Le Serpent Rouge

Annonces concernant les autres chasses au trésor, en cours ou à venir.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 06 janv. 2015 à 14:49
Pourquoi, dans sa préface de LVLC, Plantard prétend-il que le singe de BS se prénommait MÉLA alors que les 2 singes que possédait l’abbé se prénommaient CAPRI et MORA ?
MÉLA est un simple phonétisme, METS LA. Où faut-il mettre ce LA ?
CAPRI et MORA illustrent parfaitement la technique de la double détente.
PRIMO en latin = Au commencement, le Premier, l’initiale ici.
_ 1) : CA PRIMO RA = CA devant RA. → CA-RA.
_ 2) : CA PRIMO = K devant. K est alphabétiquement devant la lettre L.
Le tout : CA-RA + L = CARLA.
Ainsi, LA est ‘’mis’’.

Cette méthode est la même que celle du jeu de la grotte de MARIA MAGDALENA où KXSLX est écrit avec des petits galets rougeâtres. Il suffit de découvrir l’origine de ces pierres roulées pour trouver la solution. Elles ne peuvent provenir que du lit d’un cours d’eau.
Ce jeu utilise une astuce directement inspirée de la clef fondamentale, PoSt-PRAECUM. Avec ce qui est écrit devant derrière. Avec ce qui est écrit devant la lettre de référence dont le rang alphabétique est ainsi = à – 1.
Ces 2 nombres, XL et LX sont aussi utilisés sur la dalle du clocher et sur l’épitaphe de Marie de Blanchefort.
40 et 60, quarante et soixante s’entendent CAR ANTE et SOIS ANTE. Avec l’ANTE latin = DEVANT.
K, code 11, est ante L dans l’alphabet. Et L est la 11ème lettre de MARIA MAGDA-L-ENA.
La 10ème, X est donc A.
_ 1) : KXSLX → KASLA.
_ 2) : Sois ante S = Sois alphabétique avant ce S. Devient R.
Le tout : KXSLX = CARLA.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 09 janv. 2015 à 10:09
La tombe des frères Boudet à Axat :
_ 1) : La partie gauche de la dalle est réservée à EDMOND BOUDET entendu AIDE MONT DEBOUT.
L’inscription PRIEZPOURLUI n’est pas linéaire. Elle épouse le profil du MONTicule DEBOUT qu’elle représente. Le sommet de ce dernier met en exergue les 2 lettres centrales PO.
Il y a 4 PO dans les 93 mots qui composent les 2 épitaphes. RePOse, POur, rePOse et rePOs.
Soit PO IV.
_ 2) : La partie droite est celle de l’abbé Henri.
Son livre de 310 pages, LA VRAIE LANGUE CELTIQUE, la VLC, est aussi DEBOUT avec son inscription verticale, 310XI ou 310-11.
E.C.C. 1.11 = Ecclésiaste 1 verset 11. Soit, ‘’On ne se souvient pas de ce qui est ancien, et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.’’.
Le but du jeu consiste à comparer ces 2 abréviations.
ECC 1.11 = 310 XI = VLC 11.
Un X se trouve au centre de la croix pour donner son équivalence, le cœur du mot crOix, O. X = O.
VLC X I devient VLC O I, complété par le PO IV latéral en VLC PO 1.
P et O sont les initiales, les BOUTS DE, d’Observations Préliminaires qui sont IV, 4, en tête de l’ouvrage de l’abbé.
LVC O.P. I dirige sur la 1ère page des Observations Préliminaires de la Vraie Langue Celtique.
On remarque que 5 points sont superposés entre les 5 lettres du livre pour donner la 5ème ligne du texte qui commence par ‘’d’antiques souvenirs’’.
Ainsi, ECC 1 11 et 310XI disent la même chose puisque la phrase complète est, ‘’désireux de faire revivre d’antiques souvenirs’’.

Emouvant testament d’un mémorialiste qui, grâce à ce jeu, n’est pas près de sombrer dans l’oubli. RIP…
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 11 janv. 2015 à 10:15
Je pense avoir découvert l’origine du jeu du GENOU du diable sur le bénitier de l’église de Rennes-le-Château.
Et je crois que celle-ci a échappé aux auteurs du Serpent Rouge.
Dans la Vierge, un lien est tiré entre les peintres Nicolas Poussin et Eugène Delacroix. Mais il n’est pas fait mention d’Émile SIGNOL. Le but de l’allusion au tableau ‘’Héliodore chassé du temple’’ de Delacroix est de rappeler que Saunière fut aussi excommunié de l’Église pour s’être servi dans son trésor. De plus le passage par l’église St Sulpice de Paris permet d’en récupérer le chiffre SP, égal au PS de Rennes, et qui partage la même fête patronale que St Antoine Ermite, le 17 Janvier.
Mais le tableau ‘’La Mort’’, de SIGNOL écrit EM.SIGИOL, est négligé. A tort.
Outre le N inversé de son nom, l’artiste a surmonté la croix d’un titulus trilingue inversé. En hébreu, grec et latin.
Au sol 3 hommes jouent aux dés, un hébreu et 2 soldats, grec à gauche, romain (glaive rouge) à droite.
Le GENOU qui inspira celui du diable est celui du légionnaire.
Alors qu’à Rennes, les 5 doigts de la main codent un E, ici, il n’y en a que 4.
Ce 4 est la somme 3+1 des points sur le dé désigné par l’index de la main droite.
La face supérieure du second dé est illisible. Cependant, comme on lit 2 sur le côté, ce ne peut être qu’un 1 ou un 6 (diagonale des 2 points obliques).
…………………………..
A propos : Je n’ai toujours pas pu mettre la main sur la solution de la chasse SEPTUAGINTA. J’ignore donc encore la valeur des 2 dés 11 et 15……..
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 12 janv. 2015 à 11:15
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 12 janv. 2015 à 11:16
LA MORT, de SIGNOL, suite :
Le dé devant le soldat grec ne peut porter que 3 points sur sa face supérieure. C.à.d., le nombre de doits da main qui vient de lancer les 2 dés.
La somme de ceux-ci, 3+2+3+1 = 9 code du I. devant le GENOU entendu JE NOUE I.

Le titulus latin comporte des particularités :
_ Classiques : les V sont des U romains et le I de IESUS est un J.
_ Une faute d’orthographe dans NAZARENVS écrit NAZARINVS. I/E.
_ Une lacune dans le mot REX où un espace incongru le partage en RE_X et isole ainsi XIVDEORUM.
_ On remarque que dans la superposition des 2 Z (NAZAR/NAZAP), le Z latin est inversé par rapport au Z grec. Exactement comme dans le Grand Manuscrit de Rennes (Fin de la 3ème ligne), où le Z de LAZARUS a le sens d’un S.
_ XIV = 14 code d’un N.
L’inversion est donc, MUROEDVIX ERSUNIRA(Z=S)AN SUSEJ.
L’inversion a pour but de rendre lisible la clef qui se trouve dans le segment -SUNIRA-SAN-.
Le texte est redressé une fois celle-ci découverte. JESUS (NASARINUSRE = Clef) 14 DEORUM.
La faute I/E dans la clef rend celle-ci exploitable S UN IRA = Une lettre S IRA dans la suite de N. Soit S À, après, N (14). Ou R et S UNIRA.
Après suppression de la double clef, reste JESUS DEORUM + S qui devient DEORSUM.
‘’JE NOUE I’’ complète JESUS en JE SUIS.
JE SUIS (le Nazaréen) DEORSUM = franco-latin de JE SUIS EN BAS, au-dessous.

En-dessous = au pied de la Croix, je suis un des 3 personnages.
Mais, en bas = aussi, en bas du tableau, dans la signature EM. SIGИOL, avec son N inversé qui invite à lire ce nom renversé en LONGIS.
Ainsi, le peintre Signol s’est représenté comme un soldat romain jouant aux dés.
Seulement alors on comprend le sens complet de la clef (Z/S)AN.
Une lettre S écrite comme un Z inversé, avec ses 2 angles, dessine un N à 90°.
Ainsi N inversé en И conduit à inverser un S en N.
LONGIS devient alors LONGIN, le Centurion. St LONGIN. Longinus en latin. L’homme de la lance.

Il existe aussi une traduction très intéressante qui considère que le I de LONGIS est romain et qu’il est donc le code d’un A. LONGAS ME = Étire-moi, allonge-moi.
Dans ce cas, Émile Signol n’est plus un des 2 soldats, mais l’hébreu allongé. Le 3ème homme.
Les critiques d’art de l’époque, qui avaient analysé les toiles de ce maîtres, le surnommaient, ‘’Le Nazaréen’’. Sans doute en raison de ‘’La Mort’’ qui avait été déchiffrée ainsi.

De très nombreux artistes se sont représentés discrètement dans leurs œuvres. Nicolas Poussin s’est ainsi caché dans l’inscription du nom ARCADIA avec 3 doigts de 2 mains (Pouce + Index + R = Poussin Rex). Les exemples d’autoportraits sont nombreux. Reste à savoir pourquoi Signol a choisi un nazaréen.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 janv. 2015 à 06:28
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Dans le Taureau 4, on lit : ‘’Je puis découvrir les soixante-quatre pierres dispersées du cube parfait’’.
Cette allusion est reprise sur le petit visuel ci-dessus ;
Elle renvoie au Grand Manuscrit qui n’est que l’ancêtre du cryptogramme du ‘’Sot Pêcheur’’ de Saunière.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 janv. 2015 à 11:02
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‘’Les soixante-quatre pierres’’ sont les 64 lettres codées de la couronne de ce texte en clair qui donne la clef de sa résolution.
‘’Deux fois retourna et XXV fois le goûta’’ = Plier 2 fois et sélectionner 25 fois.
Le plus simple est d’utiliser une épingle qui transpercera le papier plié en 4.
Dans le texte, les mots sont séparés par 32 croix.
Le pliage les superpose et il n’en reste plus que 25.
Nota : Socium = associé, en commun, réuni. Sei, Si = conditionnel. Le tout = Si pliage.
Le but du jeu est la découverte de ‘’l’embouchure du Rhône’’, de la source du Serpent Rouge. En donnant son nom.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 janv. 2015 à 11:47
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Une fois déplié, 64 lettres percées par l’aiguille apparaissent.
Le cryptogramme se divise alors en 3 secteurs.
2 colonnes symétriques ne comportent aucune lettre, M/R et F/Z. Elles donnent la clef de substitution de type Vigenère.
Mais ATTENTION, il s’agit d’un alphabet de 24 lettres ne comportant ni W, ni surtout de E.
Cette absence de voyelle est fréquente dans les jeux de cette énigme. Ex : ARSÈNE = ARSN (Calvaire de 1897), E griffé sous l’aile du diable, ROSE sans E…
Ici le mot CURÉ est abrégé en CUR.
L’alphabet est alors pliable en 2. Et la conversion se fait dans les 2 sens. R = F et F = R.
La substitution ne concerne donc pas les 2 E de la couronne qui restent des E.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 janv. 2015 à 15:24
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La couronne se divise alors en 4 équerres de 16 lettres qui s’adaptent aux 4 coins du texte en respectant les angles LL, BB, NN, RR.
Le résultat propose 2 séries de 64 lettres, internes et externes.
AZ donne la coupure de la couronne.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 janv. 2015 à 19:48
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Les 64 lettres extérieures servent à modifier, par échanges, les lettres internes incompatibles.
Mais elles ont un double rôle quand elles sont bissées. RR, ZZ, YY et IJ considérées comme II.
Elles tracent une croix géographique sur le cryptogramme. Les 4 I coupent l’axe RR / ZZ où les noms de ReNnes et BéZu sont abrégés en RN et BZ.
De plus, un segment particulier de 25 lettres (XXV) se trouve encadré par 2 combinaisons uniques de +, … ,+.
L’acrostiche
CUITI
LNELU
IREST
AQUEL
ARETE
Doit être corrigé par l’erreur inévitable I/R pour devenir CLRAA, CARLA. Quart là ce cryptogramme se partage en 4. Toujours la Croix d’IN HOC SIGNO VINCES.
POISSON goûté = PS. RHONE = RHOS (P-S = RhoS). PEIGNE = CARDA. ANGE = Ritou.
On retrouve là les principaux des autres jeux de cette énigme.

Reste à comprendre ce que signifie la commande, ‘’DECOUVRIR UNE A UNE LES SOIXANTE-QUATRE PIERRES’’ du petit personnage gréco-romain. Ce dernier est ainsi accoutré car cet indice s’adresse au Grand Manuscrit qui comporte, lui, des lettres grecques.
La technique est particulièrement délicate à manipuler, car elle repose uniquement sur le CHOIX.
La méthode consiste à superposer 2 textes en 2 lignes de 64 lettres et d’en retirer une solution de 32 lettres (32 croix initiales). Il faut donc rechercher les transferts verticaux et les fausses lettres à éliminer dans :

PCLURDURHNPOIOSLIEFISRETURMALURI 32
AETJRFLLUVCMPXCRKXNTDHJMFYIJCLEA

ETVFOEAOCTLELUIESUAETUGEATETEGNS 64
GMAIZSYAHGZFLXJGHJBLAXHFTQRMMRMZ
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 16 janv. 2015 à 00:13
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Dans le Grand Manuscrit, les 2 séries de 64 lettres sont séparées par AD GENESARETH.
Ce lac de Tibériade sert de refuge au segment encadré par les seuls Alpha et Ω du texte dont les 2 acrostiches, ARET H ERAM I = Qu’il écrive H, j’étais 1. Soit, G = H-1.
La fréquence des lettres est 7, code du G. GénésaretH commence par G (initiale de Génèse, début) et se termine par H.
La case bleue signale une erreur, une rupture sans doute involontaire, dans cette période de 7.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 16 janv. 2015 à 11:05
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La signature du Grand Manuscrit est un petit bijou :
_ 1) : NO-IS est inversé en SI ON. Le N est souscrit d’un point qui code un a.
Commande conditionnelle : SI ON a inversé.
_ 2) : NΘ-IS. Le O est remplacé par un Θ, Thêta.
Seconde com. cond. : SI ON a Ôté TA.
Le fût de la croix représente l’alphabet vertical (comme pour la dalle 1725/IG P ΔX).
Au centre se trouve la lettre gamma minuscule, γ, dans 2 positions différentes. Verticalement et inclinée de 90°.
Le A est inversé et le N est allongé de façon à représenter un N normal et un Z à 90°.
L’alphabet entier va de A à Z et sa moitié va de A à N.
1 : SI ON A INVERSÉ L’ALPHABET de A à Z.
2 : SI ON A ÔTÉ TA lettre G à cet ALPHABET plié en 2.

On retrouve exactement le principe de substitution du cryptogramme de ‘’LE SOT PÊCHEUR’’. Une variante du Vigenère réversible. A la différence que la lettre occultée semble être ici un G.

ABCDEFHIJKLM
NOPQRSTUVXYZ

A = N. N = A, M = Z. Z = M. ……..

Ce visuel est particulièrement astucieux car il cache aussi le verbe SIGNO, je SIGNE.
La hampe du N souscrit d’un Iota permet de construire IN O IS, Dans la lettre O, lui, il est.
Et quand O devient Θ, la lettre interne est un T.
SIGNO T = JE SIGNE T.
On retrouve cette signature dans l’en-tête du Petit Manuscrit où T dans Alpha sous ω inversé en m oncial = AMO T.
La lettre T, TAU, est la Croix de St Antoine. SIGNO T = Je signe ANTOINE dans une Croix..

En s’inspirant des méthodes utilisées dans ‘’Le Sot Pêcheur’’, on devrait pouvoir résoudre ce manuscrit d’Antoine Gros.

Nota : Le fait que les lettres grecques du centre du fût de la croix sont pratiquement illisibles complique le déchiffrage. On peut supposer qu’en inclinant un γ, l’abbé Antoine a voulu écrire un α.
Il est vraiment dommage de ne pouvoir identifier avec certitude les 5 lettres verticales qui doivent se lire aussi du père au Fils et du St Esprit à Amen. Pour l’instant je me contente de : A ? G ? N/Z ↓ et SIGNO →.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 janv. 2015 à 02:14
Signature en croix du grand manuscrit, suite :
C’est un lourd handicap de ne pouvoir définir avec certitude les lettres grecques du fût de cette croix.
Je ne suis même pas certains d’en compter 2 ou 3, tant elles sont illisibles.
La traverse pose moins de problèmes. N.ΘIS :
N souscrit cache un Iota dans sa hampe avant. IN.
N – I = 14 – 9 = 5 code du E.
Θ, Thêta et O se combine en ÔTER A.
Le tout : SI ON A ÔTÉ E.
Nota : Cette technique sera reprise plus tard sur le vitrail de, La mission des Apôtres où les 2 jambes du N seront pointées. Θ.N.IS = ΘINIIS = SI ON A ÔTÉ II, 2.
Pour le fût, il est certain que la substitution d’un A est N dans un alphabet sans E plié en 2. Mais ces lettres intermédiaires sont diablement gênantes.
On peut cependant reprendre l’exemple du pilier carolingien ou l’ω devient un γ quand celui-ci est inversé. La substitution G/O placerait cette voyelle au centre de la Croix. A?OαN ou A?OAN.
SI ON A ÔTÉ E, ON A A = N.
Il est possible que ces 2/3 lettres aient été spécialement calligraphiées pour être illisibles et constituer du remplissage au CENTRE de cette croix.
Comme le texte se compose de 140 lettres, 64 + 12 (AD GENESARETH) + 64, et qu’il ne faut pas toucher à cette partie centrale, elle pourrait correspondre au centre de Θ. SI ON A ÔTÉ le centre. (en plus du E).
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 janv. 2015 à 14:50
Sous la signature cruciforme, se retrouvent les 4 vers de l’Hymne à Ste Madeleine d’Odon de Cluny.
Sous la forme de 2 lignes superposées. Exactement comme sur la tablette de l’autel.
Mais avec une différence notable. MAGDALENA est modifiée en MAGDALA.NÆ, avec un point supérieur entre A et N.
Ce point correspond aux lettres illisibles de la Croix qui ressemblent à une signature manuelle.
On retrouve là la clef supposée : SI ON ÔTE E, avec A = N.
La signature est dans le nom MAGDALANÆ (comme la tour MAGDALA d’ailleurs).
Je pense que c’est A.G..
L’avantage de la signature AG en lettres grecques Alpha Gamma minuscules, α γ, est de tracer 2 croix en écrivant ces 2 lettres. AG = ++.
Le petit manuscrit est signé P-S. c.à.d., GROS. La Croix avec un G. Ici, il y 2 CROS.
Antoine BiGou semble avoir changé de paraphe aux cours des ans.
Une dernière astuce avec la calligraphie du N étiré en Z. Dans l’alphabet A/Z de 25 lettres, ‘’si on ôte’’ la signature A+G, on obtient le chiffre de ‘’Cet AMI’’, 17.
Ce qui tombe très à propos car nous sommes aujourd’hui le 17 Janvier !

JÉSU.MEDÈLA.VULNÉRUM + SPES..UNA.PŒNITENTIUM. 36/7.
PER.MAGDALA.NÆ.LACRYMAS + PECCATA.NO.STRA.DILUAS. 39/40.
Là encore, ces 2 lignes doivent être ajustées dans leur superposition. Après les transferts verticaux et l’élimination des fausses lettres, un message doit apparaître. Comme dans les 2 fois 64 lettres du cryptogramme.
Cette antique méthode, dite ‘’des palissades’’ est aujourd’hui appelée ‘’Le chiffre RAIL FENCE’’.
Ces 4 vers servent de modèle aux 2 textes de 64 lettres qui doivent être crucifiés en 4 segments de 32 lettres.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 18 janv. 2015 à 07:18
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L’idéogramme final :
En bas de page se trouve une curieuse Croix dans un cercle qui dessine un grand O.
Les 4 pommettes de cette croix sont des I avec leur point. 4I.
4 points sur le cercle le désigne comme la lettre O.
Mais, seuls 3 d’entre eux sont reliés au centre par des rayons. 3 O.
3 = TRES latin. 3+O = TRÉSO.
4I sera repris dans la croix du Cryptogramme de, ‘’Le Sot Pêcheur’’. Ils cachent les 4 Ritous.
4I = 3O. Fontaine des Quatre rItous = TRÉSOr.
Un petit dessin vaut mieux qu’un long manuscrit….
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 13 sept. 2015 à 09:22
Sur le tympan de l’église de Rennes-le-Château, l’abbé Saunière a écrit :
‘’REGNUM MUNDI ET OMNEM ORNATUM SOECULI CONTEMPSI PROPTER ANOREM DOMINI MEI JESU CHRISTI QUEM VIDI QUEN AMAVI IN QUEM CREMINI QUEM DILEXI’’.
J’ai méprisé le règne de ce monde et tous les attraits de ce siècle à cause de l’amour de mon maître Jésus Christ que j’ai vu, en qui j’ai cru et que j’ai choisi.
Mais l’abbé a intentionnellement introduit 4 fautes dans ce motet de Felice Anerio :
ANOREM pour AMOREM, QUEN pour QUEM et CREMINI pour CREDIDI.
Ainsi les 3 lettres D, M et N sont mises en exergues.
Plus bas, il a ajouté la phrase clef :
‘’DOMUS MEA DOMUS ORATIONIS VOCABITUR’’.
Ma maison est la maison de la prière.
Abréviation de, ‘’Ma maison sera appelée une maison de prière, mais vous vous en faites une caverne de voleurs’’. Matthieu 21 :13.
Les inversions D/M/N concernent les mots DOMUS, MODUS et NODUS, la maison, la mesure et le nœud.
NODUS MEA MODUS ORATIONIS VOCABITUR = Mon nœud est la mesure de la prière.
Les fidèles utilisent comme boulier un chapelet dont chaque nœud compte une prière AVE MARIA.
Le mot AVE, salut, est lui-même l’anagramme de VAE, MALHEUR, HÉLAS !
Au sommet de tympan triangulaire, un phylactère en forme de fer à cheval dessine un Ω.
Il porte la locution +IN HOC SIGNO VINCES+, par ce signe tu vaincras, encadré par 2 croix qui ajoutent les 2 lettres absentes, N et M qui complètent OMÉGA en NΩM. Ce signe Grand O permet de vaincre quand il est la majuscule d’un nom commençant par O.
La combinaison de AVE et de Grand O donne aussi, avec l’égalité romaine V = U, le phonétisme EAV = EAU = allographe d’O.

La clef de voûte du porche porte l’inscription TERRIBILIS EST LOCUS ISTE.
Ce lieu est terrible. Au-dessous, la devise du pape Léon XIII, LUMEN IN COELO, se traduit par Lumière dans le ciel.
TERRIBILIS est une combinaison latine-française qui se décompose en TER R IBI LIS = Un troisième R ici lis.
La 3ème lettre du mot COELO devient un R dans CORLO.
La devise est écrite sur un étui à parchemin dont les 2 anneaux porteurs dessinent 2 lettres O que la cordelière transforme en 2 alpha grecs minuscules, α, donnant ainsi la double substitution des voyelles O/A dans CORLO qui devient CARLA.
EAU et CARLA indiquent que ce dernier est le RUISSEAU du CARLA.

Le signe de croix permet de diviser en 4 parts, il est permet d’entendre CARLA = QUART LÀ.
L’arc du porche porte l’inscription HIC DOMUS DEI EST ET PORTA COELI, cette maison est celle de Dieu et est la porte du ciel.
Avec le même déchiffrement du ciel, le visiteur se retrouve ainsi devant LA PORTE DU CARLA.

En latin, le pape Léon XIII s’écrit LÉO, le LION.
Le LION est une constellation du zodiac. Si le LION se trouve en XIIIème position sur une liste qui ne compte habituellement que 12 signes, c’est qu’un treizième y a été rajouté. Un signe dont l’initiale est O. OPHIUCHUS.
Ainsi, le ruisseau du CARLA = OPHIUCHUS = le SERPENTAIRE entendu LE SERPENT DE TERRE.
On remarquera que le toit de l’auvent triangulaire qui protège le tympan dessine une flèche pointée vers le ciel.
A son sommet, un épi de faîtage représente une croix sur un cœur. Le cœur du mot CR-O-IX est là encore un O, initiale de la constellation cible. La lumière dans le ciel.

Les armoiries de deux évêques figurent aussi sur ce tympan :
_ Mgr Félix-Arsène Billard dont la devise était, ‘’IN VERBO TUO LAXABO RETE (Luc 5 :5), sur ta parole je jetterai le filet.
_ Mgr François de Sales Albert LEUILLEUX, ‘’ZELO ZELATUS SUM PRO DOMINO DEO EXERCITUUM, je suis rempli de zèle pour la défense du Seigneur Dieu (1 Rois 19 :10).
Malheureusement, l’érosion a rendu ces 2 blasons pratiquement illisibles. Dommage, car ces deux devises devaient certainement comporter des fautes qui permettaient de les déchiffrer.
Mais comme Mgr Billard a été repris sur le calvaire de 1897, on peut supposer que les noms de ces 2 prélats sont détournés de la même façon.
Sur l’écu de gauche on distingue encore le nautonnier BILLARD debout dans sa barque dont le mat est une croix. L’interprétation de ‘’Jeter le filet sur les mots’’ est délicate. On pourrait la traduire par ‘’Mettre les mots sur une grille’’.
On remarquera que les noms des 2 évêques comptent une paire de L. La somme romaine L+L = C (2*50 = 100) peut aboutir à BICARD et LEUICEUX, mais cela reste à prouver.
Ce qui est certain est la superposition de Mgr Billard sur HIC DOMUS DEI EST et de Mgr Leuilleux sur ET PORTA COELI.
Sur le calvaire, FÉLIX-ARSÈNE = FAIT LA CROIX À RENNES.
Il est vain de spéculer sur ces 2 armoiries tant que leurs versions originales resteront inconnues. Jalousement gardées secrètes par des chercheurs obtus…
Dommage, elles semblent piloter les 4 pots de fleurs.

Sinon, il reste la statue de Sainte MARIA MAGDALENA tenant une croix horizontale, orientée au Sud du village, sur sa poitrine. On notera que les 3 lettres clefs MDN sont l’acronyme de son nom.

En résumé, dès le seuil de l’église, le visiteur curieux sait qu’il va entrer dans un sanctuaire TERRIBLE où il va rencontrer le SERPENT DE TERRE qui représente le ruisseau du CARLA et qui est la CROIX de ce village.
Ce SERPENT sera ROUGE, ROS en dialecte languedocien, car chaque fois que ‘’le ciel ouvre ses vannes’’ (En Sagittaire), les orages chargent en ocre ce ruisseau temporaire.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 sept. 2015 à 05:11
La flèche d’or :
Les bords de rives en tuiles vernissées dorées codent d’abord l’épi de faîtage (Cœur de CR-O-IX) par O.
C’est la pointe de cette flèche.
A la base du triangle, les deux colombes blanches sont des oiseaux. L’oiseau, en latin AVIS se lit ici VISA.
VISA O = Viser Ophiuchus et rechercher l’EAU.
On remarque alors qu’à l’intérieur du tympan, les 3 ecclésiastiques tracent un triangle inversé où le pontife LION devenu SERPENTAIRE CARLA construit un axe entre les 2 évêques.
Sur la couronne des signes zodiacaux, OPHIUCHUS partage le SCORPION du SAGITTAIRE.
Il se peut donc que Mgr BILLARD soit le SCORPION quand Mgr LEUILLIEUX est le SAGITTAIRE.
Mais, je le répète, cela n’est que supposition, les phylactères des 2 devises étant illisibles.
Néanmoins leurs déroulés doit être important. Comme l’est celui de +IN HOC SIGNO VINCES+, qui dessine un Ω ou celui des fonts baptismaux ECCE AGNUS DEI qui écrit un M. Ou encore, celui de Pierre Plantard qui trace 2 O.
Nota :
Dans le Cancer 6 du Serpent Rouge, on lit, ‘’N’étant pas Hercule à la puissance magique, comment déchiffrer les mystérieux symboles gravés par les observateurs du passé.’’.
L’observation astronomique montre que la tête du Serpentaire jouxte la constellation d’Hercule. Mais ce n’est pas ce dernier qui étreint le Serpent, c’est Asclépios, la divinité mythologique de la médecine.
Le Serpentaire est à la fois le Bien et le Mal. La maladie et le Remède. Le diable guérisseur.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 sept. 2015 à 23:56
Le tympan vu par pierre Plantard :
Ce dernier a transposé la lame de tarot du Fou-Mat d’Oswald Wirth dans l’univers du Serpent Rouge.
Un détail très important permet de résoudre l’énigme des 4 pots de fleurs.
Ceux-ci sont des VASES car la ‘’mesure de la prière’’ est l’AVE.
On remarque que ces vases sont sur 2 niveaux différents.
Sur la carte revisitée, ces 2 degrés blancs font partie des 3 marches d’escaliers rajoutées derrière le FOU pour donner le mot MARCHAT du verbe marcher (MARCHE + CHAT).
La direction est donnée par la pointe du triangle blanc qui est orienté vers la tombe de la MÈRE du CURÉ et qui représente celui de l’auvent de l’église pointé vers le ciel.
La différence entre les 2 églises de Rennes-le-Château et de Rennes-les-Bains vient de la cible céleste, SERPENTAIRE pour une, MERCURE pour l’autre.
Je pense qu’à l’origine, avant les travaux de l’abbé Saunière, l’église du haut visait l’ÉPI (SPICA dans le Grand manuscrit) dans la vierge, et l’église du bas, MARS. Et que le Serpent Rouge des abbés Bigou était l’ASPIC.
Sur le tympan, dans chaque vase croit une plante portant 5 fleurs code du E. VASE – E = VAS = MARCHE.
VAS vers la pointe de la flèche = Regarde vers le ciel pour rejoindre sa correspondance terrestre.
Mais pour aller où ? Au Sud, le ruisseau du Carla mesure 2,844 Km de long.
La solution de l’ultime astuce est donnée par les Poissons du Serpent Rouge, ‘’Cet Ami, comment vous le présenter ? … Comment vous le décrire ? Peut-être comme le nautonnier de l’arche impérissable, …’’.
Il n’y a qu’un nautonnier possible dans cette église, c’est le personnage présent dans l’arche de pierre du blason de Mgr Billard. Debout il tient le mat cruciforme qui donne le signe plus de + UN homme.
En effet, on dispose de 4 marches mais seulement que de 3 ecclésiastiques, le Pape encadré de ses 2 évêques avec ce petit personnage supplémentaire. l’Eglise voit son effectif porté à 4.
Et la destination finale précisée, la Fontaine des 4 RITOUS. En dialecte languedocien, un RITOU, ex RECTOR, est un CURÉ.

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vinss789
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar vinss789 » 15 sept. 2015 à 11:30
Bonjour,

marc a écrit :Un détail très important permet de résoudre l’énigme des 4 pots de fleurs.
Ceux-ci sont des VASES car la ‘’mesure de la prière’’ est l’AVE.
On remarque que ces vases sont sur 2 niveaux différents.


En passant, lien ou pas avec une idée de résolution de la 780 ? Qui contient 4 vers. Et j'avais lu un MADIT (que je ne retrouve pas pour l'instant) ou Max expliquait qu'il fallait prendre la mesure en terme de concept. Un exemple qu'il y donnait etait justement de considérer que dans une énigme X la mesure est une fleur A. Dans une enigme Y la mesure est une fleur B. Le point commun étant que l'ensemble de ces fleurs sont contenues dans un vase.
Si quelqu'un retrouve ce Madit je suis intéressé !:)

Salutations
marc
Hulotte
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 16 sept. 2015 à 00:04
Je propose donc plusieurs hypothèses pour tenter de retrouver l’écriture originale des devises des 2 évêques. Soit :
_ Les 2L de Billard s’additionnent en BICARD et LEUICEUX. Et DRAC, le diable est dans 2-CARD.
_ Le verbe VERBO était fautif en VERBI, de façon à dégager le préfixe commun BI qui en latin = 2.
_ Le phylactère décrivait une boucle où se lisait le BO de VERBO.
_ Le pape n’est pas compté par les ecclésiastiques et chaque évêque vaut 2 curés.
Ce jeu se rapproche alors beaucoup des 2 sculptures sur bois des 2 vantaux de la porte où 2 anges reposent sur 2 parchemins déroulés percés de 4 TROUS. Les 4 I en ruban, dont les points sont les 4 patères descendent remplir les 4 lacunes pour écrire RITOUS (Sur parchemins TROUS + I).
Quelle que soit l’option, les 4 VASES cachent les 4 RITOUS.
Nota : Il semblerait que les 2 phylactères rongés par l’érosion se terminaient par 2 boules. Ces dernières étaient peut-être percées d’un TROU. La demi-inscription HIC DOMUS DEI EST serait entendue HIC MODUS DES I EST. Ici c’est la mesure des I (absents). C’est méthode existe déjà sur le baptistère où ECCE MAGNUS DEI = DES I. Le plus grand des I étant celui de MAÏS / AMIS.

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