X (Inconnu).
L’usage du X = Inconnu vient du calvaire de 1997 où FÉLIX-ARSÈNE = FAIT L’X À RENnES.
En traduisant le cartouche du bénitier par AGROS, l’auteur du SR arrive à ce résultat où il est contraint de supprimer 2 lettres, g et e.
Pour ma part je juge plus pertinent de lire GROS dans ce cartouche et de garder l’égalité GROS = RITOU.
Un RITOU est un curé de campagne dans le dialecte local.
Saint Maxent est bien obligé de retirer ces 2 lettres cat il doit impérativement respecter les 4 quarts. Sur la croix du bénitier les 16 besants calibrent les espaces. Sur ce sceau ROSA, CRUX, 1099 et 1186 sont des mots/dates de 4 lettres/chiffres.
Résultat du sceau : Le diable du bénitier représente une croix qui elle-même personnifie le prêtre AGROS.
Pour moi, c’est presque pareil, à la différence du personnage, le RITOU GROS.
Retour à la statue. A l’origine, la main droite du diable brandissait une pique qui représentait la Pique de Lavaldieu. Les 4 anges figuraient les 4 Ritous, une fontaine au Sud du village, source du ruisseau du CARLA. La vasque du bénitier représente cette fontaine. Les cornes du diable sont le perthuis très étroit par lequel ce ru traverse la barre rocheuse. La falaise dessine ces cornes. La bouche est l’évent (aven) de la ferme du Carla d’où on entend le cours souterrain de cet étrange ROS. Le bras droit est l’affluent temporaire de Fagoustre.
Une tunique verte recouvre partiellement le corps de couleur rouge, ocre, pour ne pas dire é-carla-te.
Son côté diabolique vient de là. Il faut avoir vécu un orage sur le plateau du Lauzet pour comprendre le nom de DRAC. Subitement, ce minuscule oued, qui ne coule plus que dans son réseau souterrain, se gonfle en se chargeant de tous les ruissellements d’ocres et c’est véritablement une rivière rouge qui se jette dans le ruisseau des Couleurs, le bien nommé. Le CARLA est le SERPENT ROUGE de RLC, mais il est aussi sa grande CROIX, celle que tient Maria Magdalena sur le tympan du porche. Cela en raison de sa géographie cruciforme. La Fontaine des 4 Ritous est le croisement ancestral des routes d’Espéraza à Bugarach et du Bézu à Couiza. C’est un lieu chargé d’histoire, ce n’est pas seulement un unique point d’eau sur 2 itinéraires.
Ainsi ce bénitier cachait le ru du CARLA et le ritou GROS dans un même cartouche rouge.
Excellente allégorie de Janus. En aimant l’un, on aime l’autre tout en adorant la Croix.
AMO GROS = AMO CROS = AMO CARLA = AMO RITOU = AMO SERPENT ROUGE.
Plusieurs jeux reposent sur une base de 4 éléments pour rappeler la constante CARLA = Quart là.
On découvre qu’un prêtre est représenté par le diable, mais nulle part on ne rencontre ASMODÉE.

@ Sergio :
Il est certain que des noms comme St Sulpice, Rose-Croix, Asmodée, Morte Épée et Sion sont mensongers (SI ON est un conditionnel).
Mais, comme dans toutes dérives sectaires, le charlatan s’appuie sur 9 vérités pour conclure par une dixième malhonnête.
Il faut donc faire le tri. Et pour pouvoir critiquer et démêler le vrai du faux je dois décortiquer ce Serpent Rouge pas à pas.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 avr. 2014 à 15:43
AGROS :
Pourquoi l’auteur du SR aurait-il lu AGROS plutôt que GROS sur le bénitier ?
En Poissons on lit, ‘’son nom demeura un mystère’’. Et plus loin ‘’comme le nautonnier de l’arche impérissable’’.
Cette allusion à Jason et à la toison d’Or relève de la même tournure d’esprit de l’auteur du SR. Comme pour la Rose Croix et le royaume de Jérusalem, il laisse entendre la présence de grandes richesses réservées à des initiés, pour attirer les amateurs de mystère.
L’arche impérissable était l’œuvre d’ARGOS et, à première vue, il y a un lien avec le pseudonyme d’AGROS.
Mais, à mon avis toujours, Saint Maxent a commis l’erreur suivante, en se basant sur la fresque du confessionnal :
On remarque un minuscule personnage, une grand’mère s’appuyant sur une canne, ou un ritou en soutane s’aidant d’un parapluie, à la verticale du verbe SOULAGERAI. Elle/il tient une lettre dans chaque main. Elle/il est vieille/vieux, âgée/âgé. Ces 2 lettres sont A et G de SOUL-AG-ERAI.
Ce mot lui-même se lit SOUS LA GÉ IRA.
Cette petite personne noire toute voutée est l’ÂGÉe qui ira sous l’AGÉ.
Au centre, le tertre est recouvert de 17 rameaux de ROSES (‘’Tombe fleurie’’ dans le Scorpion). Soit AG ROS mais pas AGROS, AGÉROS.
La voyelle É s’entend. On ne peut pas la supprimer.
On en trouve la confirmation dans les lis orangés à gauche de la scène. LIRE OR EN GÉ.
Ici Gé, c’est la TERRE, la déesse. Et AGÉ ROS a la double signification de vieux ruisseau et de vieux rouge.
Voici pourquoi il me semble que l’auteur du SR a commis une erreur en utilisant AGROS en place de GROS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 26 avr. 2014 à 02:16
La fin de l’ancienne tombe :
J’en étais resté à ARCLI. Je devais expliquer pourquoi et comment l’auteur du SR s’était fourvoyé.
Ce dernier voulant absolument lier l’énigme de RLC à Paris via ST Sulpice.
Le dessin du poulpe contient 3 codes, 3 points sur la tête = C, 7 points entre les 8 tentacules = G et 5 tirets sur l’abdomen = E.
Le SR s’est appuyé sur P.S –PREACUM (Que je traduis par CROS) pour imaginer une substitution P/S dans le nom latin de l’octopode, PULPA qu’il a ensuite converti en SULPA, puis il y a ajouté CE pour obtenir SULPACE, et enfin il a utilisé le code I romain du A pour terminer par SULPICE.
Ceci est faux. IL faut utiliser la tête C et la queue E pour transformer PULPA en CULPAE, les fautes.
En effet le mot CELLIS n’a été placé ainsi que parce qu’il compte 6 lettres comme REDDIS et parce que sa paire de L est sous celle des D, pilotant ainsi la substitution D/L dans la base ARCDI (APXΔI).
Le verbe juste est CELAS, tu caches et les 4 mots sont REDDIS REGIS CELAS ARCIS, A Rennes, tu diriges, tu caches, tu protèges. En un mot, tu es le Château de RLC. L’ancien, le Castellum.
Voici pourquoi ARCLI devient ARCLA anagramme de CARLA. CARLA ou CARLAT = Castellum.
Voici pourquoi aussi le jeu comporte 4 mots (Quarts là).
De plus, le C et le G sont superposés dans REGIS sur ARCIS.
L’idéogramme P-S prend donc ses 2 versions de la Croix CROS et GROS. C/GROS.
Et enfin ce C ou G sélectionne le cœur du mot CROS en passant devant les lettres P et S. C.à.d., OR (C-RO-S).
Résultat de la tombe du poulpe : OR dans C/GROS, CARLA. OR dans la Croix de l’abbé G et du ru du CARLA.

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