Le Serpent Rouge

Annonces concernant les autres chasses au trésor, en cours ou à venir.
marc
Hulotte
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 13 sept. 2015 à 09:22
Sur le tympan de l’église de Rennes-le-Château, l’abbé Saunière a écrit :
‘’REGNUM MUNDI ET OMNEM ORNATUM SOECULI CONTEMPSI PROPTER ANOREM DOMINI MEI JESU CHRISTI QUEM VIDI QUEN AMAVI IN QUEM CREMINI QUEM DILEXI’’.
J’ai méprisé le règne de ce monde et tous les attraits de ce siècle à cause de l’amour de mon maître Jésus Christ que j’ai vu, en qui j’ai cru et que j’ai choisi.
Mais l’abbé a intentionnellement introduit 4 fautes dans ce motet de Felice Anerio :
ANOREM pour AMOREM, QUEN pour QUEM et CREMINI pour CREDIDI.
Ainsi les 3 lettres D, M et N sont mises en exergues.
Plus bas, il a ajouté la phrase clef :
‘’DOMUS MEA DOMUS ORATIONIS VOCABITUR’’.
Ma maison est la maison de la prière.
Abréviation de, ‘’Ma maison sera appelée une maison de prière, mais vous vous en faites une caverne de voleurs’’. Matthieu 21 :13.
Les inversions D/M/N concernent les mots DOMUS, MODUS et NODUS, la maison, la mesure et le nœud.
NODUS MEA MODUS ORATIONIS VOCABITUR = Mon nœud est la mesure de la prière.
Les fidèles utilisent comme boulier un chapelet dont chaque nœud compte une prière AVE MARIA.
Le mot AVE, salut, est lui-même l’anagramme de VAE, MALHEUR, HÉLAS !
Au sommet de tympan triangulaire, un phylactère en forme de fer à cheval dessine un Ω.
Il porte la locution +IN HOC SIGNO VINCES+, par ce signe tu vaincras, encadré par 2 croix qui ajoutent les 2 lettres absentes, N et M qui complètent OMÉGA en NΩM. Ce signe Grand O permet de vaincre quand il est la majuscule d’un nom commençant par O.
La combinaison de AVE et de Grand O donne aussi, avec l’égalité romaine V = U, le phonétisme EAV = EAU = allographe d’O.

La clef de voûte du porche porte l’inscription TERRIBILIS EST LOCUS ISTE.
Ce lieu est terrible. Au-dessous, la devise du pape Léon XIII, LUMEN IN COELO, se traduit par Lumière dans le ciel.
TERRIBILIS est une combinaison latine-française qui se décompose en TER R IBI LIS = Un troisième R ici lis.
La 3ème lettre du mot COELO devient un R dans CORLO.
La devise est écrite sur un étui à parchemin dont les 2 anneaux porteurs dessinent 2 lettres O que la cordelière transforme en 2 alpha grecs minuscules, α, donnant ainsi la double substitution des voyelles O/A dans CORLO qui devient CARLA.
EAU et CARLA indiquent que ce dernier est le RUISSEAU du CARLA.

Le signe de croix permet de diviser en 4 parts, il est permet d’entendre CARLA = QUART LÀ.
L’arc du porche porte l’inscription HIC DOMUS DEI EST ET PORTA COELI, cette maison est celle de Dieu et est la porte du ciel.
Avec le même déchiffrement du ciel, le visiteur se retrouve ainsi devant LA PORTE DU CARLA.

En latin, le pape Léon XIII s’écrit LÉO, le LION.
Le LION est une constellation du zodiac. Si le LION se trouve en XIIIème position sur une liste qui ne compte habituellement que 12 signes, c’est qu’un treizième y a été rajouté. Un signe dont l’initiale est O. OPHIUCHUS.
Ainsi, le ruisseau du CARLA = OPHIUCHUS = le SERPENTAIRE entendu LE SERPENT DE TERRE.
On remarquera que le toit de l’auvent triangulaire qui protège le tympan dessine une flèche pointée vers le ciel.
A son sommet, un épi de faîtage représente une croix sur un cœur. Le cœur du mot CR-O-IX est là encore un O, initiale de la constellation cible. La lumière dans le ciel.

Les armoiries de deux évêques figurent aussi sur ce tympan :
_ Mgr Félix-Arsène Billard dont la devise était, ‘’IN VERBO TUO LAXABO RETE (Luc 5 :5), sur ta parole je jetterai le filet.
_ Mgr François de Sales Albert LEUILLEUX, ‘’ZELO ZELATUS SUM PRO DOMINO DEO EXERCITUUM, je suis rempli de zèle pour la défense du Seigneur Dieu (1 Rois 19 :10).
Malheureusement, l’érosion a rendu ces 2 blasons pratiquement illisibles. Dommage, car ces deux devises devaient certainement comporter des fautes qui permettaient de les déchiffrer.
Mais comme Mgr Billard a été repris sur le calvaire de 1897, on peut supposer que les noms de ces 2 prélats sont détournés de la même façon.
Sur l’écu de gauche on distingue encore le nautonnier BILLARD debout dans sa barque dont le mat est une croix. L’interprétation de ‘’Jeter le filet sur les mots’’ est délicate. On pourrait la traduire par ‘’Mettre les mots sur une grille’’.
On remarquera que les noms des 2 évêques comptent une paire de L. La somme romaine L+L = C (2*50 = 100) peut aboutir à BICARD et LEUICEUX, mais cela reste à prouver.
Ce qui est certain est la superposition de Mgr Billard sur HIC DOMUS DEI EST et de Mgr Leuilleux sur ET PORTA COELI.
Sur le calvaire, FÉLIX-ARSÈNE = FAIT LA CROIX À RENNES.
Il est vain de spéculer sur ces 2 armoiries tant que leurs versions originales resteront inconnues. Jalousement gardées secrètes par des chercheurs obtus…
Dommage, elles semblent piloter les 4 pots de fleurs.

Sinon, il reste la statue de Sainte MARIA MAGDALENA tenant une croix horizontale, orientée au Sud du village, sur sa poitrine. On notera que les 3 lettres clefs MDN sont l’acronyme de son nom.

En résumé, dès le seuil de l’église, le visiteur curieux sait qu’il va entrer dans un sanctuaire TERRIBLE où il va rencontrer le SERPENT DE TERRE qui représente le ruisseau du CARLA et qui est la CROIX de ce village.
Ce SERPENT sera ROUGE, ROS en dialecte languedocien, car chaque fois que ‘’le ciel ouvre ses vannes’’ (En Sagittaire), les orages chargent en ocre ce ruisseau temporaire.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 sept. 2015 à 05:11
La flèche d’or :
Les bords de rives en tuiles vernissées dorées codent d’abord l’épi de faîtage (Cœur de CR-O-IX) par O.
C’est la pointe de cette flèche.
A la base du triangle, les deux colombes blanches sont des oiseaux. L’oiseau, en latin AVIS se lit ici VISA.
VISA O = Viser Ophiuchus et rechercher l’EAU.
On remarque alors qu’à l’intérieur du tympan, les 3 ecclésiastiques tracent un triangle inversé où le pontife LION devenu SERPENTAIRE CARLA construit un axe entre les 2 évêques.
Sur la couronne des signes zodiacaux, OPHIUCHUS partage le SCORPION du SAGITTAIRE.
Il se peut donc que Mgr BILLARD soit le SCORPION quand Mgr LEUILLIEUX est le SAGITTAIRE.
Mais, je le répète, cela n’est que supposition, les phylactères des 2 devises étant illisibles.
Néanmoins leurs déroulés doit être important. Comme l’est celui de +IN HOC SIGNO VINCES+, qui dessine un Ω ou celui des fonts baptismaux ECCE AGNUS DEI qui écrit un M. Ou encore, celui de Pierre Plantard qui trace 2 O.
Nota :
Dans le Cancer 6 du Serpent Rouge, on lit, ‘’N’étant pas Hercule à la puissance magique, comment déchiffrer les mystérieux symboles gravés par les observateurs du passé.’’.
L’observation astronomique montre que la tête du Serpentaire jouxte la constellation d’Hercule. Mais ce n’est pas ce dernier qui étreint le Serpent, c’est Asclépios, la divinité mythologique de la médecine.
Le Serpentaire est à la fois le Bien et le Mal. La maladie et le Remède. Le diable guérisseur.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 14 sept. 2015 à 23:56
Le tympan vu par pierre Plantard :
Ce dernier a transposé la lame de tarot du Fou-Mat d’Oswald Wirth dans l’univers du Serpent Rouge.
Un détail très important permet de résoudre l’énigme des 4 pots de fleurs.
Ceux-ci sont des VASES car la ‘’mesure de la prière’’ est l’AVE.
On remarque que ces vases sont sur 2 niveaux différents.
Sur la carte revisitée, ces 2 degrés blancs font partie des 3 marches d’escaliers rajoutées derrière le FOU pour donner le mot MARCHAT du verbe marcher (MARCHE + CHAT).
La direction est donnée par la pointe du triangle blanc qui est orienté vers la tombe de la MÈRE du CURÉ et qui représente celui de l’auvent de l’église pointé vers le ciel.
La différence entre les 2 églises de Rennes-le-Château et de Rennes-les-Bains vient de la cible céleste, SERPENTAIRE pour une, MERCURE pour l’autre.
Je pense qu’à l’origine, avant les travaux de l’abbé Saunière, l’église du haut visait l’ÉPI (SPICA dans le Grand manuscrit) dans la vierge, et l’église du bas, MARS. Et que le Serpent Rouge des abbés Bigou était l’ASPIC.
Sur le tympan, dans chaque vase croit une plante portant 5 fleurs code du E. VASE – E = VAS = MARCHE.
VAS vers la pointe de la flèche = Regarde vers le ciel pour rejoindre sa correspondance terrestre.
Mais pour aller où ? Au Sud, le ruisseau du Carla mesure 2,844 Km de long.
La solution de l’ultime astuce est donnée par les Poissons du Serpent Rouge, ‘’Cet Ami, comment vous le présenter ? … Comment vous le décrire ? Peut-être comme le nautonnier de l’arche impérissable, …’’.
Il n’y a qu’un nautonnier possible dans cette église, c’est le personnage présent dans l’arche de pierre du blason de Mgr Billard. Debout il tient le mat cruciforme qui donne le signe plus de + UN homme.
En effet, on dispose de 4 marches mais seulement que de 3 ecclésiastiques, le Pape encadré de ses 2 évêques avec ce petit personnage supplémentaire. l’Eglise voit son effectif porté à 4.
Et la destination finale précisée, la Fontaine des 4 RITOUS. En dialecte languedocien, un RITOU, ex RECTOR, est un CURÉ.

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vinss789
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar vinss789 » 15 sept. 2015 à 11:30
Bonjour,

marc a écrit :Un détail très important permet de résoudre l’énigme des 4 pots de fleurs.
Ceux-ci sont des VASES car la ‘’mesure de la prière’’ est l’AVE.
On remarque que ces vases sont sur 2 niveaux différents.


En passant, lien ou pas avec une idée de résolution de la 780 ? Qui contient 4 vers. Et j'avais lu un MADIT (que je ne retrouve pas pour l'instant) ou Max expliquait qu'il fallait prendre la mesure en terme de concept. Un exemple qu'il y donnait etait justement de considérer que dans une énigme X la mesure est une fleur A. Dans une enigme Y la mesure est une fleur B. Le point commun étant que l'ensemble de ces fleurs sont contenues dans un vase.
Si quelqu'un retrouve ce Madit je suis intéressé !:)

Salutations
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 16 sept. 2015 à 00:04
Je propose donc plusieurs hypothèses pour tenter de retrouver l’écriture originale des devises des 2 évêques. Soit :
_ Les 2L de Billard s’additionnent en BICARD et LEUICEUX. Et DRAC, le diable est dans 2-CARD.
_ Le verbe VERBO était fautif en VERBI, de façon à dégager le préfixe commun BI qui en latin = 2.
_ Le phylactère décrivait une boucle où se lisait le BO de VERBO.
_ Le pape n’est pas compté par les ecclésiastiques et chaque évêque vaut 2 curés.
Ce jeu se rapproche alors beaucoup des 2 sculptures sur bois des 2 vantaux de la porte où 2 anges reposent sur 2 parchemins déroulés percés de 4 TROUS. Les 4 I en ruban, dont les points sont les 4 patères descendent remplir les 4 lacunes pour écrire RITOUS (Sur parchemins TROUS + I).
Quelle que soit l’option, les 4 VASES cachent les 4 RITOUS.
Nota : Il semblerait que les 2 phylactères rongés par l’érosion se terminaient par 2 boules. Ces dernières étaient peut-être percées d’un TROU. La demi-inscription HIC DOMUS DEI EST serait entendue HIC MODUS DES I EST. Ici c’est la mesure des I (absents). C’est méthode existe déjà sur le baptistère où ECCE MAGNUS DEI = DES I. Le plus grand des I étant celui de MAÏS / AMIS.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 17 sept. 2015 à 01:40
Voici le plus vieux document que j’ai découvert relatif à La Fontaine des 4 Ritous (Grâce au Dictionnaire Topographique du Département de l’AUDE de l’abbé Sabarthès, page 143).
Sur ce compoix de 1594, la Fontaine des 4 Curés = la Foun de Quatre Rectours, en ligne 14.
On retrouve les noms du BÉZU et de BUGARACH en lignes 14 et 12 (CHEMIN GRAND ???? A BUGARACH).
LE GRAND CHEMIN se retrouve en ligne 15 et LA QUANTITÉ DE SOIXANTE SEPT en ligne 1.
Je ne suis pas expert en épigraphie et je n’ai jamais rencontré de spécialistes capables de déchiffrer ce texte.
Si le cœur vous en dit, votre aide sera la bienvenue.

Ce document est très intéressant car il semble prouver que jadis ce lieu était le carrefour de 4 directions cardinales. En utilisant le mot RECTOURS pour RITOUS, on retrouve une croisée de ‘’grands chemins’’.
Ce qui expliquerait pourquoi le ruisseau du CARLA est la croix de Rennes-le-Château.
Ce croisement Nord-Sud / Est-Ouest et celui des routes ancestrales Couiza-Bézu / Bugarach-Espéraza.

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marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 19 sept. 2015 à 17:09
L’ombilic de Rennes-les-Bains est le calvaire du jubilé.
Comme les 2 autres calvaires, celui d’entrée du village et celui dit ‘’Pétrus’’, son socle est un tronc de pyramide en grès et il porte le nom de PIERRE DELMAS.
Sa brève inscription : JUBILE DE 1854 / Pre DELMAS.
Le 4 est un L barré verticalement donnant ‘’le signe de la croix qui permet de vaincre’’ son jeu.
18 et 5 sont les codes alphanumériques de R et E. Ces 2 lettres sont les RE miniatures derrière le P de Pre.
J’EUS BI LÉ DE 18,5,(4=L+) = J’EUS 2 LÉS (laizes, 2 bords) et (4=L+) = J’EUS 8 RE.
Le code alphanumérique de 8 est H. Son allographe HACHE = COUPE. COUPE RE.
Couper RE dans le prénom PIERRE l’abrège en PI.
Sur l’autre bord, ne conserver que les 2 dernières lettres du nom de DELMAS le réduit à AS.
PI-(ERRE DELM)-AS = PIAS.
Les 3 pommettes hérissées de 8 pointes de la croix de fer forgé donnent le C tout en dessinant des étoiles rayonnantes.
PI-AS + C = SPICA, l’ÉTOILE. Anagramme d’ASPIC, la vipère rouge.
A la rigueur, on pourrait dire que Pierre Delmas devient un SERPENT ROUGE mais Le nombre de pointes (Spica = pointes) impose le pluriel, SPICAE.
Ce jeu utilise la référence extraite de ‘’La Vraie Langue Celtique’’ de l’abbé Henri Boudet, La HACHE CELTIQUE (Page 255).
Il reprend le même mot SPICAE que celui de la parabole des épis de blés dans le Petit Manuscrit.

Le calvaire d’entrée ne porte que PIERRE DELMAS 1856.
Il joue aussi sur le verset de Matthieu 16 :18, ‘’Pierre tu es pierre et sur cette pierre….’’.
Les codes de la date 18, 5, 6 sont R, E et F. → FER.
C’est un conseil à l’entrée du village. Il faut porter le FER sur le nom de PIERRE DELMAS.
1856 = COUPE.

On retrouve cette date 1856 = HACHE, en bas du calvaire PETRUS.
DOMINO VIE RECTORE / PETRUS DELMAS FECIT
VIE, je domine l’érection que Pierre Delmas a faite.
Le mot RECTORE est fautif mais ce mot (qui se traduit aussi par ‘’Par le curé, RECTOR en étant l’ancien nom) est placé ainsi en raison de son initiale R et de son O qui ‘’domine le VIème E du texte dans FECIT.
En grands caractères, VIE + petit R sont les premières lettres de la VIE-r-ge Marie ‘’hachée’’ que porte la croix de fonte ornée de roses.
La VIERGE est le signe zodiacal qui ‘’domine’’ ce calvaire et un des 2 signes qui permettent de vaincre ce jeu (IN HOC SIGNO VINCES). L’autre étant ce O (Exactement comme l’Ω du tympan de Rennes-le-Château.
L’étoile majeure de cette constellation est SPICA. En 3 lettres, l’ÉPI.
Ce qui modifie VIE en PIE et reconstruit le prénom PIERE au-dessus du nom DELMAS, comme sur le calvaire d’entrée.
SPICA, La POINTE, je domine l’érection que Pierre Delmas a faite.

Un peu d’histoire :
Deux abbés Delmas se sont succédés au presbytère de rennes-les-bains. Tous deux se prénommaient ANTOINE.
9 Oct. 1664 - 20 Juin 1731 et ?/ ?/ 1674 - ?/ ?/1707.
Le premier est l’auteur du fameux manuscrit Delmas daté de 1709.
La présence d’un troisième Delmas, prénommé Pierre et qui aurait conduit la paroisse après les 2 Antoine, n’est pas avérée. L’abbé jean vié entendait honorer ce prêtre bâtisseur en érigeant ses 3 clavaires.
L’église St Nazaire et St Celse fut rehaussée l’église au cours du XVIIIème siècle.
La façade de l’église est de type mur-clocher. Le fronton original avait la même forme que l’actuel et portait les 3 troncs de pyramides qui sont aujourd’hui les 3 clavaires Delmas. A leurs places ont été érigés 2 pilastres plus légers, mais de même forme. Au centre, le support court n’a pas été remplacé.
Le profil en ‘’chapeau de gendarme’’ du fronton explique la hauteur de ces 3 pierres recyclées en calvaires.
Les 3 calvaires, au Nord, d’entrée du village, au Sud, Pétrus et au centre, du Jubilé respectent leurs positionnements frontaux d’origine. Un court entre 2 hauts symétriques.
Ces colonnes en delta portaient des boules en pinacle. Seule l’actuelle boule centrale, d’un diamètre supérieur, est d’origine. Elle était surmontée d’une croix de fer.
Le calvaire PETRUS se trouve au pied de la façade, à la verticale du tronc de pyramide Sud qui porte une boule de pierre en pinacle. L’abbé Vié a dressé un parallèle entre ces 2 colonnes de même forme.
Cette sphère dans le ciel représente donc l’étoile SPICA dans VIRGO.
Ces 3 calvaires honorent la mémoire du curé Delmas mais son nom sert d’instrument pour en découvrir un autre. Ainsi la date ‘’coupe’’ les ‘’CAPS’’ de ses nom et prénom de façon à ce le cercle O = PI*D, πD. (Page 229 de la Vraie Langue Celtique, ‘’Le Cap dé l’Hommé’’ mort.

Résumé des 3 calvaires Delmas : La boule du pinacle = O dans POINTE. Le Ciel représente le Paradis.

Nota : Pierre Delmas rebâtit l’église de Rennes-les-Bains, mais PETRUS bâtit l’Église elle-même. L’apôtre romain fut ensuite le 1er Pape. Le Pontife du temps de Saunière fut Léon XIII et celui de l’abbé Vié qui le précéda, PIE IX.
Ce serait lui le ‘’Pape Pomme Bleue’’.

La tombe des Dames Boudet :
Elle jouxte celle de Jean vié et est orientée faxe à la boule du pinacle.
Les 2 épitaphes jumelles sont rigoureusement identiques. La partie droite de la stèle concerne la sœur et la partie gauche, la mère de l’abbé Henri BOUDET. Adélaïde et sa fille Maria Antonia.
Or cette ligne présente une anomalie avec un S intrus, ADELAIDE + S MARIA ANTONIA.
Marie Antoinette prend sa forme occitane et le prénom d’Adelaïde reste français, mais sans le tréma.
La mère, née HUILET le 20 Nov 1810 à Montfort-sur-Boulzane, se prénommait Jeanne Adélaïde Elisabeth.
Sa fille, née le 8 Oct. 1833, Jeanne Marie Antoinette Adèle.
AD (Latin, à côté) EL+les AIDE S → A côté d’elles, mettre au pluriel aide.
La croix gravée représente 3 SPICAE alors que la boule = SPICA, au singulier. Imitant en cela les SPICAE du calvaire du Jubilé.
Ces 3 pointes sur cette croix rappellent les 3 clous de la Crucifixion. 3 CLAVI qui deviennent CLAVIS, la CLEF de l’énigme. Ils sont aussi mis en exergue sur le tableau dit du ‘’Christ au lièvre’’, près de la Sainte éponge.

La solution se trouve sur la tombe de Jean Vié :
Curieusement, la VIE de VIÉ dura 64 ans un carré parfait.
En bas de la stèle, l’inscription PRIEZ POUR LUI est en italiques penchées.
La même invitation, cintrée en forme de fronton d’église, se retrouve sur la tombe des frères Boudet à Axat.
PLIEZ POUR LUI convient mieux. L’axe étant la phrase centrale ‘’Nommé Curé en 1840’’.
Cela permet de superposer Jean VIÉ à 1er 7bre et d’obtenir 17 JANVIER et J’ENVIE R.
L’âge se décompose en 2 séries de 32 ans : 1808↔1840↔1872.
Une croix discoïdale représente 4 haches de fer.
Chaque série de 32 ans se partage en 4 secteurs de 8 ans suivant et le modèle de la croix circulaire.
De part et d’autre de la pliure il y a 4 fois 8 ans soit 4 haches. 8/8 = 88 jours.
Une hache scinde le texte de la pliure en d’eux où le R envié est rajouté. Nom Mé + R Curé = MERCURE.
La périodicité de cette planète est de 88 jours.
Une croix de fer récemment restaurée domine la pierre et sert de collimateur pour viser la boule du pinacle.
Cette boule semble ne plus être l’étoile de La vierge SPICA mais la planète MERCURE.
Au centre de cette croix, le soleil héliocentrique montre la rotation de l’astre et ses 8 rayons codent une hache qui partage la planète en 2. Une petite croix sommitale rajoute la lettre E.
A l’extrémité de la traverse de cette croix on retrouve MERCURE + E décomposé en MÈRE et CURÈ.
Ainsi, SPICA est la MÈRE du CURÉ. Mais ce n’est pas la mère de l’abbé Boudet, comme sur la tombe latérale, c’est la maman de Jean Vié.
En enterrant sa propre mère à côté de Jean Vié, Henri Boudet a habilement mis SPICA au pluriel, SPICAE.
La mère de l’abbé Jean Vié se nommait ROSE JOSSO (Son père se prénommait déjà Jean).
La boule du pinacle de l’église de Rennes-les-Bains représenterait donc une ROSE. Le O dans les SPICAE du calvaire Petrus n’était que la voyelle dans les épines.

C’est là que l’affaire s’obscurcit. Car le 17 Janvier est aussi le masque d’Antoine P-S, AG.ROS, à Rennes-le-Château.
Et un jeu qui paraît bien innocent pourrait bien être plus compliqué qu’un simple amour filial qui espère voir sa maman au paradis.

En effet, en Taureau du Serpent Rouge, on lit, ’’Grâce à lui, désormais à pas mesurés et d’un œil sûr, je puis découvrir les soixante-quatre pierres dispersées du cube parfait, que les Frères de la BELLE du bois noir échappant à la poursuite des usurpateurs, avaient semées en route quant ils s’enfuirent du Fort blanc’’.
Quant pour Quand est une simple faute d’orthographe.
Le Fort blanc est l’ancien château fort de Blanchefort.

L’abbé Jean Vié serait-il un de ces usurpateurs ?
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S17
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar S17 » 19 sept. 2015 à 17:58
marc il est passionnant ce post merci !
Qd j'aurais un peu plus de temps j'essaierai de tout reprendre, on entre vraiment ds un conte :-)
530 : BOURGES / 780 : SUD + mesure 0.33 / 470 : A RONCEVAUX-BOURGES-AUBE / 580 : RAS / 600 : RAS / 500 : CARIGNAN-DABO / 420 : GOLFE-JUAN-DABO / 560 : pas Dabo
2e passage : numéros croissants
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 20 sept. 2015 à 23:14
La solution commune entre les énigmes de Rennes-le-Château et Rennes-les-Bains est le nom de ROSE. Mais il n’a pas la même valeur dans les 2 villages bien qu’il s’entende de la même façon.
_ 1) : A Rennes-les-Bains, c’est une fleur, une ROSE qui cache un prénom féminin.
_ 2) : A Rennes-le-Château, c’est un ruisseau, un ROS latin, un écoulement.
Phonétiquement identiques, ces 2 interprétations se complètent d’une 3ème, occitane, ROS = ROUGE.
Et, ce qui complique encore le choix, c’est que cette racine ROS rentre en composition dans CROS qui vaut une CROIX languedocienne (La Vraie Langue Celtique, page 280).
Quand, en plus, ces lettres sont chiffrées dans les codes alphanumériques de 2 alphabets différents, la lecture devient délicate.
Prenons des exemples qui sont plus parlants que les longs discours :
A la gauche du porche de l’église de RLC, le pilier est dominé par une gargouille anthropomorphique dont la bouche dessine un O.
Dessous, la date 1891 se lit 18-19. La seconde partie est inversée.
C’est un jeu de Saunière qui utilise les codes alphanumériques latin.
18 = R, 19 = S. avec le O central, 1891 → ROS.
On retrouve cette même date sur le pilier carolingien sous le jeu A-MISSION-Ω = SI ON A MIS O.
Là encore, 1891 = ROS.
Maintenant si on relève la date de MDCCLXXXI, 1781, sur l’épitaphe de Marie de Blanchefort, date qui est aussi à demi inversée en 17-18, on doit utiliser les codes grecs. Soit P-S. le P étant un Rô.
La dalle rouge, au-dessus de la porte du presbytère, le rappelle sur l’échelle de l’alphabet grec.
La distance entre Δ et X est P, 17 positions.
Ainsi, suivant l’auteur, 1891 ou 1781 = ROS.
Les codes alphanumériques ne sont plus utilisés depuis longtemps car ils sont à double sens au-dessus de la dizaine.
Ainsi, 17 qui vaut P grec peut valoir 1, 7 = AG latin.
De plus 17 est réellement et simplement un nombre dans la date 17 Janvier où il représente Antoine dont c’est je jour de la fête de son St patron.
Ainsi, la date complète, 17 janvier 1781→ 17 17 18 = AG.ROS + Antoine.

En composition, une autre confusion possible vient se greffée.
Le code du C latin = celui du G grec (rang alphabétique 3).
L’idéogramme P-S entouré de sa crosse = GROS mais vaut CROS, CROIX.

A cette situation déjà confuse viennent s’ajouter les chiffres des personnages qui ne sont pas de simples monogrammes.
Bérenger Saunière signait BS (Bénitier) ou BS CUR (Cryptogramme).
Les 2 abbés BIGOU, oncle et neveu, ont choisi le cœur de leur nom, G.
Sur l’arche du porche de la cure, une petite croix domine le verbe EST dans LA MAISON DU PASTEUR ES+T LA MAISON DE TOUS. Cette croix est le P à inclure dans SET pour donner le code 7 du G.
Les chiffres des 2 abbés sont : Antoine Bigou et Jean-Baptiste Bigou, 17 et 27 = AG – BG.
On les retrouve sur une dalle rouge du presbytère.
La difficulté vient alors du tri en AG, Antoine Bigou et ÂGÉ, l’adjectif vieux.
Pour différencier ces 2 cas, BS a utilisé l’empilement sur la fresque du bénitier.
On voit un prêtre thaumaturge qui officie au sommet d’une butte composée d’objets disparates et de boue semble-t-il. En latin, AGGERO = j’amoncèle, j’entasse.
Tout cela pour que le lecteur ne traduise pas les 17 rameaux de roses qui jonchent le sol par AGROS mais par ÂGÉROS.
Et pour bien confirmer cette lecture, il utilise le mini-personnage en redondance. Ce petit vieillard plié sur sa canne domine le verbe SOULAGERAI du bandeau. SOUS L’ÂGÉ IRA.
Cet ÂGÉ personnage se dirige au pied du tertre pour modifier la BESACE déchirée. Son accroc montre l’absence de la lettre E dans B SAGE (Pas BS ÂGÉ).
Mais ce n’est pas Bérenger qui est ce sage, c’est Baptiste Bigou, le plus grand des AMIS des fonts baptismaux.
L’ÂGÉ ROS est le vieux ruisseau du Carla à la fontaine des 4 Ritous représentés par les 4 orangers indiqués par les LIS ORANGÉS.
Tout naturellement, les abbés Bigou ont associé leur chiffre G/7 au ROS ROS, ruisseau rouge, pour construire une croix, en utilisant l’antique égalité gréco-latine, Γ=C.
GROS = CROIX des Bigou = Idéogramme sur la tombe ou signature sur le Petit Manuscrit.
On retrouve 2 fois cette égalité G/C. sur la porte de de la cure (IG), et surtout sur le clocher dans 1740IG où la croix est donnée par l’intersection du 4.
1740IG = AG quarante IG. La croix A G CAR ANTE, avant, c’était un Gamma.

Le TRÉSOR de Rennes-le-Château est résumé plusieurs fois dans les triangles des ROSES (2 bleues, une rose) sur les vitraux. Ce triptyque rappelle qu’il est composé de 2 abbés et d’un ruisseau.
TRES, en latin 3, suivi de ROSE inversée.
TRÉSOR = 2 Bigou + Carla.

La question reste cependant entière, la ROSE du pinacle de Rennes-les-Bains est-elle celle de Rennes-le Château, ou simplement la mère de l’abbé Jean Vié ?
Deux liens aquatiques peuvent relier ces 2 villages. Tous deux possèdent un ruisseau nommé CARLA (CARLAT) et une source de la MADELEINE.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 sept. 2015 à 09:09
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‘’Les USURPATEURS’’. 3 possibilités :
_ Ce sont les 64 ans de la VIE de VIÉ.
_ Ce sont les 2 fois 64 lettres supplémentaires du Grand Manuscrit.
_ Ce sont les 2 séries de 64 lettres du cryptogramme du ‘’Sot pêcheur’’.
A mon avis, ce sont les auteurs du cryptogramme faussement attribué à l’abbé Saunière.
Il reprend exactement la méthode utilisée dans le Grand Manuscrit.
PEUR DU NOM. MA CLEF A RIEN NE SERT. MAIS JEU BEAU A ÉTÉ. CARLA. ENTRE RENNES ET BÉZU 4I.
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 21 sept. 2015 à 16:55
Les vieilles lettres, AG+lettre, 17+Lettre :
Sur le tympan, le phylactère portant +IN HOC SIGNO VINCES+ dessine un Ω qui est une de ces lettres ÂGÉES.
Converti en AMO GÉ, l’OMÉGA grec cache en fait la lettre Γ, GAMMA, elle aussi ÂGÉE. 177.
L’inversion du pilier carolingien transforme ω en γ.
Mais l’ω s’inverse aussi en M oncial.
L’en-tête du Petit Manuscrit le prouve, l’alpha triangulaire est dominé par cette lettre double pour construire AMO. A l’intérieur du triangle le T est encore une lettre âgée, un TAU.
Ce Tau qui permet de savoir que ce document est signé d’Antoine.
J’AIME T dans le triangle.
J’ignore la date précise de l’élaboration du Petit Manuscrit, tout en la situant au XVIIIème siècle.
Mais je pense que la méthode de la cachette triangulaire est très antérieure.
Oswald Wirth ne connaissait pas ce document. Néanmoins, il l’a réutilisée.
Sa lame de tarot du Fou-Mat porte la lettre hébraïque Shin qui vaut 300 et qui se traduit par DENT.
Le triangle des dents tracé par celles du personnage, du crocodile et du chat détermine une zone secrète où l’échancrure de la manche dessine une lettre M.
De la même façon, sur la lame du Pape, la lettre hébraïque Hé vaut 5 et le triangle est déterminé par les 3 croix que portent ses 2 gants et sa tiare. A l’intérieur duquel, le bouton de sa fibule écrit la lettre O.
Ce tarot est si intéressant qu’il mérite son propre topic …………
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 sept. 2015 à 05:57
……. Revenons au Petit Manuscrit, à son en-tête ‘’J’aime T’’ et à son triangle de la Mort :
Les lettres surélevées écrivent la clef primaire.
A DAGOBERT II ROI ET A SION EST CE TRESOR ET IL EST LA MORT.
Le nom de DAGOBERT II est facétieux. Il faut le ‘’remettre à l’endroit’’ et lui retirer ses II fautes pour le corriger avec P-S. L’idéogramme ROS en bas de page qui sert de signature et qui sera utilisé 2 fois.
TREBOGAD – G et B + P-S = TRÉSOR AD.
À TRÉSOR À DROITE A SI ON EST-CE TRÉSOR ET IL EST LÀ MORT.
En clair, Ce Trésor mort est là, dans le texte, si on est à droite des lettres T.
A DAGOBERT II ROI E(T A) SION ES(T C)E (TR)ESOR ET IL ES(T LA) MORT.
Soit, ACRLA = CARLA.
Pour les couples, voir dessin ci-dessous.

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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 22 sept. 2015 à 23:07
‘’Et il est là, mort’’. Les 3 croix du texte sont celles de tombes. Elles délimitent le cimetière triangulaire qui recèle le trésor.
‘’A droite du T’’ se trouve sa clef, TRESPONDENSA dans laquelle l’idéogramme P-S corrige le P en Rô.
TRESRO N DENS A = TRÉSOR N DANS A → Substitution N/A à l’étage inférieur du N pointé par un repère ►.
QUAN → QUAA = AQUA = EAU.
A ces résultats, on peut rajouter plusieurs sous-arcanes comme la commande conditionnelle verticale SI ON.
Mais l’inversion qu’il ne faut pas négliger est celle de SOLIS SACERDOTIBUS.
SUBITO DRAC EST S’IL HAUSSE. DRAC c’est le Diable, qui apparaît ‘’le ciel ayant ouvert ses vannes, l’énorme SERPENT ROUGE cité dans les parchemins’’ devient cet oued chargé d’ocre (En Sagittaire).
Solutions : CARLA, 4 CARLA, AQUA, DRAC.
Les jeux secondaires sont :
_ Ligne 2 : SECUNDΘ PRIMO. O+Θ, Thêta, = ÔTÉ.
Ôter le second qui devient le premier. Placée derrière le mot SABBATO, elle invite à diminuer la seconde lettre de l’alphabet, B, qui devient la première, A. Redondance de REDIS LES B.
_ Ligne 10 : dumum inversé en ωλένη, ΩΛΈΝΗ, Olène.
En latin O LENE = O lentement. Repris sur le blason du Serpent Rouge, en BENE, O BIEN ? EAU DOUCE ?
_ Ligne 13 : uxuθ inversé en θήχη, ΘΉΧΗ, le cercueil = L’ARCA latin.


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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 24 sept. 2015 à 15:11
Pour refuser d’admettre que le trésor de Rennes-le-Château est l’AQUA, l’EAU, beaucoup de chercheurs se réfugient derrière l’excuse des ‘’POMMES BLEUES’’.
Analysons donc ce leurre.
Cette fameuse ’’pomme bleue’’ se trouve sur le vitrail de ‘’La Mission des Apôtres’’ et elle est violette.
Un des apôtres la tient sous son aisselle droite alors que ses 2 bras croisés dessinent une croix de St André.
L’extrémité arrondie d’une croix se nomme une POMME ou pommette.
De plus, celle-ci est dans la PAUME du Saint.
Le Serpent Rouge, en Scorpion utilise ce phonétisme dans, ‘’Je porte ma main à ma bouche, mordant instinctivement ma paume’’.


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On ignore qui a baptisé le tableau de Pierre Plantard, ‘’Le Pape pomme bleue’’ mais sur ce dernier, ‘’la pomme bleue’’ est le pommeau de la triple croix papale.
Les vitraux de l’église de Rennes-le-Château n’ont pas été spécialement créés par le peintre verrier Henri Feur de Bordeaux. Ils ont été commandés sur catalogue. Par contre, ils ont été adaptés aux jeux de cette église de façon à délivrer un message différent de l’initial. Ils comportent donc tous un ajout.
Sur celui de la Résurrection de LAZARE, c’est un petit FOUR qui a été rajouté à côté du visage du Christ de façon à localiser la résurrection de LAZARE devenu LACAR dans la grotte du FOURNET (Aujourd’hui, de la Madeleine).
Sur le vitrail de Marthe et Marie, une croix a été rajoutée sur un banc pour recomposer BLANC, la couleur des 3 assiettes. Marthe se plaignant des tâches ménagères, Jésus lui répond, ‘’Une seule chose est nécessaire’’ pour faire ta vaisselle, l’EAU. Luc 10 :42.
Sur le vitrail de la Mission des Apôtres, cet ajout est l’inscription ΘNIS / 17.09 / 84
L’analyse consistera à essayer de relier ce vitrail au tableau qui reprend la lame du Pape du tarot.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 sept. 2015 à 04:30
Ce tableau se veut œcuménique entre les 2 villages de Rennes-le-Château et de Rennes-les-Bains qui utilisent la même formule, ‘’IN HOC SIGNO VINCES’’ pour désigner la même lettre, O.
Le phylactère Ω du tympan correspond au VIème E ‘’dominé’’ du calvaire Pétrus.
Les 2 ecclésiastiques tonsurés et agenouillés sont les abbés Pierre Delmas et Antoine Bigou, reliés par le symbole zodiacal des Gémeaux entendu J’AIME EAUX et O.
Jumeaux dans leur passion des jeux de mots et des arcanes, ils représentent leurs villages rivaux par l’intermédiaire des croix. Celle de gauche est la croix fléchée de la tombe des Dames Boudet. Celle de droite, en or, est un des 5 CROS du pilier carolingien.
Les noms des 2 prêtres sont simplement codés en alphanumériques. Sur le fanon, le dolmen de pierre dessine un Pi, Π, et les 4 barrettes, un D. ‘’Caps’’ de PI-erre D-elmas.
Les 7 pommettes de la triple croix codent le G de Bi-G-ou et la fameuse ‘’pomme bleue’’ le A de son prénom Antoine. AG ou 17 ou Rô.
L’astuce vient du chiffre de Pierre Delmas qui donne aussi la formule du calcul d’un CERCLE O, sous la boule du pinacle.
Étape 1 :


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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 25 sept. 2015 à 16:45
Étape 2 :
Plantard traduit le calvaire du Jubilé ainsi :
J’EUS 2 L de 185 (4=L+) par L de DELMAS = L + = M.
DELMAS devenu DEMMAS compte 2L+ et se comprend PIERRE DE 2000 ANS.
Une pierre de 2000 ans est un DOLMEN. Ainsi DELMAS = DOLMEN.
Sur le calvaire PETRUS, il utilise le O dominant le VIEme E pour modifier le nom en DEOMAS.
PETRUS DEO MAS FECIT = PIERRE A FAIT LA MAISON DE DIEU.
En arrière-plan, celle-ci, l’église de RLB.
Ce qui prouverait que l’abbé Jean vié s’intéressait déjà aux ‘’pierres savantes des Redones’’, bien avant l’abbé Boudet.
Les 2 colonnes sont Roque Nègre et Roque Rouge, suivant leur couleur. Elles donnent l’axe N/S en partant du château de Blanchefort. L’église est sur cet axe.
Dans le coin gauche supérieur, un curieux dolmen ressemble à une maison avec sa table triangulaire imitant le profil d’un toit. C’est le DOLMEN DELMAS qui joue sur la proximité de ces 2 noms et du calvaire du jubilé pour dégager l’égalité MAS = MAISON dans DEO MAS, la maison de Dieu.
Il reprend ainsi le site du ‘’Plat de la Coste’’ où se dressait le menhir du ‘’Cap dé l’hommé’’ que les pages 229 et 234 personnifient en Notre Seigneur Jésus Christ.
La boule du pinacle représente ce ‘’CAP’’, cette tête du Christ. Car sur le calvaire Pétrus, c’est la VIE qui domine la maison de Dieu. (Jean 14 : 6, ‘’Je suis le chemin, la vérité et la VIE’’). L’enfant dans les bras de la Vierge Marie.
Dans sa préface de La Vraie Langue Celtique, Pierre Plantard compare les deux abbés Saunière VS Boudet dans le chapitre ‘’Deux curès’’.
Il n’estime guère le premier qu’il trouve superficiel, aujourd’hui on dirait ‘’bling-bling’’, avec ses manières de nouveau riche. Par contre il confesse une admiration sans borne pour le discret abbé aux yeux bleus. ‘’Une telle érudition émanait pourtant de l’humble curé …’’.
Bérenger Saunière, n’ayant pas été apprécié, il ne figure pas sur ce tableau. Le troisième ecclésiastique est Henri BOUDET, le Pape DEBOUT, comme son ouvrage vertical sur sa tombe d’Axat.
Le trio est ainsi reconstitué.


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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 26 sept. 2015 à 05:14
La base du tableau de plantard est la lame 5 du tarot d’Oswald Wirth. Mais lui-même s’est inspiré des chefs d’œuvres de Jean Dodal et de Jean Noblet.
Le pape est toujours représenté avec ses gants brodés d’une croix en souvenir des stigmates de la Crucifixion, mais sur certains tarots, ceux-ci sont BLEUS.
Ces gants ne sont pas de simples accessoires de la tenue liturgique des Papes, ce sont les Chirothèques, en soie de mer.
Le Serpent Rouge est formel, il faut ‘’mordre la paume’’, pas la pomme.
Si on mord, si on coupe, un gant on obtient G-ANT.
Soit AG inversé en G. ANT-oine.
Le Pape Pomme Bleue est alors Antoine BiGou.
Le pape du tarot délivre ainsi 2 messages :
_ Pomme → POMMEAU de sa triple croix, POMM + EAU.
_ Paume → Son nom, Antoine Bigou.
Le tout dans le contexte des Gémeaux = J’AIME O/EAUX.


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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 sept. 2015 à 04:20
Retour sur le vitrail de la Mission des apôtres pour constater que la main qui tient la ‘’pomme’’ violette ne porte pas de gant.
Le seul pape possible est Pierre, le seul des 12 apôtres qui le fut et qui fonda l’Église.
Il peut effectivement représenter AG car ses initiales, P-S de Pierre Simon, sont celles de ROS et que le personnage central, de dos, est vêtu d’une toge rouge (Ros).
Le but du jeu est d’identifier l’apôtre à demi caché à droite et qui est désigné par Simon.
Il est à moitié dissimulé dans l’ombre, ceci pour inviter à ne retenir qu’une partie de son nom.
Cette inscription aide : ΘNIS / 17.09 / 84
C’est une reprise de la signature du Gand Manuscrit utilisée aussi dans le Petit où le O de la commande conditionnelle SI ON devient un Θ pour donner SI ON ÔTE.
Les 2 hampes du N sont sus et souscrites pour apporter 2 I.
SI ON ÔTE II. Paraphrase de DAGOBERT II.
17.09 = A G I. J’ai A = I.
84, 8+4 = 12 = L.
L’apôtre occulté est Judas. On retrouve son nom dans la commande conditionnelle:
SI ON ÔTE II / ISCARIOTE entendu IS CARI ÔTE. Avec le segment IS CARI encadré par les 2I.
SI CARI, utilise légalité 2, A=I, et le L final pour finaliser en SI CARAL = SI CARLA.
SI il y a le CARLA, il y a le plan d’eau en arrière-plan.
A première vue, la pomme violette ne sert à rien. Sauf si CARLA n’est pas le ruisseau, mais le ‘’QUART LÀ’’.
Les bras de l’apôtre dessinent une croix et seul une des 4 extrémités se termine par la Pomme/Paume.
A la rigueur, on peut retrouver dans cette pomme ‘’mordue’’ la POMA grecque, ΠΏMA, la source d’eau de qualité, potable.
On peut aussi remarquer que Pierre-Simon est de dos et que son nom, AGROS, est ainsi inversé en SORGA, la source, en dialecte languedocien.
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 27 sept. 2015 à 13:13
Cela ne répond toujours pas à la question : Pourquoi la boule du pinacle qui représentait l’O EAU jusqu’en 1856 désigna-t-elle la planète Mercure à la mort de l’abbé Jean Vié ?
Une évidence cependant, jean Vié, ne pouvant présager de sa longévité (VIE de VIÉ = 64 ans), il n’est pas l’auteur de son épitaphe.
On est en droit de supposer que l’abbé Boudet en fut le rédacteur. Et que plus tard, il choisit délibérément d’enterrer sa propre famille à coté de cette tombe.

L’EAU se cache sous diverses formes littéraires, O, Ω, VIE, πD, ROS, P-S, mais a aussi des synonymes symboliques comme le CERCLE et surtout le triangle. Comme le triangle des 3 roses (Trésor) sur les vitraux, Mais ce n’est le seul. Ne pas oublier que la citation en préface du Serpent Rouge est de l’abbé Th. Moreux, auteur de l’ALCHIMIE MODERNE.

Le symbole le plus visible est celui de MERCURE inversé sur la croix de la tombe de Jean Vié.
Le plus difficile à trouver est celui qui se trouve sur la lame de tarot de la Papesse.
Sur l’originale d’Oswald Wirth, le livre qu’elle tient porte le symbole ancien de l’EAU, une sorte de Yin-Yang.
Sur la version revisitée par Plantard, ce symbole a été remplacé par un Delta pointé au-dessus d’une lettre B inversée. On retrouve là le même symbole triangulaire qui est écrit sur le turban du Fou-Mat.
Cette carte étant repérée 2 le B en est le code. B + EAU = BEAU.
Nota : Dans la version ancienne, le livre de la ‘’Pances’’ est ouvert et illisible
Chez les alchimistes et les francs-maçons, le triangle équilatéral peut représenter les 4 éléments, Eau, Terre, Air et Feu, suivant son orientation.
Jean Vié devient Janvier pour que le phonétisme de son nom, VIER puisse le transmuter en FER dans la date 1856, 18, 5, VI, ou le VI romain code un F. REVI, VIER s’inverse en FER.
Il peut ainsi dominer la pierre du calvaire qui a la géométrie d’un Δ quand DELMAS devient DELTAS.
Le symbole alchimique du Fer est le même que celui de MARS, la planète rouge du FER, ♂.
Ce fer est dans la boule du pinacle qui représente un O entendu EAU.
Il s’agit donc de symboliser le FER dans L’EAU.
Malheureusement, le symbole d’une croix dans un cercle est celui de l’Huile.
Plantard inventa donc un nouveau symbole qui est loin de satisfaire le puriste. Dans cette logique DELMAS devient DE MARS sur le calvaire du Jubilé.
Je me méfie de cet auteur dont les initiales mêmes le font suspecter. P-ierre A-thanase P-lantard = P.A.P., ce qui en fait un PAPe potentiel quand un triangle, Tres en latin = 3, est suivi d’un point A.
Ne voyons cependant pas le MAL partout. Car, quand le Fer est dans l’Eau, ♂ dans Δ, le ‘’Cap’’ (sa tête) est MAR.
Sur le calvaire Pétrus, la VIE-ge MAR-ie est aussi abrégée en 3 lettres.
Égalité MAR-s ↔ MAR-ie.

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Pour l’instant, je ne vois pas la raison de ce changement de planète MARS/MERCURE.
Quoiqu’il en soit, 14 ans (1896 – 1872) séparent le décès de Jean Vié de ceux des Dames Boudet. Mais rien ne prouve que l’épitaphe de l’abbé ne fût pas rédigée plusieurs années après sa mort.
Si seulement la Sainte sur la croix du calvaire Pétrus n’était pas la Vierge Marie mais Magdalena, je dirais que le fer dans l’eau est l’eau ferrugineuse de la source de la GODE……(P. 273).
marc
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Re: Le Serpent Rouge Messagepar marc » 28 sept. 2015 à 04:50
FER dans EAU, nota :
La croix du calvaire du Jubilé a-t-elle été fondue à partir de ces extraordinaires ‘’pierres métalliques’’ du ruisseau de Las Breychos ? (LVLC page 236).
Peut-on extraire LA VIE ANTIQUE de (LA) (V)RA(IE) L(AN)GUE CEL(TIQUE), comme peut le laisser supposer les Observations Préliminaires 1, ‘’Désireux de faire revivre d’antiques souvenirs.’’ ?
J’ai beau fouiller toutes les listes de symboles, je n’en trouve que 2 susceptibles de s’adapter à la ‘’pomme bleue’’, VÉNUS et MERCURE. Ce sont les seuls qui portent une croix souscrite sous un cercle. (le O de la pomme sur la croix du gant), ♀.
On ne peut pas se fier aux couleurs qui divergent selon les auteurs. Notons que Vénus est souvent verte ou bleue et que Mercure est parfois marron ou gris. (Mars est toujours rouge).
On se croirait dans l’énigme 420 de la Chouette d’Or.
Si la main droite de ce Pape astronome désigne Vénus, et sa main gauche Mercure, que le calvaire du Jubilé vise Jupiter (4 =Lt) et que la tombe des Dames Boudet donne Mars alors que celle de Jean Vié pointe Mercure et calvaire Pétrus Vénus, ce n’est peut-être que le nom générique de ces astres qui compte. La boule du pinacle ne serait simplement qu’une PLANÈTE.
Chaque ‘’pierre savante’’ donnant une planète, l’ancienne tombe d’Urbain de Fleury cachait peut-être Uranus.
Beaucoup de ‘’dolmens du cromlech’’ portent des croix grecques qui rassemblent les 4 éléments dans leurs 4 triangles.
Il est préférable de dire ‘’FER sous O’’ ou ‘’Croix sous Cercle’’ plutôt que ‘’FER dans EAU’’.

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