Le Grand Manuscrit de Rennes-le-Château.

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marc
Hulotte
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Avoir le dernier mot…. :
La FIN de toute chose est toujours très importante. Encore convient-il de découvrir l’épilogue de chaque texte.
Par exemple, dans la Chouette d’Or, cette terminaison cruciale est le mot DEVIN entendu DE V IN.
C’est lui qui indique que le V majuscule de Vérité est un U. Celui de SUD vu SVD. Et qui permet de transformer VÉRITÉ en EURITE. Mot dont les ‘’limites’’ EE sont celles d’ÉTERNITÉ.
Je choisis cet exemple car on y retrouve AG (SAGE entendu ÂGÉS = À G-érardmer en dessinant le 6 de la spirale). Le même AG. Que celui du Grand Manuscrit.
Chez les ecclésiastiques, le mot de la fin n’est pas le mot final d’un texte car il dépend du symbolisme chrétien du ‘’Commencement et de la Fin’’. AΩ en grec et AZ en latin.
Suivant le texte choisi, c’est donc les 24ème ou 25ème lettres des cryptogrammes.
Prenons celui du ‘’Sot Pêcheur’’, le mot de la fin est le ‘’XXVème’’, encadré par les 2 seuls +..+ du texte, le segment de 25 lettres qui construit le carré
CUITI
LNELU
IREST
AQUEL
ARETE
Dont l’acrostiche CLIAA doit être corrigé par l’inversion I/R en CLRAA = CARLA.
Le 24ème mot est GOUTA.
Dans le Grand Manuscrit, le mot Ω de la fin est aussi le 24ème, LA(Z/S)ARUS.
Le Z est inversé en S pour inviter à la lecture inverse, SUR A (Z/S) AL et conduire au remplacement de ce bizarre (Z/S) par le C qui le domine. LAZARUS + LACARUS → LACAR.

GOUTA serait donc le nom caché dans les 2 documents.
A GOUT peut receler Antoine GOUT.
Ou être simplement de l’EAU (Agout = Agal Agot, Aigue, en occitan).
Mais, dans le contexte de Béthanie (β nie ou nia = nier le ‘’Cap’’ B), on peut très bien y voir BAGOUT.
Lui–même corrigé par les 2 dalles rouges IG avant AG, en BIGOU.

Ou alors l’ultime message serait-il une date ?
Car il est curieux que ce Grand Manuscrit, qui a dû demander beaucoup d’efforts, ne soit pas daté.

Une date est particulièrement intrigante, 1719, car elle chiffre P-S.
Or, l’abbé Antoine Bigou est né le 18/04/1719.
Et comme les codes alphanumériques de 17 sont aussi bien Rô grec que AG latin, cette date donne naissance à une curieuse série :
171. 17. 17. 19 = ANTOINE AG ROS.
Le 17 janvier étant la fête patronale de St Antoine Ermite.
Mais ce n’est peut-être qu’une coïncidence car il y a 4 prénommés Antoine dans cette énigme :
Les 2 abbés Delmas de Rennes-les-Bains, Bigou et l’ancien créateur du pilier carolingien.

A mon avis, le mot de la fin est la signature du second manuscrit. L’idéogramme P-S qui est le chiffre de celui qui ‘’est passé en faisant le BIEN’’
marc
Hulotte
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L’idéogramme P-S est bien le dernier mot du Petit Manuscrit, mais on ne le retrouve pas dans le Grand.
Est-ce bien une signature ?
Outre le Petit Manuscrit, il était présent sur la tombe du poulpe et sur la dalle de Coumesourde.
Il est piloté par la formule P.S PRAECUM qui se traduit par ‘’avec la lettre qui est avant le P déplacée derrière celui- ci, quand P et R sont égaux’’.
Le O virtuel qui précède le P dans l’alphabet est installé entre le P devenu R pour composer le mot ROS.
ROS, en latin = l’Écoulement, en occitan = Roux.
La spirale qui matérialise ce déplacement du O dessine un C ou un G.
Au premier abord, on peut donc traduire l’idéogramme P-S par :
CROS, GROS, 3 ROS ou 7 ROS.
Dans ‘’La vraie Langue Celtique’’, l’abbé H.Boudet, page 280, traduit CROS par CROIX. Ce qui n’est que partiellement vrai car en dialecte languedocien, un CROS est un CREUX.
Les codes alphanumériques du C latin et du G grec étant les mêmes, 3, en latin TRES, on peut très bien traduire l’idéogramme par TRÉSOR.
C’est d’ailleurs ce que font les triangles des ROSES bleues et rouge sur les vitraux :
TRES ROSE inversées = TRES sur ESOR = TRÉSOR.
A première vue, on ne peut donc pas traduire avec certitude cet idéogramme P-S. Il faut le contextualiser.

P-S sur l’ancienne tombe du poulpe, PULPA en latin :
D’abord l’animal :
Les 3 points sur sa tête et les 5 tirets de son abdomen codent C et E qui le métamorphose en CULEPA.
Ses 2 tentacules avant dessinent un 2 et un S. Tête-bêche, ces 2 signes construisent un Ω.
Ces 2 lettres améliorent CULEPA en COULEPAS.
Les 7 points entre les 8 tentacules codent un G tout en donnant le code 2-7.
L’Ω et le G vont aussi compléter l’idéogramme en tête qui devient GROS.
Le code 2-7 sélectionne les 2ème et 7ème pieds du texte, DI dans RE-DDIS et ARC dans ARCIS pour donner CARDI.
Nota : L’inscription ET IN AP+XAΔ+IA EΓΩ est plus tardive. Elle vient en redondance pour confirmer APX+ΔI = CARDI.
COULEPAS s’entend COULE PAS et CULPAS, acc. des fautes.
Les fautes sont aux centre des mots : Les 2D sur les 2 L de REDDIS / CELLIS et le G de REGIS sur le C d’ARCIS. Soit : D = L et C = G. Le I romain n’est pas fautif, c’est le code du A.
Ainsi DRAC1, DRACA, la démone, devient CLARA la clarté.
Autre ajout ultérieur, LIXLIXL vient confirmer la substitution D/L. X est la 10ème lettre du texte.
L1IL1IL = LÀ IL A IL. (Idem KXSLX, 10ème lettre de MARIAMADALENA).
Le texte étant composé de 4 quarts, CAR LÀ, la tombe finalise en :
G/CROS CARLA COULE PAS.
L’idéogramme se trouvant sur cette dalle à l’endroit où une croix est d’ordinaire gravée, on peut le traduire par CRUX. Le ruisseau du Carla est mort, il ne coule plus. C’était lui qui ‘’régissait’’ et ‘’protégeait’’ Rhedae, lui qui nourrissait Rennes-le Château.

P-S sur le bénitier :
La Croix de crête (Crète) est grecque. Les 16 besants de sa couronne + celui du centre de la rose rouge codent un Rô grec, P, qui descend remplacer le B de B.S dans le cartouche dont le bord dessine un O pour écrire ROS. La couleur ROS = Rouge confirme. B.S → ROS.
Le GENOU est entendu G noue. Ce G est noué à ROS. GROS.
IN HOC SIGNO VINCES a été traduit par ‘’PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS’’, où l’article LE a été rajouté et se lit L’E.
Les 5 doigts qui codent un E vont le griffer sous l’aile. AILE = LIE A.
Le E et le A sont liés à G dans AGEROS entendu ÂGÉ ROS.
L’allégorie :
Le diable représente le ruisseau du Carla. Les 4 anges sont les ‘’4 Ritous’’. La vasque, la Fontaine centrale, entre les 2 cornes du perthuis de la falaise. A l’origine le bras droit brandissait la Pique de Lavaldieu.
L’aile sous laquelle il convient de creuser, de griffer, est une grotte à gauche de ce ruisseau. C’est là que se terre l’ÂGÉ ROS. L’ancien ruisseau rouge.

Comparons ces 2 utilisations de la racine ROS. Sachant que l’abbé Saunière, le créateur de la seconde, a détruit la première, pour une raison inconnue.
Toutes deux traitent le même sujet, le tarissement d’un ruisseau qui faisait la richesse de leur village.
G/CROS CARLA COULE PAS / ÂGÉ ROS.
La différence majeure est la présence du A.

Pour affiner cette comparaison, il convient d’analyser un jeu qui a été utilisé par au moins 3 ecclésiastiques.
Le pilier carolingien est idéal pour ce genre d’exercice car remonte aux environs de l’An Mil.
Malheureusement, il a été mutilé. A l’origine il était de section carrée de 40 cm d’arête. Mais une de ses faces a été rabotée et il ne mesure plus que 39 cm de profondeur.
De plus il a été scié horizontalement et on ne peut plus compter le nombre des grains de raisins de chacune des grappes du cep de vigne qui entoure sa grande Croix cercelée.
Cette croix est encadrée par le symbolisme classique chrétien Alpha – Ω, du Commencement et de la Fin.
Les codes alphanumériques sont donnés par les grains qui remplissent le fût et la traverse de cette Croix.
De haut en bas, sur 3 niveaux, on lit : A 23 Ω / 18 cercle 19 / 29.
Au centre le bord d’un médaillon dessine un cercle en relief.
Latéralement, 2 entrelacs ornés de 37 besants sont ornés de de 2 croix de St André chacun et leur géométrie trace 3 cercles. 37 est la somme de 18 + 19.
18 et 19 sont les codes de R et de S. Il n’est dons pas question de Rô, P, sur ce pilier. A 23 Ω / R cercle S / 29.
Nota : Le Serpent Rouge, en Lion, appelle l’Immaculée Conception, ‘’NOTRE DAME DES CROSS’’.
_ 1) : Commençons par l’interprétation finale de Saunière, telle qu’on peut la découvrir aujourd’hui :
L’abbé a ajouté une plaque portant l’inscription MISSION 1891 entre l’Alpha et l’Ω.
‘’SI ON A MIS O entre 18 et 19’’ on obtient A 23 O / ROS / 29.
Au frontispice de la statue, il a fait graver IMMACULÉE CONCEPTION pour identifier la Vierge de Lourdes.
Et il a paraphrasé les apparitions de 1858 par la répétition fautive PÉNITENSE ! PÉNITENCE !, qui signale une substitution C/S.
Cette dernière modifie CONCEPTION en SON SEPT IN O. Soit O = G (code 7).
23 et 29 se déchiffrent en BC ou X et BI.
AXO / ROS / BI = JE NOMME ROS BI.
Un entrelacs vient alors se plaquer sur le fût de cette Croix de façon à ce que les 2 X se superposent.
A 23 Ω / ROS / 29 → AXO / ROS / BI → A 23 – X O / ROS / 29 – X → A 13 O / ROS / 19.
Car les 2 X d’un entrelacs sont des chiffres romains 10.
Soit : AMO ROS S, que l’égalité O-G améliore en AMO R(G+O)S S = J’AIME GROSS.
Au bas du pilier l’abbé a ajouté le monogramme de MARIE et pied de l’ensemble, une dalle de marbre qui porte l’inscription, ‘’O MARIE CONCUE SANS PÉCHÉ, PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS A VOUS’’. Péché = faute d’orthographe.
Cette inscription est liée avec le monogramme de MARIE, MAγ que l’égalité O/G, utilisée pour la seconde fois, transforme en AMO.
OMARIE est conçue AVEC péché (faute) quand elle est abrégée en OMA.
OMA est conçue avec le P de Péché dans POMA.
ΠΩMA, en grec = EAU potable, de qualité.
Nota : Le choix de Lourdes est judicieux car il existe sur sa paroisse une métairie au lieu-dit Les SOUBIROUS.
Ste Bernadette fait le lien avec ce site en en indiquant sa direction depuis le jardin de l’église, invitant le connaisseur à rechercher la grotte de Massabielle de Rennes-le-Château.
Grâce à l’inversion du pilier, le BI (29) est SOUS ROUX (ROS).
Résultats bruts : JE NOMME ROS BI. J’AIME GROSS. ΠΩMA.
_ 2) : Le prédécesseur de Saunière l’avait installé comme socle de l’autel de son église. On ignore tout de la configuration du contexte. On ne sait pas si ce pilier était accompagné d’inscriptions complémentaires. Mais on est certain qu’il n’était pas inversé car le creux (capsa) qui recelait le Grand Manuscrit était sous la pierre d’autel.
Et, si le pilier n’est pas retourné, il n’y avait pas de G dans le texte (ω inversé en γ).
Pas plus qu’il n’y avait de Rô, P.
Or ce G est bien antérieur à Saunière puisqu’il figure déjà sur la tombe du poulpe.
Une GROSS n’est pas un GROS. Une CROSS serait plutôt un entrelacs.
La prononciation méridionale des terminaisons en S, joue un rôle certain.
On peut s’appuyer sur le calvaire de 1897 qui fait face au pilier carolingien dans le jardin. Carré comme lui, il en est le mode d’emploi du déchiffrement.
Sur son côté Est, l’acrostiche de AIMONS / SALUONS / RESPECTONS / NOTRE CROIX, ARSN, compose les 4 consonnes du prénom d’ARSÈNE Billard.
Côté Ouest, FÉLIX-ARSÈNE BI s’entend FAIT L’X À RENNES. Soit, BI fait la Croix en X.
Cela pour rappeler que le BI du pilier carolingien doit être recouvert d’un X de l’entrelacs.
BI est une personne définie par AXO ROS BI, JE NOMME ROS BI.
En Poissons du Serpent Rouge, on lit, ‘’Cet Ami, comment vous le présenter ? Son nom demeura un mystère, mais son nombre est celui d’un sceau célèbre. Comment vous le décrire ? Peut-être comme le nautonnier de l’arche impérissable, impassible comme une colonne sur son roc blanc, scrutant vers le midi…’’
Le mot nautonnier ne s’applique exclusivement qu’aux armoiries de Mgr Billard. Son arche est impérissable car c’est une barque de pierre. Impassible comme sa statue blanche orientée au Sud.
Son chiffre, P-S est le même que celui de St Sulpice.
Je nomme ROS l’ecclésiastique BI. BI est le ‘’CAP’’ d’un nom propre qui n’apparait jamais dans son intégralité dans cette énigme.
On le retrouve sur la dalle de Coumesourde dans la date1292 = AB BI. Abbé BI.
Evidemment, c’est l’abbé BIGOU dont le chiffre est différent des initiales car c’est le code de son année de naissance, 1719.
Il a construit sa signature avec le centre de son nom, G associé à sa date pour obtenir le pseudonyme GROS condensé en l’idéogramme P-S. Il a ainsi obtenu le mot CROIX, dans une antique appellation occitane.
Il est le ‘’Pasteur G’’, SEPT (ES+T) du presbytère.
Sur le calvaire, l’acrostiche A.O.M.P.S. imite AMO GROSS du pilier et se traduit par AMO P-S = J’AIME ROS. D’ailleurs, 2 roses en croix encadrent les 2 plaques circulaires dérobées pour donner le phonétisme.
J’aime ROS = Je suis partisan de l’abbé Bigou.
Sur le calvaire, l’acrostiche ARSN sert aussi avec les 2 indices IN CRUCE VITA et IN CRUCE SALUS.
Dans la Croix, il vit A et Saunière a lu S.
Le titulus INRI devient RAISIN, pour confirmer que c’est bien un cep de vigne qui est représenté sur le pilier carolingien. De plus une frise de 20 grappes de raisins entour le calvaire pour rappeler le XX des entrelacs.
Enfin O CRUX AVE = O AVEC RUX = ROUX = ROS occitan, couleur du vin.
Revenons au piler sous l’autel.
L’abbé Bigou avait le choix entre AXO ROS BI et AB COROS BI.
AB C(– O)ROS BI semble idéal. Avec, au moyen de 2 Croix ou Abbé CROS = BI.
L’obstacle est cet Ω qui doit obligatoirement être déplacé puis remis en place pour obtenir AMO.
Nota : Dans la Vierge du Serpent Rouge, l’idéogramme P-S est comparé à la signature du peintre E. DELACROIX.
La principale difficulté dans cette allégorie est de distinguer le ruisseau GROS de l’abbé GROS car tous deux sont des Croix. Celle que tient horizontalement Maria Magdalena au tympan de l’église est celle du Carla. Immense GROS géographique au Midi.
_ 3) : Dans sa version originale, le pilier carolingien était sans doute polychrome. Je suppose que les grains de ses raisins et de la croix était rouges et que les 37 besants étaient dorés, comme ceux de la croix du bénitier aujourd’hui.
En fait, un entrelacs est le fût d’une Croix désassemblée dont la traverse horizontale est un autre entrelacs, vierge de tout décor, sculpté au-dessus de lui.
Et cet entrelacs a la même valeur que la traverse de la grande Croix faciale. 37 = 18 + 19 besants dans un O central. Soit R + S dans O pivot.
L’entrelacs dessine 3 O, en latin TRES O. Les 2 X annulent les 2 grands O pour concentrer ROS au centre.
Le tout peut se lire TRES ORS.
C’est là qu’est, semble-t-il, la différence majeure. Les entrelacs portent ORS en non pas ROS.
Si mon hypothèse est bonne, ce n’est pas l’abbé Bigou qui creusa la cachette dans ce pilier. Elle y était d’origine.
Et c’est même la raison pour laquelle ce pilier a été réutilisé. Il portait le mot TRESORS 2 fois.
Installé entre A et Ω, cet entrelacs pourrait construire un Tau dans le genre ARO S.
Mais le pilier a trop été mutilé pour en tirer une quelconque déduction.

Revenons au lien hypothétique entre le Grand Manuscrit et le pilier :
Comme Saunière a réinstallé les 4 vers de l’hymne à Madeleine au pied de son nouvel autel, et que ces 4 vers sont l’épilogue du Gand Manuscrit, il peut exister.
Le monogramme de Marie est si rongé par l’érosion que Saunière a très bien pu le modifier en MAGOT (AMO + γ + XX), imitant en cela le mot TRESORS primitif.
Dans ce cas, l’énigme se comporterait en jeu de piste. Le pilier carolingien ne donnerait que la 1ère étape. ROS, serait la seconde, entendu ROSE.
Ne pas oublier que le Petit Manuscrit était dissimulé dans le chapiteau du balustre de la chaire à prêcher qui représentait cette fleur.
Et qu’aujourd’hui encore l’ultime message se trouve dans la plus grosse rose de l’église qui orne l’abat-voix de la chaire. Rose d’OR qui dit : ‘’Que celui qui a des oreilles pour entendre, qu’il entende’’ ! (= Phonétismes, allographes O/HAUT/EAU/ROSE). Luc 8 :8 devenu LUX grâce au X du chrisme qu’il pointe.

AD GÉNÉSARETH du manuscrit et MAGDALA vont de pair.
Que ce soit sur ce manuscrit ou sur le pilier, l’Ω est un empêcheur de tourner en rond !
marc
Hulotte
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L’AG, suite :
Sur le meuble du confessionnal la moulure en demi-lune portent deux rangés de besant séparés par les dents d’une lame de scie servant à couper.
12 gros besants codent AB et 24 petits, Ω. AB Ω = au moyen, avec O à la fin.
L’animal anthropomorphe à 3 pattes est un AGNEAU que cette commande métamorphose en AGNO lu AGO N = Je repousse N.
N ôté d’AGNO restitue AG EAU que le GENOU cassé noue à G dans AGEAU.
Sur le bas-relief 1 des 4 rosiers sépare l’agneau en 2. Ils représentent les 4 Ritous sur la fresque supérieure.
La scie coupe le ROS-IER comme elle a partagé l’agneau et, ROS en latin égalant EAU, la remplace pour finaliser en AGROS.
La houlette de l’ecclésiastique auréolé se termine par la crosse en forme d’Ω qui pointe les 24 petits besants.
AB AGROS l’identifie : ABBÉ AGROS.
Cette scène pastorale est à l’origine de la légende d’Ignace Paris. Ce berger qui aurait découvert un trésor en sauvant une brebis. Le créateur de cette histoire, qui connaissait parfaitement l’énigme, s’est amusé à inventer une origine aux lettres P-S. Le cadre P-ari-S lui sembla idéal car PAR, PARIS, en latin se traduit par, égal, pareil et vaut AECUM.
Pierre Plantard, dans sa préface de La Vraie Langue Celtique, préfère Paulus Sergius.
Saunière lui-même visa le village de PailHèreS avec sa cheminée-mire de la tour Magdala. Les 3 lobes de celle-ci dessinent un O central qui s’ajoute à PHS pour construire PHOS, la lumière.
Pour moi, l’origine de P-S serait l’année de naissance d’Antoine Bigou, 1719. Je m’appuie sur la gargouille anthropomorphe du porche de l’église dont la bouche écrit un O entre les codes 18 et 19 de la date 1891. Exactement comme sur le pilier carolingien.

L’épitaphe de Marie de Blanchefort :
Les 8 anomalies, TEMEREPO, se chevauchent TEMERE EREPO.
Traduites par TEMERE, en latin = Au hasard, de façon aléatoire et EREPO, Je me faufile en rampant comme un serpent.
La première lettre, le I de ICI absente, permet de traduire ITEM EREPO par, Pareillement je me glisse, de la même façon que les 8 anomalies de base.
Les 8 lettres qui jouxtent TEMEREPO sont CT, Le, MA, RE, AR, EB, Ep, OL.
Elles composent CLARA BEL ou BLÉ CARLA.
La date du 17 Janvier donne le prénom de l’auteur de cette épitaphe, Antoine. Date commune avec celle de St Sulpice que le Serpent Rouge reprend en Capricorne à cause du monogramme P.S..
Ci-dessous, le registre paroissial qui prouve que l’abbé Antoine Bigou a bien enterré Marie de Blanchefort et que la date du décès de celle-ci est bien exacte.
Il sera difficile de prétendre que l’ANTOINE de l’épitaphe n’était pas BIGOU.

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marc
Hulotte
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Le décès de Marie de Blanchefort fut pour l’abbé Bigou une opportunité extraordinaire.
La date recelait son prénom (17 Janvier = St Antoine) et l’année de sa naissance, à un an près (1781 → 1718).
Il faut savoir que sur les registres paroissiaux, tous les actes consignés par Jean Bigou se terminent par, ‘’Bigou Prêtre Curé Signé’’, et que ceux d’Antoine s’achèvent par, ‘’Bigou Curé Signé’’.
La première ligne de l’épitaphe est ostensiblement décalée d’un rang pour ménagée une lacune.
Celle-ci est occupée par le I virtuel de ICI.
Ceci pour obtenir le double sens ITEM EREPO et I TEMERE PO.
Soit, pareillement je me glisse et I au hasard PO.
Un des 2C a été modifié dans la date, MDCOLXXXI pour MDCCLXXXI, de façon à ce qu’un O figure dans la date 17 O 18. Qui, sans un C = 16-O-18 codée POR ou QR si O n’entre pas en ligne de compte.
ANTE SEPT est l’abréviation d’ANTOINE G. que l’on retrouve en 2 lettres dans AG-EE.
Se pose alors plusieurs questions de chronologie, toujours en relation avec la signature du G.Manuscrit :
Cette épitaphe porte la formule P.S-PRAECUM. Pour nombre de chercheurs, elle était la stèle verticale associée à la dalle horizontale de la tombe du poulpe qui porte aussi la même formule.
En fait cette sépulture aurait été un caveau double. Mais, rien n’est moins sûr. Car les 2 pierres furent charriées.
Outre cette épitaphe et la tombe du poulpe, on retrouve P-S Praecum à Coumesourde et l’idéogramme sur le P.Manuscrit.
L’oncle d’Antoine Bigou, l’abbé Jean, décédé le 30 Septembre 1776, soit 5 ans avant Marie de Blanchefort, occupait une tombe dans ce cimetière. Peut-être même celle du poulpe.
Ci-dessous, les 2 registres paroissiaux qui attestent de la sépulture de Jean Bigou. On remarquera que ces registres sont signés Antoine Bigou mais que ‘’La sépulture en a été faite par Messire Étienne Poillet curé de Marsa en présence de toute la paroisse’’.

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agent222
Chevêche
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Impressionné Messagepar agent222 » 12 sept. 2019 à 15:43
Tu as essayé de creuser ou tu te bornes à decrypter ? Mon propos est admiratif et non péjoratif.

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