Le Serpent Rouge

Annonces concernant les autres chasses au trésor, en cours ou à venir.
Holmes
Chevêchette
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar Holmes » 14 avr. 2016 à 10:12
Si on plie et pérce TOUS les signes (pas lettres): + . ,

Lettres dans rouge = les 64 lettres pérce par les croix.

C'est curieuse 128 en total (lettres avec signes).
Vous n’avez pas les permissions nécessaires pour voir les fichiers joints à ce message.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 avr. 2016 à 11:16
Certes, mais la commande est impérative.
‘’DEUX FOIS RETOURNA ET XXV FOIS LE GOUTA’’.
Le pliage du cryptogramme superpose 7 des 32 croix initiales. Il n’en reste donc que XXV de valides pour désigner les 64 lettres du texte.
Cette commande pilote aussi le segment de 25 lettres CUIT IL NE LUI RESTA QUE L’ARETE. Seul tronc encadré par +. et .+, dont l’acrostiche dégage CARLA.
Enfin, le ‘’POISSON’’ est aussi l’alphabet de 25 lettres (Sans W à l’époque) qu’il faut plier en 2 après avoir retiré la 25 lettre, le E (absent de CURÉ).
Holmes
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar Holmes » 14 avr. 2016 à 14:29
Salut Marc,

Mais après que on a plié l'alphabet...?

Après mon avis c'est certain que il's agit de combiner les 64 lettres (pérce par les croix) avec les 64 lettres dans le ceinture. Après le methode de un tabula recta, Vigènere (sans w) probablement. Vous êtes accord?

Je pense aussi que il faut rearrange le résultat des lettres au-dessu avec un certain tour. Ce n'est pas pour rien que il's agit des 64 lettres...

Bien à vous
Holmes
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar Holmes » 14 avr. 2016 à 14:46
PS: Je pense aussi que il faut applique un mot de passe. Peut être "Lorelei"? L'ange avec le peigne d'or. Aussi un association avec le Rhône.

Holmes
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 avr. 2016 à 15:06
La couronne de 64 lettres codées se divise en 4 segments de 16 lettres qui épousent chacune un angle.
Ces 4 coins sont B, R, N et le premier signe du texte qui représente l’article LE devant le mot SOT.
L’alphabet plié est :
ABCDFGHIJKLM
NOPQRSTUVXYZ
On voit bien que les 4 coins s’emboîtent A = N, B = O, F = R et Y = L.
Les 64 lettres de la couronne se recomposent en une série allant de A à Z.
2 colonnes symétriques n’ont aucune croix, elles confirment l’alphabet de substitution.
Voir page 9 de ce topic.
Holmes
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar Holmes » 14 avr. 2016 à 15:58
Où entre Vigènere (tabula recta) dans votre solution? Je ne comprends pas.

Holmes
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 avr. 2016 à 16:58
Car seules quelques lettres de la couronne viennent remplacer certaines des 64 lettres restantes.
Ce cryptogramme servant aussi de carte pour localiser RENNES et le BÉZU (RN et BZ). 4I = YYIJ.
Chacun peut choisir les permutations qui lui conviennent.
Pour ma part, j’ai traduit par :
PEUR DU NOM, MA CLÉ À RIEN NE SERT, MAIS JEU BEAU A ÉTÉ.
Ce cryptogramme ne semble pas être de la main de Saunière.
Il a été élaboré par un connaisseur qui savait que le signe de croix qui permet de vaincre, In Hoc Signo Vinces, divisait toute chose en quart (Quart là = Carla).
L’alphabet réversible de substitution est plus proche de l’antique Atbash que du chiffre de Trithémius (Tabula recta de Vigenère).
L’auteur s’est inspiré des 2 séries de 64 lettres du Grand Manuscrit pour les déplacements en abscisses et ordonnées.
Logiquement la solution devrait compter 32 lettres (= au nb de croix du texte).
Ma proposition n’est donc qu’une hypothèse.
Holmes
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar Holmes » 14 avr. 2016 à 18:31
Ok merci.

Le Cryptogramme était il trouve avec des autre manuscrit lù document aussi? Après Monsieur Dutriat il semble comme sa mais il n'est pas très clair.

"Il est constitué d'un tube de bambou bouché à la cire et scellé dans le plâtre, sectionné inter nœuds pour laisser place à deux cavités dans lesquelles étaient insérées, côté droit et côté gauche, les deux parties du document.
La 1ère partie du document est une feuille à petits carreaux à lignes rouges qui une fois pliée sur elle-même, fait 100 X 75 mm, roulée sous la forme d'une cigarette de 12 à 15 mm de diamètre.
Sur une face est inscrite à l'encre noire ponctuée de lettres à l'encre rouge le texte "Sot Pêcheur". Au verso une grille carrée de 64 cases vides oblitérées de 11 cases noires.
La partie repliée comporte 67 mots mêlés à l'encre noire.

La 2ème partie du document comporte un processus identique mais au verso deux grilles carrées de 64 cases vides.
La partie repliée comporte recto verso 67 mots mêlés à l'encre noire.

Les 2 extrémités de l'étui en bambou sont operculées et rendues étanches par un bouchon de cire rouge retenu par une gorge interne.
L'objet était emmailloté dans des bandes de papier journal "La Croix" collées bien que brûlé et friable, un encart en minuscule d'imprimerie délivrait une date 1907. ».

« La formule "L'essentiel est dans le tabernacle et la clef, je l'ai mise dans l'église " peut se traduire par l'explication et le parcours pour atteindre le dépôt qui se trouvent dans le cryptogramme du "Sot pêcheur". Mais la clef de décodage du cryptogramme se trouve cachée dans la décoration de l'église. Quoiqu'il en soit, nous en saurons bientôt un peu plus car avant sa mort, l'abbé a caché en un lieu de son "domaine" non privé et accessible au public, un coffre en fer blanc bitumé pour être préservé de la corrosion, et contenant un mémoire autobiographique de la vie de l'abbé, non seulement pour livrer le secret de sa vie mais aussi pour sa réhabilitation personnelle au sujet du secret de cette découverte qu'il n'a ni volé ni escroqué. Pour accréditer le tout, l'abbé y a adjoint quelques bijoux anciens découverts dans les souterrains du domaine. ».
« Ce petit cryptogramme, à la lecture difficile, fut précieusement rangé dans un cahier par Henri Buthion, en plus de divers papiers ayant appartenu à l'abbé. Ce document allait devenir le fameux manuscrit "Sot pêcheur".

Que pensez vous?
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 avr. 2016 à 04:59
Je suis plus que circonspect au sujet de cette découverte.
Je me méfie énormément des mots dans les mots. Comme CARDI dans ARCADIA.
Et dans TABERNACLE, je crois retrouver la CLÉ dans la TAVERNE.
C.à.d., CARLA BENE T. Car là Benet = Sot. Ou Bene = Bien, vingt.
De même, le nom de l’ÉGLISE peut bien receler la clef G.

Un certain Jean Pellet aurait possédé ce cryptogramme. Sa découverte semble incertaine.

Personnellement, je soupçonne Gérard de Sède d’en être l’auteur.
En effet, son chiffre, 1907 = G.S. est dans l’é-G-li-S-e !
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 26 avr. 2016 à 07:19
En Ophiuchus 11 : ‘’Voici la preuve que du sceau de SALOMON je connais le secret’’. :
Au centre du sceau du Serpent Rouge, le monogramme de Sancta Magdalena, SM est traversé d’un fémur.
SALOMON → NOM À L’OS.
Le Roi SALOMON fut le bâtisseur par excellence. Le MUR de son temple sert d’exemple.
FÉMUR = FAIT MUR.
Ce Fémur, mot de 5 lettres, est celui que désigne la main du diable du bénitier (Et non pas son genou).
Cette même main a griffé MUR sous son aile gauche.

Le diable est appelé Asmodée par le Serpent Rouge, en Cancer.
Sa représentation portant les initiales BS de l’abbé Bérenger Saunière, on aurait tendance à penser que c’est lui le diable rouge.
Surtout que le même Serpent Rouge, en Vierge, insiste sur le cheval du tableau d’Eugène Delacroix dans la chapelle des anges. ‘’Héliodore chassé du temple’’ rappelle furieusement l’abbé diabolique excommunié pour avoir voulu voler le trésor de l’église.
En réalité, ce diable représente le ruisseau du CARLA prenant sa source dans la Fontaine des 4 Ritous.
Les 2 lettres BS dans le cartouche de la vasque, qui représente la source, servent à qualifier le MUR.

Le centre des croix des ateliers Giscard (Stations du chemin de Croix, entre autres) sont ornés d’une rose rouge.
Le cœur de celles-ci porte un besant d’or.
_ Hypothèse n°1 :
La croix du bénitier utilise le code 1 de ce centre (= A).
Ainsi la rose rouge du bénitier se lit ROSE A = ROS A.
Le sceau du Serpent Rouge la représente dans ROSA CRUX qui ne se traduit pas ROSE CROIX mais par A ROUGE dans la Croix (En occitan, ROS = Roux, Rouge.
La couleur rouge passe de la rose rouge = A au médaillon rouge BS par l’intermédiaire de l’ange rouge accroupi qui représente un des quatre Ritous de la fontaine.
BS de vient BAS.
Nota : La vasque est encadrée de 2 BASILICS. Mais ce n’est là qu’une coïncidence. Ce sont des décors habituels de la maison Giscard, bien que ce bestiaire soit particulièrement bien adapté à la situation.

La formule, ‘’PAR CE SIGNE TU LE VAINCRAS’’ est alors lue ‘’PAR LE, CE SIGNE TU VAINCRAS’’.
Le verbe PARLER = phonétisme. Égal à Luc 8 :8 de l’abat-voix de la chaire à prêcher (‘’Que celui qui a des oreilles entende’’).
Et PAR LE = Avec, grâce à l’article LE dans la zone rouge.
Enfin, PAR L’E TU VAINCRAS.
ÉCARLATE sans ses 2 extrémités = CARLAT.
Nota : Le ruisseau du CARLAT du château des Blanchefort s’écrit avec un T final. Carla et Carlat viennent de Castellum.
Traduire le diable CARLA par ROS ROS est correct (Latino-occitan = Écoulement rouge).
BAS + LE = SABLE (B et S sont 2 lettres noires. En héraldique, sable = noir).
Ainsi BS devient SABLE et le diable fait un MUR DE SABLE qui arrête son écoulement.
_ Hypothèse n°2 :
Le signe qui permet de vaincre n’est pas la croix +, plus, mais le moins, représenté par les 12 tirets rouge dans la croix.
La couronne de celle porte 16 besants d’or qui codent normalement un P. Mais la soustraction du besant central dans la rose rouge réduit 16 à 15 code d’un O.
Et c’est cette voyelle O qui descend remplacer le B dans le cartouche de la vasque. Ainsi, BS → OS.
Cela revient à transférer le cœur du mot ROSE.
Cet OS reste un FÉMUR mais entendu FAIS MUR.
Ce MUR de SALOMON est alors le projet d’un barrage qui retiendrait le ruisseau du Carla entre les cornes du diable.
Ces cornes (visibles depuis le village) encadrent le perthuis de ce ruisseau. C’est l’étroit passage creusé dans la falaise qui limite, au Sud, le plateau du Lauzet, et qui se prolonge jusqu’à la Pique de Lavaldieu.
Nota : A l’origine, le diable tenait cette pique dans sa main droite.
Cette retenue provoquerait une rétention. Un lac de Génésareth local, un bénitier géant.
_Hypothèse n°3 :
Le signe qui permet de vaincre est la somme des 12 tirets rouges, code d’un L, augmentée du besant d’or de la rose centrale. Soit 13 = M.
Ce L est désigné par les 5 cicatrices griffées par la main du diable sous son aile (Allographe).
Avec le O que trace le cercle doré entourant la rose et le P codé par les 16 besants de la couronne, la Croix grecque du bénitier écrit POM.
En Scorpion du Serpent Rouge le phonétisme et l’abréviation sont données dans ‘’mordant instinctivement ma paume’’.
Le 13ème visuel, celui du Capricorne, confirme la valeur du L majuscule calligraphié. L = 13.
Exactement comme le 4 de 1854 sur le calvaire du jubilé qui est en réalité un L Barré, L+ = M.
La PAUME de la main gauche du diable, est invisible. Elle cache des CORS ou des cals.
L’anagramme CROS renvoie à la Croix d’origne (CROS en occitan).
Ainsi, ce diable est le CARLA et le CROS.
Soit CARLA = CROIX.
Quand on sait que l’auteur de cette allégorie est un abbé, on comprend mieux la raison de son excommunication !
Le monogramme du sceau du Serpent Rouge, SM/OS = FAIT MUR de l’église de Ste Madeleine.
Au tympan de son porche, la croix horizontale que tient la Sainte représente le ruisseau du Carla.
L’ambiguïté vient du mot CROS qui n’a jamais voulu dire CROIX, mais CREUX en dialecte languedocien. Bien que l’abbé Boudet prétende le contraire dans La Vraie Langue Celtique, page 280.
Il y affirme que N.D. du CROS = Notre Dame de la CROIX. Ce qui est faux et qu’il ne pouvait ignorer.
Le ruisseau du CROS, ou ruisseau du CREUX se jette dans le Rec du Souc, affluent de l’Argent-double.
Sur le bénitier, on ne voit que le dos de la main du diable. Le CREUX de sa PAUME est caché.
Pour un puriste, le mot COIX vient donc de CREUX sans le E caché sous l’aile.
Le CARLA n’est donc pas le CREUX mais la CRUX latine. Ce qui semble revenir au même.

Ce détail n’a guère d’importance au niveau du bénitier, mais il n’en va pas de même sur le pilier carolingien.
La cachette creusée dans ce pilier est habituellement nommée la CAPSA. Elle contenait au moins un manuscrit.
Si ce pilier est traduit par AMO CROS ou AXO ROSS, on peut en déduire que c’était une invitation à rechercher le CREUX qu’il contenait.
Et que dire de ‘’La Vraie Hache celtique’’, ‘’la pierre de TROU’’ (p. 255) ?
Etait-ce la pierre du CROS ? La pierre verte extraite d’un CREUX ?

_ Hypothèse n°4 :
La main ne désigne par le fémur, mais le GENOU entendu JE NOUE ou G NOUÉ.
Le G est noué sous l’AILE pour écrire AGILE ou AIGLE.
Dans une croix, le P est un Rô grec (XP dans un chrisme).
Résultat : ARGILE.

_ Hypothèse n°5 :
La plus proche du sceau du Serpent Rouge.
La couronne de la code bien un P en 16 besants. Mais divisé en 4 par le signe de croix. Soit 4 fois 4.
Les 4 anges utilisent chacun une de leurs mains pour faire le signe de croix.
Comme celle du diable, elles rajoutent 5 doigts aux 4 besants de la croix.
Ainsi la couronne passa de 4 fois 4 à 4 fois 9. Elle vaut alors 36 = 4 I.
Les 4 RITOUS sont abrégés en 4 I et on retrouve les 36 besants du sceau du Serpent Rouge à l’intérieur duquel, une petite croix divise un cercle en 4 quarts.
les 12 tirets rouges (2 fois III et ≡) se croisent pour tripler le besant central de la rose. Soit P et +++A = P → 19 → S.
Le E du mot ROSE est caché sous l’aile et ROS devient POS.
La croix porte PS et le cartouche rouge BS. B et P permutent.
Au PS du cartouche de la vasque, le genou noue G pour finaliser en GROS.
Le ruisseau du CARLA est alors rebaptisé en GROS.

_ Hypothèse n°6 :
Le sceau de Salomon = Monogramme SM + OS = SOMS entendu SOMMES.
Il sert à totaliser les 4 chiffres d’une date, comme sur le sceau du Serpent Rouge.
L’inversion P/S donne l’égalité POMME = SOMME. Soit, le fruit, le résultat = l’addition par le signe de la croix,+.
Ces 2 lettres, diamétralement opposées sur la couronne de 36 besants égalisent SOMME en POMME.
La manœuvre est confirmée dans le Scorpion 10, ‘’Je pivote sur moi-même passant du regard la rose du P à celle de l’S, puis de l’S au P…’’.
Les 16 besants de la couronne + celui du centre de la rose rouge = 17.
La somme des codes du L et du E de LE = 12 + 5 = aussi 17.

_ Hypothèse n°7 :
Calcul manuel : Une main = 5 doigts = V romain.
Les 4 Anges/Ritous font le signe de Croix avec chacun une de leurs mains.
Les couleurs de leurs robes permettent de les identifier. Rouge , bleue, verte et jaune.
Seul l’ange accroupi rouge utilise ses 2 mains. La droite sur sa poitrine, l’index de sa gauche point la vasque de la fontaine des 4 Ritous.
Sur la couronne de la croix qui domine ce quatuor les 16 besants sont séparés par 4 encoches qui tracent des V.
Soit 16 = V+V+V+V = 36.
Les 12 tirets rouges sont alors des signes négatifs moins qui retranchent l’unique besant central. 36 – 1 = 35 = 16 + 19 = P +S.
Une information donnée par l’abbé Boudet est étrange car son livre, La Vraie Langue Celtique fut édité en 1886, c.à.d., avant les travaux de Saunière, donc la création de son fameux bénitier diabolique.
On apprend qu’une croix grecque de ‘’trente-cinq centimètres’’ dominait Rennes-les-Bains.
D’autre part, la Balance du Serpent Rouge mentionne cette dernière, ‘’La croix de crète se détachait sous le soleil du midi, elle était la quatorzième et la plus grande de toutes avec ses 35 centimètres !’’.
Crète pour Crète = Grecque ou pour crête = en hauteur. Au Sud.
Existait-il déjà une croix P+S avant 1887 ?
36/4 = I.
Cette croix figurait au catalogue de la maison Giscard. Saunière dut donc l’adapter à sa fantaisies. En tant que boulier, elle comportait bien 16 + 1 besants. Mais il ne disposait que des 12 tirets rouge pour chiffrer son S 19.
Soit il prit les 4 V de la couronne, soit il utilisa la cachette de l’aile. En effet AISSELLE s’entend SL et donne la substitution nécessaire.
De plus, elle permet de changer le BS du cartouche en BL.
Avec le E que le genou ajoute (JE NOUE 5), les initiales de l’abbé finalisent en BLÉ.
Nota : La parabole des épis de blé et du sabbat sert de fond au petit Manuscrit.
Sinon, c’est un des 4 I qui s’insère pour écrire BIS = 2 fois.

_Hypothèse n°8 :
L’auteur du Serpent Rouge aurait mal interprété le message du bénitier. En Cancer, il nomme le diable ASMODER pour ASMODÉE.
On peut retrouver partiellement ce nom en combinant 12 tirets + besant central = M et quart de couronne 16 = D. Avec le O doré qui cercle la rose rouge. MOD.
Suivi du E noué par le couple genou + 5 doigts → MODE.
Croyant connaître un peu la psychologie de l’abbé B.S., je pense que le choix doit se faire sur la couleur dorée du signe qui permet de vaincre. L’important, c’est l’OR.
Et seuls 2 chiffres sont codés en ‘’OR’’, 16+1 besants de la croix. Soit 17. Nombre repris par la somme L+E.
17 est le code latin de Q et grec de Rô, P.
La manœuvre la plus simple est la permutation B/P dans BS, sur fond rouge pour corriger en PS.

_ Hypothèse n°9 :
La formule du bénitier serait la forme française de la version latine du tympan où un phylactère dessinant un Ω géant porte l’inscription en 16 lettres, +IN HOC SIGNO VINCES+, qui, encadrée de 2 croix, compte alors 18 signes. Soit 16 → 18, ou P → R.
+OMÉGA+ où les 2 croix sont des lettres jokers donc le H tiré du mot HOC. HOM ÉGAL.
HOMME ÉGAL grand O → HOMME = EAU. A rennes, les prêtres sont comparés à des ROS, des écoulements d’eau.

_Hypothèse n°10 :
Le sceau de Salomon peut être l’étoile à 6 branches de son père, le roi David.
La rose rouge de la croix a 6 pétales.
Le roi Salomon, surtout célèbre pour l’équité de son jugement = partage en deux.
Le sceau d’un bâtisseur, comme Salomon, serait la signature de l’architecte qui réalisa l’édifice.
Dans le cas du bâtisseur Saunière son sceau serait BS.
On le retrouve sur la vasque de ce bénitier mais aussi sur la fresque du confessionnal, dans la BESACE déchirée = BE-renger SA-unnière C-ur-É.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 26 avr. 2016 à 07:44
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 avr. 2016 à 02:42
Synthèse des sceaux Salomon/Serpent Rouge :
SALOMON = LÀ MON OS.
Cet OS traverse le monogramme AM de Marie.
La manœuvre, dans le Scorpion 10, ‘’Je pivote sur moi-même passant du regard la rose du P à celle de l’S, puis de l’S au P…’’, se traduit par la demi-rotation du sceau du Serpent Rouge. De façon à permuter P et S écrits sur la couronne.
A l’intérieur, S et M sont inversés.
Les sceaux étaient apposés en bas des parchemins.
Le Petit Manuscrit est à l’origine de l’inversion du M oncial en ω minuscule dans son en-tête AMO T.
M = O. Et MS = OS.
En Ophiuchus 11, ‘’Voici la preuve que du sceau de SALOMON je connais le secret’’, se traduit par M=O.
Louis Saint Maxent utilise le monogramme de Madeleine car Saunière a repris l’astuce su le pilier carolingien (AMO G).
Sur le bénitier, l’action se déroule ainsi :
Les 5 ongles de la main vont griffer le code d’un E sous l’aile, allographe de L, pour reconstituer l’article LE de la formule ‘’Par ce signe tu LE vaincras’’.
Ce geste colore ainsi de rouge les 5 plaies. Cette couleur du sang est alors le fil conducteur de la manœuvre.
Les 12 tirets rouges + le besant central de la rose rouge, elle-aussi, codent un L+ = M précédé de signes négatifs, – M.
Par l’intermédiaire de l’ange/ritou rouge cette soustraction du M rejoint le cartouche rouge BS.
Le mot MAIN perd alors son M et son abréviation AIN va s’insérer dans le cadre BS pour donner le résultat final, BAINS.
Le bénitier se traduirait donc par, LES BAINS DE LA FONTAINE DES QUATRE RITOUS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 28 avr. 2016 à 12:12
Les Quatre Ritous, en dialecte languedocien, les 4 Curés :
Ils sont très présents à Rennes-le-Château. On les retrouve sur :
_ 1) : Le bénitier :
La plus vieille mention de la Fontaine des quatre Ritous date de 1594 (Dictionnaire Topographique du Département de l’Aude de l’abbé Sabartès).
La FOUN DE QUATRE RECTOURS ne se traduisait pas alors ainsi.
Le mot RECTOUR vient du bas latin issu des mots RECTOR, celui qui dirige, et RECTUS, d’une façon droite.
C’était le carrefour ancestral de 2 itinéraires qui se croisaient à angle droit, parfaitement orienté sur les 4 points cardinaux. Au Nord, Rennes/Couiza, au Sud, Le Bézu, à l’Est Bugarach, à l’Ouest Espéraza. (Les noms du Bézu et de Bugarach figurent sur le compoix de 1594).
Les anges/ritous du bénitier colorent ces 4 directions. N. Rouge, S. Jaune, E. Bleu, O. Vert.
Nota :
Sur son tableau ‘’Pape Pomme bleue’’, Pierre Plantard joue avec ces couleurs.
Les extrémités arrondies d’une croix sont appelées ‘’Pommes’’ ou ‘’pommettes’’.
La Pomme bleue du bénitier dirigerait vers BUGARACH.
L’initiale B est confirmée par les 2 doigts du pontife qui pointent vers le pommeau bleu de la triple croix papale.
_ 2) : La rosace :
Les 4 disciples à la table du Christ sont ces 4 Ritous.
_ 3) : Le vitrail de ‘’La Mission des apôtres’’ :
Ils sont 7 sur la scène où l’eau de la fontaine est représentée comme un lac.
L’inscription, Θ●N●IS 1709 84 = SI ON ÔTE II, AGO I, 8+4 =12 Apôtres, en retire 3, III, réduisant leur nombre à 4 Apôtres/Ritous.
_ 4) : La Statue de St Antoine de Padoue :
Ce sont les 4 anges qui servent de socle à la statue.
Cette dernière est appuyée par la Vierge et le Capricorne du Serpent Rouge. ‘’Voilà la septième qu’une main avait tracée : RETIRE MOI DE LA BOUE, QUE JE N’Y RESTE PAS ENFONCÉ.’’ Et ‘’’’RETIRE MOI DE LA BOUE’’, disais-je,’’.
La station du chemin de croix de l’église St Sulpice porte l’inscription, ‘’+ VII, JESUS EPUISE RETOMBE, RETIRE MOI DE LA BOVE QUE JE N’Y RESTE PAS ENFONCE, PS LXVIII, Chapelle des Saints Anges, DELACROIX →.’’.
VII, 7 est le code d’un G. PS 68 ne se traduit pas par Psaumes mais par RôS.
Les 3 clefs sont donc G, BOUE et RôS.
Le pavois qui supporte le Saint est circulaire en forme de COUVERCLE bombé. Son bandeau porte l’inscription ST ANTOINE DE PADOUE.
Faisant pendant au cercle du bandeau, la ceinture porte un crucifix.
Ce dernier signifie qu’un des lettres du texte est fausse. Il s’agit du P qui doit être remplacé par un G.
Correction : ST ANTOINE DE GADOUE = St ANTOINE DE LA BOUE.
La lecture de cette statue se poursuit, mais pour l’instant, il s’agit de recenser les 4 Ritous présents dans cette église.
_ 5) Les 4 Évangélistes de la chaire à prêcher.
_ 6) : Il existe un 6ème quatuor de Ritous. En Taureau, celui des ‘’frères de la BELLE du bois noir’’.
Sur le tympan, disposés en croix, le Pape Léon XIII, les 2 évêques, Mgrs Billard et Leuilleux et Sancta Magdaléna, tracent le losange du porche.
Certes la Sainte n’est pas un homme, mais les anges n’ont pas de sexe. Après tout, c’était peut-être bien l’abbé Jean Bigou qui occupait la tombe de Marie de Blanchefort….
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 12 mai 2016 à 10:34
ÉGYPTE :
En Lion 7 du Serpent Rouge, on lit, ‘’Jadis les uns l’avaient nommée : ISIS, reine des sources bienfaisantes’’.
La déesse égyptienne est alors comparée à Marie Madeleine.
On peut supposer que cette allusion renvoie à la quadruple répétition de la tombe du poulpe, redd-IS, reg-IS, cell-IS et arc-IS.
Mais je crois plutôt que son origine vient des 3 pierres DELTAS des 3 calvaires pyramidaux de rennes-les-Bains.
Là, DELMAS est transformé en DELTAS (1+8+5+6 = 20, code du T).
Je pense que la ‘’pomme bleue’’ papale du tableau de Plantard est dans ce registre.
POMME = SOMME = B (2 doigts et 2 roses bleues sur les vitraux).
Le ‘’Pape Pomme Bleue’’ est alors le second pontife, celui qui succéda à St Pétrus, LIN.
Ceci pour expliquer que le Pape Léon XIII encadré par ses 2évêques n’est pas un homme mais un fleuve bienfaiteur, le NIL sacré des égyptiens dont ISIS était la déesse.
Cette comparaison NIL / CARLA parait exagérée, mais à l’échelle du Razès, elle est pertinente.
Nota : Sur les fonts baptismaux, c’est le JOURDAIN qui sert de comparatif (Fresques aux palmiers).
Vus ainsi, les 3 calvaires Delmas représenteraient 3 pyramides, comme Khéops, Khéphren et Mykérinos à Gizeh.
Delmas devenu DELTA S s’entendrait comme Béthania, βNIA, c.à.d., ΔS. DS.
La signature de l’abbé Delmas serait un Delta pointé .Le point codant la lettre A.
Δ+● cacherait le monogramme d’un des 2 abbés Antoine Delmas.
On retrouve de tels triangles sur le ‘’Plat de la Coste’’ et surtout sur le ‘’Fauteuil du diable’’.
Ainsi les 2 villages, du Château et des Bains, seraient encore plus jumelés.
Chacun aurait son diable, sa source de la Madeleine et son Carla (t), son thaumaturge.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 23 mai 2016 à 17:41
Dans les années 70, il y avait, au musée Guimet de Lyon, une vitrine qui exposait une ponte de dinosaure découverte à Rennes-le Château.
J’ai supposé un cours instant que les ‘’pommes’’ recherchées étaient peut-être des œufs fossilisés, ‘’des pommes de terre’’, et que l’on apercevait ces dernières dans la déchirure de la besace sur la fresque du confessionnal.
Depuis, les paléontologues (Maastrichien) se sont installés à Espéraza, avec le succès que l’on sait qui a conduit à l’édification du musée Dinosauria.
Mais restons à Rennes. Depuis 1984 plusieurs pontes ont été découvertes autour du village.
La confusion restait donc possible. Surtout que l’on ignore encore ce que recherchaient les anciens habitants dans la zone des ‘’LAGASTOUS’’ (Cuvettes creusées ou CROS en occitan).
Certains pensent que c’était de l’argile pour la poterie, d’autres y voient plutôt des dolines ou des lavognes pour abreuver les troupeaux des bergeries mentionnées sur la carte d’Etat-Major Quillan 254 de 1883.
Puis paru le Serpent Rouge avec son allusion à ‘’la puissance magique d’Hercule’’ (En Cancer).
Les pommes changèrent de nature et devinrent les pommes d’or du jardin des Hespérides (LVLC page 90).
L’or étant plus adapté à une recherche de trésor.
Pour rester dans les métaux, ces pommes pouvaient être aussi ces curieuses ‘’pierres métalliques’’ mentionnées par l’abbé Boudet, page236 de LVLC (Surtout que les ‘’bouts’’ (Boudet → Bout de et Debout) de BREYCHOS’’ sont B et S).
Mais la pomme elle-même changea de définition puisque son phonétisme faisant lien entre celle-ci et la main, POMME / PAUME (‘’Mordant instinctivement ma paume’’, en Scorpion).
‘’Mordu’’, ce mot perd une lettre.
Il y avait donc une correspondance obligatoire entre les pommes fruits et les mains.
3 Jeux étaient concernés, les mains de Sancta Magdaléna qui tenant sa croix horizontale sur le tympan, la main de Jean-le-Baptiste sur les fonts baptismaux, et surtout celle du diable du bénitier qui cache sa paume senestre liée à la croix grecque du bénitier.
Sur le bénitier, il s’agit de nouveau d’OR, inverse de Rô = P, codé 17 (16 besants d’or de la couronne de la croix + besant central dans la rose rouge).
Mais ici, la pomme c’est aussi la somme. C’est la croix + de l’addition, signe qui permet de totaliser L+E (Par ce signe (+) tu LE vaincras).
Les ORS = le ROS.
Cette égalité PAUME = POM est fondamentale.
Les CORS sont naturellement dans le creux d’une main et le mot CROS = Croix à Rennes-le-Château et = Creux en occitan.
La pomme recherchée devient alors celle du SERPENT tentateur de la Génèse, le SAVOIR.
Enfin, le tableau de Pierre Plantard colora la pomme convoitée en bleu (‘’Pape Pomme Bleue’’).
Le dernier mot doit revenir à l’ultime allusion du Serpentaire 11, ‘’ A ceci, Ami Lecteur, garde toi d’ajouter ou de retrancher un iota ●●● médite, Médite encore, le vil plomb de mon écrit contient peut-être l’or le plus pur’’.
Les 3 lettres majuscules ALM → MAL mot de 3 lettres.
Médite + Médite = Demi et demi et = 4 quarts = CAR LÀ = CARLA et mot de 4 lettres.
Le chronogramme du mot ‘’CECI’’ est 201 en 3 chiffres entendu 2 SANS 1. Soit B – 1 = A.
Nota : Pour mémoire, la commande conditionnelle ‘’SI ON REDIS LES B’’ du Petit Manuscrit avait aussi pour but de diminuer la valeur des B pour transformer les 2 noms de SABBAT en SAAAAT et d’obtenir ainsi 8A.
Ici, la cible est le nom du PLOMB → PLOMA.
ALM corrige à son tour le segment LOM et PLOMA → PALMA. En latin, la PAUME.
Le symbole chimique de l’Or pur est AU.
La transmutation complète du vil PLOMB = PLOMA, PALMA, PAUMA → ΠΩMA.
POMA, en grec, se traduit par, par ‘’couvercle’’ et s’entend aussi comme ‘’eau potable’’ ou ici, SOURCE de qualité.
On retrouve le visuel aux fonts baptismaux, avec les palmes en arrière-plan. L’eau sacrée du Jourdain (Le plus grand des AMIS) s’écoule de la paume de St jean-le-Baptiste.
La ΠΩMA du CARLA est donc la fontaine des 4 Ritous. Cette EAU bleue guérisseuse vaut un TRÉSOR.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 09 mars 2019 à 15:07
L'abbé Saunière réutilisa le pilier carolingien en socle de la statue de la Vierge de Lourdes.
Ce pilier, qui portait l'autel avant l'arrivée de l'abbé, recelait le Grand Manuscrit codé.
Il fut donc déplacé de l'intérieur de l'église à l'extérieur, dans le petit jardin Sud, sur le passage qui conduit au porche du sanctuaire.
En haut de ce pilier réinstallé à l'envers (tête en bas) sous la Vierge Marie, il fit graver les 2 mots PENITENCE ! PENITENSE !
Mal restauré depuis, la faute d'orthographe (S pour C) y a hélas été corrigée.
Au-dessus de la Vierge, l'inscription IMMACULÉE CONCEPTION rappelle que la répétition du mot PENITENCE fut entendue par Bernadette Soubirous lors des apparitions de Février1858.
On notera qu'une métairie se trouve encore au Sud-Ouest du village de Rennes-le-Château au lieu-dit Les Soubirous.
Dans sa version originale, ce pilier présente une dissymétrie, sans doute accidentelle, dans la gravure de sa Croix faciale. Les grains en reliefs qui décorent son transept sont aux nombre de 18 à gauche et de 19 à droite. Au centre de ces 2 bras, un cercle en relief écrit la lettre O.
Ainsi le transept se traduit par 18-O-19. Ces 2 nombres étant les codes alphanumériques de R et de S. Au centre ce cette Croix on lit ROS.
Cette Croix est encadrée du symbolisme chrétien classique, A et Ω, du Commencement à la Fin de toute chose.
L'abbé Saunière a rajouté le nom de MISSION et la date 1891 pour obtenir le jeu de mot ''SI ON A MIS Ω''.
L'inversion du pilier avait plusieurs buts. D'abord, faire observer que la lettre Ω majuscule s'inversait en gamma γ minuscule. Puis inviter à inverser la seconde partie de la date, 91 en 19 pour épouser le décor du transept, donc des codes des 18 et 19 grains.
On retrouve exactement le même rébus sur le pilier gauche du porche de l'église où cette même date de 1891 est dominée par une gargouille anthropomorphique dont la bouche ronde trace le O entre les 2 codes 18 et 19. ROS, en latin, c'est l'écoulement. RÒS en dialecte languedocien, c'est la couleur rousse ou rouge.
Cette interprétation de l'inversion de l'Ω en γ (Du O en G) est pilotée par l'inscription de la dalle de marbre horizontale, au pied de l'ensemble :
''O MARIE CONÇUE SANS PÉCHÉ PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS À VOUS''.
Le lien entre les les 2 textes encadrant le pilier se fait autour du verbe concevoir (CONCEPTION et
CONÇUE).
Le mot PÉCHÉ se traduit par Faute d'orthographe dans le nom de La Vierge, CONCEPTION. Qui doit être corrigé grâce à la faute ostensible dans la répétition PENITEN(C/S)E, C/S.
CONCEPTION rectifié en SON SEPT IN O s'entend alors 7 EN O.
Le code alphanumérique 7 est celui du G. Le résultat invite donc bien à la substitution O/G sur la Croix du pilier.
Nota : Cette façon de faire de l'abbé Bérenger Saunière est critiquable car le code alphanumérique du Gamma est 3 et non 7 qui est celui du latin.
Les grains en relief cachent aussi des codes alphanumériques sur le fût de cette Croix.
Ainsi, dans sa partie supérieure, entre L'A et Ω, 23 grains = X et sous le transept, 29 grains ne peuvent chiffrer que 2 lettres, B I (2 et 9). L'alphabet de l'époque ne comptant que 25 lettres.
Sur 3 niveaux le texte complet : A 23 Ω / 18 O 19 / 29 = A X O ROS BI.
Mais l'Ω, O, doit être dédoublé par son inverse en G pour finaliser en AX(O/G) ROS BI.
AXO GROS BI se traduit par JE NOMME GROS 2 fois bien que le S de BIS soit absent.
En dialecte languedocien ou en occitan, un CROS, est un Creux, un évidemment. Sur ce pilier un CROS servait de cachette à des manuscrits. Un bénitier est un CROS.
Mais très curieusement, l'abbé Henri Boudet traduit ce mot par CROIX (Page 280 de La Vraie Langue Celtique, ''Notre Dame du Cros ou Notre Dame de la Croix'').
Nota : En Lion du Serpent Rouge, la Vierge de Lourdes est ainsi qualifiée : ''Seuls les initiés savent son nom véritable : NOTRE DAME DES CROSS''.
A Rennes-le-Château, un CROS vaut un GROS est se traduit par CROIX ou par CRUX.
Chaque flanc du pilier est orné d'une Croix décomposée où le transept horizontal, vide de toute inscription, domine le fût dont chaque extrémité contient une Croix de St André.
Ces 2 X sont superposés dans un entrelacs typiquement carolingien.
Un entrelacs vient se plaquer sur la Croix faciale pour en modifier ainsi le texte :
A 23 – 10 O+G / ROS / 29 – 10 = A 13 O / ROS / 19 = AMO GROS S.
Nota : Il faut savoir qu'à Rennes-le-Château la voyelle E fait l'objet d'un traitement particulier. Elle est souvent absente (CUR pour CURÉ) et dans le cryptogramme du ''SOT PECHEUR'', elle a carrément été retirée de l'alphabet de substitution, réduisant ce dernier à 24 lettres.
AMO GROSSE s'entend J'AIME LA CROSSE.
Ce qui semble signifier que l'abbé Saunière aimait cette Croix. Comme il nous invite à le faire sur son calvaire de 1897 qui fait face au pilier, dans le même jardin, dans son acrostiche ''AIMONS ….NOTRE CROIX''.
Mais qui s'adresse ici à l'entrelacs, considéré alors comme une CROSSE. Ce n'est pas tant que l'abbé fut un esthète amateur d'art médiéval, mais ce sont les 2 croix en X superposées du décor qui retinrent son affection. X + X = 20, code du T.
Saunière a ainsi détourné l'original A 23 Ω / 18 O 19 / 29 en J'AIME LE 20.
Nota : Pierre Plantard, dans sa préface de La Vraie Langue Celtique, est particulièrement sévère à l'égard de l'abbé Saunière, le faisant presque passer pour un ivrogne quand il l'oppose à l'abbé Boudet : ''Cependant que l'un dissertait sur les mérites comparés du vin des Corbières et des vins de Malvoisie, l'autre tirait argument de ses intestins fragiles pour ne boire que de l'eau...''.
Sur le pilier carolingien, un cep de vigne stylisé, avec ses grappes de raisins, entoure la Croix codées.
J'AIME LE VIN. Traduire ce chiffrage par cette formule peut paraître peu orthodoxe et cependant, quand on sait que sur le calvaire de 1897 l'abbé a amélioré le titulus INRI avec AS pour obtenir RAISIN, on doit se rendre à l'évidence, mon résultat pourrait être plausible. Mais comme il repose sur un phonétisme douteux je préfère conserver AMO GROSS et ne pas le traduire en attendant l'interprétation du monogramme de MARIE situé à la base de ce pilier. En effet, Si GROSS est bien un entrelacs, l'absence de terminaison du mot interdit de savoir si ce dernier est au pluriel. Et comme il y a 2 ''CROSSES'' il peut s'y cacher 2 fois XX. 2 fois 20. Soit 2 T.
Bien que partiellement rongé par l'érosion, on remarque que ce monogramme composé des 2 lettres classiques M et A enchevêtrées comporte une lettre supplémentaire. Un gamma minuscule, γ =G.
On retrouve alors le pendant du G (SEPT) dans CONCEPTION.
Les 3 lettres MAG sont les initiales de MAGDALENA. La Ste Patronne de l'église du village.
Ce n'est donc pas la Vierge Marie qui domine le pilier, mais Marie Madeleine.
''N.D. Des CROSS'' (des entrelacs) est MADELEINE.
Les CROSS codant 2 T (XX 2 fois) et le nom même de CROSS se terminant par 2 S, ces derniers augmentent d'un rang alphabétique pour recomposer le mot GROTT.
La localisation au Sud du village est enfin précisée, il s'agit de la GROTTE de la MADELEINE.
Nota : Si on utilise les codes alphanumériques grecs, ROS ( 18 O 19) = SOT. Ce qui fait le lien avec le célèbre SOT PECHEUR.
L'énigme de Rennes-le-Château est réservée aux prêtres (''Solis sacerdotibus''). En réalité, elle n'est accessible qu'aux amateurs ayant des connaissances en latin et en grec, deux langues que le clergé local avait étudiées au séminaire de Narbonne.
Le dernier jeu se terre dans la dalle de marbre.
''O MARIE CONÇUE SANS PÉCHÉ PRIEZ POUR NOUS QUI AVONS RECOURS À VOUS''est abrégée en ''O MARIE CONÇUE SANS PÉ''. Série qui compte 18 lettres.
Le partage de la date en 18 et 19, la répétition du P en initiale de Pénitence, la substitution C/S et le tableau ''Pape Pomme Bleue'' m'invite à placer ce P en Commencement (Alpha) d'inscription et ne conserver que les 3 lettres premières du nom de MARIE, comme dans le monogramme pour obtenir POMA et RESOURC.
Mais POMA serait le mot grec ΠΩMA. La source, l'eau potable.
La source de la Madeleine (Ex grotte du Fournet) se loge dans les Bals (42.918814, 2.256413). Son eau très pure a joué un grand rôle dans les périodes de sécheresse en étant le seul point d'eau pérenne sur ces plateaux souffrant de soif chronique. Les vertus miraculeuses qui lui sont attribuées la range comme la seconde source guérisseuse du village, derrière celle de la Fontaine des 4 Ritous.
L'abbé Saunière déplaça pilier à l'extérieur de l'église, au Sud, pour respecter la géographie. Et il orienta la fenêtre de l'échauguette de sa tour Magdala exactement dans l'axe de la grotte. C'est dire l'importance qu'il attachait à ce site.
Les Poissons du Serpent Rouge donnent cette direction, ''scrutant vers le midi''.
C'est là que le vitrail de la résurrection de Lazare situe cette dernière (Petit four entre la main et la tête du Christ).
La répétition du mot pénitence donne un caractère punitif à la scène. Comme si le village était responsable d'un châtiment divin. La malédiction serait une soif éternelle pour une faute commises par les Rennains.
La couleur dominante de la statue de la Vierge est le bleu. Arrière-plan et voile. La source au pied de la grotte se jette dans le ruisseau des couleurs. Source de la Madeleine = Source Bleue.
Nota : Dans le Petit Manuscrit, c'est la lettre M en onciale romane inversée qui est ainsi dédoublée en ω minuscule dans AMO T, à la manière des lettres incluses ou des ligatures dans l'épigraphie romaine. Ce n'est pas comme sur ce pilier l'Ω en Γ.

Revenons à l'utilisation première de ce pilier, quand il n'était pas inversé et qu'il soutenait l'autel dans l'église.
Il portait les mêmes codes, A 23 Ω / 18 O 19 / 29.
Mais on ignore s'il était accompagné d'un mode d'emploi.
Comme l'abbé Saunière s'est fortement inspiré des jeux de son prédécesseur (on peut même parler de plagiat), On peut peut-être arriver à retrouver le message initial.
La prédominance de la lettre G sera le fil conducteur de la recherche.
A l'entrée de la cour du presbytère on lit sur l'arc du porche '' LA MAISON DU PASTEUR EST LA MAISON DE TOUS''. Le verbe EST est surmonté d'une croix qui complète le mot d'un P pour obtenir le chiffre 7, SEPT. La cure est donc la maison du PASTEUR G. Ce G découle de SEPT comme dans CON(C/S)EPTION.
La question sera donc : Comment le pasteur G a-t-il utilisé le pilier carolingien ?
Et les documents de base a analyser seront les 3 dalles de grès rouge portant des lettres G :
_ 1740 / IG.
_ 1725 R Δ-X / IG.
_ 1727 +.
On remarque tout de suite que 1 et 7 chiffrent A et G, dans les 3 cas.
Et qu'il était impossible pour l'auteur de ces inscriptions d'utiliser des dates comme 9725, 9727 et 9740 qu'il elles, commencent par IG.
De même, les dates 725, 740 et 727 ne sont à retenir car non contemporaines avec l'auteur.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 15 mars 2019 à 11:54
Dalles rouges 1725 R Δ-X / IG et 1727+ :
En franchissant le porche du jardin du presbytère, le visiteur ne sait qu'une chose, '' LA MAISON DU PASTEUR ( + = Croix) EST LA MAISON DE TOUS''. EST + (+=P) = 7 code de G.
Habituellement, lors de la construction d'une maison, on gravait sur le linteau de la porte d'entrée la date de l'édification et les initiales du propriétaire.
Qui à construit le presbytère de Rennes-le-Château ?
On sait que l'abbé Saunière l'a restauré après 1886, mais pas en 1725.
En 1736 Jean Bigou était le prêtre de cette paroisse.
Mais son prédécesseur reste inconnu.
Les codes alphanumériques de 1725 et 1727 sont AGBE et AGBG. 3 G en 2 dates.
D'autre par 1725 est complétée par un 4ème G dans IG.
On remarque que la différence entre ces 2 dates est de 2 ans et qu'un E remplace un G.
Les sommes 1+7+2+5 = 15 code d'un O grec ou latin.
1+7+2+7 = 17 code d'un Q latin ou d'un P grec (Rô).
Et le Δ et le X superposés construisent un alphabet grec en échelle.
Leurs codes alphanumériques sont 4 et 22.
X - Δ = 22 – 4 = 18 code du Σ, Sigma, S latin et du R latin.
Nota : Alphabet parlant. Tout le monde connaît le ''J'ai Grand appétit''de Voltaire (G grand a petit). Curieusement ce sont les mêmes lettres G et A qui ont servi de bases à Rennes-le-Château.
1725 R Δ-X devenu O R SIGMA donne la clef par l'allographe AMIS G.
Ce nom AMI, avec son initiale en majuscule, est cité 2 fois dans Le Serpent Rouge, en Verseau et Poissons :
'' Les manuscrits de cet Ami'', ''Cet Ami, comment vous le présenter ?''
Ici AMIS est au pluriel car c'est ''la maison de tous'' les AMIS.
L'astuce vient de la calligraphie de la lettre Sigma, Σ, qui ressemble à un E latin.
OR Σ = La lettre Sigma vaut de l'OR et ROS.
En effet Le S qu'elle recèle remplace le E de AGBE.
Devenu AGBS, on y retrouve les initiales B.S. De Bérenger Saunière. Les mêmes que celles qui sont gravées sur la vasque du bénitier du diable.
Ainsi, A.G. et B.S. Sont 2 AMIS.
Et la date 1727 donne le nom d'un 3ème AMI, homonyme du premier mais dont l'initiale du prénom est B.
Voici donc les 3 AMIS du presbytère, AG, BG, BS.
Sous la date, IG corrige 1725 dans sa version AGBE en IGBE = BIGE et AGBS en BISG.
Un BIGE était un char romain tiré par 2 chevaux. Ici ce sont les 2 AMIS G en tandem.
Il serait péjoratif de traduire ROS par ROSSE (Mauvais cheval).
Et BIS G = G 2 fois.
On connaît les prénoms du couple de G.
Sur l'épitaphe de Marie de Blanchefort, la date du 17 Janvier est celle de la fête patronale commune de St Sulpice et de St Antoine le Grand.
A.G. = Antoine G.
Et B.G. est dévoilé sur la fresque du baptême où St Jean-Baptiste est ''Le plus grand des amis''. Le phylactère plié en M sur la Croix modifie ECCE AGNUS DEI en VOICI LE PLUS GRAND DES I. le Ï de MAÏS.
Les 3 AMIS du presbytère, AG, BG, BS. étaient Antoine G. Bérenger Saunière et Jean Baptiste G. 3 ''Pasteurs''.
Le choix du support, des dalles de grès rouge, est important. Ici RÒS se traduit par rouge.
Comme le code du G est 7, l'auteur du Serpent Rouge a amélioré ''7 RÒS'', SEPT en ROUGE, par SERPENT ROUGE car sur l'épitaphe de Marie de Blanchefort le verbe EREPO ( dans TEMEREPO) se traduit par ''Je me glisse en rampant, je me faufile comme un reptile''.
Il fait allusion au fait que que le P de l'idéogramme P-S dans G est un Rô (PRAECUM = P et R aecum, égaux).
L'ABBÉ GROS est le SERPENT ROUGE.
Les additions des chiffres des dates se retrouvent sur le sceau du Serpent Rouge où 1099 = 1+0+9+9 = 19 code du S et 1186 = 1+1+8+6 = 16 code du P.
Le monogramme de Madeleine traversé d'un fémur = SM + OS = SOMme.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 16 mars 2019 à 16:34
J'emploie le mot ABBÉ car IG se traduit aussi par 1 romain devant G. Ce qui signifie que G qui suit ce 1 vaut 2 dans l'alphabet. C.à.d., que G = B.
Et donc que 1725, AGBE devient ABBE.
Traduire PASTEUR par ABBÉ rappelle le confessionnal où la moulure en bois en demi lune comporte 2 rangées de besants (demi-sphères). Une série de 12 gros sur une autre de 24 petits.
12 code AB et 24 2 fois AB. Le tout compose ABBA, l'abbé latin.
Le nom de ce dernier étant donné par la tête anthropomorphique de l'AGNEAU décapité. AG.
Cela pose un problème car je ne suis pas certain que l'inscription 1725 R Δ-X n'a pas été vandalisée. Il est en effet possible que la lettre R actuelle fut mutilée par l'ajout d'une jambe à un P.
L'originale serait un Rô.
Bien sur la substitution est valable dans les 2 sens et 1725, peut se lire AGGE.
Devant Rô, AGGERO = J'amoncelle, j'accumule.
L'échelle grecque X - Δ serait alors un entassement, voire une somme.
Il est donc fondamental de savoir si l'inscription porte un R latin ou un P grec.
Cela demande réflexion …......
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 mars 2019 à 08:02
Dalle Sud du clocher. 1740 IG :
A mon avis c'est le jeu le plus singulier de l'énigme de Rennes-le-Château. Et je ne suis pas le seul à le penser puisque le Serpent Rouge y a consacré son blason (''LENE BUXEUM EOUS SCAPHÆ'').
Décodée en AG Quarante IG.
40 entendu CAR, ANTE. Conjonction française + adverbe latin = CAR AVANT.
Et QUART AVANT.
Il faut surtout bien remarquer l'emplacement de l'inscription entre les 2 fenêtres qui sont les abat-sons des cloches de ce clocher carré, comme le pilier carolingien et comme le calvaire de 1897.
Ces 2 abat-sons occupent le QUART sud de la tour du clocher.
Ils sont au nombre de 2 , code d'un B.
CAR AVANT IG il y avait ce B. Ou encore QUART de A+G =1+7/4 = 8/4 = 2.
Ainsi AG = BIG.
Nota : Dans La Vraie Langue Celtique, l'abbé H. Boudet, page 146, traduit BIG par ''Courageux''.
Il ne faudrait pas cependant confondre ce clocher avec BIG BEN !!!
Sur son Blason, Louis St Maxent traite ainsi ce rébus :
Il oppose une amphore versant du vin noir à la tête d'un cheval blanc sur un fond rayé de 20 traits verticaux. Vingt entendu Vin, 20 code d'un T.
Dans amPHore et CHeval, Le CH est écrit de façon différence pour inviter à traduire SCAPHÆ par S CACHÉ le T complétant en ST CACHÉ
Inutile donc de chercher à traduire par ''Lentement de couleur jaune la barque d'orient''.
La devise se condense en LE..B.....E...ST CACHÉ suivant la technique des ''mots valises''.
La lettre B est cachée par cette amphore et ce cheval. C'est leur paire qui compte. Ils sont 2, comme les 2 abat-sons.
Dans ses Poissons, le Serpent Rouge compare ''cet Ami'' AG au '' comme le nautonnier de l'arche impérissable''. Le mot nautonnier n'est utilisé depuis toujours par les amateurs de cette énigme qu'à propos du personnage qui pêche sur sa barque de pierre (impérissable) dans les armoiries de Mgr BILLARD.
Nota : La devise de l'évêque illustre parfaitement la philosophie des jeux qui construisent l'énigme des deux Rennes (Château et Bains).''In verbo tuo laxabo rete'' = Sur tes mots je jette le filet.
La comparaison AG = BIG et BILLARD se fait sur le BI.
Nota : mots valises sur le calvaire de 1897 : FÉLIX ARSÈNES BILLARD = BI FAIT L'X A RENNES.
J'en conclue que traduire 1725 par ÂGÉ B et BIGE est très certainement pertinent.
Mais l'interprétation totale de l'inscription ''1725 (R ou P) Δ-X'' reste insatisfaisante.

Mon but reste le même. Connaître le message que cachait le pilier carolingien quand il servait de support de l'autel. En m'aidant des 3 dalles déchiffrées.
marc
Hulotte
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 18 mars 2019 à 08:13
Les nombres en lettres, 40 et 60 (ou XL et LX romains), Quarante et Soixante sont utilisées dans plusieurs jeux.
On retrouve 40 sur la dalle du clocher et 60 dans l'épitaphe de Marie de Blanchefort et sur le banc/sarcophage de la grotte du jardin.
Dans tous les cas ils se décomposent et utilisent l'adverbe ANTE, AVANT.
40 = CAR AVANT et QUART AVANT et 60 = SOIS DEVANT.
Dans le cas de la grotte de SANCTA MAGDALENA, KXSLX se traduit par ''SOIS AVANT le L.
Sois avant le L de LX. C.à.d., que le S doit être la lettre qui le précède dans l'alphabet, R.
Et sois avant le L de MAGD(AL)ENA. C.à.d., X = A.
KXSLX = CARLA et L'ARCA, le cercueil antique. Le Banc est la tombe du CARLA. Les galets rougeâtres qui écrivent le jeu proviennent de la source de la grotte de la Madeleine.

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