PROUST

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Archimede
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Re: PROUST Messagepar Archimede » 24 mai 2014 à 07:03
Erreur, la chaise n'est pas abandonée, elle a été tronçonnée et part se faire ensuite taillée, puis va finir sur un lac gelé avec une gogo danseuse assise dessus.

On dirait que certaines lettres pourraient former un noeuds si on en tirait les extrémités. Les lettres arabesques basculent-elles ?

Sur la page de la machine qui fabrique des TOILES, il y a d'autres appareils à VOILES.

Et au dessus de ce qui ressemble à un bateau, on dirait que les 2 premières lettres arabesques ressemblent à des poissons.
Suis pas loin de panser celui auquel je pense. Oh là, tout doux...
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Archimede
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Re: PROUST Messagepar Archimede » 24 mai 2014 à 07:16
Il y a 2 plantes étranges, l'une est composées de feuilles ressemblant à du papier couverts des caractères mystérieux et la plante à sa gauche a carrément des feuilles en forme de clefs ! ^^

D'ailleurs la plante en forme de toile se trouve sous la plante en forme de papier écrit !
Peut-on penser que la toile et le calepin se fond face ?

Sur cette double page, on dirait que les plantes du bas, donc de la rangée de la plante TOILE, sont plus jolies et colorées que la rangée de plantes du dessus, rangée du dessus qui parait d'ailleurs plus sombre, avec plus de couleurs noires je trouve. La rangée du haut est l'industriel et celle du bas plus naturelle ?
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Re: PROUST Messagepar marc » 24 mai 2014 à 09:02
Quelle est la représentation la plus étrange de ces 2 visuels ? C’est sans conteste, le bras de Proust. Cette plume qui prolonge physiquement l’écrivain en devenant une partie de son anatomie. En utilisant un tel procédé, Sérafini s’ouvre un véritable dictionnaire de mots commençant par bras ou par main. Comme c’est cette plume qui a écrit tous les mots présents, il suffit de la reposer sur n’importe quel point du tracé pour obtenir un nouveau mot.
Et quand on récrit le mot FILLE et que la plume se trouve derrière le F on compose le mot BRAILLE.
Intéressante déduction qui permet de traduire ‘’yeux baissés’’ par regard d’aveugle.
Les TROUS prennent alors un autre sens . Ce sont les perforations de l’alphabet Braille.
Les 18 trous ne sont plus un green de golf mais 3 matrices de lettres Braille.
Et le stylo écrit en faisant des trous. C’est le poinçon des non- voyants.
A la droite de l’encrier, ce que j’ai pris pour une coupelle est en fait le capuchon blanc de l’encrier noir.
Cela peut paraître étrange, blanc sur noir. Mais c’est inviter à changer la couleur du capuchon du stylo qui devient ainsi une CANNE BLANCHE.

Le code Braille s’adapte parfaitement à l’écriture séraphinienne dont il ne faut plus voir les arabesques de la calligraphie, mais uniquement les intersections de celles-ci. Chaque croisement déterminant un point sur la matrice 2*3.
Une variante peut être envisagée car Sérafini donne une matrice 5*5 page 15.
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Re: PROUST Messagepar marc » 24 mai 2014 à 12:23
Décidément l’image que renvoie le visuel ne peut être le reflet de Marcel Proust, trop souffreteux pour avoir ce portrait énergique. Il s’agit bien d’un écrivain français, puisque cette double page est la seule du codex Séraphinianus dans cette langue, mais ce n’est pas Proust.
On voit là un homme rapide, un écrivain qui se déplace comme sur des roulettes. Et bien que la chaise à bascule semble être un fauteuil roulant, c’est en réalité le siège d’une voiture rapide.
Cependant, le texte sur le carnet est bien extrait d’Albertine, le tome VI d’ A la recherche du temps perdu.
Mais au pied du chevalet un grand nombre de mots et de lettres sont tombés. Il s’agit là d’un EXTRAIT d’ALBERTINE.
Ce carnet à spirale rappelle immanquablement celui qu’utilisent les journalistes.
Nous avons ainsi en page 222 un écrivain journaliste dans une automobile.
Page 223, vous somme face à une tombe. Sur ce mémorial (‘’souvenir’’) le nom du défunt est gravé par un stylo jaune et noir. Mais ce nom est incomplet car il comporte un trou. Cette plaie dont le sang noir s’échappe en emportant des lettres.
De la voiture rapide, il ne plus qu’une crosse du fauteuil écrivant un C noir.
Un terrible accident est la cause du décès. Autres fragments subsistants, 3 bâtons des montants du chevalet s’assemblent pour composer un A. Le tout piloté par le texte VOICEA, vois ce A.
Une feuille vierge ondulée comme la mer représente un M stylisé.
Et les inscriptions ‘’voici encore’’ et ‘’encore’’ incitent à rechercher dans ces vagues 2 autres lettres. Le U (il y en a 3 possibles et le S (2 sont couchés).
Ces 5 lettres C+A+M+U+S composent le nom de CAMUS.
L’extrait d’ALBERT-ine est ALBERT.
Nous somme devant la tombe d’ALBERT CAMUS à Lourmarin.
L’inscription sur l’encrier est donc CAMUS et son inverse SUM AC, Je suis A.C., Albertinus Camus, en latin.
L’auteur de L’Endroit et l’Envers.
Mais ce n’est pas le titre en haut de page.
‘’Ils s’astreignaient par conséquent à ne jamais penser au terme de leur délivrance, à ne plus penser vers l’avenir et à toujours garder, pour ainsi dire, les YEUX BAISSÉS’’. La Peste II.
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Re: PROUST Messagepar marc » 24 mai 2014 à 23:40
Précédemment, j’ai traduit le titre de la pierre de Rosette (page 265) par :
(8 ou 9) = EE(O ou R)SS(O ou R)TT. → ROSSETTE.
On remarque que la paire de S est représenté par 2 glyphes semblables à des C inclinés pointés de ce genre, Ͼ.
C’est bien le même glyphe qui termine le nom de Camus sur l’encrier.
S = Ͼ.
Les 4 autres lettres de CAMUS sont difficiles à traduire en raison de leurs ligatures. Il faut les isoler au préalable.
Le point de jonction entre le m et le U est signalé par un ^. Curieusement, ce repère disparait quand l’encrier est renversé.
Le U ressemble à un l minuscule calligraphié et inachevé.
Le M est très proche de notre m mais avec 3 ondulations au lieu de 2. Comme sur la feuille vierge gondolée. Il enjambe 2 points.
Le A fait penser à un L majuscule calligraphié contenant un а en romaine moderne.
Le C ressemble beaucoup à notre C, si ce n’était cette boucle finale. Il est pointé.
Je pense donc avoir décodé 5 glyphes de l’écriture sérafinienne. ACMSU.
Ce qui ne signifie pas pour autant que toutes ces lettres soient les mêmes à chaque page. Elles ont sans doute plusieurs visages. Le M par exemple est l’unique glyphe de ce type dans tout l’ouvrage. Les autres M sont obligatoirement différents.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 25 mai 2014 à 10:55
Albert Camus est ‘’L’ÉTRANGER’’ du codex Séraphinianus. Seules les pages 222 et 223 sont en français.
Le reste de l’ouvrage est en italien. C’est donc le cas de la page 265 consacrée à la pierre de Rosette.
La Pierre de Rosette = Pietra di ROSETTA.
Celle du visuel est bicolore. Sa surface est blanche et son cœur est rouge, ROSSO ou ROSSA.
Le personnage est relié à cette pierre par 2 cordons.
Sa veste est ROSE composée du rouge central et du blanc extérieur.
La poche de poitrine est plus petite que celle de droite.
La main gauche ‘’pique’’ une lettre à l’adjectif ROSSA.
Celle de droite tient un ESSE de boucher avec 3 anneaux pour indiquer un prélèvement de 3 lettres dans l’inscription.
Il faut reconstituer (1+3 lettres) la couleur de cette veste qui est obligatoirement au féminin car au masculin, il faut 5 lettres pour composer l’adjectif ROSEO.
La 1ère étape est d’atteindre le mot ROSA.
On remarque que l’inscription est une égalité. Un glyphe égale les 8 lettres qui sont celle d’une anagramme.
Mais faut bien noter que le titre ne correspond pas exactement à l’inscription sur la stèle. Les 2 dernières lettres diffèrent.
Par contre c’est bien cette série de 8 lettres qui est reprise 9 fois sur la page de gauche, en caractères épais.
Je cherche à identifier le personnage en trouvant une équivalence à notre Champollion national.
Giovanni Battista Belzoni et Ernesto Schiaparelli pourraient convenir. Le grand centre italien de l’égyptologie est Turin.
Nota : Le nom qui a permis de traduire la pierre de Rosette est Ptolémée V.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 25 mai 2014 à 17:01
Dans le titre, à droite du signe ≈, on compte 8 glyphes. Et parmi ceux-ci 3 paires. (1-1) 2 (3-3) 4 (5-5).
Dans l’inscription gravée, la terminaison diffère : (1-1) 2 (3-3) 4 1 6.
Rappel :
(Voir le premier mot des titres des pages 15,17, 19, 27, 31, 35, 39, 41, 45, 51, 53, 61, 63, 65, 71, 75, 81, 85, 95, 111, etc….
C’est un mot de 2 lettres qui écrit la préposition ET.).
Le déchiffrage d’Albert Camus a donné la valeur du glyphe Ͼ, S.
Titre = EE 2 SS 4 TT. Inscription = EE 2 SS 4 E 6.
J’en déduis que 2 et 4 sont les glyphes de O et R. Sans pour autant déterminer lequel est le O des 2.
Titre = anagramme de ROSSETTE et Inscription = ROSSEEE + 6 ?.
Le personnage est un sculpteur. C’est lui qui a buriné la pierre avec le ciseau à froid qu’il tient dans sa main gauche, découvrant ainsi la couleur ROSSA qui est à l’intérieur de celle-ci.
Sa main droite tient une ESSE de boucher. Mais ce crochet a été redressé car il est à double sens. De plus c’est un modèle réglable à 3 anneaux. 3 lettres S sont ainsi désignées.
A gauche, ROSSA – S = ROSA, qui donne sa couleur ROSE à la veste. Et dans le titre, le retrait des 2 autres S (1+2=3) fournit l’anagramme de ROETTE. C.à.d. le prénom d’ETTORE.
Mais ce crochet ESSE joue un autre rôle, car ainsi courbé il rappelle certains mors de chevaux.
Les cordons qui relient les 2 outils deviennent alors des RENES.
Et bien sûr, la couleur rouge très caractéristique oriente vers les bolides de la marque au cheval cabré, FERRARI.
Le personnage à la longue crinière devient définitivement le sculpteur ETTORE FERRARI (1844-1929).

Reste à élucider :
_ Le glyphe avant ≈ dans le titre.
_ L’inscription ROSSEEE+6.
_ Le fait que la pointe du ESSE désigne très précisément un hiéroglyphe en forme de D plein.
_ Les 9 ROSSEEE+6 sur la page de gauche.

Ettore Ferrari fut le grand maître de la loge du Grand Orient d’Italie. Ceci expliquera peut-être cela.
En attendant, avec les 5 glyphes de CAMUS et les 4 de ROSETTE, je constitue, petit à petit, mon alphabet sérafinien.
A C E M O R U S T.
Nota : On remarquera que la crinière du sculpteur est rousse et que la ‘’Testa Rossa’’ se trouve au musée Ferrari de Turin, capitale aussi de l’égyptologie en Italie. Pour les amateurs, ne pas confondre avec la Testarossa !
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 26 mai 2014 à 06:49
Le sculpteur Ettore Ferrari devient alors maître d’école.
Son tableau est blanc et il y dirige de sa baguette un cours de traduction.
Il représente alors ETTORE SCOLA, le cinéaste.
SCOLA, la leçon, l’école, en latin → Scuola, en italien.
La méthode de Sérafini commence à s’éclaircir.
Il associe deux personnages qui se complètent.
Marcel Proust + Albert Camus. Ettore Ferrari + Ettore Scola.
Il faut donc toujours avoir à l’esprit le couple initial, fondamental du codex Séraphinaianus :
Homme + Femme = Crocodile (Page 201). Uomo + Donna = ALLIGATORE.
2 autres couples vont sans doute confirmer mon hypothèse. Il s’agit du militaire et de l’homme politique des pages 220 et 218.
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Re: PROUST Messagepar marc » 26 mai 2014 à 11:36
Page 218 :
L’homme politique est comparé à une girouette. Ce qui n’a rien d’étonnant en Italie (comme en France d’ailleurs).
Il change de masque suivant et de direction au gré du vent.
Il porte 5 masques dont les cartons d’emballage sont au sol. 2 sur 7 ne sont pas utilisés.
Le vent emporte une lettre et 2 feuilles non écrites parmi les feuilles mortes.
Dans le jeu Proust/Camus, la voiture (Facel véga) était représentée par le fauteuil à bascule et les patins à roulettes. Ici la chaise roulante n’a que 3 roues car c’est un triporteur.
On ne voit pas les mains du conducteur qui conduit à l’aide d’un guidon dont les poignées sont carénées.
La lettre qui s’envole est le P de PIAGGIO qui est remplacée par le V de VIAGGIO, le voyage.
Le patron de de la société de motocycles PIAGGIO était UMBERTO AGNELLI et PIAGGIO est le nom de son épouse.
Cet ex président de Fiat fut sénateur de la Démocratie chrétienne.
Le complément d’UMBERTO AGNELLI est UMBERTO ECO.
Les 4 cartons empilés donnent les 4 lettres du mot ROSA, la couleur ROSE est confirmée par les 3 fonds des autres boîtes qui servent aussi pour le nom en 3 lettres d’ECO.
Le ‘Nom de la Rose’’ fut publié en 1980, un an avant la sortie du Codex Séraphinianus.
Pour lui, les masques cachent le visage de la tristement célèbre Inquisition.
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Re: PROUST Messagepar marc » 26 mai 2014 à 18:31
Un Séraphin est un ange avec 3 paires d’ailes.
Il existe une variété de pâtes fines nommées ‘’Capelli d’angelo pasta’’.
L’écriture sérafinienne repose-t-elle sur des nouilles ?
Sérafini = Farine si ?
Elle n’est pas sans rappeler l’elfique tolkien …….
………………………………………
Gamins, nous utilisions le javanais. Ce codage argotique nous plaisait plus que le jargon louchébem.
Pour rendre son écriture encore plus hermétique, Séraphini semble avoir usé de ce stratagème.
Le titre de la page 218 (ECO) se compose ainsi :
1 – 2 3 4 5 6 5 6 = 1 – E O O R S R S. Le mot est doublé. O, R et S sont bissés.
Autre astuce, le glyphe 1 – E est un multiplicateur par 2. → EEOORSRS.
Ainsi ROSE bénéficie d’une double protection en étant écrit 2 fois.
Je complète mon alphabet A C E L M O R S T U.
Je me dirige vers un alphabet d’au moins 52 glyphes et sans les accents. Avec les chiffres, je pense dépasser les 70 codes.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 27 mai 2014 à 01:02
Page 220 :
Le militaire est le Général de l’armée de l’air Italienne UMBERTO NOBILE.
Ses médailles indiquent son grade et les parachutistes, à droite, rappellent qu’il fut l’inventeur du parachute italien (1918).
En bas à gauche, le dirigeable est l’ITALIA qui rejoignit le pôle Nord en 1928.
Le siège à roulette est ici un char d’assaut comme l’illustre le casque lourd à roulettes, blindé.
Ses éperons rappellent qu’avant l’apparition des chars, cette Arme se nommait la cavalerie avec ses cuirassiers.
En fait, très antimilitariste Sérafini règle son compte à ce général d’opérette en lui faisant porter l’insigne d’un sergent et en le faisant jouer à la guéguerre avec des soldats de plomb. Il faut dire que ce militaire ventripotent fut accusé d’avoir abandonné son équipage sur les glaces arctiques. Il était tout juste bon à faire des moulinets avec son sabre.
Il ne sert ici qu’à amener le second personnage qui lui est considéré comme pionnier.
NOBILE en italien signifie NOBLE. Il fallait découvrir un NOBILE, portant perruque et bicorne, associé non pas au dirigeable mais à son ancêtre, la montgolfière.
Première ascension en Italie lev25 Février 1784 à Milan, par le Chevalier Don Paul Andréani. Nobile car Comte.
Chevalier = Cavaliere.
Le sabre coupe des ballons en 2, mais il a aussi partagé un cavalier et sa monture.
Sur le dirigeable, 4 lettres peuvent écrire PAUL ou POLO (Pôle).
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Re: PROUST Messagepar marc » 27 mai 2014 à 15:38
J’ai isolé 5 couples :
Marcel Proust – Albert Camus.
Ettore Ferrari – Ettore Scola.
Umberto Agnelli – Umberto Eco.
Umberto Nobile – Paul Andreani.
Femme – Homme Crocodile.
Plusieurs obstacles en rendent la traduction particulièrement délicate. Car non seulement l’écriture sérafinienne est pratiquement illisible en minuscule mais en plus, la langue utilisée n’est pas de l’italien. Elle s’y apparente cependant.
Exemple : Page 11. Une tache de COULEURS représente vaguement un papillon.
En italien, COLORE donne COLORI au pluriel et sous le visuel on lit COLORS.
Ce n’est même pas de l’anglais, c’est de l’américain.
Autre exemple de cette langue imaginaire : Page 62.
En italien, COCCINELLE se dit COCCINELLA.
Or, sur la page de gauche on lit EL COOCS.
En anglais ce serait LADYBIRD (LADYBUG, US). En séraphinien c’est COOCS.
Cet exemple est bien choisi car il comporte le verrou déjà cité sur le titre de la page de droite.
On y lit : (Glyphe inconnu) – COOCSCS. La terminaison CS a été bissée.
Pourtant, c’est le même mot.
De même, page114, LURR pour LUCE, et page 188, OMORRR pour UOMO.
Les mariages s’annoncent aussi difficiles que celui du cheval et de la chenille…..
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Re: PROUST Messagepar marc » 28 mai 2014 à 09:16
Page 63, la coccinelle est abrégée en EL COOCS.
Page 79, le poisson ‘’œil’’ est appelé LA EAUU.
On remarque que dans les2 cas, une voyelle est superflue. COCS et EAU suffisent.
Le grand O rouge donne naissance à 12 coccinelles et 12 en sont déjà issues.
Le poisson doit être doublé pour dessiner une paire d’yeux,
Il y a 12 regards sur l’eau du visuel.
D’un côté 24 coccinelles sur un grand O, de l’autre 24 poissons EAU sur l’eau entendue O.
Curieux. Sauf si ce O est un Ω, 24ème lettre de l’alphabet grec.

Il y a 21 (5+12+4) de ces O sur les branches de l’arbre.
En italien et en français, le mot ARBRE ou ALBERO est utilisé en mécanique automobile.
De nombreuses combinaisons sont possibles avec ces 4 possibilités decodes alphanumériques dans les alphabets.
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Re: PROUST Messagepar marc » 28 mai 2014 à 20:59
L’écriture sérafinienne résiste depuis 33 ans à tout déchiffrage. Pourquoi ?
Parce que les chercheurs sont trop habitués à toutes les formes de stéganographie.
D’entrée ils foncent sur les fréquences et sur les matrices. Négligeant ainsi la psychologie de l’auteur, Luigi Sérafini.
Il est inutile de se précipiter dans la lecture complète de ce magnifique ouvrage. Il faut d’abord en avoir la clef.
Pour ma part, j’ai court-circuité les 200 premières pages car je venais de l’homme sur la femme du cryptogramme de La Buse et j’y ai vu un parallèle avec la Femme + Homme = Crocodile de ce codex.
J’ai eu tort, je n’aurais pas dû dépasser les premières pages et rentrer dans l’ouvrage sans en avoir les clefs.
Le titre est déjà une indication importante.
En italien CODE = CODICE.
Dans le monde scientifique, on n’utilise que le latin comme langue internationale pour classifier toutes les espèces, végétales et animales. Ce qui évite toutes confusions.
SERAFINI est ainsi latinisé en SERAPHINIANUS. Avec F = PH.
Cela rajoute en plus une connotation mystérieuse de vieux manuscrits en faisant penser à celui de Voynich.
En fait l’intention est d’ajouter le mot ANUS en terminaison de ce nom. Je dis bien ANUS, le mot est le même en italien, avec le double sens de l’ANUS latin, le fondement et l’anneau.
Dans les 3 premiers visuels, il y a 2 oiseaux.
Regardons le croupion (mot plus facile à écrire qu’anus) ou plutôt QUEUE.
Page 5, elle remue. Page 9, c’est le même œil que celui de la tête.
Cette représentation donne une première clef : TÊTE À QUEUE.
Pour les amateurs de Rennes-le-Château, c’est exactement la formule P.S. PRAECUM, Avec ce qui est écrit après mis devant. En italien TESTA A CODA. En latin AΩ version ‘’les premiers seront les derniers’’.
En italien, CODA est synonyme de FINE, la fin. Au pluriel FINI.
SERA = le SOIR.
Le verbe essere = SARA à la 3ème personne du futur.
Pour traduire par SERA il faudrait choisir le verbe être français.
Ici SERA = SOIR = Obscurité, Noir, Nuit.
SERA + FINI = Les terminaisons dans l’obscurité.
Chez les 2 oiseaux, les ailes battent. Aile = ALA, pl. ALI.
Déplacements, battements :
_ Page 5 : Ailes = 3 positions. Queue = 4 positions. Pattes = 5 positions.
_ Page 9 : Ailes = 4 p. Pattes = 6 p. Œil = 6 p.
Dans la vision biblique d’Isaïe (6), les Séraphins ont 6 ailes, 3 paires.
Page 5, une flèche désigne le cou de l’oiseau. COLLO en italien.
Sur l’aile, 4 taches bleues, 2 grandes et 2 petites conservent 4 lettres de ce mot.
Page 9, c’est l’œil qui est pointé. OCCHIO, et l’aile, ALA.
Sur l’aile 4 taches invitent à une sélection de 4 lettres dans ces 2 mots.
Les 2 oiseaux :
4 de COLLO + 4 d’(OCCHIO + ALA).
Entre les pages 5 et 9, se trouve un 3ème élément.
Page 7 : Un arc-en-ciel = ARCO IN CIELO.
Mais il est incomplet et se termine par l’oiseau mécanique de la page 182.
CIELO incomplet = 4 lettres de ce mot.
Parties communes aux 3 oiseaux :
4 de COLLO → CLLO. 4 de OCCHIO+ALA → COLO. 4 de CIELO → CELO.
CLLO, COLO, CELO sont 3 composantes du mot UCELLO qui en italien = OISEAU.
Mais le fait qu’on puisse l’écrire CELO avec un seul L pose un problème.
Faut-il lire UCELLO ou U CELO. Car CELO = Je cache.
Si le U est caché, il faut s’orienter sur un alphabet de 25 lettres, sans U.
Mais, à mon avis, il faut surtout retenir de ce préambule de 3 oiseaux sur les 3 premières pages qu’il y a là 3 paires d’ailes. Et que ces 6 ailes sont celles du séraphin biblique.
Je m’attends donc à trouver L dans 6 glyphes différents.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 29 mai 2014 à 10:41
Pour vérifier mon hypothèse de ‘’tête à queue’’, je suis allé à la dernière page de ce livre où j’ai découvert un petit visuel, sous le dernier texte.
Page 371 :
Il ne reste plus qu’une bague tombée de la main d’un squelette. Son chaton est en forme de scarabée et plusieurs de ceux-ci sautent dans cette tombe pour inviter à retirer cette pierre verte. Dessertie, il ne restera de ce bijou qu’un anneau. C.à.d., un O.
Mais ANUS en français = ANO en italien.
Et Séraphinianus, s’il était écrit en français ou en latin, pourrait se traduire par SéraphiniANO ou ANNEAU. Ne dessinant qu’un O.
A qui appartient cette main ? Serait-celle de Proust/Camus qui est remplacée par une prothèse ?
SERAPHINI-O peut-il se lire en français SERA PH IN I O ?
Retour sur les 3 oiseaux de tête.
COLLO, ARCO IN CIELO incomplet et OCCHIO+ALA.
OCLLO. CO in CELO = OCCELO. OCCLO.
UCELLO devient O CELO, Je cache le O.
Les 2 yeux, en tête et en queue du 3ème oiseau, dessinent ce O.
On remarque un curieux dessin rouge (comme le collo) sur l’aile du premier oiseau, page 5. Ses contours imitent ceux d’un glyphe.
L’AILE, L, cacherait un O. ALA+O. Ou un U masquerait-il un O ?
…………………..
Seule quasi-certitude, le CODE est dans l’AILE.
Les 4 taches (sortes d’ocelles) présentées sur les ailes des 2 oiseaux masquent 4 lettres, donc 4 glyphes.
Les 3 premiers mots contiennent la racine COLO.
Le 4ème visuel porte un titre de 6 glyphes. Il est décodé par les 3 précédents.
La tache multicolore représente une sorte de papillon. Elle annonce le premier chapitre consacré aux COULEURS.
Le segment COLO est la tête de ce mot.
Je traduis donc ce titre par COLORS.
Les pages 5, 7 et 9 donnent donc les codes de 3 lettres C, L et O.
La page 11, R.
En italien Couleurs = COLORI.
J’utilise en finale le S de CAMUS (P. 222).
J’estime que les 5 glyphes C, L, O, R et S sont ainsi déchiffrés.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 30 mai 2014 à 02:21
Et, ultime complication, COLO en italien = Je coule ; et en latin, Je filtre.
Le début s’avère compliqué !
Je ne peux pas suivre une progression linéaire. Je vais donc choisir les énigmes les plus simples pour constituer mon alphabet.
Et recommencer le mariage Proust / Camus de la page 222 d’où je dois pouvoir extraire 5 nouvelles lettres.
A gauche, c’est bien PROUST en débardeur Marcel devant un extrait d’Albertine, le tome VI de son œuvre ‘‘A la recherche du temps perdu’’.
Son fauteuil et les roulettes de ses patins représentent une automobile.
A droite, c’est Albert CAMUS, mort après son accident de voiture, dans sa tombe de Lourmarin .
Pilotés par le texte LIRE A, les 3 fragments jaunes du chevalet reconstituent un A, et la crosse noire du fauteuil écrit un C. Le stylo qui écrit sur la tombe (Souvenir = épitaphe) est jaune et noir. La feuille vierge ondulée stylise un M, un U et un S couché. Le tout identifie le défunt qui est un extrait d’ALBERT-ine et la somme de C+A+M+U+S.
Sur l’encrier le nom de CAMUS est écrit, mais en minuscules. Une tache d’encre noire et de sang noir s’écoule de l’encrier et du cadavre. Il manque une lettre à CAMUS pour avoir le même nombre que celles qui composent PROUST, 6.
Une dernière inscription, ‘’Yeux baissés ‘’, donnent la lettre manquante. B et C sont les allographes de ‘’baissés’’. Voir BC = voir le E qui est entre B et C dans bal-BEC.
Du mariage entre PROUST et CAMUSE surgit le titre de la page de gauche, sans son E final.
COMPT + E.
Sur la page de droite, ce mot est inversé. Car les 2 titres se suivent dans le raisonnement.
COMPTE À REBOURS. En italien CONTO ALLA REVESCIA.
Résultat du tout : A LA RECHERCHE DU TEMPS PERDU = COMPTE A REBOURS.
5 lettres se dégagent du jeu COMPT. On retrouve CO de COLO.
Nota : En minuscule, le M a une calligraphie différente.
Sur l’étiquette de l’encrier, seules les lettres A et S de CAMUS sont les mêmes que les majucules.
Le c minuscule est différent du C majuscule.
COMPTE A REBOURS est une invitation à compter les points et les tirets sur les lettres.
Ici, C+2p, O+1p, M+1t, T+1t. Soit 3 points et 2 tirets qui rentrent dans une comptabilité pour l’instant obscure.
Sinon les lettres ne portent ni points ni tirets dans l’alphabet de base.
marc
Hulotte
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Re: PROUST Messagepar marc » 30 mai 2014 à 16:24
Page 42, l’arbre-chaise.
Son nom est composé de 4 lettres dont nous connaissons les 2 premières, M et O.
La chaise est un meuble. En italien MOBILE.
La calligraphie de la 3ème lettre ressemblant furieusement à un B, je choisis son glyphe comme tel.
Pour moi, le nom dans le titre est MOBI. Pour l’arbre-mobilier.

Je considère donc que la 4ème lettre est un I. Et comme ce glyphe est celui de la 5ème lettre de COLO?S, je corrige ce dernier en COLOIS.

Page 44, la marguerite élévatrice :
Dans le titre, les 4 lettres de ses glyphes sont déjà connues : ISSA.
En italien, Hisser = ISSARE.

Page 54, la chenille :
En italien CINIGLIA.
Abréviation en 4 premières lettres. CINI.

Page 60, SICS.

Page 62, COOCS. Coccinelle.

Page 82, INES.
Inesistente = Inexistant.


Page 84, TORR.
Début de TORREGGIARE, dominer.

Page 30, ONNCS.
ONNIVORO = Omnivore.
…………………………..
Les titres de pages :
Ils sont tous en majuscules et se présentent sous 2 conditionnements :
_ 1) : Le titre commence par un article, EL ou LA parfois précédé de OGGI qui signifie Aujourd’hui.
Le mot à découvrir est abrégé et il est suivi d’un index. Souvent LA3.
_ 2) : Un glyphe complexe est en tête d’une série de glyphes simples (des lettres de l’alphabet de base) dont il est séparé par un tiret.
La table des matières précède les pages qu’elle concerne.
Elle comporte 3 colonnes. Celle du centre est repérée des 3 lettres E?S..
La colonne de numérotation des pages est liée à la coccinelle de la page 63 ou 21 anneaux de coccinelles sur l’arbre = 0.
Je continue à respecter la pagination du livre.
Pour un puriste, la page 63 est la 54ème (base 21).
Exemples :
_ Page 13 :
La colonne de gauche correspond à la page 44. Elle porte le nom de la marguerite, ISSA.
La colonne centrale est celle de la page de droite, 45, sans le glyphe de tête. On retrouve une partie du nom de la marguerite dans ISS ??I.

Problème. Je n’ai pu découvrir que 17 lettres de l’alphabet primaire. Et j’ai beaucoup de peine à distinguer les S des U.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 31 mai 2014 à 00:37
L’alphabet de base ne compte-t-il que 21 glyphes ?
Beaucoup de cryptogrammes n’utilisent pas la lettre W. Finalement assez récente en français et inconnue des anciens. Ce qui réduit déjà l’alphabet à 25 lettres.
Si on remarque que le F de SéraFini devient PH dans SéraPHinianus, on peut aussi le retirer.
Mais pour arriver à un total de 21, il faut encore le réduire.
Je ne vois qu’une solution : Attribuer à un glyphe 2 valeurs littérales différentes.
Dans un second temps, un autre alphabet plus complexe où les glyphes seraient mariés entre eux pourrait contenir 21 syllabes.
Les glyphes seraient différenciés par un système de points, genre accents.
Dans un premier on peut détecter un certain nombre d’entre eux car dans les mots italiens, comme en français, il n’y a jamais une succession de 3 mêmes lettres.
Or on rencontre des triplets dans des noms des titres pages : 53, 65, 143, 150, 176, 189, 214, 228, 240, 254, 275, 302.
Exemple du chapitre sur l’HOMME, page 189 :
On lit OMOIII, avec 3 I.
Homme en italien = UOMO. Les Hommes = UOMINI.
On peut supposer que le I central est un N dans OMOINI.
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 31 mai 2014 à 10:02
Je le pressentais, les clefs sont dans le titre même du livre. Mais d’une manière si alambiquée qu’elle en est insoupçonnable.
Sérafini a donné son nom à SERAPHINIANUS, principalement pour conférer à son manuscrit une connotation antique rappelant les grimoires sur parchemins réservés aux seuls initiés.
Mais ce n’était pas là sa seule raison. Outre le caractère mystérieux, il voulait introduire la terminaison latine ANUS. Mot à double sens qui se traduit par anus et anneau en français et par ANO et ANELLO en italien.
La conjugaison des 2 sens se traduit par, l’anneau en queue, le O dessiné par l’anneau, à l’extrémité arrière.
Soit SERAPHINIO.
FINI, en italien = la FIN, la terminaison.
Le mot CODEX dépend de 2 autres mots, CODICE, code et CODA, la queue.
Avec son X final, il revêt cette apparence latine qui permet de voir en lui le nombre romain 10.
Il se lit comme notre Inconnue X en mathématique.
Le titre : CODE X SERA FINI O, avec SERA en français, comme les pages 222/223.
Et pour l’utiliser il faut rejoindre la dernière page de l’ouvrage, l’ ANO.
Ce bond de 371 pages respecte le symbolisme chrétien classique, de l’Alpha à l’Ω. Du commencement à la FIN.
Là on découvre l’anneau O au sol.
Il a roulé d’un des 3 doigts du squelette.
Des insectes sautent (de pages en pages).
Nota : J’utilise comme source la réédition de 2005 disponible en ligne. Je vais donc devoir porter la pagination de cet ouvrage devant celle de Sérafini dans mes références.
Le chapitre qui traite des insectes va de la page 50 à la page 69 (42-49).
L’Anneau O se trouve en pages 62/63(44).
C’est le grand O rouge des coccinelles titré COOCS. (Coccinella).
Nota : J’ai cru un temps y voir COX de VW !
Il y a 2 O dans le titre et 1 seul sur ce visuel ;
En réalité, ils sont 2 car 12 coccinelles = O et que 12 autres coccinelles sortent d’un autre O virtuel
12 + 12 = 24. L’alphabet grec est possible. Il compte 24 lettres et 2 O (Omicron et Oméga) dont l’un termine la série. Ω final.
Ici, les 3 doigts du squelette sont remplacés par 3 branches d’arbre et l’anneau par des O de coccinelles.
Sommes 5*12 = 60. 12*12 = 144. 4*12 = 48.
3 pages du livre sont ainsi sélectionnées.
Correspondance entre les paginations de Sérafini et du livre : 48 → 58, 60 → 69, 144 → 333.
_ Page 58 : Titre : ?-PM?:
Une sorte de bicyclette. Un engin aux 2 roues de diamètres différents. O + o. Oméga / Omicron.
_ Page 69 : Titre : : ?-O?O??O :
Deux enceintes circulaires de pierre parquant un animal étrange.
_ Page 333 : titre : ?-????ICSS??CS :
Un cercle de feu en arène de cirque. Une ronde humaine de 14 participants.
De loin, le visuel le plus complexe. Il contient les clefs. Il va falloir les en extraire !
marc
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Re: PROUST Messagepar marc » 31 mai 2014 à 17:24
Le CIRQUE :
Dans le cercle de feu, un homme nu et une femme topless disputent une sorte de match de tennis (on distingue mal la balle, peut-être une pelote).
Dans ce duel, la femme est armée d’une sorte d’éventail géant (raquette) qui dessine un grand V.
L’homme utilise un fouet qui trace un Oméga dans son mouvement.
Dans leurs dos respectifs, leurs empreintes en ronde-bosse dans le sable, faces contre terre.
A droite un plongeur vise le dos de la femme de sable, à gauche, le plongeon va carrément se terminer sur les fesses de l’homme de sable.
En italien FEMME et HOMME = DONNA et UOMO.
Leurs dos présenteraient donc un A et un O. Le V que tient la dame (sur échasses = en majuscule) est à inverser en Λ pour dessiner un A opposé à un O.
On retrouve ici les extrémités de l’alphabet grec Alpha-Ω.
Rappel : Page 265 : La pierre de Rosette a permis le déchiffrage des hiéroglyphes égyptiens en partant du texte grec. Elle permet aussi de comprendre les glyphes séraphiniens.
Chaque plongeur est repéré par un glyphe qui ne figure pas dans le titre.

La RONDE :
Je repère les danseurs par B et N pour les grands perchés sur des échasses et b et n pour les enfants ( Blanc = Bianco, Noir = Nero) :
BNNbbnnnbbnbbn. 7 blancs, 7 noirs.
Les 3 BNN sont des femmes, DONNE.
Un quinzième n a quitté la ronde et court après une balle qui dessine, en pointillé, un glyphe géant sur le sol.
Dans le cercle, 2 femmes ont chacune 2 balles (Une devant chaque pied).
Curieux jeu. Difficile à comprendre.
Se joue-t-il aux pieds ? PIEDE, PIEDI.
Dans FOOTBALL, il y a 2 O. Mais pas dans CALCIO.
Très nombreuses combinaisons comme 1-2-2-3-2-1-2-1.
Une composition musicale n’est pas à exclure.

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