Ainsi que j’ai pu le constater, certaines "choses" à trouver dans une énigme N sont suggérées (voire carrément données) dans une énigme antérieure, même si on ne s’en doutait pas.
On peut donc dire qu’on les « retrouve » dans cette énigme N.
Dans ces cas, lors de la résolution de l’énigme N, il n’y a donc pas à aller chercher bien loin pour les retrouver.
Pour la 420, et bien que ne l’ayant pas encore résolue, j’ai déjà un gros doute sur le fait que la cible d’Apollon (point de chute de la flèche) me soit inconnue lorsque j’entame cette 420.
EtQUESTION No 48 DU 1996-04-04
TITRE: 420
Il s'agit de trouver le point de chute de la fleche, n'est ce pas?
--------------------------------------------------------------------------------
OUI, IL S'AGIT DE TROUVER LE POINT DE CHUTE DE LA FLECHE... EN QUELQUE SORTE ! AMITIES -- MAX
QUESTION No 3 DU 1996-10-21
TITRE: ANAIS
MAX,LA CIBLE D APOLLON SE DECOUVRE EN 420?
--------------------------------------------------------------------------------
JE NE PEUX PAS VOUS DIRE SI ELLE SE DECOUVRE POUR LA PREMIERE FOIS EN 420.
MAIS ELLE SE DECOUVRE BIEN DANS CETTE ENIGME, OUI...
AMITIES -- MAX
Dans le madit 48, c’est ce “En quelque sorte” qui m’intrigue.
Cette réponse serait très adéquate si on savait déjà quel est le point de chute, et ce, AVANTla 420.
On le « retrouverait » ou plutôt, « on le trouverait », en quelque sorte
Quant au madit No 3, même réflexion.
Max ne peut pas nous dire si on l’a déjà découvert avant la 420.
Curieux, n’est-ce pas ?
En conséquence, si cela est avéré, je me pose la question suivante : « À quoi servirait donc cette 420, puisque j’aurais déjà la solution AVANT de la commencer ?"