PROUST

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marc
Hulotte
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PROUST Messagepar marc » 18 mai 2014 à 08:33
Pages 222 et 223 du Codex Séraphinianus :
Le texte est en Français.
L’auteur est Marcel Proust. Il est vêtu d’un débardeur ‘’marcel’’.
Sur le chevalet, le texte ‘’fille orgiaque surgie et devinée, le premier jour sur la digue de Balbec’’, fait référence à Albertine, le VI chapitre de ‘’A la recherche du temps perdu’’.
Sous la jambe de Proust mort, on lit ‘’Encore, statuaire, souvenir, voici encore, voici, yeux blessés’’. Le mot clef, STATUAIRE est extrait de, ‘’si quelque STATUAIRE au lieu d’emporter le marbre, l’avait ciselé sur place et où se tordaient, en groupes géants et titaniques, la Fureur, la Jalousie, la Curiosité, l’Envie, la Haine, la Souffrance, l’Orgueil, l’Epouvante et l’Amour.’’ Du chapitre IV, ‘’Sodome et Gomorrhe’’.
Les autres textes, codés en écriture Sérafinienne, jamais déchiffrée, reste illisibles. Mais on doit pouvoir en apprendre plus avec les quelques mot de français et les visuels.
Quelqu’un de vous s’est-il déjà penché sur la question ?
Personnellement, je vois les choses ainsi :
Étendu au sol, PROUST est transpercé d’un TROU. Son nom perd donc PS qui est la terminaison de TEM-PS perdu. PROUST → TROU.
Sur le chevalet, la terminaison C de BalbeC tombe au sol (elle est à côté d’un B). BALBEC → BALBE anagramme de BABEL.
Sodome et Gomorrhe servent de références bibliques (Génèse).
Les 2 titres sont les mêmes mais inversés (en 5 lettres), basculés, comme le fauteuil à bascule.
Les patins à roulettes servent à rouler.
Peut-on en déduire ces titres ?
L’encrier représente-t-il le TROU ou la TOUR de BABEL ?
Quel rôle joue la tache qui s’en échappe ?
Quelle ROUTE faut-il suivre ?
Super énigme, non !
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 19 mai 2014 à 06:42
La référence à la Tour de Babel serait aujourd’hui politiquement incorrecte. Elle signifie que des populations ne parlant pas la même langue ne peuvent avoir de projet commun. Et que cela est une loi divine, donc naturelle.
Dans le contexte sérafinien, ces 2 pages consacrées à Proust sont les seules à être en français. L’auteur étant italien.
D’autre part, à Babel, on écrivait à l’époque avec des cunéiformes, c.à.d., principalement avec des phonogrammes. Cela voudrait-il dire que l’écriture sérafinienne repose sur des sons qui sont des sortes d’hiéroglyphes modernes ?
Le tableau se divise en 7 colonnes de 13 lignes.
Le Temps perdu compte 7 volumes. Le dernier porte le titre de Temps retrouvé.
Dans la 7ème colonne on retrouve les lettres Q, ET, P, S, D et EC.
Marcel Proust croise les jambes.
Dans la 7ème colonne il ne manque que le M pour écrire le mot TEMPS. Ce M est celui de preMier.
On peut justifier l’absence de lettres dans les 5 lignes intermédiaires par des lacunes à combler.
La 7ème colonne serait celle du ‘’Temps retrouvé’’ où il manquerait ON pour écrire le mot SECONDE.
Couplé à BABEL, SECONDE donne La SECONDE BABEL dont la tour est représentée par le chevalet.
Au sommet de celui-ci, 5 trous perforent le montant supérieur.
5 est le nombre de lettres du titre.
5 est aussi le nombre de lettres de PARIS qui ainsi devient la SECONDE BABEL avec sa TOUR Eiffel.
Sur la page de droite, où Proust git (PROUST – TROU = P-S = cadre du nom PariS), la tour Eiffel est remplacée par un STYLO bille(Style Haut).

Mon idée est toujours la même. Arriver à trouver le système qui pilote l’écriture sérafinienne. Je pense que les visuels sont des guides élaborés dans ce but.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 19 mai 2014 à 14:34
On ne peut parler de l’écriture sérafinienne sans la comparer à celle du manuscrit de Voynich dont Luigi Sérafini semble s’être inspiré.
Prenons l’exemple de l’herbier du manuscrit :
Chaque planche est illustrée d’une plante qui, croissant de sa racine à sa floraison, donne, dans l’ordre un code composé de plusieurs chiffre. X radicelles + X feuilles + X couleurs + X bourgeons + X épines + X fleurs + X pétales + etc …
Ce qui fait que chaque planche génère un code différent et que l’alphabet de substitution qui en découle est variable.
Dans le cas du codex Séraphinianus, pourquoi cela serait-il différent ?

Pourquoi avoir choisi un stylo bille alors que les textes sont écrits à l’encre ?
Pour corriger les mots ?
On peut modifier FILLE en BILLE et la 1ère colonne, F_ Ue_De_RE → B_Ue_De_RE.
Un détail est particulièrement intrigant : Sur l’encrier, quand il est debout, on remarque un accent circonflexe au centre de la dernière lettre du mot. Cet accent a disparu quand l’encrier a été renversé et que cette lettre est devenue le reflet de son original et l’initiale du contraire de ce mot. Cela rappelle l’inversion du M en écriture onciale avec l’ ω utilisée à RLC.
J’ai lu par erreur ‘’yeux blessés’’ au lieu de ‘’yeux baissés’’.
On peut préférer voir MARCEL plutôt que PROUST transpercé du stylo.
L’encre qui s’échappe de la plaie et qui représente le sang est noire. Ce n’est donc pas forcément le nom de Proust qui est troué mais celui de son débardeur (le trou étant à ce niveau).
Des pieds du chevalet, il ne reste que 3 bâtons. Peu de lettres peuvent s’écrire avec 3 allumettes. N, K, H, F, Y et Z.
MARCEL – 1 lettre + (NKHFYZ) = MARCEH = MARCHE.
Du fauteuil de gauche, il ne reste qu’une crosse dessinant un C à droite. Ce C confirme le choix du H dans le couple CH.
Les patins à roulettes rectifient en ROULE ou alors sont 8 lettres O.
Yeux baissés :
Dans, A la recherche du temps perdu, on lit : ‘’Le voyage d’exploration ne consiste pas à rechercher des terres nouvelles, mais à avoir un regard neuf.’’.
La citation classique est : ‘’le véritable voyage de découverte ne consiste pas à chercher de nouveaux paysages, mais à avoir de nouveaux yeux’’.
Les yeux baissés permettent de lire le mot STATUAIRE. Mot qui peut venir de ‘’Sodome et Gomorrhe’’ ou inviter à une visite du Louvres où l’art statuaire de Paris est concentré.
Mais ce ne peut être aussi que le métier de l’artiste qui a fait ‘’L’HOMME QUI MARCHE’’, Alberto Giacometti.
Giacometti s’est fortement inspiré (d’autres diront carrément, a plagié) de l’art étrusque.
L’intérêt de de cette piste n’est pas de juger les silhouettes filiformes recopiées à l’infini, mais l’alphabet qui accompagne les originaux. L’étrusque, le même que sur ‘’la fibule de Préneste’’.
Il y a-t-il un lien entre l’écriture sérafinienne et l’alphabet étrusque ?
Pas à première vue, trop anguleux. Celui de Sérafini est tout en rondeurs.
Tout cela n’est qu’hypothèses, mais ce qui semble probable, c’est que la tache d’encre qui s’écoule de l’encrier reversé est cet accent circonflexe manquant et qu’elle a la même valeur que celle qui s’écoule de la blessure. Dans ce cas, cet accent est un Lambda grec, Λ. On peut presque en déduire qu’en écriture sérafinienne, un ^ = L.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 20 mai 2014 à 05:33
L’écriture sérafinienne repose-t-elle sur un code hexadécimal ?
Le codex Séraphinianus fut écrit dans les années 1970/1980. Au début de l’ère informatique, quand débarquèrent les octets. L’auteur fut-il séduit par le binaire ?
On peut le supposé tant les caractères de son écriture son arrondis.
Imaginons donc une base 16 avec la lettre O, dont le code alphanumérique est 15, comme unité.
Appuyons le raisonnement sur un cadran horaire divisé en 12 heures.
O, cercle parfait, = 12.
C, la lettre la plus proche = fraction de O = 8 heures.
La difficulté viendrait du choix du pourcentage.
Toutes les lettres inférieures à O seraient des fractions et toutes celles qui seraient supérieures seraient = O + une fraction.
La formule qui permettrait d’ajuster chaque lettre serait : 15*code alphanumérique / 12.
On retrouverait ainsi la notion de ‘’Temps perdu’’ puisque chaque lettre serait obligatoirement une portion d’1 O ou de 2 O. C.à.d., d’un secteur d’un cadran horaire.
Pour déterminer la valeur de l’arc, il faut que le trait vienne recouper le cercle à la valeur désirée. Et comme les lettres sont liées en calligraphie, un symbole vaut plusieurs lettres de l’alphabet classique.
Un très bon exemple est donné par la spirale du cahier sur le chevalet qui est une succession de 7F.
A ce propos, les 5 trous sur le pied supérieur du chevalet n’est pas à coup sur le nombre de lettre du titre, mais le chiffre romain 5, V, dont la lettre va remplacer le F de FILLE pour donner VILLE ORGIAQUE ….. BABEL.
De même la tache d’encre de l’encrier = celle de sang de la blessure = lettre commune aux mots enCre et marCel, C. MARCEL → L’ARME ou LARME (Yeux baissés).
Les 8 roulettes des patins seraient en fait 8O. soit 96 heures ou 4 jours. JEUDI peut-être serait le ‘’Temps perdu’’.
L’acrostiche F_ Ue_De_RE → V_Ue_De_RE.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 21 mai 2014 à 04:16
Page de Gauche, 222 = PG. Page de Droite, 223 = PD.
PG : Marcel Proust devant un tableau sur un chevalet.
Tableau de 7 colonnes de 11 lignes.
Une ligne blanche sépare chaque ligne du texte.
Sur 6 d’entre elles un extrait d’Albertine, ‘’fille orgiaque surgie et devinée, le premier jour sur la digue de Balbec’’.
Albertine est le VI chapitre de l’œuvre de l’écrivain qui en compte 7, A la recherche du temps perdu.
Au sol, une réserve de lettres et de mots servent de pioche pour modifier le texte présenté.
La tête du chevalet est percée de 5 trous de réglage.
5 en chiffre romain V modifie FILLE en VILLE.
Trouver une VILLE ORGIAQUE.
PD : Le tome IV de A la recherche du temps perdu est intitulé, Sodome et Gomorrhe.
Sodome et Gomorrhe est la ville orgiaque de la Génèse à découvrir.
Au sol, Proust, les bras en croix, est transpercé d’un stylo.
Son débardeur, son MARCEL est ainsi troué.
Ce n’est pas du sang qui s’échappe de sa blessure mais de l’encre noire. La lettre centrale C s’en va.
Une tache semblable s’échappe de l’encrier renversé. C’est aussi le centre C du mot ENCRE.
2 C sont ainsi mis en évidence.
A droite il ne reste plus que 5 fragments du chevalet et une crosse du fauteuil à bascule. La crosse dessine un C et les 3 bâtons s’assemblent en un H. CH.
Au sol, on lit ‘’yeux baissés’’ et ‘’statuaire’’. Une statue aux yeux baissés, clos, est la statue d’un mort.
Le personnage central de Sodomme et Gomorrhe est CHARLUS, un personnage ambigu et gay, comme Proust.
Au sol, on lit aussi une répétition de ’’Voici encore’’ qui accompagne les 2 C des 2 taches (encre noire).
En latin, VOICI = ECCE. Surtout célèbre dans la bouche de Ponce Pilate ECCE HOMO.
CHARLUS et CHRIST commencent par le CH mis en exergue.
Ainsi, Marcel Proust crucifié est l’ECCE HOMO.
Il n’est comparé au Christ que pour l’homonymie du mot HOMO.
PG et PD, les 2 patins portent 8 roulettes. Mais seules 4 de celles-ci ont un point central et dessinent des lettres O. 2 O donc, comme dans les noms SODO-me et GOMO-rrhe.
PG, les jambes sont croisées. SODO et GOMO aussi.
GOSO MODO est une abréviation du GROSSO MODO latin = A peu près.
Le fauteuil est à bascule. C’est une balance imprécise qui oscille entre 2 positions.
Les livres de l’auteur gay ont été déchirés. Stylo = Censure, pilori, ou mieux, Pal.
Un autre indice, ‘’Souvenir’’, qualifie le carnet ; C’est un MEMENTO.
Sa spirale relie les feuillets à travers 7 trous qui sont le nombre de lettre de ce mot.
PD, le mot MEMENTO est déchiré, comme le carnet au sol. MÊME EN TO.
Personnellement, je traduis Même en To par Même en TOUT, identique, pareil.
Il s’agit de découvrir, dans ces 2 pages, l’alter égo de Marcel Proust. Un écrivain qui fut persécuté pour la même raison.
Ce codex Séraphinianus date des années 1970, où la ‘’Gay Parade’’ n’était pas de mise et où l’homophobie était de règle.
Liste des indices encore non élucidés :
PG :
La petite coupelle à gauche de l’encrier. Un O ?
La page du carnet est cornée en bas à droite, cachant le C de BalbeC.
PD :
2 fragments de mots, au niveau du genou droit et au-dessus du mot ‘’baissés’’ reste illisibles.
Un page vierge est gondolée en 4 vagues.
L’inscription sur le stylo reste incertaine.
Ce qui m’intéresse principalement, c’est le décodage de l’écriture séraphinienne.
Je pense que le titre et son inverse cache le nom de l’alter égo de Proust, qui lui aussi est français comme ces 2 pages (les seules de l’ouvrage).
Comme je n’ai pas encore compris la méthode de Sérafini, je nomme les lettres d’après le nombre de nœuds, de croisements, que définit la calligraphie. Ainsi :
_ Lettre 1 : 4 Nœuds + 2 Points.
_ lettre 2 : 1 N + 1 P.
_ Lettre 3 : 1 N + 1 P.
_ Lettre 4 : 5 N + 0 P.
_ Lettre 5 : 2 N + 1 P.
Sérafini s’est-il inspiré des quipus incas ?
…………………………………………………….
Balbec est une station balnéaire imaginaire comparable à Cabourg vers 1900.
Le marcel, ce débardeur porte des rayures horizontales colorées semblables à celles des marinières qui servaient de maillots de bains aux baigneurs de la Belle Époque.
Le fauteuil à bascule donne l’oscillation des marées.
La page ondulée (PD) représente la MER, mais pas en tant que telle, mais le texte de la chanson de LA MER.
CHARLUS de Sodome et Gomorrhe de vient CHARLES.
L’alter égo de Marcel Proust est Charles TRENET.
Les 5signes sérafiniens du titre sont les 5 lettres de LA MER.
Nota : Dans sa chanson, ‘’Tempérale’’, Ch. Trenet cite Marcel Proust.
Si mon hypothèse est exacte :
_ Lettre 1 : 4 Nœuds + 2 Points = L.
_ lettre 2 : 1 N + 1 P = A.
_ Lettre 3 : 1 N + 1 P = M.
_ Lettre 4 : 5 N + 0 P = E.
_ Lettre 5 : 2 N + 1 P = R.
Don Luis
Hulotte
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Re: PROUST Messagepar Don Luis » 21 mai 2014 à 13:29
De quelle énigme parles-tu ???

La rubrique Enigmathèque sert plutôt aux Sans hulotte à proposer aux autres membres du forum des énigmes conçues spécialement par eux-mêmes, et non à proposer des solutions à des énigmes existant ailleurs.

Donc, ce serait peut-être mieux que tu transfères ce fil dans la rubrique "Autres chasses", où tu parles déjà de l'énigme de La Buse.

DL :alatienne:
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
marc
Hulotte
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Re: PROUST Messagepar marc » 21 mai 2014 à 15:15
OK.
Mais comment réaliser ce transfert ?
marc
Hulotte
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Re: PROUST Messagepar marc » 22 mai 2014 à 02:10
Si le titre de la PG 22 est LA MER, son inverse, (PD 223), est RE MAL.
RÉ peut être l’île ou la note de musique ou …..
Si c’est un autre mot, cela signifie que les signes sérafiniens changent de valeur suivant leur rang dans le nom qu’ils constituent. LE PAL par exemple.
Dans ce cas, on peut envisager un palindrome où les signes auraient 2 traductions : REMER, LAMAL.
……………………………………………………
Voir le premier mot des titres des pages 15,17, 19, 27, 31, 35, 39, 41, 45, 51, 53, 61, 63, 65, 71, 75, 81, 85, 95, 111, etc….
C’est un mot de 2 lettres qui écrit l’article EL.
Les 2 lettres sont issues de la calligraphie manuelle classique, mais le trait y est prolonger de façon à revenir couper la lettre en 7 points pour le E et en 3 points pour le L.
7 nœuds est le code alphanumérique normal du G. 3 celui du C. GC donc. Ceux du E et du l sont 5 et 12.
Aucune de ces 2 lettres ne figure dans le titre de la page 222. Et si celui-ci est bien LA MER, La 4ème lettre, un E, compte bien 5 nœuds..
On pourrait donc en conclure qu’il y a au moins 2 signes de l’écriture sérafinienne qui traduisent cette voyelle.
Idem pour le L.
On remarque que la numérotation des pages n’a pas d’influence sur le codage puisqu’on retrouve ce EL dans de nombreuses pages différentes.
…………………………………………………………..
Puisque Sérafinin a utilisé Ecce Homo, voyons quelles références chrétiennes peuvent être à la source de son écriture.
Sur les chrismes, le X croise le P sur sa hampe (Christos).
En grec le X, Khi est la 22ème de l’alphabet, Rô, la 17èmme.
On peut dire que la somme de ces 2 lettres est 39.
Le même symbole, mais en latin diffère car le P est codé 18 et le X est le 10 romain. Total 28.
Maintenant, si on efface le x pour ne garder que le souvenir de sa présence par un point sur la hampe du P. On sous-entend sa présence et la lettre pointée vaut toujours 28.
Si on compte les intersections dans la calligraphie des lettres, ce que j’appelle des nœuds, on s’aperçoit que leur nombre est obligatoirement restreint. 7 au maximum. Passé ce chiffre l’arabesque ressemble à un gribouillage.
Uniquement avec les nœuds, on peut définir les lettres de A à G.
En pointant les hampes ont obtient aisément les lettres K à Q et V à Z.
Ces combinaisons nœuds/points semblent exclure les tronçons H à J et R à U.
Des points latéraux valant 1 peuvent remédier à cette déficience.
Le tracé des symboles n’a alors plus aucune importance. Seuls comptent les nœuds et points.
Avec ma méthode, le titre serait FBKEC :
_ Lettre 1 : 4 Nœuds + 2 Points = 6 = F.
_ lettre 2 : 1 N + 1 P = 2 = B.
_ Lettre 3 : 1 N + 1 P*10 = 11 = K………..ou 2 N+ 1 P*10 = 12 = L.
_ Lettre 4 : 5 N + 0 P = 5 = E.
_ Lettre 5 : 2 N + 1 P = 3 = C.
Nota : Dans tout le livre, il n’y a que 4 glyphes portant un point sur sa hampe (présents 17 fois dans le texte). Il n’existe aucun exemple de double point. Et chaque fois ce glyphe ressemble à celui du centre du titre (une sorte de Pi, Π).
A ce propos je ne compte qu’un nœud, en haut à droite, certains sont écrits avec une boucle de chaque côté.
marc
Hulotte
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Re: PROUST Messagepar marc » 22 mai 2014 à 17:43
Variante :
Sérafini nous guide vers la ‘’ville orgiaque’’ de Sodome et Gomorrhe, non pas pour retomber sur Charles Trenet mais pour rester au bord de la mer.
Il retire le C de Marcel pour conserver MAREL = LA MER, et il retire aussi le C final de BalbeC.
La mer de Sodome et Gomorrhe est la MER MORTE.
Le ‘’statuaire’’ fait allusion à la statue de sel de la femme de Loth qui oublia de marcher ‘’les yeux baissés’’.
Pourquoi ?
Parce que les fragments d’écriture au sol de la PD sont une représentation des manuscrits de la mer Morte, très proche des grottes de Qumrân.
En résumé, la PG donnerait Babel et la PD, Qumrân.
L’encrier serait le siège de l’Écriture de ces 2 centres. D’un côté le code d’Hammurabi (au Louvre), de l’autre les manuscrits de la mer Morte.
Ce qui nous renvoie page 264, sur la pierre de Rosette.
L’écriture sérafinnienne serait un mélange de cunéiformes et d’Essénien. C.à.d,, d’hébreu archaïque.
La pierre de Rosette permet la comparaison des hiéroglyphes égyptiens, du démotique égyptien et du grec.
Page 265 :
Le titre se compose d’un 1er signe suivi d’≈ et de 8 signes dont 3 paires.
On y retrouve les couples EL.
Le signe devant l’espèce d’≈ doit être le chiffre 9 car sur la page de gauche, ce titre est répété 9 fois en caractères gras.
Le personnage tient dans sa main droite un ESSE de boucher redressé.
En italien, comme en français ESSE est un allographe d’S.
Dans le titre, 2 signes ressemblent à des C pointés. Ce serait ces 2 S.
Dans le tableau des fréquences on note que la lettre la plus utilisée est ce E (136 fois) et que ce S est présent 108 fois. Le L ne sert que 48 fois. Ce qui respecte les fréquences dans alphabets européens.
Dans ce titre on lirait donc : 9 = EE ? SS ? LL.
L’intérieur de la pierre est rouge et non pas rose comme le voudrait une allusion à ROSE-tte.
En italien, ROUGE = ROSSO. ROSE = ROSEO ou ROSATO.
La main de gauche tient une pique dans cette matière rouge qui est relié au cœur du personnage par un cordon, comme l’était le ESSE dans la main droite.
Le personnage est une sorte de docteur qui se livre à une transfusion. Il injecte du sang neuf dans la compréhension des hiéroglypes.
Pour ce faire il transforme le nom de ROSETTE en ROSSETTE.
La veste du personnage est ROSE.
Le titre contient ces 8 lettres mais en désordre.
Je me suis donc trompé en traduisant la dernière paire par LL, il s’agit de TT en réalité.
Dans le titre, EE ?? SS ? TT seule 2 lettres restent obscures. Et aucune des 2 ne fait partie du titre des pages 222/223.
On connait cependant leurs valeurs, O et R.
Quel enseignement en tirer ?
Dans les mots sérafiniens, il y a-t-il une lettre en trop ? Faut-il ‘’trouer’’ chaque mot comme on le fait pour Marcel – C ?
Les aménagements de mots sont toujours délicats à négocier. Il y faut sans cesse ajouter et retrancher des lettres.
Du premier choix dépend inexorablement la suite ……
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 23 mai 2014 à 09:53
Après maints tâtonnements, je crois bien que je le tiens, le bougre !
Page Gauche : L’encrier debout = Écrire. La petite coupelle blanche dessine un réceptacle pour transvaser l’encre. Le tout = Écrire dans le blanc.
Le carnet à spirale représente l’œuvre en 7 tomes, A la recherche du temps perdu de Marcel Proust. 7 colonnes représentent les 7 paragraphes. La 7ème est ainsi intitulée, Le temps retrouvé.
La phrase extraite du paragraphe VI, Albertine, ‘’Fille orgiaque surgie et devinée, le premier jour sur la digue de Balbec’’ est scindée en 6 lignes espacées chacune d’une ligne blanche.
L’acrostiche final du ‘’Temps retrouvé’’ est ainsi : Q_ET_P_S_DE_EC.
P Droite : Marcel Proust est transpercé d’un stylo. De sa blessure s’échappe du sang noir. Le même que celui qui s’échappe de l’encrier renversé et qui signifie qu’une lettre manque.
PROUST est troué et la tache est celle du P à retirer de son nom pour que PROUST devienne TROUS.
PG : Le croisement des jambes signale un croisement de lettres. Il concerne le E d’ALBERTINE qui devient ALBERTEIN.
Cette combinaison est le masque d’ALBERT EIN-stein ‘’troué’’.
PD : A droite, un fragment de manuscrit porte ‘’1 voire…’’. VOIR E, 1.
Une feuille vierge ondulée représente une lettre M écrasée. 2 fragments du chevalet, parallèles écrivent le signe =, égal. La crosse restante du fauteuil donne un C et un troisième morceau des montants se traduit par l’unité 1.
Le tout : VOIR EA = MC1 (quand la formule de la relativité est E = MC2).
PG : Au pied du chevalet, plusieurs mots et lettres servent de pioche pour construire ‘’le Temps recherché’’.
Ces insertions s’écrivent dans les lignes blanches.
Q + U + ET + E + P + A + S + - + DE + S + EC = QUÊTE PAS DE SEC. Ne quête pas de secondes.
Avec Einstein, inutile de rechercher des secondes quand les unités de mesures sont des années- lumière.
Proust, en débardeur marcel, porte une montre bracelet. Il est percé d’un TROU NOIR.
Les ‘’anneaux d’Einstein’’ entourent les trous noirs.
Double sens du mot TROU :
Associé au mot ‘’souvenir’’ écrit sur la page arrachée du MÉMENTO, c’est le TROU de MÉMOIRE.
Visuellement on compte ces trous sur la PG :
_ 5 en tête du chevalet.
_ 7 dans spirale du carnet.
_ 4 au centre des 4 roulettes des patins. De plus, roue qui tourne = temps qui passe.
_ 1 sur la plume.
_ 1 est le col de l’encrier.
S’il est utilisé (ce qui n’est pas prouvé), le code 1 4 1 7 5 pourrait donner ADAGE en alphanumérique.
Chaque détail des visuels est important. La répétition ‘’voici encore, encore, les yeux baissés’’ = Vois ici encore et encore, scrute le sol.
Le mouvement du fauteuil à bascule est encore une allusion au qui passe, mesuré au balancier de l’horloge.
L’idée de Sérafini est de bisser Marcel Proust sur ces 2 pages, vivant et mort, pour inviter à un double passage sur son corps. Son but étant de faire un lien entre lui et Albert Einstein.
Lors du premier passage il ‘’troue’’ le nom de PROUST, au second il ‘’troue’’ son prénom MARCEL.
Là, c’est le R qui est retiré. MARCEL – R = MACEL.
On retrouve ainsi l’étrange formule de la relativité qui unit les 2 hommes, VOIR EA = MC1
Le 1 est un L. Ainsi E = MC2 pourrait être dans MARCEL.
Mais surtout, ce retrait permet MACEL = MA CLÉ.
Est-ce la là CLEF de l’écriture Sérafinienne. Une clef relative ?
Faut-il traduire les titres par OUBLI et IL BU O ?

Reste à comprendre :
_ Le titre et son inverse.
_ L’inscription sur les encriers. Elle aussi en écriture sérafinienne.
_ Le mot : Statuaire.
_ Les fragments : …vrel, …liaae.
Don Luis
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Re: PROUST Messagepar Don Luis » 23 mai 2014 à 18:10
http://www.paleoaliens.com/event/seraphinianus/codex/

DL

PS. Ne pas confondre Don Luigi et Don Luis !!!
Mieux vaut tenter de raisonner juste que vouloir juste avoir raison
marc
Hulotte
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Re: PROUST Messagepar marc » 23 mai 2014 à 19:33
Merci Don Luis,
J’ai tenté quelques traductions avec le convertisseur de ce site.
Sans réel succès.
D’autres sites anglo-saxons continuent à dire que l’écriture sérafinienne n’a jamais été déchiffrée.
Je leurs fait plus confiance.
……………………………………………….
Solution allemande :
Marcel Proust est allongé au sol les ‘’yeux baissés’’, clos. Il git là, mort. Sur son TROU.
Le ‘’statuaire’’ est le marbrier qui taille les pierres tombales.
Le ‘’souvenir’’ est celui que laissent les épitaphes sur ces dalles mémorielles.
Les ‘’yeux baissés’’ sont encore là pour diriger le regard vers la sépulture au niveau du sol.
Mais la traduction du visuel n’est pas en français, pierre tombale ou stèle funéraire, mais en allemand, STEIN.
La ‘’STEIN’’ de Marcel Proust, très sobre, se trouve au cimetière du Père Lachaise, à Paris.
Avantage de cette hypothèse : ALBERTINE donne ALBERT EIN sur la page de gauche, que la page de droite complète par STEIN. Ainsi ALBERT EINSTEIN est reconstitué.

Les 2 fragments ‘’encore’’ sont incontestables. ‘’voici encore’’ aussi.
Mais ‘’voirea’’ est douteux. On peut le lire VOICEA ou VOI CE ?.
Le jeu de la feuille pliée en M, des 2 fragments de chevalet = à =, de la crosse du fauteuil écrivant un C et du bâton étant 1 ou I, est aussi discutable car il dépend de ce VOIREA/VOICE? suspect.
E = MCI est le plus probable, en s’appuyant sur le fameux E = MC2. Mais d’autres interprétations sont possibles.
Si on choisit VOICI = Vois ici et VOICEA = Vois ce A, on constate que les 3 bâtons permettent d’écrire une lettre A majuscule. Les 3 éléments sont alors A + C + M.
Mais ce M, lui-même doit être remis en cause. C’est une sinusoïde dont la phase alterne 3 amplitudes négatives pour 2 positives. On peut aussi y voir une succession ununu en minuscules.
………………………………………………………………………..
C’est la couleur qui oriente le choix :
Les 3 bâtons issus du chevalet sont jaunes, de la même couleur que le stylo qui empale Proust. Quant à la crosse du fauteuil elle écrit un C noir de la couleur du capuchon de ce stylo.
A mon avis, il faut bien lire VOICE A et interpréter les 2 vagues comme étant 2 N.
Le stylo planté dans le TROU de PROUST est une CANNE en réalité.
Einstein a du plomb dans l’aile si je lui supprime ainsi sa formule….
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 24 mai 2014 à 02:27
Albertine reste Albertine et dans, A l’ombre des jeunes filles en fleurs, je découvre un argument massue qui explique l’allure sportive de Proust. Cette tenue en débardeur athlétique ne colle pas avec le personnage que je croyais connaître, frileux, malade, couvert en permanence d’une pelisse.
Le qualificatif rare, ORGIAQUE, écrit sur le chevalet, se retrouve lié à Albertine dans la référence ‘’MUSE ORGIAQUE DU GOLF.
Albertine était une sportive, nommée aussi ‘’la bacchante à bicyclette’’.

Précédemment, j’ai établi le décompte des TROUS de la PG :
_ 5 en tête du chevalet.
_ 7 dans spirale du carnet.
_ 4 au centre des 4 roulettes des patins. De plus, roue qui tourne = temps qui passe.
_ 1 sur la plume.
_ 1 est le col de l’encrier.
Soit 18 TROUS. Si la canne dans le trou de la PD est une CANNE de GOLF, un club, il y a là un parcours complet.
La petite coupelle blanche à droite de l’encrier est une balle de golf.
Original comme hypothèse.

A partir de là tout deviendrait simple :
PROUST sert de base. PROUST – P = TROUS et PROUST – U = SPORT.
Gros problème apparent : Les 5 lettres des 2 titres sont rigoureusement identiques. L’un est l’inverse exact de l’autre. L’un ou l’autre, ou les 2 sont donc fautifs.
Cette erreur serait signalée par le FAUTEUIL à bascule entendu FAUTE ŒIL. Voir la faute U/P.
Les jambes croisées de PROUST peuvent indiquer cette balance U/P.
……………………………………………
Balbec est une ville balnéaire imaginaire de la côte normande. A l’époque, les terrains de golf étaient très rares en France. Proust cite celui de Fontainebleau mais je me demande si la ville orgiaque ne serait pas TROUVILLE entendue VIT LE TROU (les yeux baissés).
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Re: PROUST Messagepar Archimede » 24 mai 2014 à 04:06
http://noboringwhite.blogspot.fr/2013/1 ... tiful.html

Le gars au débardeur est aux couleurs des Usa avec son jean bleu et ses rollers.

Le gars fait pousser des chaises dans la terre sur une autre image, il en met une sur la glace, et aussi une autre avec des patins à roulettes, il aime que les chaises glissent ? Il cultive des chaises on dirait.

Le rocking-chair(e) est cassé ?

Il fait pas un peu gay le gars aux rollers ?

Il écrit avec son doigt dans le sol ? Comme sur les walk of fame, ou un truc du genre ? Il se voyait déja marquer son nom dans le ciment de hollywood blvd avec son doigt ?
Le nombril est visé ?
Il pense que la main n'est pas faite pour écrire par terre mais pour peindre sur un tableau, pour faire de l'art.

L'art plastique m'a tuer(é) ? :lol:
Suis pas loin de panser celui auquel je pense. Oh là, tout doux...
Ma voiture est garée en bas.
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Re: PROUST Messagepar Archimede » 24 mai 2014 à 04:42
Il a un problème de toucher de crayon, il aime la plume, elle lui donne un sensation charnelle. En revanche la bille du bic le tue.
Il aime que ça glisse.

Le chevalet a 2 pied noirs et un blanc, et il semble que ce soit le blanc qui casse.

(c'est le baron Empain qui s'est fait tailler l'extrémité d'un bras au cours de son kidnapping)

Le stylo bille à une vague ressemblance de harpon.

Il a 10 rayures blanches et rouges on dirait.

Le circonflexe et les 3 petit points ont disparus en effet.

Manque un S à ailleur.

Balbec est écorné ?

Enfin c'est pas des rollers, mais plutôt des patins, donc pourquoi il fait pousser des chaises qu'il installe sur la glace ?

Il aimerait des chaises qui glissent ? il n'aime pas le bruit des chaises qui frottent et préfère le balancement ?

Marcel Bich ?
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Re: PROUST Messagepar Archimede » 24 mai 2014 à 05:07
Non, le nombril est plus bas.

L'encrier est mort aussi ? La feuille est déchirée car elle avait été écrite à la plume ?

Le chevalet a disparu et le calepin aussi. Le calepin ne correspondait pas à la plume.
En fait seul le chevalet était en adéquation avec la plume d'un point de vu "art", en fait le bic a repris sa misérable toile de prédilection, le calepin ?

Le bouchon de l'encrier a disparu, le bouchon du bic est d'une couleur opposé au bouchon de l'encrier.
Le bic est bien débouchonné ? LOL assassiné avec le bout arrondi du stylo.

Y a t-il eu un duel de cow-boy ?

Il manque les étoiles si les vêtements évoquent les Usa, justement les étoiles du walk of fame ?

Le calepin a 7 lignes comme le drapeau américain.
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Re: PROUST Messagepar Archimede » 24 mai 2014 à 05:52
Il saigne comme si il était rempli d'encre ? Il est l'outil et le talent, l'encre lui coulait dans les veines ?

Est-ce un message que le crayon moderne aura raison de celui qui tentera de déchiffrer avec la plume, autrement dit le temps ne suffira pas car c'est indéchiffrable ?

Il est la main de Dieu ? Il écrit des textes en arabesques comme il invente des espèces en leur dessinant de nombreuses courbes comme pour ses plantes par exemple ? (certaines de ses plantes ressemblent à ses lettres)
Sa main est créatrice, jardinière ? Il hybride des animaux ? Il y a une image du bras d'un homme couvert de plume.

Il est léger ? Il flotte ? L'écriture est une seconde nature ?

Il semble qu'on puisse lui demander l'heure.

L'arabesque du rocking-chair est cassé, peut-on cassé les arabesque de son écriture ?
La solution c'est les points d'appuis ? Le chevalet en a perdu un, et pour les chaises il y met des patins.
La solution tue le créateur en dévoilant le secret ? C'est le bic la solution ?

Quand il patine, il fait inévitablement aussi des arabesques.

Il est étendu un peu crucifié non ?
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Re: PROUST Messagepar Archimede » 24 mai 2014 à 06:33
Ou alors il considère la chaise comme un être vivant.

Dans la séries de dessins qui montrent une chaise pousser dans la terre, comme un arbre, puis être finalement abandonnée, je trouve que l'un des caractères de son écriture ressemble à une chaise qui aurait poussé sans dossier, de façon a ne plus pouvoir s'asseoir dessus.

Je pense soudainement au coq d'un des autres dessins, il n'a que la tête sur les pattes. Est-ce à cause de la consommation abusive du capitalisme a rayures rouges et blanches que la nature en vient à s'atrophier les parties qui nous intéresse le plus pour notre alimentation, notre consumérisme ?

Le bic pourri contre la plume légère qui serait le juste nécessaire pour subsister.

Donc pourquoi pas des lettres atrophiées par la nature elle-même, par exemple la lettre qui ressemble a un tabouret, celle qui est la même au milieu des titres respectifs de la page G et D, c'est la chaise en réalité, donc le h s'est atrophié et ressemble à un tabouret inconfortable.

On dirait qu'il y a une ou 2 lettres qui possédent une ressemblance avec une face humaine ou animales, en particulier une vache et un bébé au dessus du radis planté d'allumettes. Visible dans le lien suivant :
http://noboringwhite.blogspot.fr/2013/1 ... 4AVUtJ_ud4
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Re: PROUST Messagepar Archimede » 24 mai 2014 à 06:50
Il y a un poivron qui dégueule.

Il y a 2 sortes de caractères on dirait, des lettres atrophiées mais qui restes belles car elles sont quand même l'oeuvre de la nature (si tenté qu'il y ai cette idée de main créatrice). Et des lettres a visages, vaches, bébés, etc...)

Il n'aime pas ce qui traîne par terre, ca crisse à ses oreilles. on peut le constater dans un autre dessin où il y a un appareil équipé de bourres de coton à ses pieds et curieusement un dessin supplémentaire semble appuyé l’intérêt pour les pieds de l'objet et de leur enrobage cotonesque ^^

Par ailleurs il semble que ce soit une machine qui fabrique des toiles à peindre, on en revient à la consommation industrielle, mais il n'aime pas ça puisque le bruit et les vibrations de la machine le dérange au point d'y mettre des patins de coton anti-bruit. D'ailleurs elle ne fonctionne plus la machine à toile, puisqu'il est réduit à travailler sur un calepin.

Ca me fait penser qu'il y a une plante comprenant une belle fleur en forme de toile d'araignée...

Ce dessin de la machine nous dévoile donc ou était cachée la toile du peintre !

Héhé...

Marrant ton jeu Marc ! Trèèèèès marrant !
Modifié en dernier par Archimede le 24 mai 2014 à 06:53, modifié 1 fois.
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Re: PROUST Messagepar marc » 24 mai 2014 à 06:53
Albertine reste Albertine et dans, A l’ombre des jeunes filles en fleurs, je découvre un argument massue qui explique l’allure sportive de Proust. Cette tenue en débardeur athlétique ne colle pas avec le personnage que je croyais connaître, frileux, malade, couvert en permanence d’une pelisse.
Le qualificatif rare, ORGIAQUE, écrit sur le chevalet, se retrouve lié à Albertine dans la référence ‘’MUSE ORGIAQUE DU GOLF.
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Précédemment, j’ai établi le décompte des TROUS de la PG :
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_ 7 dans spirale du carnet.
_ 4 au centre des 4 roulettes des patins. De plus, roue qui tourne = temps qui passe.
_ 1 sur la plume.
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Original comme hypothèse.

A partir de là tout deviendrait simple :
PROUST sert de base. PROUST – P = TROUS et PROUST – U = SPORT.
Gros problème apparent : Les 5 lettres des 2 titres sont rigoureusement identiques. L’un est l’inverse exact de l’autre. L’un ou l’autre, ou les 2 sont donc fautifs.
Cette erreur serait signalée par le FAUTEUIL à bascule entendu FAUTE ŒIL. Voir la faute U/P.
Les jambes croisées de PROUST peuvent indiquer cette balance U/P.
……………………………………………
Balbec est une ville balnéaire imaginaire de la côte normande. A l’époque, les terrains de golf étaient très rares en France. Proust cite celui de Fontainebleau mais je me demande si la ville orgiaque ne serait pas TROUVILLE entendue VIT LE TROU (les yeux baissés).

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